Exposition Marguerite Noirel - Numa

Beschrijving

M. Noirel : sculptures en métal " je crée des personnages hybrides, des natures mortes, des boîtes de Pandore, ou des scènes absurdes". Numa : arts graphiques "J’aime mêler l’humain et l’animal, le végétal et le minéral".

M. NOIREL - "A partir de la mythologie, de l'actualité, de la mémoire des objets, je crée des personnages hybrides, des natures mortes, des boîtes de Pandore, ou des scènes absurdes, incarnations de la comédie humaine.
Dans l’espace, je travaille sur la ligne, sur le temps, l’apparence et l’intérieur. J’essaie de créer une comédie humaine dévoyée ou une sorte de bestiaire anthropomorphe dont le tragique traduit la réalité et l’humour l’espoir."

NUMA - " Je dessine mes démons intérieurs, l’enfance, la famille, la parole empêchée. La poésie du monde, et sa violence aussi, nos liens avec le vivant, quel qu’il soit.
J’aime mêler l’humain et l’animal, le végétal et le minéral, ce sont pour moi des mondes multiples, complexes et imprévisibles.
J’aime brouiller les pistes, perturber le regard, donner à voir ce qui est caché ou au contraire épaissir le mystère. Faire un pas de côté."

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Gratuit.

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Voorgestelde evenementen

Jdourbex -Photographies et pratique Urbex ; P. Ignacio - sculptures entre art brut, art singulier et mouvement steampunk. La matière première est un chaos d’objets de récupération qu'il s’amuse à assembler pour leur offrir une nouvelle vie. JDOURBEX-« Revenez dans le passé à travers quelques clichés de lieux malheureusement oubliés ». Combiner discrétion, adrénaline, aventure et histoire dans la pratique de l’exploration urbaine occupe une partie de mon quotidien depuis près de 3 ans. Avant toutes choses, laissez-moi vous rappeler quelques règles de base. Peu importe le lieu que nous souhaitons visiter, il est interdit de forcer un accès pour y pénétrer. Le vol et la dégradation sont également défendus. Nous ne divulguons pas les adresses des lieux afin de les préserver de personnes mal intentionnées. A chaque cliché pris, mon regard s’émerveille devant la beauté de ces bâtisses à l’abandon. Photographier ses lieux permet de continuer à les faire vivre. Que ce soit châteaux, manoirs ou thermes…nous tentons à chaque expédition de comprendre leur histoire et raisons de leur abandon. Qu’ils se situent en France ou à l’étranger, j’espère que, comme moi-même, ces lieux à travers les photographies présentées ne vous laisseront pas indifférents. Je vous laisse plonger dans bien des années en arrière, là où la vie s’est arrêtée du jour au lendemain. Philippe IGNACIO-La matière première de Lampoule " Philippe Ignacio " est un chaos d’objets de récupération qu'il s’amuse à assembler pour leur offrir une nouvelle vie. Horloger de son monde, il a décidé que quitte à vivre dans un monde surréaliste autant choisir le sien : son univers s’inspire, entre autres, de l’art brut, de l’art singulier et du mouvement steampunk. Ebéniste de formation, il aime aujourd’hui réunir des matières hétéroclites afin que ses sculptures et ses luminaires puissent susciter la curiosité, l’étonnement, la rêverie. Il perce, visse, taraude, soude, colle, en travaillant essentiellement les métaux, le bois, mais aussi le cuir, la corde, le verre et d’autres objets ayant droit à mes yeux à une deuxième existence.
Les trois artistes de cette première exposition 2024 offrent tous une grande place à l'intuitif dans leur travail, ce qui donne une forte connivence entre leurs univers pourtant très différents. Grâce à son dessin intuitif et compulsif, Eric DEMELIS a trouvé sa place dans le monde de l'Art singulier. Ses toiles racontent les péripéties des personnages hybrides dont elles sont saturées ce qui évoque fortement le travail de la bande dessinée. Fabienne CINQUIN est passé maître dans l'art de narrer des histoires en images. Célèbre dans le monde de l'illustration et de la littérature pour enfants, son talent de graphiste nous offre également des personnages hybrides aux couleurs chatoyantes. C'est avec des petits bouts de rien, ramassés au gré de ses vagabondages que Fran?oise FOURNIER crée ses sculptures. Elle nous dit « Je les accumule, je les connais, j'y pense la nuit, je veux juste les relier et donner forme au chant de la matière ».
Cette exposition vous conduira dans un monde féerique. Les artistes manient toutes deux avec brio et délicatesse, chacune dans son domaine, les couleurs et les formes. Danielle Péan-le Roux et Lysiane D.Coste. Danielle PÉAN-LE ROUX, artiste textile, éditrice de livre d'artiste et graveuse nous présente dans son installation textile « Le jardin de Circé », les plantes magiques que la magicienne de la mythologie grecque utilisait. Elle nous invite à flâner dans son jardin ou les fleurs sont suspendues dans une fragilité qui masque leurs pouvoirs. Seront également exposées des broderies et des gravures issues de cette installation. Coloriste, aux traits parfois exacerbés, Lysiane D.COSTE dévoile sa palette haute en couleur dans ses peintures techniques mixtes, inspirées du quotidien et des sujets sociétaux. Son univers pop et déstructuré est plein de tonus, d'humour et… d'un brin de provocation. Son travail au tempérament bien trempé ne peut laisser indifférent.
