Entrée gratuite et accessible à tous.
Sur scène, improvisation collective ouverte aux musiciens ayant des
connaissances suffisantes dans leur instrument et dans les grilles du blues.
Les 150 ans de Jongen
Description
Comme Serge Rachmaninov et Max Reger, le Liégeois Joseph Jongen aurait eu 150 ans en 2023. Quatre organistes nous emmènent à la redécouverte de son œuvre pour orgue, marquée tour à tour par le romantisme, l’impressionnisme et le modernisme.
Concert organisé dans le cadre de la Fête de l'Orgue 2023.
PAF libre.
Classic
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TICKETS DISPONIBLES LUNDI 19 FÉVRIER À 11H
YANSO X BOUBZ
Boub’z a vécu des épreuves marquantes avant se de lancer corps et âme dans le
monde du rap. En passant par la fuite de la guerre civile au Rwanda et
l’emprisonnement en Belgique, c’est à travers la musique qu’il exprime
aujourd’hui sa vision du monde.
De son côté, Yanso, originaire de Bruxelles, agit comme porte parole de certains
quartiers et exprime son amour de sa ville à travers ses textes.
Forts de leurs précédents projets accompagnés de grands noms de la scène rap
francophone comme ZKR, ElGrandeToto ou encore Frenetik, les deux rappeurs
décident aujourd’hui d’unir leurs univers et leurs identités pour créer
«Fantômes», un projet de 8 titres disponible depuis le 19 janvier 2024 sur
toutes les plateformes.
Hubs & Flak s’associent pour accueillir Limsa d’Aulnay & Absolem au Reflektor le
27 avril, l’occasion de découvrir en live le nouveau projet d’Absolem, « Les
yeux grands fermés ».
Vous pourrez aussi découvrir en avant-première la Flak Absolem, une bière
brassée en collaboration avec Absolem, FlakBeer & la Brasserie C
Le projet « Hubs » est organisé par La Centrale Son depuis 2021. Au cours d’une
série d’ateliers, des artistes émergents issus de la Fédération
Wallonie-Bruxelles collaborent, dans un esprit d’apprentissage et de création
collectifs, avec l’aide d’artistes confirmés.
LIMSA D'AULNAY
Véritable enfant d’Aulnay-sous-Bois (93) Salim Ghebache aka Limsa d’Aulnay fait
ses premiers pas dans le rap à 16 ans se faisant un petit nom dans son quartier
(Cité Emmaus) et dans sa ville. Il rencontre son futur grand ami Georgio en 2010
qui l’invitera sur le légendaire Grünt #11 et lui présentera la 75e Session. 7
ans et 31 Grünt plus tard, il revient en 2020 avec sa Grünt #42 avant de sortir
Logique 1 et Logique 2 la même année. Fort du succès d’estime des deux premiers
volets, il sort LOGIQUE 3 en 2022 pour clôturer la TRILOGIQUE. Savant mélange de
technique de second degré et de textes très personnels, il annonce la sortie
d’un album commun avec ISHA “Bitume Caviar” le 1er décembre 2023.
ABSOLEM
Rappeur bruxellois d’origine liégeoise, fait partie de cette nouvelle génération
de la scène belge à la technique maitrisée et au charisme assuré. Très tôt, il
est repéré pour son amour de la rime percutante, sa voix grave et ses flows
efficaces sur une multitude de freestyles plébiscités, avant de développer ses
atouts sur 4 premiers projets. A l’aise sur scène comme en studio, il enflamme
son public à chaque passage et sait comment faire de chaque concert un moment
unique. Absolem viendra présenter son nouveau projet « Les yeux grands fermés »,
qui sortira le 29 mars 2024.
* https://www.facebook.com/absolemMC
* https://www.instagram.com/absolem__hs/
* https://www.youtube.com/results?search_query=absolem
TUSSY
Rappeur membre du collectif O’B League. En constante recherche de la meilleure
version de lui-même, sa zone de confort est un endroit qu’il n’a plus l’habitude
de fréquenter. L’artiste belge propose des morceaux originaux aux sonorités
modernes et variées. Sa musique est comparable à sa personnalité : une force
tranquille en quête d’aventure.
* https://www.facebook.com/tussy.original
* https://www.instagram.com/tussy.original/
* https://www.youtube.com/@tussy.original
US THE MOB
* https://www.instagram.com/usthemob/
Trois femmes, trois musiciennes, trois belges, unies par leur passion commune
pour la musique de chambre. Elles se sont rencontrées
lors de leurs études à l’Institut Royal Supérieur de Musique et de Pédagogie
(IMEP) à Namur. Dans nos rêves comme dans ceux des grands compositeurs
francophones, tout est possible. On peut être transporté vers le pays des
Mille et Une Nuits comme se retrouver dans la Grèce antique au temple d’Adonis.
