Le Quai

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Que cherche-t-on à explorer ses limites? À vouloir aller toujours plus loin, plus vite, plus haut ? Rachid Ouramdane interroge, dans un spectacle vertigineux, la quête d’absolu des voltigeurs de l’extrême, artistes et sportifs de haut niveau.Le chorégraphe réunit au plateau une communauté du monde des airs composée de huit acrobates, un highliner et une grimpeuse. Tous jouent avec la pesanteur grâce à une maîtrise absolue de leur corps, de la peur et du risque. À l’assaut du mur de six mètres érigé sur scène, perchés ou en plein envol, ils se frôlent et inventent une chorégraphie suspendue, à la croisée des disciplines. Les images aériennes, captées par drone, donnent à voir la beauté renversante de paysages inaccessibles à la plupart d’entre nous. Si la performance physique est époustouflante, ce qui est mis en jeu c’est aussi ce qui pousse ces individus hors norme à défier la gravité pour goûter à l’ivresse, à la liberté, à la paix intérieure.
Que cherche-t-on à explorer ses limites? À vouloir aller toujours plus loin, plus vite, plus haut ? Rachid Ouramdane interroge, dans un spectacle vertigineux, la quête d’absolu des voltigeurs de l’extrême, artistes et sportifs de haut niveau.Le chorégraphe réunit au plateau une communauté du monde des airs composée de huit acrobates, un highliner et une grimpeuse. Tous jouent avec la pesanteur grâce à une maîtrise absolue de leur corps, de la peur et du risque. À l’assaut du mur de six mètres érigé sur scène, perchés ou en plein envol, ils se frôlent et inventent une chorégraphie suspendue, à la croisée des disciplines. Les images aériennes, captées par drone, donnent à voir la beauté renversante de paysages inaccessibles à la plupart d’entre nous. Si la performance physique est époustouflante, ce qui est mis en jeu c’est aussi ce qui pousse ces individus hors norme à défier la gravité pour goûter à l’ivresse, à la liberté, à la paix intérieure.
Enfourchez votre vélo pour un parcours à travers la ville afin de découvrir les sites co-financés par l'Union européenne ainsi que ses lieux symboliques. Une façon originale de contempler notre patrimoine et de constater l’impact de l’Union européenne au niveau local.Organisé par la Maison de l’Europe.Départ sur le parvis du théâtre Le Quai.Le parcours n'est pas adapté aux enfants en bas âge ni aux mineurs non accompagnés.Activité susceptible d'être annulée en cas d'intempérie.
Laughton
20april
-16:00
Fruit de la rencontre entre la poésie de Stéphane Jaubertie et le théâtre délicat d’Émilie Le Roux, Laughton raconte l’histoire d’une famille où chacun peine à trouver sa place et se réfugie dans son monde. Un texte fort qui questionne nos relations familiales.Une famille. Le fils, Laughton, grandit tant bien que mal au cœur d’un foyer dans lequel on ne lui laisse que peu de place pour s’épanouir. L’Ours, cet homme qui occupe la figure paternelle, jardine. Sa mère, elle, se réfugie dans l’écriture. Quant à Laughton, il joue. À l’école, il y al’impertinente Vivi, qui fonce à cent à l’heure et s’invente une autre vie. Leur rencontre, l’occasion de scènes à l’humour salvateur, l’aidera à se libérer de cette tension familiale. Ces quatre personnages ne trouvent pas réellement de place dans le monde qu’ils occupent. Inadaptés à ce qu’on attendrait d’eux, ils font ce qu’ils peuvent, avec leur histoire, et la tempête d’incertitudes qui les habite. Un conte poignant où les visages, les saisons et les noms se mêlent pour mieux se reconnaître et apprendre à s’aimer. Laughton est la seconde création d’Émilie Le Roux accueillie au Quai après Mon frère, ma princesse en 2016.
