Musée Wurth

Venue

Upcoming events

There’s no upcoming events

Past events

À travers une musique indomptable et passionnée, Jeremy Lirola avec Denis Guivarc’h, Max Sanchez et Nicolas Larmignat, veulent revenir à l’essentiel : la liberté. Celle qui consiste à détourner les lignes et brouiller les mots-clés. Mock the Borders veut dire « moquer les frontières », les replis sur soi dans la vie et entre les pays, mais aussi dans la musique où les genres ne font que rétrécir les champs de vision. Après le projet Uptown Desire et l’univers amoureux new-yorkais, Mock The Borders s’inscrit dans une recherche tendue vers l’Autre. Là où Ornette Coleman, précurseur du free jazz et maître à penser de cette nouvelle création, a su créer un son que chaque individu était libre de percevoir et d’échanger sans en altérer le sens et sans imitation. Ecoutez : https://youtu.be/KIA0vMR0gL4 [https://youtu.be/KIA0vMR0gL4?fbclid=IwAR3kOtuL7KA-Q1A2IxpW_l6v_qhb_HkEcnVdIHbRduWbq7GbB-p5Z2bCql0] JEREMY LIROLA QUARTET Jeremy Lirola – Contrebasse Denis Guivarc’h – Saxophone Maxime Sanchez – Claviers Nicolas Larmignat – Batterie Production déléguée : La Poulie Production Coproduction : Jazzdor, Smac Jazz à Strasbourg / Espace Culturel de Vendenheim Soutiens : DRAC Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, Ville de Strasbourg et Agence Culturelle d’Alsace  
Vous êtes-vous déjà demandé si une partie de l’esprit d’Ennio Morricone n’avait pas toujours été, peut-être inconsciemment, tournée vers le jazz ?  La question est posée par Stefano Di Battista dans son album « Morricone Stories » sorti le 2 avril 2021 et qui révèle un partenariat naturel, presque inévitable, entre le compositeur italien de musique de film et la note bleue. Le saxophoniste italien né à Rome et ses compagnons de route, André Ceccarelli à la batterie, Fred Nardin au piano et Daniele Sorrentino à la contrebasse, réinterprètent avec une sensibilité issue du jazz mais aussi et surtout de la cinématographie, les thèmes les plus emblématiques (Le bon, la brut et le truand, Peur sur la ville, Il était une fois en Amérique…) du maestro décédé en juillet 2020. Redécouvrez des pépites méconnues du répertoire de l’homme aux 500 bandes originales. Stefano Di Battista – Sax alto et soprano Fred Nardin – Piano Daniele Sorrentino – Contrebasse Andre Ceccarelli – Batterie Musique composée par Ennio Morricone Arrangements et direction artistique : Stefano Di Battista et Fred Nardin  
D’après des fragments de Phèdre de Jean Racine et des extraits des poèmes Phèdre et Le Mur dans le miroir de Yannis Ritsos Mise en scène et musique de Cécile Garcia Fogel Phèdre aime en secret son beau-fils, Hippolyte, le fils de Thésée, né d’un premier mariage avec une Amazone. Alors qu’elle croit son mari Thésée mort pendant sa guerre contre les enfers, Phèdre en profite pour avouer son amour coupable à Hippolyte. Mais les bruits courts et Thésée, loin d’être mort revient à Trézène. Pour la seconde fois, Cécile Garcia Fogel recrée ce spectacle avec sur scène une chanteuse-comédienne et un guitariste. Une nouvelle exploration musicale au plus profond de la tragédie de Racine.  
Le spectacle est annulé. Les personnes ayant déjà réservé leurs billets en ligne seront contactées directement par mail dans les prochains jours. Si vous avez réservé vos places au guichet, veuillez nous contacter par téléphone au 03 88 64 74 84 ou par mail à l’adresse mwfe.info@wurth.fr  De Marc-Antoine Cyr Mise en scène Laurent Crovella Compagnie Les Méridiens Un jeune garçon, Martin Martin, a été arrêté par la police pour s’être aventuré aux frontières de la ville. Il n’a pas de papiers sur lui, aucun moyen de prouver son identité. Alors on le retient au poste pour la nuit. Une jeune policière, Lorie Lory, met en doute ses propos : comment peut-il s’appeler Martin Martin alors que la couleur de sa peau semble trahir une autre identité ? Dans son collège, son professeur de français, Kevin Kevin, propose un nouveau projet pour la classe, – un grand projet – qui mettrait à l’honneur la diversité. Il questionne les élèves sur leurs racines, leurs pays d’origine, celui de leurs familles. Martin Martin, pris entre deux feux, entre deux injonctions à se nommer, se dévoiler, reste mutique. Il se trouve harcelé par des questions qui n’appellent qu’une seule et simple réponse que Lorie Lory et Kevin Kevin semblent incapables d’entendre :  Je m’appelle Martin Martin, je viens d’ici, je vis ici, je suis ici. Je suis français ! Peut-on être soi-même sans avoir à se justifier en permanence ? Faut-il sans cesse apporter des preuves ? À quelle échelle mesure-t-on l’identité d’un individu ? La pièce de Marc-Antoine Cyr se présente comme un conte d’aujourd’hui, un rite initiatique où le refus de se nommer s’impose comme un acte de résistance et d’affirmation de soi.  
GENS DU PAYS
15mei 2022
-16:00
