voici venu le temps de notre traditionnelle exposition collective estivale. Le
temps de (re)découvrir tous nos artistes à travers leurs nouveautés... et peut
être découvrir nos deux nouveaux artistes peintres: L.Pensard et A. Hommet.
Les toiles de J.Balitran sont à nouveau disponibles, les bronzes de M.H. Vallade
Huet sont bien arrivés, ainsi que les nouvelles toiles de D. Caudron et Krystoff
Antier, accompagnés des sculptures de D.Lorilleux.
A noter la galerie ferme pour congés annuels du 4 au 20 août inclus. Ouverture
uniquement sur rendez vous la semaine du 29 juillet au 3 août. Le reste de l'été
retrouvez nous à nos heures habituelles !
L'exposition personnelle de septembre sera consacrée aux toiles inédites de A.
Hommet. Tour à tour foisonnantes ou plus épurées, de belles découvertes en
perspective !
les Jardins ensorcelés
23oktober 2021
-07november 2021
Les Jardins de Brocéliande
Les Jardins de Brocéliande, Les Mesnils, Bréal-sous-Montfort, Ille-et-Vilaine 35310, France
Description
Halloween s’invite à Bréal-sous-Montfort... Pendant les vacances de la Toussaint, les Jardins de Brocéliande sont ensorcelés… Une étrange atmosphère s’installe : décors, effets de lumières et bruitages, l’esprit d’Halloween hante les espaces paysagers ! Enfants et adultes, soyez prêts à vivre des moments abominablement amusants !
Venue
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Suggested events
Plongez dans l'univers du graffiti à travers l'exposition 'Aérosol - Une
Histoire du Graffiti' au Musée des Beaux-Arts de Rennes. Découvrez l'évolution
de cet art de rue, de ses débuts dans les années 1960 jusqu'à nos jours.
Explorez l'usage créatif de la bombe aérosol à travers des oeuvres rares et
inédites de célèbres artistes tels que Blek le Rat, Jef Aérosol, Marie Rouffet
et bien d'autres. L'exposition met en lumière l'aspect pluriel et éphémère du
graffiti, souvent méconnu du grand public. Ne manquez pas cette immersion
captivante dans un mouvement artistique emblématique.
L'exposition 'Les lisières du Night Club (titre provisoire)' de l'artiste danois
Rasmus Myrup présente un ensemble de sculptures humanoïdes mêlant éléments
naturels, histoire sociale, mythologie nordique et postmodernisme. Ces
personnages mi-humains, mi-arbres, aux identités mouvantes, redessinent une
société possible sur les ruines de nos forêts et banlieues. Une leçon
d'optimisme dans un monde désespérant.
L'exposition 'Les lisières du Night Club' est la première exposition personnelle
de l'artiste danois Rasmus Myrus en France. Ses sculptures humanoïdes mêlent
éléments naturels, histoire sociale et mythologie nordique. En conteur et
magicien des postures, il donne vie à des personnages mi-humains, mi-arbres, des
êtres queers aux identités mouvantes. Une communauté interlope qui redessine les
contours d'une société possible, faite de singularités et de résistances. Les
personnages de Myrup sont une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.
Cet été, La Criée présente le Salon des refusé·es de Rasmus Myrup, première
exposition personnelle de l'artiste danois dans une institution fran?aise. Une
vingtaine de personnages, sculptures anthropomorphes extravagantes, attablés,
allongés, debout, seuls ou en groupe, occupent l'espace du centre d'art,
transformé en café/centre de soin : tableau facétieux et saisissant d'une
société décalée.
Les personnages de Rasmus Myrup sont issus du folklore danois, des traditions
orales sud-scandinaves et de la mythologie nordique. Il puise son inspiration
dans les nombreuses figures qui les composent, dont il réinterprète les
histoires, faisant preuve d'une imagination foisonnante. On retrouve parmi ses
figures, certains personnages principaux de la sphère magique, comme Gefion -
déesse des sols - ou Nisse - la « petite Barbie » originale des légendes
scandinaves et d'autres moins connus, mais pas moins importants.
