Le Monfort Théâtre, situé dans le 15e arrondissement, nous conte son histoire à
travers des visites guidées à l'occasion des Journées du Patrimoine 2022, le
samedi 17 septembre.
Pour les adeptes de visites exceptionnelles, les Journées du Patrimoine sont
faites pour vous ! Les samedi 17 et dimanche 18 septembre 2022, des centaines
d'événements sont prévus partout en France et en Europe pour fêter la 39e
édition de cette manifestation unique. Durant ce week-end, la plupart des lieux
culturels seront ouverts au grand public. C'est l'occasion de partir
gratuitement à la découverte de musées, cinémas et monuments de votre ville.
Certains lieux habituellement fermés au public pourront même être visités.
Qu'est-ce que vous attendez ?
Amis du théâtre et simples curieux, rendez-vous au Monfort Théâtre, dans le
15ème arrondissement pour la 39e édition des Journées du Patrimoine ! Si depuis
2009 le Monfort Théâtre est dédié à la création contemporaine, à la découverte
et la mise en lumière des talents émergents, cela n'a pas toujours été le cas !
En effet, le lieu accueillait autrefois des vignes, puis un abattoir ainsi qu'un
marché aux chevaux ou encore un cirque ! Bref, l'histoire du Monfort Théâtre est
on ne peut plus riche et elle n'aura bientôt plus de secrets pour nous !
Le programme des Journées du Patrimoine 2022 :
Aucun événement annoncé à ce jour
Le Monfort Théâtre
Venue
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There’s no upcoming events
Past events
Georges est projectionniste d'un petit cinéma de quartier. Chaque soir il
projette son film préféré Flashman sauve le monde. En cabine, les choses ne se
déroulent pas comme prévu. Georges renverse son café et provoque un
court-circuit faisant disjoncter le projecteur. L'impensable se produit :
Georges vient d'être téléporté dans la peau de son super héros préféré :
Flashman. Aujourd'hui, lorsqu'on allume la télé on a l'impression de vivre dans
un mauvais film de science fiction. L'heure est venue d'appeler un justicier à
la rescousse ! Ce super-héros, c'est Georges et il va sauver le monde ! Dans une
métaphore des problèmes que rencontrent nos sociétés modernes face aux
gouvernements ultra-sécuritaires, à l'industrie du tout numérique ou encore au
capitalisme de surveillance, bienvenue dans ce conte moderne aux confins des
mythologies Marvel. DISTRIBUTION Mise en scène Jeanne FRENKEL et Cosme CASTRO
Comédiens Grégoire TACHNAKIAN et Edith PROUST Musique composée et jouée en live
par Lou Rotzinger Chanson composée et interprétée par Flore BENGUIGUI Musique
enregistrée par Joseph Chedid Avec la participation à l'écran de Vincent
MACAIGNE, Flore BENGUIGUI, Sigrid BOUAZIZ, Pascal Reneric, Jennifer DECKER,
Stanley WEBER, Richard SAMMEL, Benoit DALLONGEVILLE, Julien CAMPANI, Basile
LACOEUILHE, Matthieu DESSERTINE, Léo POULET, Vladimir SEGUIN Image - chef
opérateur Hovig HAGOPIAN Directeur technique Xavier LESCAT Régie plateau Pierre
FRENKEL Technicien vidéo Mathieu DUTHILLEUL Ingénieur son Charline DE CAYEUX
Costumes Nathalie SAULNIER Administration - Production Paul DES LYONS
Il sera question de cinéma, du grand jeu concours de l'été, d'apocalypse, de
journaux à petits tirages, de cailloux, de hyènes et d'âme. Alors si vous
préférez le soleil à la lune, le majeur au mineur, le goût à la fadeur, et bien
soit et adieu. Ce spectacle est librement inspiré de la nouvelle Les Dimanches
de Jean Dézert écrite par Jean de La Ville de Mirmont. En 1914, avant de mourir
dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, alors âgé de 27 ans, il écrit
une courte nouvelle sur, dit-il, rien. Histoire d'un homme, employé dans un
quelconque bureau, au sein d'un quelconque ministère, qui n'a d'autre ambition
que de vivre pleinement ses dimanches. Dimanche, jour d'aventure par excellence,
protégé par l'article 2 de la loi du 13 juillet 1906 qui garantit à chacun de
pouvoir faire comme tout le monde. Et si Lionel Dray, qui adapte et joue ce
spectacle, ne suit pas à la lettre le programme de son personnage, il sait
délicieusement en capturer l'humour désenchanté.
