Parcours d'Artistes de Saint-Gilles 2024

Description

Une soirée d’ouverture lancera le 12 avril la biennale saint-gilloise : après le vernissage de l’exposition « Marcel Broodthaers, la poésie et l’Art » prenant place à l’Hôtel de Ville de Saint-Gilles, le public sera invité à poursuivre les festivités au p-a-l-a-z-z-o, où se produira le duo performatif audiovisuel Vimure. Cette nocturne sera l’occasion de rencontrer les artistes dans leur atelier et de découvrir les expositions.

Véritable pierre angulaire de l’événement, les ateliers – une centaine au total – seront encore ouverts au public durant les deux week-ends qui suivront. En parallèle, plusieurs expositions sur la thématique « Ce-qui-nous-lie » seront accessibles dans les lieux partenaires du Parcours. Parmi ceux-ci, on retrouve par exemple la Maison du Peuple, Pianofabriek, le Centre culturel Jacques Franck, la Maison Hannon ou encore le Musée Horta.

Chaque pôle abordera à sa manière ce qui fait le lien entre artistes, créateurs et, plus largement, citoyens et êtres humains. Avec le projet « D’ici et d’ailleurs. From Here to Eslewhere », la curatrice a choisi le centre communautaire Pianofabriek pour mettre en valeur une série d’artistes d’origines étrangères ancrés dans la scène artistique contemporaine belge : Sabrina Montiel-Soto, Anna Safiatou Touré et Mostafa Saidi Rahmouni, tous habitant, travaillant à Bruxelles et représentant des communautés fortes dans la commune saint-gilloise. À l’Hôtel de Ville ou au Centre culturel Jacques Franck lors d’une projection de ses films, c’est Marcel Broodthaers qui sera mis à l’honneur. En effet, 2024 marque le centenaire de cet artiste de renommée internationale. Outre les expositions dans les lieux précités, l’inauguration d’une plaque commémorative sur la Place Marcel Broodthaers sera organisée. La Maison du Peuple, de son côté, accueillera une exposition de type « artiviste », avec une dimension politique en phase avec les questionnements de notre époque, qui présentera des œuvres d’Angel Vergara, Priscilla Beccari, Sandrine Morgante, Pascal Bernier, Joanie Lemercier, Karine Marenne et Léa Mayer.

Divers interstices seront aussi exploités cette année : des performances ou des installations s’introduiront dans les lieux de passage de la commune comme à la vitrine 76,4 rue de Bosnie que l’artiste François Patoue investira. Enfin, le programme du Parcours est complété par la Nuit des Galeries, qui aura lieu le mercredi 17 avril dans une quinzaine de galeries et lieux hybrides saint-gillois (comme l’Espace photographique Contretype, les galeries Odradek Résidence, Chez Olivia, Stream Art ou encore Le Salon d’Art…).

Soirée d’ouverture et nocturne des ateliers : 12.04.2024 - 18h à minuit
1er week-end : 13 & 14.04.2024 - 14h à 19h
2ème week-end : 20 & 21.04.2024 - 14h à 19h
Nuit des Galeries : 17.04.2024 - 18h à 21h