Laughton
18april
-19:00
Fruit de la rencontre entre la poésie de Stéphane Jaubertie et le théâtre délicat d’Émilie Le Roux, Laughton raconte l’histoire d’une famille où chacun peine à trouver sa place et se réfugie dans son monde. Un texte fort qui questionne nos relations familiales.Une famille. Le fils, Laughton, grandit tant bien que mal au cœur d’un foyer dans lequel on ne lui laisse que peu de place pour s’épanouir. L’Ours, cet homme qui occupe la figure paternelle, jardine. Sa mère, elle, se réfugie dans l’écriture. Quant à Laughton, il joue. À l’école, il y al’impertinente Vivi, qui fonce à cent à l’heure et s’invente une autre vie. Leur rencontre, l’occasion de scènes à l’humour salvateur, l’aidera à se libérer de cette tension familiale. Ces quatre personnages ne trouvent pas réellement de place dans le monde qu’ils occupent. Inadaptés à ce qu’on attendrait d’eux, ils font ce qu’ils peuvent, avec leur histoire, et la tempête d’incertitudes qui les habite. Un conte poignant où les visages, les saisons et les noms se mêlent pour mieux se reconnaître et apprendre à s’aimer. Laughton est la seconde création d’Émilie Le Roux accueillie au Quai après Mon frère, ma princesse en 2016.
Peut-on survivre à la perte d’un enfant? Se reconstruire? Sylvain Maurice révèle toute la luminosité et le message d’espoir inattendus portés par Petit Eyolf, pièce méconnue d’Henrik Ibsen, bouleversante de noirceur mais surtout de beauté.RITA. Où devons-nous regarder, Alfred - ?ALLMERS. Vers le haut.RITA. Oui - vers le haut.ALLMERS. Vers le haut, - vers les sommets. Vers les étoiles. Et vers le grand calme.RITA (lui tend la main). Merci !Alors qu’Alfred est enfin prêt à mettre à distance son travail pour se consacrer à son petit garçon, celui-ci se noie. Alfred et Rita, la mère d’Eyolf, plongent alors dans un vertige d’émotions et leur couple vacille. Mais parce qu’il "faut bien essayer de vivre la vie, de résister à l’appel du vide", ils tentent, à travers le deuil, d’inventer une vie nouvelle. Ce qui intéresse Sylvain Maurice dans ce thriller psychologique, au delà du drame domestique qui explore les béances intimes et confronte chacun à son passé, c’est la manière dont les relations entre les êtres se nouent et se déplient. Dans une scénographie qui va à l’essentiel, inspirée du théâtre nô, c’est tout l’imaginaire folklorique norvégien qui surgit, dévoilant un monde fantastique habité par les esprits, et une forme de résilience inespérée.Mercredi 10 avril: rencontre avec l'équipe artistique à l'issue de la représentation
Peut-on survivre à la perte d’un enfant? Se reconstruire? Sylvain Maurice révèle toute la luminosité et le message d’espoir inattendus portés par Petit Eyolf, pièce méconnue d’Henrik Ibsen, bouleversante de noirceur mais surtout de beauté.RITA. Où devons-nous regarder, Alfred - ?ALLMERS. Vers le haut.RITA. Oui - vers le haut.ALLMERS. Vers le haut, - vers les sommets. Vers les étoiles. Et vers le grand calme.RITA (lui tend la main). Merci !Alors qu’Alfred est enfin prêt à mettre à distance son travail pour se consacrer à son petit garçon, celui-ci se noie. Alfred et Rita, la mère d’Eyolf, plongent alors dans un vertige d’émotions et leur couple vacille. Mais parce qu’il "faut bien essayer de vivre la vie, de résister à l’appel du vide", ils tentent, à travers le deuil, d’inventer une vie nouvelle. Ce qui intéresse Sylvain Maurice dans ce thriller psychologique, au delà du drame domestique qui explore les béances intimes et confronte chacun à son passé, c’est la manière dont les relations entre les êtres se nouent et se déplient. Dans une scénographie qui va à l’essentiel, inspirée du théâtre nô, c’est tout l’imaginaire folklorique norvégien qui surgit, dévoilant un monde fantastique habité par les esprits, et une forme de résilience inespérée.Mercredi 10 avril: rencontre avec l'équipe artistique à l'issue de la représentation