On peut y écouter le chant paisible des bergers mais la chanson la plus
charmante est celle des amours. Par ces différentes mélodies françaises, nous
vous proposons un cheminement au cœur de ces passions. À travers la musique, une
rencontre se fait, mais l’amour naissant n’est pas toujours rempli de joie… On y
connaît, à travers les saisons, des peines et des pleurs, même si, entre deux
baisers, tout chagrin est oublié.
Blue Steam c’est d’abord la réunion d’élèves de l’Ecole du Blues-sphere, devenus
amis sur scène et bien décidés à montrer leurs capacités artistiques. C’est
aussi des femmes et des hommes, de tous âges, séduits par cette musique des âmes
que transporte le blues depuis un siècle et demi.
Leur joie de partager des moments intenses ne manquera pas de vous réjouir
également. Ils se succéderont en petits combos sur la scène du Blues-sphere.
Chant : Caroline Danloy, Cigdem Yonder, Hélène Gloesener, Paola Cannella,
Pascale Fichers, Alan Kabangu,
Chant et harmonica : Christiane Schyns
Chant et guitare : Maurice Chefneux
Chant et guitare : Samy Kouki
Guitare : Clément Baghi, Luc Doms, Christopher Corin
Basse : Françoise Ketser, Philippe Franssen
Batterie : Francesca Pagano, Marcello Grella
Paf 9€
Peppe Voltarelli est un chanteur, auteur-compositeur, acteur et écrivain
calabrais. Actif depuis 1990 en tant que fondateur, voix et leader de “Il Parto
delle Nuvole Pesanti”, un groupe culte du nouveau folk italien. En tant que
soliste, il a sorti sept albums, quatre bandes originales et deux albums live.
Il a remporté trois fois le Targa Tenco, avec « Ultima notte a Malá Strana » en
2010 comme meilleur album en dialecte, avec « Voltarelli canta Profazio » en
2016 et avec « Planetario » en 2021, tous les deux comme meilleur album
d’interprète. Il a été l’acteur principal et co-auteur du film “La vera leggenda
di Tony Vilar” de Giuseppe Gagliardi, le premier mocumentary italien. Il a
collaboré avec Claudio Lolli, Teresa De Sio, Sergio Cammariere, Otello Profazio,
Roy Paci, Carmen Consoli, Bandabardò et Amy Denio. Une intense activité de
concert l’a toujours amené à jouer dans 23 pays à travers le monde et ses albums
ont été publiés en Europe, en Argentine, au Canada et aux États-Unis. La
dernière œuvre, l’album “La grande corsa verso Lupionòpolis”, a été enregistrée
à New York et publiée par Visage Music en 2023.www.peppevoltarelli.euRéservation
:
TICKETS DISPONIBLES LE 21 FÉVRIER À 11H
DOUBLE AFFICHE EXCEPTIONNELLE POUR LE REFLEKTOR
MR GISCARD
Il s’appelle monsieur Giscard. Il n’a jamais été centriste, ni président, et
sûrement n’a développé aucun tropisme pour les diamants. Mais comme son prénom
est Valery, il fut un temps où lorsque ses interlocuteurs lui demandaient la
nature d’un tel prénom masculin, le jeune homme avait pour habitude de répondre
: « Valery ? Comme le président ». Du coup c’était presque devenu naturellement
un nom composé et c’est ainsi resté. Gonflé, c’est aussi une manière de
s’attribuer une carte d’identité qui atteste d’une volonté de mettre de la
distance et du décalage en toute chose. Monsieur Giscard, contrairement à son
illustre roi républicain, a de quoi tenir ses promesses avec ce premier
programme musical de cinq titres qui pourrait bien provoquer une révolution de
velours dans le monde de la chanson française. L’art du décalage est partout
chez ce jeune homme de 28 ans, ultra séduisant par sa nonchalance masculine et
sa candeur virile.
JOANNA
Depuis la sortie en 2018 de son premier morceau “Séduction”, Joanna s’est
affirmée comme une voix à la fois puissante et éthérée de la nouvelle scène pop
française. Autodidacte et touche-à-tout, l’artiste, originaire de Rennes, s’est
depuis fait remarquer grâce à Vénus, un premier EP entre mythologie, féminisme
et R’n’B, et Sérotonine, un premier album narratif qui emmenait ses auditeurs et
auditrices dans toutes les étapes d’une relation amoureuse, du premier regard à
la déchirure, ainsi qu’à la renaissance. Aujourd’hui, elle revient avec WHERE IS
THE LIGHT ?, un deuxième album au récit plus autobiographique. Plus intime et
ancré, il marque un changement musical dans le parcours de Joanna.
