À l'aube d'un regard - Exposition photos animalières de Benoît Segaert

Description

"Le monde sauvage est fascinant, attachant, à la fois dur et fragile
et il convient plus que jamais de le préserver. À travers mes
photographies, je veux sensibiliser le plus grand nombre à la
beauté mais aussi à la fragilité des écosystèmes. L’aube sera le fil
conducteur pour vous émerveiller avec des photos prises dans la
taïga finlandaise, mais parfois bien plus proche de chez nous.
Mes photos sont des instantanés d’une vie éphémère qui je
l’espère se renouvellera encore éternellement." Benoît Segaert

Information sur la date

11:00:00 - 22:00:00

Billets

Gratuit

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Événements suggérés

1. -> Conférence organisée par La Nombreuse rassemblant Solal Israel, Anaëlle Prêtre (chargée de projets Expositions au Jacques Franck) et Charlotte Lalau (La Nombreuse). À quelle heure ? 18h. Où ? La Nombreuse, 42 rue du Fort 1060 à Saint-Gilles. 2. -> Finissage de l'exposition Soon This Place Will Be Too Small, ouvert à tous ! À quelle heure ? Dès 19h. Où ? Au Jacques Franck, dans l'espace d'exposition et au bar ;)
********** English ********** From 6 September to 18 October, Gilbard welcomes Pauline Vanden Neste and Tom Lyon to the SAS for ‘Zones’. Working on the canal zone since 2020, the Belgian photographic duo have created a portrait that questions its reappropriation and the issues involved in sharing public space. To mark the occasion, they are putting on an exhibition that takes the SAS as its central point, with the route taking in the adjacent streets. The exhibition is open free of charge and without booking on Fridays from 1.30pm to 6pm, during Gilbard's opening hours. It is also open by appointment during the rest of the week. Would you like to organize a guided tour for a group? Contact us at prog@gilbard.be Opening on Friday 06/09/2024, from 3pm to 7pm, in the presence of the artists. ********** Français ********** Du 6 septembre au 18 octobre, Gilbard accueille Pauline Vanden Neste et Tom Lyon dans le SAS pour “Zones”. Travaillant sur la zone du canal depuis 2020, le duo de photographes belges en tire un portrait qui questionne sa réappropriation et les enjeux liés au partage de l’espace public. Pour l’occasion, iels proposent une exposition qui prend le SAS comme point central et dont le parcours se déroule dans les rues adjacentes. L’exposition est accessible gratuitement et sans réservation les vendredis de 13h30 à 18h, pendant les horaires de permanence de Gilbard. Également accessible sur rendez-vous le reste de la semaine. Vous voulez organiser une visite guidée avec un groupe ? Écrivez-nous sur prog@gilbard.be Vernissage le vendredi 06/09/2024, de 15h00 à 19h, en présence des artistes. ********** Nederlands ********** Van 6 september tot 18 oktober verwelkomt Gilbard Pauline Vanden Neste en Tom Lyon in het SAS voor “Zones”. Het Belgische fotografenduo, dat sinds 2020 aan de kanaalzone werkt, heeft een portret gecreëerd dat de herbestemming en de problematiek van het delen van de openbare ruimte in vraag stelt. Voor de gelegenheid organiseren ze een tentoonstelling die het SAS als centraal punt heeft en waarvan de route zich ontvouwt in de aangrenzende straten. De tentoonstelling is gratis en zonder reservering te bezoeken op vrijdag van 13.30 tot 18.00 uur, tijdens de kantooruren van Gilbard. De rest van de week is de tentoonstelling op afspraak geopend. Wil je een rondleiding organiseren voor een groep? Neem dan contact met ons op via prog@gilbard.be
Dans mon travail précédent, je vous avais invités sur une plage immaculée et déserte où rien ni personne ne venait perturber le jeu de la géométrie et des coïncidences improbables qui était mon propos. Mais je ne vous avais jamais dit qu’il m’arrivait d’aller me ressourcer dans les bars de plages que l’on appelle ici xiringuitos et à quel point j’aimais contempler la mer assis derrière un verre de cava... C’était simplement parce que je