Participez à la visite flash, 15 minutes, 3 objets

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L'exposition Participez à la visite flash, 15 minutes, 3 objets a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Mussy sur Seine 2024.

Vous n'avez pas envie de faire le tour de toutes les collections avec un guide à Les visites flash sont faites pour vous ! En 15 minutes, découvrez trois objets phares du Musée de la résistance de l'Aube à Mussy-sur-Seine.

Les visites flash sont une manière rapide et efficace de découvrir l'essentiel d'une collection muséale. Dans ce cadre, vous aurez l'opportunité de vous immerger dans l'histoire à travers trois objets emblématiques soigneusement sélectionnés. Une expérience enrichissante et instructive à ne pas manquer !

Infos réservations :

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- http://www.museeresistanceaube.fr

Par téléphone

- 03 53 63 00 20

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Par e-mail

- museeresistanceaube@gmail.com

Datum informatie

Dimanche 22 septembre 2024

14h30

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L'exposition Découvrez un témoignage inédit de la résistance auboise a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Mussy sur Seine 2024. Découvrez l'histoire de la résistance dans l'Aube au Musée de la résistance de l'Aube à Mussy-sur-Seine. Plongez dans le courage et la détermination des résistants à travers nos collections et témoignages précieux. Des outils interactifs tels que des casques, des cartes et des manipulations sur écrans vous permettront de vivre cette période historique de manière immersive. Infos réservations : En ligne - http://www.museeresistanceaube.fr Par téléphone - 03 53 63 00 20 Par e-mail - museeresistanceaube@gmail.com
L'exposition Visite libre du château de Maulnes a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Cruzy le Chatel 2024. À l'occasion des Journées européennes du patrimoine, découvrez le château de Maulnes, demeure de style Renaissance édifiée au XVIe siècle à Cruzy-le-Châtel. Construit sur un plan pentagonal, autour d'un escalier central et d'un puits alimenté par trois sources, il constitue un patrimoine architectural unique en France. Infos réservations : En ligne - http://www.maulnes.com Par téléphone - 09 73 48 01 30
Venez découvrir les plantes sauvages utiles et comestibles qui poussent au coeur de Troyes. Et redécouvrez les vertus de celles qu'on appelle à tort, les "mauvaises herbes". Informations et réservations auprès de Maximilien Maire, Guide Nature.
L'exposition Visite du manoir de Pimelles a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Pimelles 2024. Situé en plein c'ur du Tonnerrois, le manoir de Pimelles est une demeure seigneuriale du début de la Renaissance bâtie à l'initiative de la famille de Courcelles. Sauvé in-extremis dans les années 1970 puis de nouveau en 2015, il n'en est pas moins parvenu jusqu'à nous amputé de la moitié de sa superficie. La bâtisse vieille de près de 500 ans ne manque pas d'authenticité avec sa tourelle d'escalier pentagonale en pierre de taille, sa fenêtre à meneau, ses petites fortifications (bretèche, meurtrières), sa cave voutée, ses graffitis et ses armoiries. Venez le visiter à l'occasion des Journées européennes du patrimoine.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Barberey : L’église Saint-Sulpice donne son suffixe à la commune de Barberey. Elle est datée du XVIe siècle, excepté pour sa nef d’origine romane (Xe-XIIe siècle), et elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1925. Saint-Sulpice est notamment remarquable pour sa tribune renaissance où le bois sculpté laisse s’épanouir rinceaux, médaillons dans lesquels résident des personnages de fantaisie, entrecoupés par des colonnes cannelées. Classée monument historique, d’autres pièces du mobilier le sont également comme une armoire en chêne peint et doré datée de la fin du XVIIIe siècle, un buste reliquaire de Saint Sulpice en chêne sculpté, peint et doré, du XVIIe, le monument funéraire de Claude Louis Bruslé, préfet de l’aube décédé en 1825 et une statue en calcaire polychromé de Saint Sébastien du XVIe siècle.
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail d’illustrateur. Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a probablement appartenu à l’artiste lui-même. Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès 1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté, issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs qui les caractérisent.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Javernant : L’église de l’Assomption de la Vierge de Javernant était autrefois succursale de Saint-Jean de Bonneval et n'a été érigée en cure qu'en 1747. D’un plan simple en croix latine, l’église comporte une nef à vaisseau unique de trois travées, un transept saillant et une abside à trois pans. L'édifice est homogène . il a été commencé par l'est pendant le premier quart du XVIe siècle. Les deux travées occidentales sont un peu plus récentes et datent du second quart ou du milieu du XVIe siècle (un autel fut érigé en 1560). Elle se termine par un beau portail sculpté occidental de style flamboyant au décor Renaissance, qui présente les signatures peintes de L. Cabutel et C. Paiso. Des vitraux d’origine subsistent dans les trois baies de l'abside et, sous forme de fragments, dans deux baies du transept et une baie est de la nef. Les trois verrières de l’abside sont composites et rassemblent des panneaux provenant d’au moins cinq baies différentes. L’ensemble des verrières a été restauré entre 1973 et 1979 par l'atelier Vinum. Les thèmes représentés sont la Genèse, sans doute exécutée sur le modèle de la verrière de la Madeleine de Troyes, l’Arbre de Jessé peint d’après la suite de cartons employée à l’église des Noës-près-Troyes, la Vie de la Vierge et du Christ et enfin la vie de saint Jean-Baptiste qui s’apparente à celles des églises de Ceffonds (52) et d’Ormes (10). La baie d'axe, dont la date inscrite a été interprétée comme 1518, montre un curé donateur présenté par saint Nicolas et diverses scènes plus ou moins complètes comme la Crucifixion, l’Annonciation, l’Adoration des Mages, une figure du Baptiste. La baie de nef avec fragments du XVIe siècle porte la date de 1537. L'église a été inscrite monument historique le 7 mai 1926. Les vitraux anciens sont classés monument historique depuis le 27 décembre 1913.
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail d’illustrateur. Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a probablement appartenu à l’artiste lui-même. Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès 1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté, issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs qui les caractérisent.