« Alors voilà, je voulais faire une conférence Une gentille petite conférence
Quelque chose de léger Sur un sujet consensuel Mais qui soit aussi une critique
sociale Avec de l'engagement politique mais pas trop Qui critique le
consumérisme effréné et l'ultra libéralisme Bref je voulais faire un objet
culturel. Je voulais faire une conférence sur une basket Nike mais très vite il
m'est apparu impossible de combler la distance que je découvrais entre le
langage dont je disposais et la réalité de du du du réel. La conférence échoue,
les conférenciers tâtonnent comme des aveugles le long d'un mur, errent à la
recherche d'une bribe de sens, le diktat du cynisme et de l'indifférence rend
risible toute tentative de pensée Le commentaire du commentaire du commentaire
rend l'objet d'étude insaisissable. J'aurais pu opter pour la révolte, mais "se
révolter aujourd'hui c'est courir à sa perte", se condamner à l'isolement ou
devenir un saboteur et être traité comme tel. Il ne restait qu'une perspective :
La Fuite ». DISTRIBUTION De et avec Laurent Papot Création vidéo Maxime Kathari
Mixage son Nikolas Javel
Notre histoire est un spectacle pour deux interprètes et deux Intelligences
Artificielles qui interroge l'antisémitisme et nos identités troubles à travers
le prisme d'une relation amoureuse (réelle). Stéphane est juif séfarade et Jana
est allemande. Quand ils se rencontrent en 2008, il la croit juive ashkénaze.
Malgré ce quiproquo de départ, ils vivent ensemble depuis 10 ans et ont une
enfant. Aujourd'hui, leur fille de 9 ans les oblige à un check-up identitaire.
Avec Notre histoire , ils tentent de mettre en jeu leur mémoire approximative et
de se confronter aux questions de leurs origines, de la Shoah et à
l'antisémitisme qui persiste. PRESSE Le sujet était sacrement périlleux. Et
pourtant Jana Klein et Stéphane Schoukroun, en couple à la ville comme à la
scène, s'en sortent haut la main, forts de la sincérité de leur démarche et de
la justesse de leur positionnement respectif. (...) On rit beaucoup contre toute
attente dans ce spectacle grave nourri à la source d'une intimité qui se
frictionne à sa propre histoire autant qu'à la grande. Marie Plantin, Théâtre(s)
Une partition tout en nuances, à découvrir. (...) L'ensemble compose une quête
tenace entre réalité et fiction, traversée d'humour, questionnant sans relâche
ce qui fait transmission, à la fois au présent par la projection affective et
symbolique que propose le couple... Agnès Santi, La Terrasse DISTRIBUTION
conception, écriture et jeu Stéphane Schoukroun et Jana Klein assistanat
Baptiste Febvre regard dramaturgique Laure Grisinger collaboration artistique C
hristophe Lemaitre scénographe/plasticienne Jane Joyet conception lumières
Léandre Garcia Lamolla créateur sonore Pierre Fruchard création vidéo Frédérique
Ribis conseiller intelligence artificielle Nicolas Zlatoff
administration/production Clara Duverne diffusion Olivier Talpaert et En Votre
Compagnie presse/relations extérieures Olivier Saksik et Manon Rouquet
Entre onirisme et réalité, Dimanche dépeint le portrait d'une humanité en total
décalage avec son époque, saisie par le chaos des dérèglements climatiques. Une
famille s'apprête à passer un dimanche à la maison. Malgré les murs qui
tremblent, un vent à décorner les boeufs et le déluge dehors qui ne semble en
être qu'à son échauffement, la vie suit son cours. Autour d'eux tout se
transforme et s'effondre, on voit alors se déployer la surprenante inventivité
de l'être humain pour tenter de préserver son quotidien jusqu'à l'absurde. Au
même moment, sur les routes, parcourant le monde, une équipe de reporters
animaliers prépare un documentaire témoignant de la vie des dernières espèces
vivantes sur Terre. DISTRIBUTION Écriture et mise en scène : Julie Tenret,
Sicaire Durieux, Sandrine Heyraud Interprétation : Julie Tenret, Sicaire
Durieux, Sandrine Heyraud en alternance avec : Muriel Legrand, Thomas