Peut-on survivre à la perte d’un enfant? Se reconstruire? Sylvain Maurice révèle toute la luminosité et le message d’espoir inattendus portés par Petit Eyolf, pièce méconnue d’Henrik Ibsen, bouleversante de noirceur mais surtout de beauté.RITA. Où devons-nous regarder, Alfred - ?ALLMERS. Vers le haut.RITA. Oui - vers le haut.ALLMERS. Vers le haut, - vers les sommets. Vers les étoiles. Et vers le grand calme.RITA (lui tend la main). Merci !Alors qu’Alfred est enfin prêt à mettre à distance son travail pour se consacrer à son petit garçon, celui-ci se noie. Alfred et Rita, la mère d’Eyolf, plongent alors dans un vertige d’émotions et leur couple vacille. Mais parce qu’il "faut bien essayer de vivre la vie, de résister à l’appel du vide", ils tentent, à travers le deuil, d’inventer une vie nouvelle. Ce qui intéresse Sylvain Maurice dans ce thriller psychologique, au delà du drame domestique qui explore les béances intimes et confronte chacun à son passé, c’est la manière dont les relations entre les êtres se nouent et se déplient. Dans une scénographie qui va à l’essentiel, inspirée du théâtre nô, c’est tout l’imaginaire folklorique norvégien qui surgit, dévoilant un monde fantastique habité par les esprits, et une forme de résilience inespérée.Mercredi 10 avril: rencontre avec l'équipe artistique à l'issue de la représentation
Comment composer avec la fièvre destructrice qui anime le monde ? Bérangère Vantusso donne un coup de frais à Rhinocéros, réflexion sur les modes de propagation des idéologies totalitaires par le maître de l’absurde Eugène Ionesco.Dans une petite ville de province, tous les habitants se transforment inéluctablement en rhinocéros. Béranger, allergique à la contagion, assiste impuissant à la transformation mentale de tous. Plus de soixante ans après son écriture, au moment où la montée des fascismes fait rage en Europe et partout dans le monde, la pièce n’a malheureusement rien perdu de son actualité. Bérangère Vantusso porte un regard grinçant et grimaçant, grotesque et surréaliste, sur « le monde tel qu’il va mal ». La dynamique de destruction en marche, le plateau devient espace de métamorphose ; l’utilisation de pièces en céramique, matériau fragile et produit en série, donne à voir la vulnérabilité de l’humain. En contrepoint d’une théâtralité réaliste se crée un langage plastique déconcertant, celui d’un théâtre de forme porté par les interprètes, comédiens et marionnettistes.Jeudi 4 avril: rencontre avec le public à l'issue de la représentation
Comment composer avec la fièvre destructrice qui anime le monde ? Bérangère Vantusso donne un coup de frais à Rhinocéros, réflexion sur les modes de propagation des idéologies totalitaires par le maître de l’absurde Eugène Ionesco.Dans une petite ville de province, tous les habitants se transforment inéluctablement en rhinocéros. Béranger, allergique à la contagion, assiste impuissant à la transformation mentale de tous. Plus de soixante ans après son écriture, au moment où la montée des fascismes fait rage en Europe et partout dans le monde, la pièce n’a malheureusement rien perdu de son actualité. Bérangère Vantusso porte un regard grinçant et grimaçant, grotesque et surréaliste, sur « le monde tel qu’il va mal ». La dynamique de destruction en marche, le plateau devient espace de métamorphose ; l’utilisation de pièces en céramique, matériau fragile et produit en série, donne à voir la vulnérabilité de l’humain. En contrepoint d’une théâtralité réaliste se crée un langage plastique déconcertant, celui d’un théâtre de forme porté par les interprètes, comédiens et marionnettistes.Jeudi 4 avril: rencontre avec le public à l'issue de la représentation