les Jardins ensorcelés

Description

Halloween s’invite à Bréal-sous-Montfort... Pendant les vacances de la Toussaint, les Jardins de Brocéliande sont ensorcelés… Une étrange atmosphère s’installe : décors, effets de lumières et bruitages, l’esprit d’Halloween hante les espaces paysagers ! Enfants et adultes, soyez prêts à vivre des moments abominablement amusants !

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voici venu le temps de notre traditionnelle exposition collective estivale. Le temps de (re)découvrir tous nos artistes à travers leurs nouveautés... et peut être découvrir nos deux nouveaux artistes peintres: L.Pensard et A. Hommet. Les toiles de J.Balitran sont à nouveau disponibles, les bronzes de M.H. Vallade Huet sont bien arrivés, ainsi que les nouvelles toiles de D. Caudron et Krystoff Antier, accompagnés des sculptures de D.Lorilleux. A noter la galerie ferme pour congés annuels du 4 au 20 août inclus. Ouverture uniquement sur rendez vous la semaine du 29 juillet au 3 août. Le reste de l'été retrouvez nous à nos heures habituelles ! L'exposition personnelle de septembre sera consacrée aux toiles inédites de A. Hommet. Tour à tour foisonnantes ou plus épurées, de belles découvertes en perspective !
Plongez dans l'univers du graffiti à travers l'exposition 'Aérosol - Une Histoire du Graffiti' au Musée des Beaux-Arts de Rennes. Découvrez l'évolution de cet art de rue, de ses débuts dans les années 1960 jusqu'à nos jours. Explorez l'usage créatif de la bombe aérosol à travers des oeuvres rares et inédites de célèbres artistes tels que Blek le Rat, Jef Aérosol, Marie Rouffet et bien d'autres. L'exposition met en lumière l'aspect pluriel et éphémère du graffiti, souvent méconnu du grand public. Ne manquez pas cette immersion captivante dans un mouvement artistique emblématique.
L'exposition 'Les lisières du Night Club (titre provisoire)' de l'artiste danois Rasmus Myrup présente un ensemble de sculptures humanoïdes mêlant éléments naturels, histoire sociale, mythologie nordique et postmodernisme. Ces personnages mi-humains, mi-arbres, aux identités mouvantes, redessinent une société possible sur les ruines de nos forêts et banlieues. Une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.
L'exposition 'Les lisières du Night Club' est la première exposition personnelle de l'artiste danois Rasmus Myrus en France. Ses sculptures humanoïdes mêlent éléments naturels, histoire sociale et mythologie nordique. En conteur et magicien des postures, il donne vie à des personnages mi-humains, mi-arbres, des êtres queers aux identités mouvantes. Une communauté interlope qui redessine les contours d'une société possible, faite de singularités et de résistances. Les personnages de Myrup sont une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.