Dechaufour, Shantala Pèpe ou Christine Heyraud Regard extérieur : Alana Osbourne
Marionnettes : Joachim Jannin (WAW Studio!) et Jean-Raymond Brassinne
Collaboration Marionnettes : Emmanuel Chessa, Aurélie Deloche, Gaëlle Marras
Scénographie : Zoé Tenret Construction décor : Zoé Tenret, Bruno Mortaignie (LS
Diffusion), Sébastien Boucherit, Sébastien Munck Création lumière : Guillaume
Toussaint Fromentin Création sonore : Brice Cannavo Réalisation vidéo et
direction photographique : Tristan Galand 1er assistant camera : Alexandre
Cabanne Chef machiniste : Hatuey Suarez Prise de vue sous-marine : Alexandra
Brixy Prise de vue vidéo JT : Tom Gineyts Post-production vidéos : Paul Jadoul
Sons vidéos: Jeff Levillain (Studio Chocolat-noisette) et Roland Voglaire (Boxon
Studio) Aide costumes : Fanny Boizard Régisseur général : Léonard Clarys
Régisseurs : Léonard Clarys avec Isabelle Derr ou Hugues Girard ou Guillaume
Toussaint Fromentin.
D'APRÈS LORENZACCIO D'ALFRED DE MUSSET En transposant Lorenzaccio d'Alfred de
Musset, la compagnie L'Heure Avant l'Aube (rejointe par des anciens Chiens de
Navarre) nous invite à plonger dans les milieux du pouvoir, mais aussi dans
notre part sombre et pulsionnelle. Les personnages sont arrachés aux dorures de
la Renaissance pour être placés sous les ors de la République et sur la moquette
des bureaux de Bercy, foulée par les puissants d'aujourd'hui. Lorenzaccio était
prêt à mourir pour ses idées et fut lynché pour ses actes. Il endosse dans cette
mise en scène brute la figure sacrificielle du lanceur d'alerte. Une intrigue
sulfureuse dont se serait régalé Musset s'il s'était abonné aux plateformes de
streaming. Un humour cinglant qui réjouira le spectateur, mais fera trembler
l'électeur. Un monde désespérant, mais, peut-être aussi, prêt à se fissurer de
l'intérieur, pour peu qu'on y porte l'espoir, et son petit couteau. DISTRIBUTION
librement inspiré de Lorenzaccio, d' Alfred de Musset de et avec : Céline
Fuhrer, Gaëtan Peau, Matthieu Poulet, Jean-Luc Vincent Scénographie : François
Gauthier-Lafaye Costumes : Elisabeth Cerqueira Création sonore : Isabelle Fuchs
Création lumière et régie générale : Philippe Sazerat Musique originale :
Christophe Rodomisto
Issus de la nouvelle génération du cirque québécois, les quatre artistes du
Cirque Barcode livrent un spectacle d'une technicité impressionnante, utilisant
l'acrobatie comme catalyseur de leurs multiples questionnements autour de la
mémoire. De Sueur & d'Encre met en scène quatre histoires entrecroisées où
chaque protagoniste livre son morceau de vie imaginaire à travers une discipline
de cirque :cerceau aérien, boîtes à cigares, barre russe, main à main Ici, la
prouesse technique de ce quatuor virevoltant se fond harmonieusement avec le
propos du spectacle, qui nous interroge sur le rôle de la mémoire dans la
construction de notre identité. Face au stockage presque infini de la
technologie, quel est notre droit à l'oubli ? Remarquable, à vif, en pagaille,
drôle et poignant, c'est un spectacle à vous faire rire, pleurer, sursauter, à
vous émerveiller, et surtout à vous couper le souffle. PRESSE Ne vous y trompez
pas, ce sont des artistes primés qui sont parmi les meilleurs. Il suffit
amplement de les voir faire ces exploits qui repoussent les limites... Broad
Street Review Flirtant avec la perfection et débordant d'a�, ils nous offrent
des acrobaties, des portés, des sauts sur barre russe qui nous font frémir et
suscitent notre plus grande admiration. Le Progrés DISTRIBUTION artistes
Alexandra Royer, Êve Bigel, Éric Bates, Tristan Nielsen dramaturge, metteur en
scène et scénographe Jean-Pierre Cloutier compositrice Betty Bonifassi créateur
lumière Arnaud Belley-Ferris Production et Diffusion Quartier Libre Productions
Ce n'est pas une femme, c'est une apparition. On pourrait appliquer à Viviane
ces mots d'Antoine Doinel dans Baisers volés à propos de sa fée Fabienne Tabard.
