Tribute to Jean-Pierre Catoul

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Il y a un peu plus de 20 ans déjà, le monde du jazz belge perdait un musicien d'exception : le violoniste Jean-Pierre Catoul. Musicien flamboyant, Jean-Pierre Catoul a tracé sa route à la fois dans le jazz, la chanson française, la world et le rock. Au cours de sa courte carrière, il a travaillé notamment avec les pianistes Charles Loos et Pirly Zurstrassen et le guitariste Peter Hertmans. Artiste sans
frontière, il a dirigé le quatuor à cordes de Led Zeppelin et a accompagné des artistes de la chanson française tels que William Sheller, Barbara ou Alain Souchon. Deux décennies plus tard, son ancien
compagnon de route, le pianiste Charles Loos, lui rend hommage avec un solide trio à cordes frottées (violon – alto – violoncelle) accompagné par un accordéoniste. Au menu de cette formule inédite : des
compositions de Jean-Pierre Catoul mais aussi quelques compositions qui lui sont dédiées.

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Le 09/02/202320:30

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Entrée  : 12,00 €
Membre Lundis d'Hortense  : 10.00

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TICKETS DISPONIBLES LE 21 FÉVRIER À 11H DOUBLE AFFICHE EXCEPTIONNELLE POUR LE REFLEKTOR MR GISCARD Il s’appelle monsieur Giscard. Il n’a jamais été centriste, ni président, et sûrement n’a développé aucun tropisme pour les diamants. Mais comme son prénom est Valery, il fut un temps où lorsque ses interlocuteurs lui demandaient la nature d’un tel prénom masculin, le jeune homme avait pour habitude de répondre : « Valery ? Comme le président ». Du coup c’était presque devenu naturellement un nom composé et c’est ainsi resté. Gonflé, c’est aussi une manière de s’attribuer une carte d’identité qui atteste d’une volonté de mettre de la distance et du décalage en toute chose. Monsieur Giscard, contrairement à son illustre roi républicain, a de quoi tenir ses promesses avec ce premier programme musical de cinq titres qui pourrait bien provoquer une révolution de velours dans le monde de la chanson française. L’art du décalage est partout chez ce jeune homme de 28 ans, ultra séduisant par sa nonchalance masculine et sa candeur virile. JOANNA Depuis la sortie en 2018 de son premier morceau “Séduction”, Joanna s’est affirmée comme une voix à la fois puissante et éthérée de la nouvelle scène pop française. Autodidacte et touche-à-tout, l’artiste, originaire de Rennes, s’est depuis fait remarquer grâce à Vénus, un premier EP entre mythologie, féminisme et R’n’B, et Sérotonine, un premier album narratif qui emmenait ses auditeurs et auditrices dans toutes les étapes d’une relation amoureuse, du premier regard à la déchirure, ainsi qu’à la renaissance. Aujourd’hui, elle revient avec WHERE IS THE LIGHT ?, un deuxième album au récit plus autobiographique. Plus intime et ancré, il marque un changement musical dans le parcours de Joanna. De l’ombre à la lumière C’est au cœur d’une dépression que WHERE IS THE LIGHT ? voit le jour. Il faut garder cette information en tête à l’écoute de cet opus, baigné dans une atmosphère singulière qui opère comme un remède nécessaire pour apaiser nos maux. WHERE IS THE LIGHT ? est imaginé comme un diptyque entre les ténèbres et la splendeur. Ou plutôt, comme un chemin, qui part des Enfers (citées dans “FIGHTING”, morceau d’empowerment par excellence), pour finir au-dessus des étoiles. Tout au long du disque, les morceaux les plus aériens, quasiment conçus comme des berceuses (comme “RÊVERIE” dont le piano, couplée au chant mystique de Joanna, ont un effet réparateur) laissent place à des chansons d’une intensité haletante, à l’image de “MÉTA DEUIL” et sa production hyperpop qui nous attrape et ne nous lâche pas. Entre l’acoustique et l’électronique, WHERE IS THE LIGHT ne choisit pas. Ou plutôt, il choisit les deux, et apprend à les fondre ensemble, dans des suites d’accords tantôt vaporeux, tantôt acérés. Au piano succèdent les violons, puis les rythmiques rock et même techno, en passant par les synthétiseurs vintage choisis pour l’enregistrement de l’album. Rien