Cet été, La Criée présente le Salon des refusé·es de Rasmus Myrup, première exposition personnelle de l'artiste danois dans une institution fran?aise. Une vingtaine de personnages, sculptures anthropomorphes extravagantes, attablés, allongés, debout, seuls ou en groupe, occupent l'espace du centre d'art, transformé en café/centre de soin : tableau facétieux et saisissant d'une société décalée. Les personnages de Rasmus Myrup sont issus du folklore danois, des traditions orales sud-scandinaves et de la mythologie nordique. Il puise son inspiration dans les nombreuses figures qui les composent, dont il réinterprète les histoires, faisant preuve d'une imagination foisonnante. On retrouve parmi ses figures, certains personnages principaux de la sphère magique, comme Gefion - déesse des sols - ou Nisse - la « petite Barbie » originale des légendes scandinaves et d'autres moins connus, mais pas moins importants. Combinant passé et présent, l'artiste les ancre dans notre société postmoderne et ses questionnements : ils interrogent notamment la normativité, l'ordre et la morale établis et affichent leur singularité, leur sensualité, leur liberté d'être. Pour fabriquer ses sculptures, Myrup glane des objets naturels autant que des objets manufacturés, issus des rebuts de la société de consommation, qu'il assemble ensuite avec une extravagante virtuosité. En formidable conteur, Myrup donne vie et épaisseur à des personnages mi-humains, mi végétaux, des êtres complets, Queers et alliés aux identités mouvantes et aux vies multiples, venus d'un temps tout autant préhistorique que post-humain. Cette communauté séparatiste, ce « salon des Refusés », redessine les contours d'une autre société possible, faite de bric et de broc, de branches et de strass, de likes et de lichen, de singularités et de résistances. Une société qui pousse et s'épanouit, malgré tout, sur les ruines des forêts et des banlieues embrasées. La moitié des sculptures ont été produites et présentées à la biennale de Göteborg en Suède à l'automne 2023, puis au centre d'art 1646, à La Haye, aux Pays-Bas, début 2024. À La Criée, suite à deux résidences de création, Myrup y ajoute une dizaine de nouvelles pièces, réalisées à partir de matériaux glanés à Rennes et en Bretagne. Si ces nouvelles figures restent issues de l'imaginaire nordique, ?à et là des détails et métissages bretons apparaissent. À contre-courant du climat politique actuel où les patrimoines culturels et les histoires communes deviennent des motifs de division et exclusion, les personnages de Myrup célèbrent la diversité et le mélange. Ils sont comme les champignons de la fin du monde d'Anna Tsing* : une le?on d'optimisme dans un monde trop souvent désespérant. * Anna Lowenhaupt Tsing, Le Champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme, trad. de l'anglais par Philippe Pignarre, préf. par Isabelle Stengers, Paris, La Découverte/Les Empêcheurs de penser en rond, 2017, 415 p. Site web : https://www.la-criee.org/fr/30393-2/
La pratique artistique de Yoan Sorin prend la forme de peintures apposée sur supports variés, de sculptures composées de matériaux divers, d'objets assemblés puis peints, de performances impliquant son propre corps. Chaque élément alimente voire contamine les autres de manière fluide, au sein d'installations qui constituent des compositions en trois dimensions sans cesse renouvelées par la déambulation. Habitées, ses expositions où la couleur est déterminante baignent dans une atmosphère où la sérénité cohabite avec l'inquiétude. Pour son exposition à 40mcube, Chronique de l'oubli, Yoan Sorin réalise de nouvelles oeuvres qui jouent avec le temps. Comme une éphéméride, une peinture en remplace une autre chaque semaine, tandis que des sculptures-métronomes ou sabliers, comme les temps de performance, rythment l'exposition. Jouant avec les mots, celui de chronique dans sa double signification, en tant que récit chronologique et de quelque chose qui s'installe lentement mais durablement, qu'il associe de manière contradictoire à l'oubli, Yoan Sorin témoigne de l'urgence latente de notre temps. Site web : https://www.40mcube.org/chronique-de-loubli/
Cet été, le centre d'art Les Digitales propose une immersion artistique en extérieur au coeur d'une portion du sentier de randonnée du Grand Val. Une balade balisée invitera à déambuler dans les paysages cadennais à la découverte des sculptures grillagées de l'artiste Cédric Verdure. Son exposition "Dentelle métallique? offrira une expérience sur la thématique de la rêverie et de l'art dans la nature. La balade sera ponctuée des oeuvres photographiques de Karen Raccah qui immortalise quant à elle ses créations éphémères de Land Art. L'artiste animera une causerie le mercredi 6 août pour éclairer les plus curieux autour de ce mouvement artistique. Un livret accompagnera les visiteurs pour guider leur marche et les inviter à regarder la nature sous un prisme nouveau.
