C-mine Cultuurcentrum

Venue

Past events

LA DAME EN NOIR Un spectacle total de caractère et puissant avec des percussions live « le battement du cœur de la terre ». La danse, le chant, la création orale, la musique et les visuels se fondent dans une expérience résonnante. Au son des tambours chamaniques, des musiques indiennes, maghrébines, hébraïques, arabes et ibériques vous font voyager à travers toutes les directions et toutes les cultures. Isabelle Beernaert constate que dans toutes ses créations depuis le début de sa carrière de danseuse, apparaît sur scène un mystérieux personnage féminin archétypal, vêtu de noir. Toutes les couleurs sont présentes en noir. Le noir absorbe. Le noir est la couleur de la paix, de la tranquillité et de l’obscurité nécessaires à la germination d’une graine. Un enfant dans le ventre de sa mère est dans le noir. Avant l’arrivée du printemps, il y a l’hiver. Le noir est gros de lumière. La prise de conscience qu'il y a toujours eu la présence de quelque chose d'essentiel qu'elle étudie plus en profondeur : « la mère noire ». LA MÈRE NOIRE La forme ancienne de la Mère Sombre est actuellement en train de revenir dans notre conscience mondiale. Elle annonce ainsi la fin d’une époque, qui symbolise en même temps un nouveau départ. C’est une période d’évolution spirituelle au cours de laquelle les gens deviennent plus conscients de la connexion énergétique avec la Terre Mère. La Mère Sombre représente le ventre profond et sombre des débuts cosmiques, où l’Obscurité et la Lumière fusionnent en harmonie, tant au niveau collectif qu’individuel. Elle est avant tout la Mère de la Terre Noire animée. La Mère Sombre se manifeste dans la Vénus Noire des temps préhistoriques, dans la Mère Noire Primordiale Mari des Basques, dans la Déesse Mère Noire Ana des Celtes, dans les Déesses Noires Orientales telles qu'Isis, Artémis, Kybèle. "Les gens sont prêts à tout, aussi absurde soit-il, pour éviter d’avoir à affronter leur propre âme. On ne s’éclaire pas en imaginant des figures de lumière, mais en faisant prendre conscience des ténèbres." Carl Jung, Psychology & Alchemy
Ten prooi aan koorts, geldgebrek en een algemeen gevoel van malaise slaat de ex-student Raskolnikov een oude woekeraarster de kop in met een bijl. Met een bijl… ? En ook die van haar zus die onvoorzien getuige was van de moord. (Het was allemaal niet bijzonder goed voorbereid.) Hij rooft wat juwelen en begraaft ze ergens op een binnenplaats. Maar die bijl… Bewijzen zijn er niet. Er is alleen het heel sterke vermoeden van één rechercheur. Op de vlucht voor de wet en zijn geweten dwaalt Raskolnikov door de steegjes van Sint-Petersburg en tuimelt hij van de ene bizarre ontmoeting in de andere. Het regent, maar het is heet. Hij is wakker, maar toch is hij aan het dromen. Hij leeft, maar het voelt alsof hij dood is. Komt de redding weer maar eens van een vrouw?  MIsdaad en Straf is de eerste van Dostojevski’s vier grote romans en bevat alle thema’s die kenmerkend zijn voor ’s mans oeuvre: geld, geweten, gulheid, geilheid en God. Gefundenes Fressen voor de Lazarussen: een misdaadverhaal als een koortsdroom, met een hart dat bonkt van verontwaardiging en een held die regelrecht zijn eigen ondergang tegemoet loopt. Credits van/met - Koen De Graeve, Pieter Genard, Patricia Kargbo, Günther Lesage, Femke Stallaert, Ryszard Turbiasz, Joris Van den Brande en Ariane van Vliet kostuum - Karen De Wolf een productie van ARSENAAL/LAZARUS coproductie - Perpodium met steun van de taxshelter van de Belgische Federale Overheid