n’a été laissé au hasard, jusqu’au moindre glitch : « Les rythmiques choisies sont puissantes, c’est pourquoi nous avons mixé beaucoup de batteries acoustiques avec des sonorités très électroniques, pour donner rendre les émotions physiques » déclare Joanna à propos des choix de production. Rester authentique À la première écoute, difficile d’ignorer que WHERE IS THE LIGHT ? transpire d’honnêteté. Là où Sérotonine imaginait le récit chronologique d’une histoire d’amour fictive, WHERE IS THE LIGHT ? est une œuvre complètement autobiographique, née du regard que l’artiste a osé poser sur elle-même, au cœur d’une période trouble. En partant de l’intime, Joanna raconte l’universel. L’histoire d’une reconstruction, ses hauts et ses bas, qui paraissent parfois insurmontables : « Je me suis retrouvée face à moi-même, et j’ai dû sortir de l’ombre pour rester en vie. C’est ce que raconte l’album : comment retrouver la lumière par soi-même ». Pour ce faire, elle est pour la première fois dans son parcours, pleinement impliquée dans la composition et la production des titres. Après des années passées à observer les autres, à y toucher, un peu, de loin, Joanna s’est engouffrée dans les affres de la création musicale, afin de pouvoir prendre toutes les décisions par elle-même. En résulte 14 morceaux aux productions électroniques et acoustiques, parfois ultra-présentes et impérieuses, comme sur “L’ORAGE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI FORT”, mais aux mélodies qui savent aussi se faire plus discrètes pour laisser la voix se déployer. C’est notamment le cas du morceau “CE N’EST PAS SI GRAVE”, qui affirme le statut de vocaliste de Joanna, tout en exorcisant ses traumatismes. WHERE IS THE LIGHT ? est un parcours semé d’embûches, emblème de la résilience, du lâcher prise et de l’acceptation. Il marque ainsi la renaissance d’une artiste qui a su regarder au plus profond d’elle-même pour faire naître une œuvre pleines de nuances, à écouter jusqu’à l’extase.
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/?lng=fr] JOHAN DUPONT TRIO On peut l’affirmer : le trio formé par le pianiste Johan Dupont, la bassiste Bo Waterschoot et le batteur et percussionniste Stephan Pougin promet une soirée riche en émotions. Pianiste de formation classique, Johan Dupont a étudié la musique improvisée avec Garett List au Conservatoire de Liège, et le jazz avec Eric Legnini au Conservatoire Royal de Bruxelles. Improvisateur curieux et ludique, d’une aisance jamais démonstrative, il a notamment accompagné le guitariste manouche Samson Smith et les chanteuses lyriques Julie Mossay et Sarah Laulan. Passée elle aussi par le Conservatoire Royal de Bruxelles et la classe de Michel Hatzigeorgiou, puis par le prestigieux Musician Institute de Los Angeles, Bo Waterschoot est une authentique surdouée de la basse sous toutes ses formes. On a pu la voir accompagner des artistes aussi divers que Urban Trad, Sébastien Duthoit, Bruno Castellucci ou Sophie Cavez, pour n’en citer que quelques-uns, dans des répertoires allant du folk au contemporain en passant par le jazz, la pop, le métal, le rock, et la musique brésilienne. Ancien élève de la légende du jazz Billy Hart et de Georges-Elie Octors (qui dirigea l’ensemble Musiques Nouvelles), Stephan Pougin est quant à lui un percussionniste éclectique, rétif aux frontières musicales, ce dont témoigne une carrière déjà riche de très nombreuses collaborations, de Tuur Floorizone à Panta Rhei, de Steve Houben à Mikis Théodorakis, de la musique baroque au jazz, ou du folk à la Bossa Nova. On l’aura compris, ces trois-là ne sont pas de ceux que les mélanges et les métissages effraient. Les compositions inclassables de Johan Dupont explorent, avec délicatesse, un espace musical baigné d’enfance et de nostalgie, peuplé des souvenirs doux-amers d’un paradis perdu, là où tout était possible, où rien ne manquait. C’est bouleversant et lumineux. Il fallait bien trois artistes aussi intrépides que sensibles pour se risquer sur pareil territoire. Le concert accompagne la sortie du très attendu premier album du trio qui sort sur le label Flak Records (distribution PIAS).
