Centre Culturel De Rixensart

Venue

Upcoming events

There’s no upcoming events

Past events

Cinéma/ Tout public dès 6 ans - Durée 1h38 Née pour danser, Neneh est une petite fille noire de 12 ans qui vient d'intégrer l'école de ballet de l'Opéra de Paris. Malgré son enthousiasme, elle va devoir redoubler d'efforts pour s'arracher à sa condition et se faire accepter par la directrice de l'établissement, Marianne Belage. Cette dernière est en effet la garante des traditions et porteuse d'un secret qui la relie à la petite ballerine.
Danse / Tout public Durée 1h30 Pour Empty Room : Chorégraphie & mise en scène : Sidonie Fossé • Danseurs : Larissa Dorella et Tars vandebeek • Costumes : Emma Paris • Création Lumière : Théo Baudras • Construction décor : Victor Launay • Coach Théâtral : Patrice Minck Pour Le goût du drame : Chorégraphie et interprétation : Léa Dubois • création musicale : Juicy • Création lumières : Max Adams • Création scénographique : Jajrag • Confection des costumes : Sabine Mesdag Deux spectacles, sinon rien ! Pour cette nouvelle édition de « Danses en Fête », nous vous proposons une soirée composée pour découvrir les nouvelles tendances en matière de création chorégraphique belge. Nous aurons le plaisir d’accueillir la nouvelle création d’Opinion public, Empty Room. En première partie, la jeune chorégraphe Léa Dubois nous présentera sa pièce, Le Gout du Drame, qui sera accompagnée en live par le duo Juicy. Opinion Public – Empty Room (35’) Créée en 2010, la compagnie de danse bruxelloise Opinion public est un collectif composé d’Etienne Béchard, de Johann Clapson, de Sidonie Fossé et de Victor Launay, qui ont en commun un passage à l’École Rudra et/ou au Béjart Ballet Lausanne. Après leur passage en résidence en 2022 au Centre culturel de Rixensart, la compagnie présente « Empty Room » , deuxième partie du dyptque « So’far » qui traite des relations homme-femme, de la frontière entre la réalité, le rêve et la folie. Un couple et sa routine font des aller-retours entre réalité et mondes poétiques et allégoriques. Les frontières se confondent, les personnages se perdent et tentent de retrouver leur chemin, leur propre personnalité et leur couple. Léa Dubois – Le gout du drame (40’) (première partie de soirée) Un personnage ordinaire, mi danseuse, mi gymnaste, en survêtement, va évoluer tout au long de sa démonstration physique. Sur une scène où tout est transformable, du costume à la scénographie en passant par la musique. L’occasion de voir l’exceptionnel dans les choses simples et d’apprécier la puissance que peut avoir de petites évolutions. La création musicale est réalisée en complicité avec Julie Rens et Sasha Vovk, le duo de musiciennes belges qui forment le groupe Juicy. Un binôme énergique très pluridisciplinaire et aux multiples propositions artistiques qui nous fera l’honneur de sa présence.
Cinéma / Tout public - Durée 2h37 Soixante ans après le chef-d'œuvre de Jérôme Robbins et Robert Wise, Steven Spielberg s’est lancé dans la réinterprétation de ce classique de Broadway sur grand écran. Pour son rêve de comédie musicale qu'il s'était promis de réaliser, Steven Spielberg s’est lancé un double défi à double tranchant : adapter sur grand écran un des titres les plus cultes de Broadway - si ce n’est le plus culte -, tout en passant après l'adaptation cinématographique de 1961, récompensée de 10 Oscars et considérée à raison comme un chef-d'œuvre. Et comme espéré, cette rencontre au sommet entre Broadway et Hollywood est une prouesse artistique audacieuse qu'on peut d'ores et déjà qualifier de nouveau chef-d'œuvre. Avec une passion communicative, le cinéaste de 74 ans démontre une nouvelle fois son éclectisme sans jamais trahir le matériau d'origine. Le scénariste Tony Kushner préserve l'essence de l'œuvre et reprend respectueusement les partitions de Leonard Bernstein et les paroles de Stephen Sondheim, mais s'applique surtout à mettre en exergue les thématiques sous-jacentes de la pièce originale. En ressort un long-métrage plus franc, violent et politique, qui donne aux gangs de rue et leur malaise social une importance égale à l'histoire d’amour romanesque de Maria et Tony. Dans le cadre de Danses en Fête En partenariat avec le Ciné-club de Rixensart
Il vous fera découvrir l’Arunachal Pradesh, longtemps fermé aux étrangers, un état resté très discret au nord-est de l’Inde. Loin des images de pics enneigés, de glaciers, nous approcherons et partagerons la vie de plusieurs populations tribales d’origine tibéto-birmane ou tibéto-mongole, aux riches traditions. Un autre visage de l’Himalaya. Un film étonnant et des rencontres surprenantes …
