Les arbres nus ne bruissent pas / Kale bomen ruisen niet

Description

Deux femmes sont assises devant une caravane. L’une est déjà réveillée, l’autre vient de se lever. Café? Thé? Une conversation commence, alors que la journée se déploie dans une ambiance légèrement fébrile. Nancy et Gaby reçoivent de la visite aujourd’hui entre 10h et 17h. Que porteront-elles pour faire bonne impression? En de courts dialogues très animés, les deux femmes se répètent en boucle et tournent avec panache autour du pot. Combien de temps vont-elles tenir? Petit à petit, on découvre ce qui s’est joué dans leur passé. Et c’est loin d’être beau. Spectacle bilingue avec surtitres en néerlandais et en français. Tweetalige voorstelling met boventiteling in het Nederlands en het Frans.

Avec l’aide de: Sabam, GC De Kroon, GC De Markten
Production BXL WILD, Coproduction Tristero. Avec le soutien de ​SABAM for Culture,​ ​la Communauté Flamande, le VGC, Culturecultuur1060, GC De Markten, GC Nekkersdal, GC De Kriekelaar, GC De Kroon.
La traduction a été réalisé avec le soutien de la ​Maison Antoine Vitez.

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TARIFS
Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€
Tarif de soutien à partir de 25€

Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre)
C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs.
À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable !

Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s!

PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même.

Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables!

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HORAIRES
mercredi 15/05 - 19h00
jeudi 16/05 - 20h30
vendredi 17/05 - 20h30
mercredi 22/05 - 19h00
jeudi 23/05 - 14h00
jeudi 23/05 - 20h30
vendredi 24/05 - 20h30
mercredi 29/05- 19h00
jeudi 30/05 - 20h30
vendredi 31/05 - 20h30