Information sur la date

00:00:00

Billets

Gratuit

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

3 Photos

Événements suggérés

Terwijl Gaza een totale tragedie doormaakt, werpt deze tentoonstelling een blik op een decennium van tumult in het Midden-Oosten. Vanaf de revoluties in Tunesië en Egypte tot de conflicten in Syrië, Irak, Jemen en momenteel in Gaza. De verschillende hoofdstukken van deze recente geschiedenis van het Midden-Oosten worden verteld aan de hand van de verhalen van oorlogsslachtoffers die worden behandeld in het MSF-ziekenhuis in Amman, een unieke locatie op het kruispunt van deze conflicten. Na een verhelderend kijk op de actualiteit gaan we met elkaar in gesprek en is er tijd voor een creatieve borduurworkshop waar je meewerkt aan een solidaire boodschap.
Aurélie Salavert est née à Avignon. Elle vit et travaille à Bruxelles. L’artiste transmet ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs dans des images qui semblent enfouies dans notre propre subconscient. Le fil conducteur de sa pratique est le dessin, qui se réinvente continuellement grâce à l’utilisation de techniques et de styles différents, permettant l’émergence d’une abstraction figurative. La vaste production de dessins intimes au crayon d’Aurélie Salavert, avec leurs doux lavis d’aquarelle ou leurs plats de gouache, nous parlent avec une clarté enfantine, mais leur signification reste ouverte. Lasse Wandschneider est né en 1987 à Lübeck, en Allemagne. Il a fait des études en illustration et BD à Breda, Berlin, Prague et Bruxelles. Désormais, il vit et travaille entre Bruxelles et Berlin. Dans son art, il s’intéresse aux équilibres entre abstraction et narration, improvisation et réflexion, page et espace.
********** English ********** Many migration movements demand a lot from migrants. Their lives and health are threatened, their right to self-determination is challenged, and their individual identities become objects of other people’s prejudices and actions. All migration processes, even the painful ones, lead to new cultural diversity, which can be seen as a positive force in today’s societies. Shared experiences empower the citizens of Europe and help create our joint European identity. Featured are some very specific situations at European level: 1. The long-term consequences of the German occupation of Norway during World War II. 2. Prejudices against many Greenlandians after the migration from Greenland to Denmark since 1945. 3. Forced migration of Sámi from the North to the South of Sweden. 4. Population exchange in former German Pomerania after 1945, exemplified by the Polish town Slupsk . 5. The long-term consequences of the Holocaust for Lithuanian women. 6. Migration to Slovenia after World War II and the impact of the country’s independence in 1991 on the migrants. 7. The complex political history of the Istrian peninsula and its multi-ethnic population related to 200 000 emigrants after World War II. Reservations: museum@foyer.be Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu ********** Français ********** De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be Infos : https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu ********** Nederlands ********** Veel migratiebewegingen eisen veel van migranten. Hun levens en gezondheid worden bedreigd, hun recht op zelfbeschikking wordt uitgedaagd, en hun individuele identiteiten worden objecten van vooroordelen en acties van anderen. Alle migratieprocessen, zelfs de pijnlijke, leiden tot nieuwe culturele diversiteit, die kan worden gezien als een positieve kracht in de hedendaagse samenlevingen. Gedeelde ervaringen versterken de burgers van Europa en helpen bij het creëren van onze gezamenlijke Europese identiteit. Er bestaan enkele zeer specifieke situaties op Europees niveau: 1. De langetermijngevolgen van de Duitse bezetting van Noorwegen tijdens de Tweede Wereldoorlog. 2. Vooroordelen tegen veel Groenlanders na de migratie vanuit Groenland naar Denemarken sinds 1945. 3. Gedwongen migratie van Sami van het noorden naar het zuiden van Zweden. 4. Bevolkingsuitwisseling in het voormalige Duitse Pommeren na 1945, geïllustreerd door de Poolse stad Slupsk. 5. De langetermijngevolgen van de Holocaust voor Litouwse vrouwen. 6. Migratie naar Slovenië na de Tweede Wereldoorlog en de impact van de onafhankelijkheid van het land in 1991 op de migranten. 7. De complexe politieke geschiedenis van het Istrische schiereiland en zijn multi-etnische bevolking in verband met 200.000 emigranten na de Tweede Wereldoorlog. Reserveringen: museum@foyer.be Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Vernissage le 8 mai à 11h. De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée, initiée par l’ASBL Cultures & Publics.  Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique et social. À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème « Siphonner les esprits ».  Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h ! L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary international touring exhibition conceived in close collaboration with the Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies Van Wielendaele. Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag." FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie de la photographe Marlies.