Durée 1h15 De et avec Fran Kourouma • Mise en scène et adaptation : Sandra Raco • Voix off : Babetida Sadjo • Assistanat à la mise en scène : Laure Chartier, Boris Olivier • Création sonore : Laurent Beumier • Création lumières : Jérôme Dejean • Décor : Angela Castro • Aide à la scénographie : Léa Gardin Le témoignage poignant, écrit sur un smartphone, d’un jeune Guinéen qui a traversé l’enfer pour rejoindre l’Europe. Fran Kourouma a 20 ans quand il fuit sa Guinée d’origine dans l’espoir d’une vie meilleure. À son arrivée en Belgique, il est accueilli au « Petit Château », centre Fedasil bruxellois. C’est là qu’il commence à écrire son périple, plus de 800 pages, sur son téléphone portable. Fran y raconte la violence du désert d’Agadez, l’enfer libyen où il sera emprisonné et torturé, les risques pris pour traverser la Méditerranée et la désillusion en atteignant enfin l’Europe. En 2020, son histoire est éditée et touche en plein cœur ses lecteurs. Aujourd’hui, Fran monte sur scène pour la partager au plus grand nombre. « D’une part je veux que les Européens découvrent cette réalité humaine, souvent méconnue ou involontairement ignorée et d’autre part que certaines personnes d’Afrique soient informées de ce qui attend les migrants avant de prendre la décision d’emprunter ce même chemin. » Fran Kourouma. Dans le cadre des cycles littéraires, organisés en partenariat avec Bibliorix et avec le soutien de la commune de Rixensart
« NOUVELLE ZELANDE, le joyau des antipodes » par Alain Basset On en connait le rugby, les moutons et les incroyables paysages du « Seigneur des anneaux » mais la terre des maoris est restée presque intacte, avec sa faune unique. Le film nous immerge dans une société humaine ouverte, parfois déconcertante, au milieu d’une nature séduisante à perte de vue, loin des tumultes du Monde…
Conseillé dès 12 ans Wireless people est une rencontre entre le monde virtuel des réseaux sociaux et le monde organique du théâtre. Une actrice, une compositrice, des poèmes-partitions, pas de stabilité, pas de durabilité, pas de forme convenue. Un seule en scène qui propose une traversée éclair, rythmique et ludique de différentes situations et sensations vécues sur les réseaux sociaux d’aujourd’hui: facebook, instagram, tiktok, twitter, youtube, etc. La scène devient une zone de bug qui laisse transparaitre les spécificités abstraites et omniprésentes des réseaux - instantanéité, rapidité, vraisemblance, immatérialité, polyvalence, poly-chronicité, muabilité. Pour la deuxième année consécutive, nous vous proposons une « collaboration itinérante » entre Le Vilar et treize lieux de culture et centres culturels du Brabant wallon. L’occasion pour vous de découvrir un spectacle du Vilar à deux pas de chez vous !
Une actrice, une compositrice et leurs poèmes-partitions nous emmènent pour une traversée éclair, rythmique et ludique de situations et sensations vécues sur les réseaux sociaux en version IRL (in real life). On zappe et on scrolle. Le monde virtuel rencontre le monde organique du théâtre. La scène devient une zone de bug, un chat Messenger, un vlog YouTube, une chorégraphie TikTok... Dans Wireless people, l'interaction entre texte, son, mouvement et espace est millimétrée pour une expérience troublante de théâtre-concert qui s'adresse à tous, habitués des communautés virtuelles ou pas. Wireless people éclaire avec beaucoup d'humour tout le poids qu'exercent les réseaux sociaux sur nos vies... le résultat est vertigineux. -Musiq3
Durée 1h Conception et mise en scène : Félicie Artaud • Avec : Jess Avril, Tom Geels, Mathilde Lefèvre • Scénographie, costumes : Claire Farah • Création sonore et régie générale : Antoine Blanquart • Lumières : Claire Eloy • Collaboration artistique : Sarah Fourage • Construction : Guy Carbonnelle, Claire Farah, Antoine Blanquart • Couture : Patricia Coppé, Cathy Sardi • Adaptation LSF : Marie Lamothe, Carlos Carreras • Production : Compagnie Joli Mai (France) ; Compagnie Agnello (Belgique). Petite n’est pas comme les autres. Bourrée de tics, elle a une élocution étrange et essuie les moqueries de ses camarades. Elle vit avec Grand, son frère, chez leur mère. Quand, ce soir-là, la mère rentre du travail, elle est exténuée. Croyant ses enfants endormis, elle téléphone à une amie et confie, désespérée, ses difficultés à élever sa fille. Mais Petite entend toute la conversation… Une forêt s’inspire des contes du Petit Poucet et de Hansel et Gretel pour créer un récit original sur les relations familiales. Il nous plonge dans un univers onirique où le cri des loups résonne, les arbres abritent des cabanes et une créature mystérieuse lave la forêt. Au terme d’une traversée émaillée de transformations et d’épreuves salvatrices, Petite deviendra… Grande. Un spectacle envoutant où la force des contes et la puissance des rêves nous insufflent une farouche envie de vivre.
Avec : Tcha Limberger (violon, voix), Renaud Crols (violon), Alexandre Tripodi (alto), Renaud Dardenne (guitare), Sam Gerstmans (double basse). En partenariat avec l’Académie M.A.D. Rixensart  Durée 1h15 Une vision nouvelle et originale de l’orchestre à cordes, dans les traces de Django. Un peu partout dans le monde, la musique de Django Reinhardt est célébrée, copiée, trahie parfois. La plupart du temps, la formule instrumentale choisie est celle du légendaire Quintet du Hot Club de France : un violon, une guitare solo, une ou deux guitares rythmiques et une contrebasse. Les violons de Bruxelles renversent cette formule quasi sacrée. Si la contrebasse est bien présente, pour le reste, la donne est carrément inversée : une seule guitare et... trois violons. L'incomparable Tcha Limberger (violon, chant), multi- instrumentiste de grand talent et digne héritier d'une famille de musiciens Sinti, emmène magistralement l’ensemble bruxellois. En partenariat avec l’Académie M.A.D. Rixensart