Information sur la date

2024-05-15: 19:00:00

2024-05-16: 20:30:00

2024-05-17: 20:30:00

2024-05-22: 19:00:00

2024-05-23: 20:30:00

2024-05-24: 20:30:00

2024-05-29: 19:00:00

2024-05-30: 20:30:00

2024-05-31: 20:30:00

Billets

Article 27
1.25€

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Et si l’amour des humains n’était pas si différent de celui des poissons ? Il et Elle s’aiment d’un amour sans retenue, celui des comédies romantiques où on lèche la mayo sur la bouche de l’autre après avoir mangé une bonne frite. Leur histoire si parfaite n’échappera cependant pas à la lassitude du quotidien. Façon Titanic sans les petits fours et cette planche en bois trop étroite, le naufrage est annoncé. Sur le plateau, un troisième personnage un peu loufoque donne une conférence scientifique sur l’amour en s’appuyant sur l’histoire qui se déroule sous ses yeux. Comme si cela ne suffisait pas, le plateau se retrouve petit à petit envahi de spécimens marins avec lesquels il va falloir cohabiter. L’Aquarium est une forme essentiellement théâtrale où les dialogues s’envolent, se décuplent et se libèrent de toute contrainte réaliste. La frontière entre les genres s’éclate pour laisser place à un joyeux chaos dans lequel il fait bon vivre. Soutiens : L'entrela, La Roseraie, La Maison des cultures et de la Cohésion Sociale de Molenbeek, L'Acteur et l'écrit, Le théâtre 140, le festival Cocq'arts, le festival Nouvelle Senne, le Printemps Ravie. ___________ TARIFS Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€ Tarif de soutien à partir de 25€ Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre) C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs. À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable ! Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s! PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même. Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables! ___________ HORAIRES mercredi 15/05 - 19h00 jeudi 16/05 - 20h30 vendredi 17/05 - 20h30 lundi 20/05 20h30 mercredi 22/05 - 19h00 jeudi 23/05 - 20h30 vendredi 24/05 - 20h30 mercredi 29/05- 19h00 jeudi 30/05 - 20h30 vendredi 31/05 - 20h30
********** English ********** Italy, the late 1990s. Olga, a 40-year-old woman with two children, is a devoted mother and wife. She does her best to lead a life in perfect harmony with what society imposes on her. One day, her husband leaves her for a young woman, as in the most pathetic soap opera. Her whole world collapses. In the grip of a permanent feeling of danger, Olga sinks into a state of rage. She becomes vulgar, violent, grotesque. After she has removed her make-up and given up appearances, an unexpected woman emerges. Scandalous and powerful. Almost mythical, she steps forward in all her tragedy: a contemporary Medea, who no longer needs to kill to exist. In this adaptation of Elena Ferrante’s book, actress and director Gaia Saitta plays this woman, accompanied by her children and her dog. Trading her oppressed body for a resistant one, she lets herself go, finally liberated.  Everything has to be rebuilt, starting with language. The audience, scattered on and off the stage, is both part of and witness to this transformation. Gaia Saitta is an associate artist at the Théâtre National Wallonie-Bruxelles Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Corealisation Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles ********** Français ********** Dans l’Italie de la fin des années 1990, Olga, 40 ans et deux enfants, est une mère et une épouse dévouée. Elle tente de mener une vie en parfaite adéquation avec ce que la société lui impose. Un beau jour, son mari la quitte pour une jeune fille, comme dans le plus pathétique des feuilletons. Et tout son univers s’écroule. En proie à un sentiment de danger permanent, Olga sombre alors dans un état de rage, elle devient vulgaire, violente, grotesque. Une fois le maquillage retiré et les apparences dissipées, c’est une femme inattendue qui prend place. Scandaleuse et puissante. Presque mythique, elle apparaît dans toute sa tragédie : une Médée contemporaine, qui n’a plus besoin de tuer pour exister. Dans cette adaptation du livre d’Elena Ferrante, l’actrice et metteuse en scène Gaia Saitta incarne cette femme, accompagnée de ses enfants et de son chien. Délaissant un corps opprimé pour un corps résistant, elle s’abandonne, enfin libérée.  Tout est à reconstruire, à commencer par les mots. Le public, dispersé sur le plateau et en dehors, est à la fois partie et témoin de cette transformation. Gaia Saitta est artiste associée au Théâtre National Wallonie-Bruxelles Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Coréalisation Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles ********** Nederlands ********** In het Italië van het einde van de jaren 1990 is Olga met haar 40 jaar en twee kinderen een toegewijde moeder en echtgenote. Ze probeert een leven te leiden dat perfect past bij wat de maatschappij haar oplegt. Op een dag verlaat haar man haar voor een jong meisje, zoals in de meest pathetische soapseries. En haar hele wereld stort in. Ze valt ten prooi aan een gevoel van permanente dreiging en glijdt af naar een staat van woede. Ze wordt vulgair, gewelddadig, grotesk. Als de make-up is verwijderd en de schijn is opgeheven, neemt een onverwachte vrouw haar plaats in. Schandalig en machtig, haast mythisch verschijnt ze in al haar tragiek: een hedendaagse Medea, die niet meer hoeft te doden om te bestaan. In deze bewerking van het boek van Elena Ferrante speelt actrice en regisseuse Gaia Saitta deze vrouw, vergezeld door haar kinderen en haar hond. Ze wisselt haar onderdrukte lichaam in voor een weerbaar lichaam, en laat zich gaan, eindelijk bevrijd.  Alles moet opnieuw worden opgebouwd, te beginnen met de woorden. Het publiek, verspreid over en naast de scène, is zowel deel als getuige van deze transformatie. Gaia Saitta is een artiest verbonden met het Théâtre National Wallonie-Bruxelles Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Corealiasatie Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un désastre pour l’humanité… Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs. Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié », les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue qu’une rage salvatrice. La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous encourage à combattre l’inertie du temps.
Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un désastre pour l’humanité… Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs. Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié », les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue qu’une rage salvatrice. La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous encourage à combattre l’inertie du temps.