De l’ombre à la lumière
C’est au cœur d’une dépression que WHERE IS THE LIGHT ? voit le jour. Il faut
garder cette information en tête à l’écoute de cet opus, baigné dans une
atmosphère singulière qui opère comme un remède nécessaire pour apaiser nos
maux. WHERE IS THE LIGHT ? est imaginé comme un diptyque entre les ténèbres et
la splendeur. Ou plutôt, comme un chemin, qui part des Enfers (citées dans
“FIGHTING”, morceau d’empowerment par excellence), pour finir au-dessus des
étoiles. Tout au long du disque, les morceaux les plus aériens, quasiment conçus
comme des berceuses (comme “RÊVERIE” dont le piano, couplée au chant mystique de
Joanna, ont un effet réparateur) laissent place à des chansons d’une intensité
haletante, à l’image de “MÉTA DEUIL” et sa production hyperpop qui nous attrape
et ne nous lâche pas.
Entre l’acoustique et l’électronique, WHERE IS THE LIGHT ne choisit pas. Ou
plutôt, il choisit les deux, et apprend à les fondre ensemble, dans des suites
d’accords tantôt vaporeux, tantôt acérés. Au piano succèdent les violons, puis
les rythmiques rock et même techno, en passant par les synthétiseurs vintage
choisis pour l’enregistrement de l’album. Rien n’a été laissé au hasard,
jusqu’au moindre glitch : « Les rythmiques choisies sont puissantes, c’est
pourquoi nous avons mixé beaucoup de batteries acoustiques avec des sonorités
très électroniques, pour donner rendre les émotions physiques » déclare Joanna à
propos des choix de production.
Rester authentique
À la première écoute, difficile d’ignorer que WHERE IS THE LIGHT ? transpire
d’honnêteté. Là où Sérotonine imaginait le récit chronologique d’une histoire
d’amour fictive, WHERE IS THE LIGHT ? est une œuvre complètement
autobiographique, née du regard que l’artiste a osé poser sur elle-même, au cœur
d’une période trouble. En partant de l’intime, Joanna raconte l’universel.
L’histoire d’une reconstruction, ses hauts et ses bas, qui paraissent parfois
insurmontables : « Je me suis retrouvée face à moi-même, et j’ai dû sortir de
l’ombre pour rester en vie. C’est ce que raconte l’album : comment retrouver la
lumière par soi-même ».
Pour ce faire, elle est pour la première fois dans son parcours, pleinement
impliquée dans la composition et la production des titres. Après des années
passées à observer les autres, à y toucher, un peu, de loin, Joanna s’est
engouffrée dans les affres de la création musicale, afin de pouvoir prendre
toutes les décisions par elle-même. En résulte 14 morceaux aux productions
électroniques et acoustiques, parfois ultra-présentes et impérieuses, comme sur
“L’ORAGE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI FORT”, mais aux mélodies qui savent aussi se faire
plus discrètes pour laisser la voix se déployer. C’est notamment le cas du
morceau “CE N’EST PAS SI GRAVE”, qui affirme le statut de vocaliste de Joanna,
tout en exorcisant ses traumatismes.
WHERE IS THE LIGHT ? est un parcours semé d’embûches, emblème de la résilience,
du lâcher prise et de l’acceptation. Il marque ainsi la renaissance d’une
artiste qui a su regarder au plus profond d’elle-même pour faire naître une
œuvre pleines de nuances, à écouter jusqu’à l’extase.
11 ans après leur dernière scène en Belgique, le groupe iconique La Rumeur est
de retour en Belgique pour un concert exceptionnel à Bruxelles !
Depuis le 1er Volet (1997) jusqu’à leur dernier album Comment rester propre ?
(2023), La Rumeur a toujours pris à contre-pied les schémas habituels dictés par
l’industrie du disque. Leur discographie s’articule sur la base d’un triptyque
et cinq albums, le tout articulé de plusieurs petites tournées.
Rendez-vous le 26 avril à BXL Central [Chez Pias] avec le groupe qui entamera la
deuxième partie de leur tournée. La première partie du concert sera assurée
par Melfiano qui sort son nouveau projet Black Album, ainsi que nos DJ locaux
Mr. Rens et Nuts.
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/?lng=fr]
JOHAN DUPONT TRIO
On peut l’affirmer : le trio formé par le pianiste Johan Dupont, la bassiste Bo
Waterschoot et le batteur et percussionniste Stephan Pougin promet une soirée
riche en émotions.
Pianiste de formation classique, Johan Dupont a étudié la musique improvisée
avec Garett List au Conservatoire de Liège, et le jazz avec Eric Legnini au
Conservatoire Royal de Bruxelles. Improvisateur curieux et ludique, d’une
aisance jamais démonstrative, il a notamment accompagné le guitariste manouche
Samson Smith et les chanteuses lyriques Julie Mossay et Sarah Laulan.