Combinant passé et présent, l'artiste les ancre dans notre société postmoderne
et ses questionnements : ils interrogent notamment la normativité, l'ordre et la
morale établis et affichent leur singularité, leur sensualité, leur liberté
d'être.
Pour fabriquer ses sculptures, Myrup glane des objets naturels autant que des
objets manufacturés, issus des rebuts de la société de consommation, qu'il
assemble ensuite avec une extravagante virtuosité.
En formidable conteur, Myrup donne vie et épaisseur à des personnages
mi-humains, mi végétaux, des êtres complets, Queers et alliés aux identités
mouvantes et aux vies multiples, venus d'un temps tout autant préhistorique que
post-humain.
Cette communauté séparatiste, ce « salon des Refusés », redessine les contours
d'une autre société possible, faite de bric et de broc, de branches et de
strass, de likes et de lichen, de singularités et de résistances. Une société
qui pousse et s'épanouit, malgré tout, sur les ruines des forêts et des
banlieues embrasées.
La moitié des sculptures ont été produites et présentées à la biennale de
Göteborg en Suède à l'automne 2023, puis au centre d'art 1646, à La Haye, aux
Pays-Bas, début 2024. À La Criée, suite à deux résidences de création, Myrup y
ajoute une dizaine de nouvelles pièces, réalisées à partir de matériaux glanés à
Rennes et en Bretagne. Si ces nouvelles figures restent issues de l'imaginaire
nordique, ?à et là des détails et métissages bretons apparaissent.
À contre-courant du climat politique actuel où les patrimoines culturels et les
histoires communes deviennent des motifs de division et exclusion, les
personnages de Myrup célèbrent la diversité et le mélange. Ils sont comme les
champignons de la fin du monde d'Anna Tsing* : une le?on d'optimisme dans un
monde trop souvent désespérant.
* Anna Lowenhaupt Tsing, Le Champignon de la fin du monde : sur la possibilité
de vivre dans les ruines du capitalisme, trad. de l'anglais par Philippe
Pignarre, préf. par Isabelle Stengers, Paris, La Découverte/Les Empêcheurs de
penser en rond, 2017, 415 p.
Site web : https://www.la-criee.org/fr/30393-2/
La pratique artistique de Yoan Sorin prend la forme de peintures apposée sur
supports variés, de sculptures composées de matériaux divers, d'objets assemblés
puis peints, de performances impliquant son propre corps. Chaque élément
alimente voire contamine les autres de manière fluide, au sein d'installations
qui constituent des compositions en trois dimensions sans cesse renouvelées par
la déambulation. Habitées, ses expositions où la couleur est déterminante
baignent dans une atmosphère où la sérénité cohabite avec l'inquiétude.
Pour son exposition à 40mcube, Chronique de l'oubli, Yoan Sorin réalise de
nouvelles oeuvres qui jouent avec le temps. Comme une éphéméride, une peinture
en remplace une autre chaque semaine, tandis que des sculptures-métronomes ou
sabliers, comme les temps de performance, rythment l'exposition.
Jouant avec les mots, celui de chronique dans sa double signification, en tant
que récit chronologique et de quelque chose qui s'installe lentement mais
durablement, qu'il associe de manière contradictoire à l'oubli, Yoan Sorin
témoigne de l'urgence latente de notre temps.
Site web : https://www.40mcube.org/chronique-de-loubli/
Cet été, le centre d'art Les Digitales propose une immersion artistique en
extérieur au coeur d'une portion du sentier de randonnée du Grand Val. Une
balade balisée invitera à déambuler dans les paysages cadennais à la découverte
des sculptures grillagées de l'artiste Cédric Verdure. Son exposition "Dentelle
métallique? offrira une expérience sur la thématique de la rêverie et de l'art
dans la nature.
La balade sera ponctuée des oeuvres photographiques de Karen Raccah qui
immortalise quant à elle ses créations éphémères de Land Art. L'artiste animera
une causerie le mercredi 6 août pour éclairer les plus curieux autour de ce
mouvement artistique.
Un livret accompagnera les visiteurs pour guider leur marche et les inviter à
regarder la nature sous un prisme nouveau.