Cette deuxième exposition vous conduira dans un monde féerique. Les artistes manient toutes deux avec brio et délicatesse, chacune dans son domaine, les couleurs et les formes. Danielle PÉAN-LE ROUX, artiste textile, éditrice de livre d'artiste et graveuse nous présente dans son installation textile « Le jardin de Circé », les plantes magiques que la magicienne de la mythologie grecque utilisait. Elle nous invite à flâner dans son jardin ou les fleurs sont suspendues dans une fragilité qui masque leurs pouvoirs. Seront également exposées des broderies et des gravures issues de cette installation. Coloriste, aux traits parfois exacerbés, Lysiane D.COSTE dévoile sa palette haute en couleur dans ses peintures techniques mixtes, inspirées du quotidien et des sujets sociétaux. Son univers pop et déstructuré est plein de tonus, d'humour et… d'un brin de provocation. Son travail au tempérament bien trempé ne peut laisser indifférent.
Vous pourrez découvrir le travail illustratif et sérigraphique de Léa De Pinho. L'artiste vous propose une démonstration de sérigraphie, sur un format carte postale que vous pourrez customiser, le dernier jour de l'expo, dimanche 21 juillet.
Harrie Gerritz se dit peintre paysagiste, mais il faut beaucoup de temps avant de trouver un paysage tel qu'il le peint. Il s'intéresse au « paysage bâti » et nous montre comment il vit ce paysage sous une forme réduite et intense. Il s'intéresse aux « signes », aux concepts, aux formes qui n'existent pas dans la nature – le carré par exemple. L'artiste « crée » la place en reliant des lignes horizontales et verticales, comme un horizon et un clocher d'église, ou une rivière et des arbres. Et il s'intéresse au « paysage construit », auquel les humains ont ajouté des formes géométriques : les formes de blocs d'une maison, d'un pavé ou d'une clôture. Harrie Gerritz nous montre comment il vit ce paysage sous une forme réduite et intense. Il est frappant qu'il attribue un rôle actif à la fois au paysage et à ses peintures : il parle de « signes du paysage fluvial », pour indiquer qu'une communication a lieu, donc plus qu'une observation unilatérale. C'est également le cas de ses peintures : « L'œuvre elle-même indique s'il faut en faire quelque chose ». Les paysages, élevés au-dessus de la réalité, semblent d'une simplicité évidente. Pourtant, chaque ligne et chaque zone de couleur vibre de l'inspiration qu'Harrie Gerritz éprouve dans ce paysage. Lui- même enfant du paysage fluvial néerlandais, Harrie Gerritz explore dans son travail une série de questions sur le paysage et sa perception. Au fil des années, les réponses sont devenues de plus en plus intenses et abstraites. "Le carré est ma forme préférée" « Si vous regardez les éléments : la terre, l’eau, l’air et le feu, alors j’appartiens à la terre. J'ai toujours envie de voir l'horizon quand j'arrive quelque part. Je suis visuel et j'aime la ligne droite de l'horizon hollandais. C'est pour cette raison que je n'irais jamais en Autriche, par exemple : je ne supporterais pas de ne voir nulle part un horizon plat. Les clochers d’églises sont courants dans mon travail. Outre les arbres, ce sont en fait les seuls éléments de composition verticaux que nous avons dans le paysage. Dans mon travail, ils constituent une force verticale nécessaire par rapport aux éléments horizontaux. « Signes du paysage fluvial » « Mon travail se compose de signes issus du paysage fluvial. Tout vient du paysage. Aux Pays-Bas, il n'y a plus de paysage primitif, tout est conçu par l'homme : les bâtiments, la nature, les voies navigables. Mais des peintres du XVIIe siècle comme Jan van Goyen et Johannes Vermeer ont également peint des paysages construits. En ce sens, je suis un peintre paysagiste tout comme eux : je suis fasciné par le paysage d'aujourd'hui, tel qu'il s'est développé. Mon travail est devenu de plus en plus abstrait. Je n'ai plus besoin de sortir pour voir le paysage. Je travaille de plus en plus avec les souvenirs du paysage. Le paysage devient un « paysage mental ». En studio, je transforme les signes en composition, et la lumière, la saison, passe dessus. La palette est très importante. Dès le début, j'ai travaillé avec les couleurs que je connaissais dans le monde de l'imprimerie : le jaune, le bleu, le rouge et le noir. Je peux encore bien gérer ça, cela correspond bien à ma tendance à la réduction. Mon point de départ – la raison pour laquelle je commence une peinture – est : « Je veux vivre quelque chose ». Je veux découvrir quelque chose de nouveau à chaque fois, quelque chose que je n'ai jamais vu auparavant. J'essaie de rendre le travail aussi passionnant que possible avec le moins d'éléments possible. « Est-ce que cela peut être fait avec encore moins ? c’est la question que je me pose souvent. https://harriegerritz.nl