Viviane est une triple apparition. D'abord un roman de Julia Deck, Viviane
Elisabeth Fauville, paru en 2012. Puis un film avec Marie Denarnaud tourné dans
Paris en 2019 par Mélanie Leray. Enfin un projet scénique avec la même actrice
dans lequel roman, cinéma et théâtre ne font plus qu'un. Cette aventure, Mélanie
Leray l'a voulue. Admirative de l'oeuvre, elle s'est emparée de la Viviane de
Julia Deck - la quarantaine, seule avec son bébé, séparée, larguée, flippée,
perturbée et persuadée d'avoir tué son psy -, l'a transformée au service d'un «
processus filmique en direct » où théâtre et film se donnent à voir en
simultané. Cette expérience de fusion, particulière à Mélanie Leray, a pour
effet de jouer sur l'écart entre réalité et fantasme, de rapprocher et rendre
infiniment attachant un personnage de fiction. DISTRIBUTION D'après le roman de
Julia Deck , Viviane Elisabeth Fauville , publié aux Éditions de Minuit
Adaptation : Mélanie Leray avec la participation de Claire ingrid Cottanceau et
Marie- Pomme Carteret Avec Marie Denarnaud Et à l'image Christian Colin, Muriel
Combeau, Hafsia Herzi, Elina Löwensohn, Marcel Mankita, Philippe Marteau, Céline
Martin-Sisteron, Anaïs Muller, Ronan Rouanet, Airy Routier, Jean-Philippe Vidal
et le bébé, Aénor Marie Creissels Éclairagiste François Menou / Régisseur
général et lumière François Rault / Conception et régie vidéo Cyrille Leclercq /
Cadreuse Clémence Lesné / Conception et régie son Jérôme Leray / Musique
originale Yann Crépin / Assistante à la mise en scène Lorraine Kerlo Auregan /
Scénographie Vlad Turco, Alain Burkarth, Mélanie Leray / Construction Alain
Burkarth / Costumes Laure Maheo / Sculpture Romain de Souza / Régisseurs
résidences Joël L'Hopitalier, Sylvain Marchal et Tugdual Tremel Administration,
Production Martin Lorenté / Cyclorama Assistants à la production Claire Macchi,
Andrew Huart
Sébastien Barrier célèbre ses héros : son père, le poète Georges Perros, un curé
inconnu et les deux musiciens du groupe de post-punk britannique Sleaford Mods.
Naguère en proie à la mélancolie, ils vont mieux aujourd'hui. Comment s'en
sont-ils sortis ? Sébastien Barrier les regarde, les filme, les écoute. Il
raconte, chante, et nous parle. En conjurant le pire pour le meilleur, il crée
un rituel qui relie. Quoi de commun entre un séminariste défroqué, un curé
ivoirien appelé en France pour cause de crise nationale des vocations, un poète
qui croit à l'amitié, et le duo de Nottingham, Andrew Fearn et Jason Williamson,
qui hurle sa haine d'une société qui broie les humains ? Sébastien Barrier
lui-même : l'auteur et acteur, poète, prêcheur, pécheur et punk à ses heures.
Est-ce le même goût du péril qui pousse le curé, le conteur, le chanteur, à se
tenir debout face aux autres, pour prendre la parole ? (...) Avec doute et
ferveur, avec tendresse et ironie, en musique et en silence, l'artiste rassemble
ses ouailles d'un soir pour honorer ensemble ce qui fait aller de mieux en
mieux. Mélanie Jouen DISTRIBUTION de et par Sébastien Barrier régie générale,
lumière et vidéo Félix Mirabel son Jules Trémoy / Jérôme Teurtrie matelotage et
accessoires Matthieu Bony Merci Elisa, Catherine Blondeau, Gaele Flao, Geoffroy
Pithon, Mohammed El Khatib participation artistique : ENSATT