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be] JEWEL USAIN Qu’est-ce qu’il reste à faire après avoir fini le mode difficile d’un jeu ? C’est la question à laquelle s’est confronté Jewel Usain après la sortie de son dernier projet, “Mode Difficile”, en 2021. Sa réponse s’illustre dans un premier véritable album de 17 titres, intitulé “Où les garçons grandissent”. Le jeune garçon Jewel Usain a grandi à Argenteuil en banlieue parisienne. Passionné de musique, il devient lui-même artiste, actif et présent sur la scène rap français dès le milieu des années 2010. Son dernier projet lui a permis de s’inscrire définitivement sur la carte. Il y évoquait la difficulté d’une vie salariée dont il cherchait à s’échapper. Une autre époque. Comme si la manette avait été rangée au fond d’un tiroir, “Où les garçons grandissent” est une véritable mise à jour de la proposition artistique de Jewel Usain. Porté par des arrangements de qualité et une narration solide, cette oeuvre cohérente suit la démarche sincère d’un artiste en pleine évolution qui nourrit l’ambition de s’installer sans rougir dans la pile de ces grands albums de cette nouvelle génération de rap français. C’est notamment entre les mains de Rémy Béseau, compositeur multi-talents présent sur la majorité de l’album, que la couleur musicale qu’il souhaitait s’est illustrée. Loin de s’en tenir au rap qu’il maîtrise parfaitement, Jewel Usain s’essaie avec brio sur des terrains qui nécessitent précision et sensibilité : où on le découvre aussi à l’aise sur des couleurs neo-soul et R&B que sur des véritables harmonies de gospel. À ses côtés, c’est naturellement que se croisent les voix de MC élégants comme Prince Waly, Tuerie ou le chanteur HEDGES. “Où les garçons grandissent”, c’est l’album d’une confirmation : celle du talent de Jewel Usain. Il y fait autant briller sa rage et son esprit de revanche, que ses réflexions et ses émotions. Après avoir traversé le mode difficile, il s’installe dans un mode plus serein, et propose avec cet album une musique avec laquelle son public est voué non seulement à grandir aussi, mais surtout, à s’agrandir. FERDI Ferdi est un artiste saxophoniste, figure montante de la scène Bruxello-Parisienne ces dernières années il habite dans la capitale Belge et est originaire de France. Après un parcours de 15 années de conservatoire, il décide de s’intéresser à la production, devient très vite un acteur de la scène actuelle et lance son projet solo. Sa carrière sur la scène moderne commence avec le rappeur Peet, et très vite il collabore avec d’autres artistes tel que le pianiste Sofiane Pamart, le roi de la funk Dabeull ou encore son ami trompettiste Béesau. Après un premier EP solo « Val Duchesse » très bien reçu par la critique, il décide de collaborer avec Dabeull sur un album à la frontière entre leur deux univers. Cette rencontre musicale devient très vite une évidence, dont on peut se délecter sur l’album “Romance” paru le 8 septembre. * https://www.instagram.com/ferdileem/