Ça y est, la peinture est terminée ! Jan a travaillé longtemps. Des jours. Des semaines. Des mois. Jan a travaillé précisément. Méticuleusement. Dans les moindres détails. Il a cherché les meilleures couleurs, la plus belle composition. Et aujourd'hui, le nouveau chef-d’œuvre est enfin terminé… Prêt à être admiré par tous. Tadam! Lagneau de Jan ! ... Mais que se passe-t-il? Il y a un trou dans le tableau ! LAGNEAU A DISPARU! Avec liberté et espièglerie, Audrey Dero et Deborah Marchal s’emparent d’un chef d’œuvre et nous emportent dans une bulle de poésie visuelle, dans un suspense pictural, dans l’univers de Van Eyck… et celui de Sarah Yu Zeebroek.
********** Français ********** THÉMATIQUE Sensibilisation sur l’adoption Kyung Wilputte propose un spectacle qui aborde l’amour maternel et la filiation à travers son regard de femme adoptée, sans faire fi des maladresses, des blessures et de la violence de la situation. La colère est-elle la seule issue? La compassion est-elle une option face à ces femmes qui ont fait ce qu’elles ont pu ? ********** Nederlands ********** geen vertaling
********** English ********** Man Strikes Back is a musical juggling performance. Masters of ceremony: five wooden triangles, a juggler, and a drummer. Everything depends on the precision of the juggler and the reaction speed of the drummer. Until the wooden triangles take up new positions. The concert develops into an exciting choreography of objects, juggler, and musician. Yet who’s in the driving seat? Who needs who? Or is it a parallel dance? Each triangle comes to life with its own personality. Yet the more boisterous the triangles become, the greater the challenge becomes for the juggler to keep the balls in the air. ********** Français ********** Man Strikes Back est un spectacle de jonglage musical. Les maîtres de cérémonie : cinq triangles en bois, un jongleur et un batteur. Ensemble, ils composent de la musique ainsi qu’un jeu de lignes intriguant tracé par les balles rebondissantes. Tout dépend de la précision du jongleur et de la réactivité du batteur. Mais, à un certain moment, les triangles changent de position. Le concert se transforme en une chorégraphie passionnante effectuée par les objets, le jongleur et le musicien. Cependant, qui mène la danse ? Qui a besoin de qui ? Est-ce que finalement, chacun contribue à part égale ? Chaque triangle semble prendre vie, et fait preuve d’une propre personnalité. Mais … plus les triangles deviennent téméraires, plus le jongleur peine à maintenir les balles en l'air. ********** Nederlands ********** Een muzikale jongleer-performance die op zoek gaat naar de symbiose tussen mens en robot. Man Strikes Back is een muzikale jongleer-performance. Masters of ceremony: vijf houten driehoeken, een jongleur en een drummer. Stijn Grupping jongleert door botsballen van de ene driehoek naar de andere te kaatsen. Muzikant Frederik Meulyzer pikt in op het ritme met zijn drums. Samen componeren ze muziek en een intrigerend lijnenspel van rondvliegende botsballen. Alles hangt af van de precisie van de jongleur en van de reactiesnelheid van de drummer. Tot de houten driehoeken nieuwe posities innemen. Het concert ontwikkelt zich tot een spannende choreografie van objecten, jongleur en muzikant. Maar wie stuurt wie? Wie heeft wie nodig? Of is het een gelijk opgaande dans? Elke driehoek komt met een eigen persoonlijkheid tot leven. Maar hoe baldadiger de driehoeken worden, hoe uitdagender voor de jongleur om de ballen in de lucht te houden.
Loco
15mei
-
16mei
Tout ceci vient, je crois, de ce que les gens se figurent que le cerveau est logé dans le crâne ; pas du tout : il est apporté par un vent qui souffle de la mer Caspienne. LOCO est librement inspiré du Journal d’un Fou de Gogol : un conte absurde qui traite de la frontière incertaine entre folie et raison. Le héros de la nouvelle, Poprichtchine, est un fonctionnaire au bas de l’échelle qui vit son quotidien entre la routine de son emploi dérisoire et ses petits plaisirs d’homme solitaire. La découverte d’un pouvoir extraordinaire lui donne l’espoir de changer son destin : conquérir la femme inaccessible et accéder à une place honorable au sein de la société. Mais ce pouvoir est aussi le premier pas vers la folie, qui l’amène à créer sa propre version de la réalité : il s’autoproclame « Roi d’Espagne Ferdinand VIII ».
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15mei
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Parodie pour marionnettes, en bruxellois français.Voilà trente ans que José Géal a créé “La Révolution Belge de 1830”, une tragédie belge, épique, bombardante et patriotique, en huit tableaux, signée par Arthur et Elisabeth Fauquez.Toone VII et Toone VIII ont remis ce morceau de bravoure dans leur programmation avec des décors de Raymond Goffin.Tout Belge sait que c’est le refrain du fameux duo “Amour sacré de la Patrie”lors du spectacle du 25 août 1830 de “La Muette de Portici” au Théâtre dela Monnaie, qui a enflammé les coeurs de nos ancêtres pour bouter lesHollandais hors de nos provinces.Arthur et Elisabeth Fauquez se sont inspirés de ces faits historiques pour créerleur fresque patriotique.Woltje, le ketje de Bruxelles (le gamin), conduit au combat les illustres révolutionnaires tels que le comte Frédéric de Mérode, le baron d’Hoogvorst, les journalistes Louis de Potter et Charles Rogier, le Liégeois Charlier Jambe de bois...Soutenus par la population, ils vont expulser Guillaume d’Orange, roi des keiskoppe(têtes de fromage de Hollande) et ses troupes en leur envoyant un tas de“brol” (objets), sur leur notje (tête).Le prince de Saxe-Cobourg-Gotha, futur Roi des Belges sous le prénom deLéopold Ier, se voit offrir une petite bricole... la colonne du Congrès !Jules César, observateur de l’ONU, vient proclamer “de tous les peuples de laGaule, les Belges sont les plus braves.”Van Campenhout, compositeur révolutionnaire, auteur de notre hymne national,pousse la chansonnette pour stimuler les combattants.Eddy Merckx, notre champion mondial dont le parler est légendaire, est l’estafettecycliste des patriotes.La Muette, une fameuse clapette (bavarde) qui ne peut cacher sa boentje(béguin) pour Woltje, fait sauter les remparts d’Anvers avec un bloempanch(gros boudin) explosif.Manneken-Pis, plus vrai que nature, né des amours de la Muette et de Woltje,remplit son impertinent devoir tandis que Saint-Michel, patron de Bruxelles, etson Deuvel (diable) dégringolent de la tour de l’Hôtel de Ville pour contribuerà la Révolution belge.