Passée elle aussi par le Conservatoire Royal de Bruxelles et la classe de Michel
Hatzigeorgiou, puis par le prestigieux Musician Institute de Los Angeles, Bo
Waterschoot est une authentique surdouée de la basse sous toutes ses formes. On
a pu la voir accompagner des artistes aussi divers que Urban Trad, Sébastien
Duthoit, Bruno Castellucci ou Sophie Cavez, pour n’en citer que quelques-uns,
dans des répertoires allant du folk au contemporain en passant par le jazz, la
pop, le métal, le rock, et la musique brésilienne.
Ancien élève de la légende du jazz Billy Hart et de Georges-Elie Octors (qui
dirigea l’ensemble Musiques Nouvelles), Stephan Pougin est quant à lui un
percussionniste éclectique, rétif aux frontières musicales, ce dont témoigne une
carrière déjà riche de très nombreuses collaborations, de Tuur Floorizone à
Panta Rhei, de Steve Houben à Mikis Théodorakis, de la musique baroque au jazz,
ou du folk à la Bossa Nova.
On l’aura compris, ces trois-là ne sont pas de ceux que les mélanges et les
métissages effraient. Les compositions inclassables de Johan Dupont explorent,
avec délicatesse, un espace musical baigné d’enfance et de nostalgie, peuplé des
souvenirs doux-amers d’un paradis perdu, là où tout était possible, où rien ne
manquait. C’est bouleversant et lumineux. Il fallait bien trois artistes aussi
intrépides que sensibles pour se risquer sur pareil territoire.
Le concert accompagne la sortie du très attendu premier album du trio qui sort
sur le label Flak Records (distribution PIAS).
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be]
JEWEL USAIN
Qu’est-ce qu’il reste à faire après avoir fini le mode difficile d’un jeu ?
C’est la question à laquelle s’est confronté Jewel Usain après la sortie de son
dernier projet, “Mode Difficile”, en 2021. Sa réponse s’illustre dans un premier
véritable album de 17 titres, intitulé “Où les garçons grandissent”. Le jeune
garçon Jewel Usain a grandi à Argenteuil en banlieue parisienne. Passionné de
musique, il devient lui-même artiste, actif et présent sur la scène rap français
dès le milieu des années 2010. Son dernier projet lui a permis de s’inscrire
définitivement sur la carte. Il y évoquait la difficulté d’une vie salariée dont
il cherchait à s’échapper. Une autre époque.
Comme si la manette avait été rangée au fond d’un tiroir, “Où les garçons
grandissent” est une véritable mise à jour de la proposition artistique de Jewel
Usain. Porté par des arrangements de qualité et une narration solide, cette
oeuvre cohérente suit la démarche sincère d’un artiste en pleine évolution qui
nourrit l’ambition de s’installer sans rougir dans la pile de ces grands albums
de cette nouvelle génération de rap français. C’est notamment entre les mains de
Rémy Béseau, compositeur multi-talents présent sur la majorité de l’album, que
la couleur musicale qu’il souhaitait s’est illustrée. Loin de s’en tenir au rap
qu’il maîtrise parfaitement, Jewel Usain s’essaie avec brio sur des terrains qui
nécessitent précision et sensibilité : où on le découvre aussi à l’aise sur des
couleurs neo-soul et R&B que sur des véritables harmonies de gospel. À ses
côtés, c’est naturellement que se croisent les voix de MC élégants comme Prince
Waly, Tuerie ou le chanteur HEDGES.
“Où les garçons grandissent”, c’est l’album d’une confirmation : celle du talent
de Jewel Usain. Il y fait autant briller sa rage et son esprit de revanche, que
ses réflexions et ses émotions. Après avoir traversé le mode difficile, il
s’installe dans un mode plus serein, et propose avec cet album une musique avec
laquelle son public est voué non seulement à grandir aussi, mais surtout, à
s’agrandir.
FERDI
Ferdi est un artiste saxophoniste, figure montante de la scène
Bruxello-Parisienne ces dernières années il habite dans la capitale Belge et est
originaire de France. Après un parcours de 15 années de conservatoire, il décide
de s’intéresser à la production, devient très vite un acteur de la scène
actuelle et lance son projet solo. Sa carrière sur la scène moderne commence
avec le rappeur Peet, et très vite il collabore avec d’autres artistes tel que
le pianiste Sofiane Pamart, le roi de la funk Dabeull ou encore son ami
trompettiste Béesau. Après un premier EP solo « Val Duchesse » très bien reçu
par la critique, il décide de collaborer avec Dabeull sur un album à la
frontière entre leur deux univers. Cette rencontre musicale devient très vite
une évidence, dont on peut se délecter sur l’album “Romance” paru le 8
septembre.
* https://www.instagram.com/ferdileem/