UHODA JAZZ À LIÈGE PRÉSENTE SNARKY PUPPY Après plus d’une décennie de tournées incessantes et d’enregistrements dans l’obscurité la plus totale, le quasi-collectif originaire du Texas s’est soudain retrouvé considéré par la presse et le public comme l’une des figures majeures du monde du jazz. Mais comme l’indiquent les noms des catégories dans lesquelles le groupe a reçu ses cinq Grammy® Awards (meilleure performance R&B en 2014, meilleur album instrumental contemporain en 2016, 2017, 2021 et 2023), Snarky Puppy n’est pas exactement un groupe de jazz. Ce n’est pas un groupe de fusion, et ce n’est certainement pas un groupe de jam. Il est probablement préférable de suivre le conseil de Nate Chinen du New York Times, tel qu’énoncé dans une discussion en ligne sur le groupe, de “les prendre pour ce qu’ils sont, plutôt que de les juger pour ce qu’ils ne sont pas”. Snarky Puppy est une sorte de collectif qui compte jusqu’à 20 membres en rotation régulière. À la base, le groupe représente la convergence de la culture musicale américaine noire et blanche avec divers accents du monde entier. La caractéristique principale de la musique de Snarky Puppy est la joie de jouer ensemble dans un effort perpétuel de développement créatif. Snarky Puppy a toujours été un groupe qui donne la priorité au son de la musique. Notre règle est que le son ne doit pas être le même qu’avant”, commente League, qui poursuit : “la musique doit donner l’impression d’aller quelque part. Et il s’est déplacé quelque part, c’est certain. L’Empire Central World Tour, qui a débuté aux États-Unis en avril 2022, a emmené le groupe dans 30 États américains et 33 pays à travers le monde. C’est incroyable, mais pas du tout surprenant, le chemin parcouru par Snarky Puppy depuis que dix amis se sont réunis à l’université de North Texas en 2004. Cela soulève également la question suivante : quelle sera la prochaine étape pour Snarky Puppy ? Pour les fans de Snarky Puppy, la réponse à cette question est une perspective très excitante. Line-up : Michael League Nate Werth Bob Lanzetti Larnell Lewis Justin Stanton Bobby Sparks Maz Maher Chris Bullock Jay Jennings
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/] HENRI TEXIER SEPTET L’Indien des Batignolles En titrant de manière explicite son nouvel album “An Indian’s Life”, le contrebassiste et compositeur Henri Texier vient clôturer en beauté une sorte de triptyque phonographique informel débuté en 1993 avec “An Indian’s Week” et poursuivi en 2016 avec “Sky Dancers” faisant de la cause amérindienne et au-delà, de la figure quasi-mythologique de l’Indien, à la fois la matrice imaginaire et le moteur poétique de son geste artistique. Titrant la plupart de ses compositions de noms de tribus indiennes (Hopi, Comanche, Mapuche, Navajo Dream…), et contrairement au disque précédent, plaçant parfois au cœur de ses arrangements quelques éléments entrant en résonance avec les musiques amérindiennes (l’usage des tambours dans Dakota Mab notamment), Texier parvint dans cette oeuvre engagée, d’une grande force expressive, à considérablement renouveler son discours orchestral. Henri Texier ne sera jamais un Indien, il le sait, tout comme il ne sera jamais Charles Mingus mais l’un et l’autre se rencontrent dans sa musique et c’est tout son génie que de faire entendre sa voix la plus intime à travers ce dialogue imaginaire. La légende du jazz européen vous fera partager en sextet sa musique inspirée de voyages, de rêveries et d’engagement ! Henri Texier (Contrebasse ) Sébastien Texier (Sax, Clarinette) Carlo Nardozza (Trompette) Manu Codjia (Guitare) Gautier Garrigue (Batterie)