Une exposition du studio H5 AIR, Phoenix, Étienne de Crécy, Alex Gopher… Entre la fin des années 90 et le début des années 2000, de jeunes musiciens participent activement à la French Touch, courant musical qui va sidérer et secouer le monde. Au commencement, de nombreux lycéens versaillais montent des groupes punk et new wave en s’inspirant des groupes de rock alternatif comme les Négresses Vertes, Les Satellites ou encore Oui Oui. Une partie d’entre eux découvrent alors les samplers et synthétiseurs avec lesquels ils bricolent dans leurs chambres une musique associant rythmes, sonorités électroniques et paroles en anglais. Ils posent ainsi les bases de la French Touch. Fondé par Ludovic Houplain et Antoine Bardou-Jacquet en 1994, H5, qui fête cette année ses 30 ans, s’est imposé depuis ses débuts comme un laboratoire créatif au carrefour du graphisme, de la direction artistique, du clip et du film d’animation. Des premières pochettes de disques du groupe AIR, à l’iconique clip animé « The Child » d’Alex Gopher, en passant par la pochette jaune vif de « SuperDiscount » d’Étienne de Crécy, ou encore à la réalisation d’identité visuelle de labels tels que Source, Solid, Diamond Traxx, et 20000ST, H5 s’est érigé en clé de voûte d’une avant-garde esthétique et musicale, celle de la French Touch. Destinée aux nostalgiques des dancefloor des années 90/2000, aux amoureux du graphisme, tout comme à un public plus large, cette exposition rend hommage à l’histoire du collectif parisien, à la lumière de 30 ans de collaborations artistiques et musicales, et pose un nouveau regard sur ce mouvement culte qu’est la French Touch.
Plongez dans l'univers artistique de l'exposition 'Dentelle Métallique' de Cédric Verdure au Centre culturel Les Digitales à Caden, en Bretagne. Participez à une balade artistique unique, mêlant art et nature sur le sentier du Grand Val. Découvrez les sculptures grillagées de l'artiste, offrant une expérience immersive sur la thématique de la rêverie. L'exposition est enrichie par les oeuvres photographiques de Karen Raccah, capturant les créations éphémères de Land Art. Ne manquez pas la causerie animée par l'artiste le 6 août pour en apprendre davantage sur ce mouvement artistique. Un livret vous guidera lors de votre marche, vous invitant à redécouvrir la nature sous un angle artistique nouveau.
Charlie Chine inscrit son travail dans des démarches participatives, qu’elle retranscrit au sein de ses expositions à travers des récits, des objets, des études qui prennent corps dans des installations, des sculptures, des dessins ou encore des vidéos. Anonymisant les participants, elle explore la mémoire de notre humanité, oscillant sans cesse entre l’individuel, l’intime, l’ordinaire, l’universel et le collectif. L’individu est pour elle, la variable, l’unique, le comparable. L’artiste décortique les habitudes de l’homme moderne et ses conditions d’existences, telles que sa culture, son travail, son éducation, le territoire qu’il occupe ou s’octroie. Elle exploite plastiquement ses recherches et ces données récoltées avec beaucoup de minutie et de précision. Elle cisèle du cuivre, capitonne une malle, tape à la machine… elle se fait l’artisan de son œuvre, et dépositaire d’une mémoire individuelle et collective. Donnant à voir nos habitudes parfois absurdes, parfois poétiques, son œuvre suscite curiosité, étonnement et amusement du visiteur. Pour son exposition au centre d’art, elle réactivera son œuvre « Les Chroniques du réel » avec la participation des habitants du territoire et présentera également plusieurs installations. //DÉCOUVRIR L'EXPOSITION// Mercredi > dimanche : 14h30 > 17h30 Fermé le 14 juillet, ouvert le 15 août //AUTOUR DE L'EXPOSITION// Vernissage · En présence de l’artiste Samedi 22 juin · 18h30 Ouvert à tous · Gratuit La visite guidée Dimanches 23 juin et 18 août · 15h30 Réservation conseillée · 45min · Gratuit