Une exposition du studio H5
AIR, Phoenix, Étienne de Crécy, Alex Gopher… Entre la fin des années 90 et le
début des années 2000, de jeunes musiciens participent activement à la French
Touch, courant musical qui va sidérer et secouer le monde. Au commencement, de
nombreux lycéens versaillais montent des groupes punk et new wave en s’inspirant
des groupes de rock alternatif comme les Négresses Vertes, Les Satellites ou
encore Oui Oui. Une partie d’entre eux découvrent alors les samplers et
synthétiseurs avec lesquels ils bricolent dans leurs chambres une musique
associant rythmes, sonorités électroniques et paroles en anglais. Ils posent
ainsi les bases de la French Touch.
Fondé par Ludovic Houplain et Antoine Bardou-Jacquet en 1994, H5, qui fête cette
année ses 30 ans, s’est imposé depuis ses débuts comme un laboratoire créatif au
carrefour du graphisme, de la direction artistique, du clip et du film
d’animation. Des premières pochettes de disques du groupe AIR, à l’iconique clip
animé « The Child » d’Alex Gopher, en passant par la pochette jaune vif de «
SuperDiscount » d’Étienne de Crécy, ou encore à la réalisation d’identité
visuelle de labels tels que Source, Solid, Diamond Traxx, et 20000ST, H5 s’est
érigé en clé de voûte d’une avant-garde esthétique et musicale, celle de la
French Touch.
Destinée aux nostalgiques des dancefloor des années 90/2000, aux amoureux du
graphisme, tout comme à un public plus large, cette exposition rend hommage à
l’histoire du collectif parisien, à la lumière de 30 ans de collaborations
artistiques et musicales, et pose un nouveau regard sur ce mouvement culte
qu’est la French Touch.
Plongez dans l'univers artistique de l'exposition 'Dentelle Métallique' de
Cédric Verdure au Centre culturel Les Digitales à Caden, en Bretagne. Participez
à une balade artistique unique, mêlant art et nature sur le sentier du Grand
Val. Découvrez les sculptures grillagées de l'artiste, offrant une expérience
immersive sur la thématique de la rêverie. L'exposition est enrichie par les
oeuvres photographiques de Karen Raccah, capturant les créations éphémères de
Land Art. Ne manquez pas la causerie animée par l'artiste le 6 août pour en
apprendre davantage sur ce mouvement artistique. Un livret vous guidera lors de
votre marche, vous invitant à redécouvrir la nature sous un angle artistique
nouveau.
Charlie Chine inscrit son travail dans des démarches participatives, qu’elle
retranscrit au sein de ses expositions à travers des récits, des objets, des
études qui prennent corps dans des installations, des sculptures, des dessins ou
encore des vidéos. Anonymisant les participants, elle explore la mémoire de
notre humanité, oscillant sans cesse entre l’individuel, l’intime, l’ordinaire,
l’universel et le collectif.
L’individu est pour elle, la variable, l’unique, le comparable. L’artiste
décortique les habitudes de l’homme moderne et ses conditions d’existences,
telles que sa culture,
son travail, son éducation, le territoire qu’il occupe ou s’octroie. Elle
exploite plastiquement ses recherches et ces données récoltées avec beaucoup de
minutie et de précision. Elle cisèle du cuivre, capitonne une malle, tape à la
machine… elle se fait l’artisan de son œuvre, et dépositaire d’une mémoire
individuelle et collective. Donnant à voir nos habitudes parfois absurdes,
parfois poétiques, son œuvre suscite curiosité, étonnement et amusement du
visiteur.
Pour son exposition au centre d’art, elle réactivera son œuvre « Les Chroniques
du réel » avec la participation des habitants du territoire et présentera
également plusieurs installations.
//DÉCOUVRIR L'EXPOSITION//
Mercredi > dimanche : 14h30 > 17h30
Fermé le 14 juillet, ouvert le 15 août
//AUTOUR DE L'EXPOSITION//
Vernissage · En présence de l’artiste
Samedi 22 juin · 18h30
Ouvert à tous · Gratuit
La visite guidée
Dimanches 23 juin et 18 août · 15h30
Réservation conseillée · 45min · Gratuit