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be] MAKAYA MCCRAVEN Le batteur, producteur et collagiste sonore Makaya McCraven est actuellement l’un des artistes les plus demandés de Chicago, dont le processus inventif et le style intuitif et cinématique défient toute catégorisation. Considéré comme un véritable innovateur, McCraven passe brillamment d’un genre à l’autre et repousse les limites du jazz, de l’électronique, de la composition et du rythme pour créer des formes qui lui sont propres. Son album In the Moment est sorti chez International Anthem Recording en janvier 2015 et a rapidement été perçu comme une déclaration spectaculaire de McCraven, où il a lancé une marque unique de “musique rythmique organique” qui l’a rapidement propulsé à l’avant-garde non seulement des artistes de jazz de renommée internationale, mais aussi d’un genre de niche de compositeurs-producteurs de la nouvelle vague qui brouillent les frontières du jazz et de la musique électronique. Après ses débuts impressionnants, McCraven a enchaîné les sorties incroyables, notamment Universal Beings (International Anthem) en 2018 et We’re New Again, sa relecture du dernier album de Gil Scott-Heron pour XL Recordings. McCraven a récemment publié Deciphering the Message – une collection de 13 morceaux issus du vaste catalogue de Blue Note Records, réarrangés et remixés avec le nouveau son. L’album est sorti en octobre 2021 chez Blue Note Records. In These Times est le nouvel et septième (!) album (sorti le 23 septembre 2022) de la collaboration entre International Anthem, Nonesuch et XL Recordings. In These Times comprend plusieurs invités de marque, notamment le guitariste Jeff Parker, la harpiste Brandee Younger et Macie Stewart d’Ohmme. Junius Paul, Marta Sofia Honer et Lia Kohl font également partie de ceux qui rejoignent le percussionniste de Chicago. Percussions hip-hop, musique de machines et cordes somptueuses rivalisent avec un jazz pur et dur dans le dernier album du batteur-producteur américain – The Guardian Makaya McCraven (drums) Marquis Hill (trumpet) Junius Paul (bass) Matt Gold (guitar) IFE OGUNJOBI Ife Ogunjobi est un musicien londonien né de parents nigérians dont la musique est un amalgame des sons qui l’ont entouré. Ayant grandi dans le sud-est de Londres, son environnement a enrichi sa musique de divers genres tels que le jazz, l’afrobeat et le hip-hop. Influencé par Fela Kuti, Erykah Badu et Roy Hargrove, son concept musical élimine les barrières entre les différents genres de musique et dépeint un son authentique. Le premier EP d’Ife, “Stay True”, sorti le 14 septembre 2023, témoigne de son authenticité et de sa fidélité à ses racines et à son éducation. Il mélange les influences Fuji et Afrobeats de son héritage nigérian avec des éléments de Jazz et de Hip Hop qui ont influencé son éducation londonienne. Cet EP vibrant et dynamique est enraciné dans le fait d’être soi-même de manière inconditionnelle, à travers des mélodies triomphantes et exaltantes, des grooves revigorants, des solos virtuoses et des rythmes irrésistibles. Contributeur essentiel de la scène londonienne, Ife est un cinquième du groupe Ezra Collective, qui a remporté le Mercury Prize 2023 pour son album “Where I’m Meant to Be”. En plus des tournées et des enregistrements avec Ezra Collective, il s’est également produit dans des stades à guichets fermés, comme le Madison Square Garden, avec des artistes tels que Wizkid et Burna Boy.
