M. Noirel : sculptures en métal " je crée des personnages hybrides, des natures
mortes, des boîtes de Pandore, ou des scènes absurdes". Numa : arts graphiques
"J’aime mêler l’humain et l’animal, le végétal et le minéral".
M. NOIREL - "A partir de la mythologie, de l'actualité, de la mémoire des
objets, je crée des personnages hybrides, des natures mortes, des boîtes de
Pandore, ou des scènes absurdes, incarnations de la comédie humaine.
Dans l’espace, je travaille sur la ligne, sur le temps, l’apparence et
l’intérieur. J’essaie de créer une comédie humaine dévoyée ou une sorte de
bestiaire anthropomorphe dont le tragique traduit la réalité et l’humour
l’espoir."
NUMA - " Je dessine mes démons intérieurs, l’enfance, la famille, la parole
empêchée. La poésie du monde, et sa violence aussi, nos liens avec le vivant,
quel qu’il soit.
J’aime mêler l’humain et l’animal, le végétal et le minéral, ce sont pour moi
des mondes multiples, complexes et imprévisibles.
J’aime brouiller les pistes, perturber le regard, donner à voir ce qui est caché
ou au contraire épaissir le mystère. Faire un pas de côté."
![Evenement](https://api.culturius.com/media/cache/resolve/photo_original_filter/6634fda9baa76203477659.jpeg)
Exposition de l'Imprimerie Charcuterie par le Commun des Piqueurs
13augustus
-01september
1 Place De La Reine Margot, 63490 Usson, Frankrijk
Beschrijving
L'Imprimerie-Charcuterie est un atelier de typographie traditionnelle situé à Saint Jean des Ollières. Depuis 2018, ses membres explorent les possibilités graphiques et créatives autour de la production de flyers, affiches, livres, gazettes...
Info & Reservering
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Voorgestelde evenementen
Jdourbex -Photographies et pratique Urbex ; P. Ignacio - sculptures entre art
brut, art singulier et mouvement steampunk. La matière première est un chaos
d’objets de récupération qu'il s’amuse à assembler pour leur offrir une nouvelle
vie.
JDOURBEX-« Revenez dans le passé à travers quelques clichés de lieux
malheureusement oubliés ».
Combiner discrétion, adrénaline, aventure et histoire dans la pratique de
l’exploration urbaine occupe une partie de mon quotidien depuis près de 3 ans.
Avant toutes choses, laissez-moi vous rappeler quelques règles de base. Peu
importe le lieu que nous souhaitons visiter, il est interdit de forcer un accès
pour y pénétrer. Le vol et la dégradation sont également défendus. Nous ne
divulguons pas les adresses des lieux afin de les préserver de personnes mal
intentionnées.
A chaque cliché pris, mon regard s’émerveille devant la beauté de ces bâtisses à
l’abandon. Photographier ses lieux permet de continuer à les faire vivre.
Que ce soit châteaux, manoirs ou thermes…nous tentons à chaque expédition de
comprendre leur histoire et raisons de leur abandon.
Qu’ils se situent en France ou à l’étranger, j’espère que, comme moi-même, ces
lieux à travers les photographies présentées ne vous laisseront pas
indifférents. Je vous laisse plonger dans bien des années en arrière, là où la
vie s’est arrêtée du jour au lendemain.
Philippe IGNACIO-La matière première de Lampoule " Philippe Ignacio " est un
chaos d’objets de récupération qu'il s’amuse à assembler pour leur offrir une
nouvelle vie. Horloger de son monde, il a décidé que quitte à vivre dans un
monde surréaliste autant choisir le sien : son univers s’inspire, entre autres,
de l’art brut, de l’art singulier et du mouvement steampunk. Ebéniste de
formation, il aime aujourd’hui réunir des matières hétéroclites afin que ses
sculptures et ses luminaires puissent susciter la curiosité, l’étonnement, la
rêverie. Il perce, visse, taraude, soude, colle, en travaillant essentiellement
les métaux, le bois, mais aussi le cuir, la corde, le verre et d’autres objets
ayant droit à mes yeux à une deuxième existence.
