Theatre Du Chene Noir

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La mort heureuse
20mei 2022
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21mei 2022
Patrice Mersault, employé modeste du port d’Alger, fait la connaissance d’un riche infirme que lui présente Marthe, sa maîtresse occasionnelle. Les deux hommes scellent un pacte et Mersault tue l’infirme dans des circonstances qui l’assurent de l’impunité.Riche et toujours en quête du bonheur sans amour, il part en voyage, visite Vienne, Prague, Gênes et revient à Alger hanté par un mal qui ne dit pas son nom. Il vit d’une existence à vide sans jamais atteindre à grand sens.Après s’être marié avec une rencontre de hasard, il part s’installer seul en pleine montagne à quelques kilomètres des ruines romaines de Tipasa, dans une maison face à la mer.Son mal s’aggrave de jour en jour. Il finit par mourir enfin heureux dans une communion extatique avec la nature.Camus écrivit au début de sa vie: « La mort n’est qu’un accident du bonheur. »La représentation sera suivie d’un débat avec le public en compagnie de Stéphane Olivié Bisson, Richard Sammel et Laurent Bove, philosophe et spécialiste de Camus et Spinoza.
Braver l’interdit ? Non. Frôler les limites, pourquoi pas. Rester dans une posture de « libre-penseur » sans être contraint par la bienséance, oui.Loin du consensualisme ambiant, et en marge de la bien-pensance qui norme notre société et notre humour, Naïm répond, à sa façon, à l’éternelle question : « Peut-on rire de tout ? »« J’entends souvent : « Aujourd’hui, on ne peut plus rire de tout ». Et c’est vrai. Pourquoi ? Parce que la télévision censure, la radio censure, les humoristes se censurent, les spectateurs se censurent. Tout le monde s’interdit de rire de tel ou tel sujet par peur d’être traité d’antiquelque chose.Autrefois garant de la liberté d’expression, les humoristes sont devenus les fusibles de la bonne morale. On vire Tex pour une vanne, certes pas drôle, mais on invite Zemmour. En réalité on n’a jamais été aussi peu Charlie que depuis « Je suis Charlie ».Ensemble, sans arrière-pensées, on va rire de tout ce qui paraît aujourd’hui interdit ailleurs. »Naïm
Mêlant la narration, la vidéo, la danse, la musique, et des interactions avec le public, ce spectacle de danse nous invite à la découverte de la culture Hip-Hop, à travers le vécu de l’artiste Kinta Kawata, en passant par les Etats-Unis, la France Métropolitaine, le Congo et la Réunion.L’objectif étant de donner une idée simple, chronologique et globale de l’histoire de la danse Hip-Hop, des origines de ce mouvement, de ses racines et de ses influences…En transmettant un bout de son parcours artistique, culturel, professionnel et personnel, l’artiste partage une vision très singulière du mouvement Hip-Hop, et de l’impact qu’il a eu sur sa vie. Un témoignage riche et constructif.« Le Hip-Hop est une culture qui se vit, qui ne se limite pas à un style musical ou de danse. C’est un principe qui s’applique tous les jours, par des actions simples telles que le respect des autres et plus particulièrement des aînés. C’est une forme d’éducation qui vise le progrès. »Kinta Kawata
Après plus de 200 dates de son Dom Juan… et les clowns mis en scène par Irina Brook, la Compagnie Miranda plonge cette fois-ci dans le mythe de Cyrano de Bergerac, autre chef-d’oeuvre de notre littérature théâtrale.Elle propose une lecture, toujours aussi légère et respectueuse dans un univers poétique, et replace les clowns, qui cette fois seront sans nez, dans les premiers temps du cinéma muet. S’éloignant de l’image attendue du mousquetaire, Cyrano devient acteur ou réalisateur qui transforme sa vie en film des années 20. Il est masqué comme le sont ces «gueules cassées» dont on a reconstitué le visage en bronze ou céramique. Héros blessé, il est l’artiste romantique qui ira jusqu’au bout de son histoire, séquence après séquence, jusqu’au «clap» de fin.Le spectateur se retrouve alors au centre d’un « tournage», ronde effrénée et virevoltante, hystérie joyeuse de création, de changements de décors et de personnages.Dans cet hommage à Méliès, artisan génial de l’illusion cinématographique, le mythe de Cyrano se réinvente sous nos yeux avec humour et poésie.