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be] KAMAAL WILLIAMS Kamaal Williams aka Henry Wu revient avec son troisième album solo sur Black Focus. Le virtuose polymathe du sud de Londres réalise un tour de force multidisciplinaire, traversant les mondes du jazz, de la musique classique, de l’électronique, de l’art et du design. Lineup : Kamaal Williams : Keyboards Brian Hargrove : Bass Keyboards Preston “Peezy” Stephens : Drums, Loops TENDERLONIOUS Boss du label 22a , flûtiste, saxophoniste, producteur et DJ, Ed ‘Tenderlonious’ Cawthorne est considéré comme l’une des figures de proue du jazz londonien et de la scène underground. Son label 22a, basé dans le sud de Londres, est l’un des labels indépendants plus respectés au Royaume-Uni à la suite d’une succession de sorties recherchées du jazz, de la house, du hip hop, de la soul, du garage, de la classique indienne et de la jungle. Il a assez de travail à lui seul, donc quiconque creuse un peu plus profondément le saura, Tenderlonious a amassé un arsenal de sorties qui transcendent le Royaume-Uni. Il est le fondateur et le leader du quatuor de jazz-funk-fusion Ruby Rushton, qui est le premier L’album « Two For Joy », de 2015, est souvent crédité d’avoir inspiré la résurgence du jazz britannique. Son premier album live ‘Tenderlonious The Shakedown’ est considéré comme l’un des meilleurs albums classiques de l’ère du jazz moderne, recevant des critiques élogieuses et recevant plus de 5 millions de streams dans le monde. Il a également prouvé qu’il était l’un des musiciens les plus polyvalents et avant-gardistes dans le monde, en collaboration avec le groupe de jazz polonais EABS, Le musicien et producteur italien Lorenzo Morresi à propos de son album de 2022 « Cosmica Italiana » et pour sa célèbre collaboration avec le groupe pakistanais Jaubi qui a suscité des critiques élogieuses de la part de The Guardian, Pitchfork, Dowbeat pour n’en nommer que quelques-uns, et qui ont en outre conduit à des spectacles en tête d’affiche à l’Union Chapel de Londres et des festivals dans le monde entier. En 2023, il reviendra avec un nouvel album live et un spectacle live, mettant en vedette certains de ses musiciens et collaborateurs préférés. Il a également des projets à venir en 2023 avec Jaubi, Nick Walters, Joel Holmes, l’ensemble Spirit Of Sundaze et Lorenzo Morresi. * https://www.instagram.com/tender22a/ * https://www.youtube.com/channel/UCpMXmIlM6GNh6vARbjRffZQ
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/] SHABAKA Le travail de Shabaka transcende les notions conventionnelles de genre et s’inspire d’une vaste palette d’influences culturelles. S’il est indéniablement une voix pionnière dans la renaissance du jazz britannique, son champ d’action est bien plus large : Il a également interprété des concertos classiques avec des orchestres de renommée mondiale, dirigé plusieurs groupes extrêmement influents (Sons of Kemet, The Comet is Coming, Shabaka and The Ancestors) et a récemment sorti un album solo salué par la critique, Afrikan Culture, une œuvre d’une beauté et d’une urgence exceptionnelles, axée sur l’instrument d’Asie orientale, le Shakuhachi, dont Shabaka est l’un des principaux interprètes.