Les trois artistes de cette première exposition 2024 offrent tous une grande
place à l'intuitif dans leur travail, ce qui donne une forte connivence entre
leurs univers pourtant très différents.
Grâce à son dessin intuitif et compulsif, Eric DEMELIS a trouvé sa place dans le
monde de l'Art singulier. Ses toiles racontent les péripéties des personnages
hybrides dont elles sont saturées ce qui évoque fortement le travail de la bande
dessinée.
Fabienne CINQUIN est passé maître dans l'art de narrer des histoires en images.
Célèbre dans le monde de l'illustration et de la littérature pour enfants, son
talent de graphiste nous offre également des personnages hybrides aux couleurs
chatoyantes.
C'est avec des petits bouts de rien, ramassés au gré de ses vagabondages que
Fran?oise FOURNIER crée ses sculptures. Elle nous dit « Je les accumule, je les
connais, j'y pense la nuit, je veux juste les relier et donner forme au chant de
la matière ».
Marguerite Noirel expose une sélection de créatures étranges en fer récupéré
pour porter un regard critique sur la société humaine. Le collectif Images a
figé ses personnages imaginaires sur la pellicule.
Cette exposition vous conduira dans un monde féerique. Les artistes manient
toutes deux avec brio et délicatesse, chacune dans son domaine, les couleurs et
les formes. Danielle Péan-le Roux et Lysiane D.Coste.
Danielle PÉAN-LE ROUX, artiste textile, éditrice de livre d'artiste et graveuse
nous présente dans son installation textile « Le jardin de Circé », les plantes
magiques que la magicienne de la mythologie grecque utilisait. Elle nous invite
à flâner dans son jardin ou les fleurs sont suspendues dans une fragilité qui
masque leurs pouvoirs. Seront également exposées des broderies et des gravures
issues de cette installation.
Coloriste, aux traits parfois exacerbés, Lysiane D.COSTE dévoile sa palette
haute en couleur dans ses peintures techniques mixtes, inspirées du quotidien et
des sujets sociétaux.
Son univers pop et déstructuré est plein de tonus, d'humour et… d'un brin de
provocation.
Son travail au tempérament bien trempé ne peut laisser indifférent.
Cette deuxième exposition vous conduira dans un monde féerique. Les artistes
manient toutes deux avec brio et délicatesse, chacune dans son domaine, les
couleurs et les formes.
Danielle PÉAN-LE ROUX, artiste textile, éditrice de livre d'artiste et graveuse
nous présente dans son installation textile « Le jardin de Circé », les plantes
magiques que la magicienne de la mythologie grecque utilisait. Elle nous invite
à flâner dans son jardin ou les fleurs sont suspendues dans une fragilité qui
masque leurs pouvoirs. Seront également exposées des broderies et des gravures
issues de cette installation.
Coloriste, aux traits parfois exacerbés, Lysiane D.COSTE dévoile sa palette
haute en couleur dans ses peintures techniques mixtes, inspirées du quotidien et
des sujets sociétaux.
Son univers pop et déstructuré est plein de tonus, d'humour et… d'un brin de
provocation. Son travail au tempérament bien trempé ne peut laisser indifférent.
Vous pourrez découvrir le travail illustratif et sérigraphique de Léa De Pinho.
L'artiste vous propose une démonstration de sérigraphie, sur un format carte
postale que vous pourrez customiser, le dernier jour de l'expo, dimanche 21
juillet.
Cette exposition collective explore à nouveau cette année des univers
merveilleux, poétiques, engagés et complémentaires ! Le fil conducteur de nos
trois céramistes est la matière, son intemporalité.
Ouverture pendant les horaires de l’Accueil touristique. Cette année la Mairie
ajoutera, à cette exposition des documents concernant le bombardement du 30 juin
1944 à Saint-Floret.
