Exposition - Du pain au grain, mémoire du travail de la terre dans le Cézallier

Beschrijving

« Du grain au pain » explore l'histoire vécue par de nombreuses familles du Cézallier, une histoire sociale, technique, organisationnelle d'une partie de la vie paysanne autrefois : du labour aux récoltes, du grain à la farine, du moulin au four à pain.

- Depuis la fin du 19è s les mutations du monde agricole se sont emballés, des outils rudimentaires à la main ont été remplacés par des machines sans cesse en évolution technique...

- La mécanisation a gagné progressivement le territoire du Cézallier à la place de la force animale et humaine dans les travaux des champs et de l'élevage.

- Cette exposition tente de montrer grâce à plus de 300 photographies locales et des explications pédagogiques différents moments de cette vie paysanne, des témoignages d'existences de vie laborieuses, des pratiques et des coutumes d'utilisation des nouveaux apports techniques et mécaniques dans le Cézallier. Avant d'arriver au pain

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Mise à jour le 21/06/2024 Par Hautes Terres Tourisme
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Harrie Gerritz se dit peintre paysagiste, mais il faut beaucoup de temps avant de trouver un paysage tel qu'il le peint. Il s'intéresse au « paysage bâti » et nous montre comment il vit ce paysage sous une forme réduite et intense. Il s'intéresse aux « signes », aux concepts, aux formes qui n'existent pas dans la nature – le carré par exemple. L'artiste « crée » la place en reliant des lignes horizontales et verticales, comme un horizon et un clocher d'église, ou une rivière et des arbres. Et il s'intéresse au « paysage construit », auquel les humains ont ajouté des formes géométriques : les formes de blocs d'une maison, d'un pavé ou d'une clôture. Harrie Gerritz nous montre comment il vit ce paysage sous une forme réduite et intense. Il est frappant qu'il attribue un rôle actif à la fois au paysage et à ses peintures : il parle de « signes du paysage fluvial », pour indiquer qu'une communication a lieu, donc plus qu'une observation unilatérale. C'est également le cas de ses peintures : « L'œuvre elle-même indique s'il faut en faire quelque chose ». Les paysages, élevés au-dessus de la réalité, semblent d'une simplicité évidente. Pourtant, chaque ligne et chaque zone de couleur vibre de l'inspiration qu'Harrie Gerritz éprouve dans ce paysage. Lui- même enfant du paysage fluvial néerlandais, Harrie Gerritz explore dans son travail une série de questions sur le paysage et sa perception. Au fil des années, les réponses sont devenues de plus en plus intenses et abstraites. "Le carré est ma forme préférée" « Si vous regardez les éléments : la terre, l’eau, l’air et le feu, alors j’appartiens à la terre. J'ai toujours envie de voir l'horizon quand j'arrive quelque part. Je suis visuel et j'aime la ligne droite de l'horizon hollandais. C'est pour cette raison que je n'irais jamais en Autriche, par exemple : je ne supporterais pas de ne voir nulle part un horizon plat. Les clochers d’églises sont courants dans mon travail. Outre les arbres, ce sont en fait les seuls éléments de composition verticaux que nous avons dans le paysage. Dans mon travail, ils constituent une force verticale nécessaire par rapport aux éléments horizontaux. « Signes du paysage fluvial » « Mon travail se compose de signes issus du paysage fluvial. Tout vient du paysage. Aux Pays-Bas, il n'y a plus de paysage primitif, tout est conçu par l'homme : les bâtiments, la nature, les voies navigables. Mais des peintres du XVIIe siècle comme Jan van Goyen et Johannes Vermeer ont également peint des paysages construits. En ce sens, je suis un peintre paysagiste tout comme eux : je suis fasciné par le paysage d'aujourd'hui, tel qu'il s'est développé. Mon travail est devenu de plus en plus abstrait. Je n'ai plus besoin de sortir pour voir le paysage. Je travaille de plus en plus avec les souvenirs du paysage. Le paysage devient un « paysage mental ». En studio, je transforme les signes en composition, et la lumière, la saison, passe dessus. La palette est très importante. Dès le début, j'ai travaillé avec les couleurs que je connaissais dans le monde de l'imprimerie : le jaune, le bleu, le rouge et le noir. Je peux encore bien gérer ça, cela correspond bien à ma tendance à la réduction. Mon point de départ – la raison pour laquelle je commence une peinture – est : « Je veux vivre quelque chose ». Je veux découvrir quelque chose de nouveau à chaque fois, quelque chose que je n'ai jamais vu auparavant. J'essaie de rendre le travail aussi passionnant que possible avec le moins d'éléments possible. « Est-ce que cela peut être fait avec encore moins ? c’est la question que je me pose souvent. https://harriegerritz.nl
Figure marquante de la photographie, Albert Monier (1915-1998), est originaire d’un petit village du Cantal, Savignat de Chanterelle où il découvre et apprend la photographie... -Il doit sa célébrité à ses cartes postales d’un genre nouveau et à ses grands tirages en noir et blanc : il est considéré comme l’inventeur du poster. Il a beaucoup photographié son Auvergne natale, mais pas que… -Il a essayé de capturer les scènes de la vie courante dans les années 50, en Auvergne, mais aussi au Maroc et à Paris, qu’il a célébré en fixant des personnages pittoresques, des lieux insolites, des moments forts. -Pour Albert Monier le noir et blanc magnifie les attitudes, éclaire des atmosphères tout en apportant un élément intemporel aux scènes photographiées. - Les légendes (« Portrait sans visage, Ecriture de lumière, Le chemin du temps,.. ») accentuent le côté poétique des clichés. Albert Monier est considéré, à juste titre, comme un des grands de la photographie humaniste.
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