À l’occasion du Uhoda jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be] LAKECIA BENJAMIN Ce nouvel album d’une grande portée présente la saxophoniste tour-de-force dans une position équilibrée et profondément individuelle, aux côtés d’un groupe de musiciens de premier plan.  Phoenix est le nouvel album très attendu de la saxophoniste alto et compositrice Lakecia Benjamin, dont la sortie est prévue le 27 janvier 2023 sur Whirlwind Recordings. L’album a été produit par Terri Lyne Carrington, lauréate de plusieurs Grammy Awards, et comprend une brochette d’invités de choix : Dianne Reeves, Georgia Anne Muldrow, Patrice Rushen, Sonia Sanchez, Angela Davis et Wayne Shorter. Le groupe est composé du trompettiste Josh Evans, de Victor Gould aux clés, d’Orange Rodriguez aux synthétiseurs, du batteur Enoch (EJ) Strickland, du percussionniste Nêgah Santos et du bassiste Ivan Taylor. Le trompettiste Wallace Roney Jr, l’organiste Rhodes Anastassiya Petrova et le bassiste Jahmal Nichols participent chacun à un morceau.  “Lorsque nous sommes sortis de la pandémie, nous n’avions pas le droit d’être brisés”, explique Lakecia en décrivant l’expérience profondément personnelle qu’est devenue Phoenix pour elle. L’album présente principalement des compositions originales écrites au fil des saisons : “Nous devions être de beaux oiseaux absorbants et nous mettre au travail. Je voulais mettre l’accent sur chaque mois de l’année. Les compositions de Phoenix s’articulent autour des compétences de ses invitées triomphantes, une poignée de femmes du jazz qui ont eu une influence déterminante sur Lakecia.  Des sirènes annoncent le début du disque sur “Amerikkan Skin”, avec l’activiste politique américaine Angela Davis comme invitée. “New Mornings” a été composé au cœur de l’été : “Il faisait chaud à New York et j’avais l’impression de vivre la même journée encore et encore”, explique Lakecia, “mais la seule chose qui se répercutait ou qui changeait était le niveau de tristesse que je ressentais à chaque fois que je me réveillais. Je passais mon temps à rêver de matins différents à des époques nouvelles.”  Le titre “Phoenix” est interprété par Georgia Anne Muldrow aux synthétiseurs. “Pour moi, c’était la période où j’ai décidé que je devais trouver une nouvelle voie. Je me suis dit que je devais commencer par ce titre, en essayant de montrer que nous sortions de cette période sombre et que nous allions sur la piste de danse”, ajoute Lakecia. Le titre “Mercy” est interprété par la chanteuse Dianne Reeves, qui s’enfonce dans le message de bonté de la chanson avec sa voix apaisante caractéristique. Lakecia souligne les aptitudes multigenres de la pianiste Patrice Rushen avec “Jubilation”, qui rend hommage à une artiste qui enseigne à d’autres femmes comment s’élever à un degré immense.  Les pistes six et sept forment une unité ; la première partie est un haïku de la poétesse Sonia Sanchez et le morceau “Blast”, original pour Benjamin, met à nouveau en scène Sanchez. “Moods” est un morceau de jazz plus traditionnel et plus percutant, tandis que “Rebirth” a été composé en hommage personnel à la famille de Lakecia, qui a subi plusieurs pertes : “C’est un morceau plus lent, mais qui s’accélère à la fin et qui est plus joyeux. “Trane”, une ode à Alice et John Coltrane, fait également référence au projet précédent de Lakecia. Le morceau a récemment été commandé par l’Université de Pennsylvanie, où il a été créé le 16 octobre 2022 en l’honneur du 50e anniversaire du programme Penn Live Arts.  “Basquiat” est une suite inspirée par l’artiste néo-expressionniste et précédée d’un message du géant du jazz Wayne Shorter. “Il est le gourou ultime”, déclare Lakecia, “c’est presque comme s’il regardait dans votre âme et seules les âmes comptent ici”.  “Je voulais que les gens ne ressentent pas seulement ce que je dis à travers les chansons et mon saxophone, mais qu’ils l’entendent aussi verbalement, pour qu’il n’y ait pas de différence entre nos points de vue”, explique Lakecia pour justifier le concept de son album, qui est imprégné de spoken word. Il ne fait aucun doute que Phoenix marque une nouvelle montée en puissance pour une artiste qui sait résolument ce qu’elle veut dire et comment le dire, tout en honorant ses mentors et les traditions qui l’ont précédée. RONI KASPI Roni Kaspi, qui n’a que 22 ans, fait tourner bien des têtes depuis qu’elle a percé en 2020 en tant que batteuse de tournée internationale dans le monde de la basse jazz. percée en 2020 en tant que batteuse de tournée internationale au sein du trio de basse jazz jazz Avishai Cohen. Elle a commencé la batterie à l’âge de 7 ans (“Je pense en fait que c’est la batterie qui m’a choisie, et non l’inverse”). que c’est la batterie qui m’a choisie, et non l’inverse”, dit-elle), Roni a été encadrée par le prestigieux conservatoire de Berklee. prestigieux conservatoire de Berklee par Terri Lyne Carrington, maître de la batterie lauréate d’un Grammy Carrington, lauréate d’un Grammy, avant d’être propulsée sous les feux de la rampe l’année dernière lorsque son compatriote israélien Avishai Cohen l’a engagée dans son célèbre trio après avoir entendu sa batterie phénoménale dans une vidéo publiée sur Instagram. vidéo postée sur Instagram. Elle a remplacé des batteurs aussi influents que Mark Guiliana, En plus d’un calendrier de tournées internationales très chargé, elle a également joué un rôle essentiel dans Shifting Sands, l’un des albums d’Avishai Cohen. Sands, l’un des meilleurs enregistrements en trio d’Avishai à ce jour, qui a pris d’assaut tous les classements internationaux “best of” de 2022. de 2022. Aussi incroyable que cela ait été (et cela a changé sa vie), ce n’est qu’un aspect de l’univers musical unique et très diversifié d’Avishai. de l’univers musical très diversifié et unique de l’artiste d’origine israélienne, qui entre dans le rôle d’auteur-compositeur-interprète à la batterie. d’auteur-compositeur-interprète et de producteur, pour diriger son propre trio de chansons et d’instruments, à la fois avant-gardiste et groovy et d’un groove accessible, pour mener son propre projet de trio instrumental. “Ces deux dernières années, j’ai travaillé sur ma propre musique. j’ai travaillé sur ma propre musique. Ces chansons sont ma véritable identité musicale”, dit-elle. Pour son Pour son nouveau projet en trio, Roni Kaspi a une vision ultra-branchée, qui embrasse tous les genres, pour 2023 et au-delà, osant mélanger le futur et l’avenir. et au-delà, osant mélanger le futuriste et le traditionnel, l’improvisation funky et imaginative en “temps réel” avec des influences éclectiques de la musique alternative, de la musique de chambre et de la musique contemporaine. l’improvisation en temps réel avec des influences éclectiques de l’alt-pop, de la soul, de la musique du monde et de l’électronique. bien qu’il y ait beaucoup plus de différences que de similitudes, pensez à Thundercat, Anderson Paak, Louis Cole et Bjork. Cole et Bjork. “Tout m’inspire : les musiciens, les acteurs, les créateurs, les gens en général, partout, tout le temps. des gens en général, partout, tout le temps”, dit-elle. “Il y a des musiciens. Tony Williams, pour moi, c’est un maître de l’instrument et un outil de canalisation musicale. Miles Davis est un exemple d’artiste qui n’a jamais cessé de chercher de nouvelles choses. Ensuite, David Hockney, Andy Warhol, etc. David Hockney, Andy Warhol et bien d’autres encore”. Avec sa créativité envoûtante, son jeu d’instruments en roue libre, sa voix excentrique et ses paroles candides, Roni est accompagnée par un groupe de musiciens. Roni est accompagné d’un trio parisien composé d’Oxy, un génie des claviers et des synthés analogiques incroyablement inventif, et de Novo. analogiques et de la basse électrique de Noé Berne. L’attitude jeune, indie rock et l’attitude hip-hop rencontre la sophistication du jazz dans un mélange inclusif pour l’auditeur de musique d’aujourd’hui, naturellement curieux et ouvert d’esprit. curieux et ouvert d’esprit. Roni Kaspi Trio est la preuve que le jazz n’est plus la musique préférée de vos parents, mais l’une des musiques les plus populaires du monde. de vos parents, mais l’un des nombreux ingrédients spéciaux de la liste de lecture de tout jeune artiste branché et informé. de tout jeune artiste branché et informé. Le trio Roni Kaspi joue une musique qui exprime le moment dans lequel nous vivons.