Harrie Gerritz se dit peintre paysagiste, mais il faut beaucoup de temps avant
de trouver un paysage tel qu'il le peint. Il s'intéresse au « paysage bâti » et
nous montre comment il vit ce paysage sous une forme réduite et intense.
Il s'intéresse aux « signes », aux concepts, aux formes qui n'existent pas dans
la nature – le carré par exemple. L'artiste « crée » la place en reliant des
lignes horizontales et verticales, comme un horizon et un clocher d'église, ou
une rivière et des arbres. Et il s'intéresse au « paysage construit », auquel
les humains ont ajouté des formes géométriques : les formes de blocs d'une
maison, d'un pavé ou d'une clôture.
Harrie Gerritz nous montre comment il vit ce paysage sous une forme réduite et
intense. Il est frappant qu'il attribue un rôle actif à la fois au paysage et à
ses peintures : il parle de « signes du paysage fluvial », pour indiquer qu'une
communication a lieu, donc plus qu'une observation unilatérale. C'est également
le cas de ses peintures : « L'œuvre elle-même indique s'il faut en faire quelque
chose ».
Les paysages, élevés au-dessus de la réalité, semblent d'une simplicité
évidente. Pourtant, chaque ligne et chaque zone de couleur vibre de
l'inspiration qu'Harrie Gerritz éprouve dans ce paysage. Lui- même enfant du
paysage fluvial néerlandais, Harrie Gerritz explore dans son travail une série
de questions sur le paysage et sa perception. Au fil des années, les réponses
sont devenues de plus en plus intenses et abstraites.
"Le carré est ma forme préférée"
« Si vous regardez les éléments : la terre, l’eau, l’air et le feu, alors
j’appartiens à la terre. J'ai toujours envie de voir l'horizon quand j'arrive
quelque part. Je suis visuel et j'aime la ligne droite de l'horizon hollandais.
C'est pour cette raison que je n'irais jamais en Autriche, par exemple : je ne
supporterais pas de ne voir nulle part un horizon plat.
Les clochers d’églises sont courants dans mon travail. Outre les arbres, ce sont
en fait les seuls éléments de composition verticaux que nous avons dans le
paysage. Dans mon travail, ils constituent une force verticale nécessaire par
rapport aux éléments horizontaux.
« Signes du paysage fluvial »
« Mon travail se compose de signes issus du paysage fluvial. Tout vient du
paysage. Aux Pays-Bas, il n'y a plus de paysage primitif, tout est conçu par
l'homme : les bâtiments, la nature, les voies navigables. Mais des peintres du
XVIIe siècle comme Jan van Goyen et Johannes Vermeer ont également peint des
paysages construits. En ce sens, je suis un peintre paysagiste tout comme eux :
je suis fasciné par le paysage d'aujourd'hui, tel qu'il s'est développé.
Mon travail est devenu de plus en plus abstrait. Je n'ai plus besoin de sortir
pour voir le paysage. Je travaille de plus en plus avec les souvenirs du
paysage. Le paysage devient un « paysage mental ». En studio, je transforme les
signes en composition, et la lumière, la saison, passe dessus.
La palette est très importante. Dès le début, j'ai travaillé avec les couleurs
que je connaissais dans le monde de l'imprimerie : le jaune, le bleu, le rouge
et le noir. Je peux encore bien gérer ça, cela correspond bien à ma tendance à
la réduction.
Mon point de départ – la raison pour laquelle je commence une peinture – est : «
Je veux vivre quelque chose ». Je veux découvrir quelque chose de nouveau à
chaque fois, quelque chose que je n'ai jamais vu auparavant. J'essaie de rendre
le travail aussi passionnant que possible avec le moins d'éléments possible.
« Est-ce que cela peut être fait avec encore moins ? c’est la question que je me
pose souvent.
https://harriegerritz.nl