De Marc-Antoine Cyr Mise en scène Laurent Crovella Compagnie Les Méridiens Un jeune garçon, Martin Martin, a été arrêté par la police pour s’être aventuré aux frontières de la ville. Il n’a pas de papiers sur lui, aucun moyen de prouver son identité. Alors on le retient au poste pour la nuit. Une jeune policière, Lorie Lory, met en doute ses propos : comment peut-il s’appeler Martin Martin alors que la couleur de sa peau semble trahir une autre identité ? Dans son collège, son professeur de français, Kevin Kevin, propose un nouveau projet pour la classe, – un grand projet – qui mettrait à l’honneur la diversité. Il questionne les élèves sur leurs racines, leurs pays d’origine, celui de leurs familles. Martin Martin, pris entre deux feux, entre deux injonctions à se nommer, se dévoiler, reste mutique. Il se trouve harcelé par des questions qui n’appellent qu’une seule et simple réponse que Lorie Lory et Kevin Kevin semblent incapables d’entendre :  Je m’appelle Martin Martin, je viens d’ici, je vis ici, je suis ici. Je suis français ! Peut-on être soi-même sans avoir à se justifier en permanence ? Faut-il sans cesse apporter des preuves ? À quelle échelle mesure-t-on l’identité d’un individu ? La pièce de Marc-Antoine Cyr se présente comme un conte d’aujourd’hui, un rite initiatique où le refus de se nommer s’impose comme un acte de résistance et d’affirmation de soi.  
De Julien Campani et Léo Cohen-Paperman Mise en scène de Léo Cohen-Paperman Avec Julien Campani / Johann Cuny et Clovis Fouin / Mathieu Metral La pièce La Vie et la mort de J. Chirac, roi des français, c’est dans un premier temps l’histoire de deux personnages, José Corrini et Ludovic Müller, respectivement acteur et metteur en scène, qui nous invitent à un spectacle sur la vie de Jacques Chirac et qui s’appelle Jacky. « Jacky », c’est Jacques Chirac et même un peu plus que simplement Jacques Chirac : c’est le lapin blanc d’Alice au pays de l’Histoire, celui qui nous permet d’en traverser tous les miroirs. Parce qu’en un demi-siècle de vie politique et de vie public, « le Patron » comme l’appelait son chauffeur, a revêtu tous les masques possibles et imaginables et embrassé tous les contraires. Caméléon brillant et insaisissable, séducteur à la ville comme sur la scène politique, Jacques Chirac a incarné pendant près de quarante ans (de 1967 à 2007), tous les plus beaux rôles de la scène. Si sa vie ressemble à un roman, son parcours est celui d’un homme de théâtre, metteur en scène de sa propre vie.
CALI
08april 2022
-16:00
Depuis 20 ans, Cali se balade entre chanson française et rock. En 2022, c’est en solo que Cali nous embarque dans une formule débordante d’émotions et de générosité avec des chansons, peut-être connues, ou plus confidentielles et puis d’autres chansons, encore, plein d’autres, des nouvelles, qui arrivent, offertes pour la première fois.    
CALI
26maart 2022
-16:00
Depuis 20 ans, Cali se balade entre chanson française et rock. En 2022, c’est en solo que Cali nous embarque dans une formule débordante d’émotions et de générosité avec des chansons, peut-être connues, ou plus confidentielles et puis d’autres chansons, encore, plein d’autres, des nouvelles, qui arrivent, offertes pour la première fois.    
Lewis Lazar et Christopher Willatt sont amis d’enfance et se réunissent à Paris où ils rencontrent la finlandaise Julia Johansen, nouvellement installée dans la capitale, avec sa batterie et sa guitare. Ensemble, ils forment le groupe Oracle Sisters et cassent les codes du trio rock’n’roll en se relayant au chant et dévoilant à tour de rôle leurs harmonies. Le groupe ne se limite pas au genre folk et ose partir à la découverte du sons pop, rock et psychédélique sans jamais tomber dans la routine. Toujours mélodieux et parfois dansant. Après un an sur les scènes parisiennes, Oracle Sisters part faire quelques premières parties en Europe. Ils obtiennent des mentions importantes de la radio britannique (Clash, NME, BBC Radio 1…) et américaine (KCRW, NPR, KEXP…) ainsi qu’à la radio française (France Inter, FiP, Radio Nova…). Leur premier EP « Paris I » recueille plusieurs millions d’écoutes à travers le monde.    
NEVER TWENTY ONE
13maart 2022
-16:00
Le spectacle créé en 2020 fait écho à la vague de hashtag #Never21 conçu par le mouvement Black Lives Matters pour dénoncer les décès récurrents qui rongent la jeunesse discriminée des quartiers pauvres. Smaïl Katouné, chorégraphe et artiste protéiforme diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, rend hommage aux victimes des armes à feu de New-York, Rio de Janeiro ou de Johannesburg qui décèdent avant l’âge de 21 ans. C’est dans une atmosphère urbaine teintée de chamanisme que les trois danseurs ressuscitent les mots et maux des victimes et de leurs familles. Le corps, à la fois sculpture graphique et surface d’expression et de revendication, d’objet de résilience et de mémoire, raconte toutes ces vies volées, arrachées et sacrifiées.