n’avais rien de particulier à partager à ce sujet, mais depuis l’été dernier ce n’est plus le cas ! Je ne m’étais auparavant jamais intéressé à la représentation des objets, jusqu’au jour ou j’ai observé mon verre avec un téléphone, et cherchant des points de vue différents de celui où je me tenais, j’ai eu soudain l’impression d’avoir accès à un autre monde. Je préciserais qu’au même moment le télescope Hubble nous envoyait régulièrement des images extraordinaires et que je n’ai pas manqué, toute proportion gardée, de faire un parallèle avec ce que je pouvais voir dans mon verre... Le matériau dont est fait le verre à vin n’est pas celui utilisé dans la fabrication des instruments de précision, c’est un fait, il est bien plus rudimentaire, pour ne pas dire grossier. Et pourtant, qu’il soit vide ou plein, il peut aussi devenir un formidable système optique, une sorte de machine à transfigurer, riche de nombreuses et précieuses aberrations et déformations plus surprenantes les unes que les autres. Et quant à son contenu, le vin en l’occurrence, nous savons tous de quoi il est capable et à quel point il peut modifier et altérer notre façon d’appréhender la réalité. La conjonction des deux permet d’exacerber la vision, de tenter d’ouvrir les portes de la perception et d’envisager une passionnante aventure en terrain inconnu. Il n’en fallait pas plus pour que j’entrevoie là un champ de possibles en parfaite adéquation avec ma nature hédoniste et qui de plus semblait être le parfait alibi pour m’adonner à mes addictions ! Aucune des images que vous pouvez voir ici n’a été préméditée, elles résultent toutes de l’observation attentive et répétée du moment et de la situation, car il est vrai que quand l’on navigue dans l’inconnu on ne sais trop que chercher... Il ne s’agira donc que de révélations, car tout comme dans l’histoire du magicien d’Oz, tu ne découvriras rien que tu ne connaissais déjà, ce ne sont des fragments de ton vécu et de ta culture qui resurgiront de manière toujours aléatoire et impromptue... Mais surtout tellement jubilatoire ! Veni, vidi, bibi. Pierre Radisic
********** English ********** ATELIER by Stephan Vanfleteren (BE) is an ode to the ability to observe, represent, elevate, and ultimately, connect. His artist’s heart and technical expertise make us both witnesses and accomplices to the incidental light, which reflects as much on the object as in its spirit. His studio, a kind of intimate no man’s land draped in grey seems to absorb time. ********** Français ********** ATELIER de Stephan Vanfleteren est une ode à la capacité d’observer, de représenter, de sublimer et, finalement, de connecter. Son coeur d’artiste et son savoir-faire technique font de nous les témoins et les complices de la lumière incidente, qui se reflète aussi bien sur l’objet que dans son esprit. Son atelier, sorte de no man’s land intime tendu de gris semble absorber le temps. ********** Nederlands ********** ATELIER van Stephan Vanfleteren (BE) is een ode aan het ver- mogen om te observeren, te representeren, te verheffen en uiteindelijk te verbinden. Zijn kunstenaarsziel en technische vakmanschap maken ons zowel getuigen als medeplichtigen aan het invallende licht, dat zowel op het object als in zijn geest reflecteert.
********** English ********** Peter Depelchin's new solo show 'Cosmogonical Treat' offers itself as an ouroboros (the ancient symbol of the snake biting its tail); without beginning nor end. However, as the title indicates, the expo is also a treat, specifically a treat of a cosmogony. A cosmogony is a model, a fit that serves as an explanation for the origin and development of the universe. Depelchin approaches his cosmogony from both a mythological perspective and an astrophysical one. In other words, the treat is a newly formulated origin story on the one hand and a suggestive visualization of the latest theories in relation to the origin and structure formation of our universe on the other. ********** Français ********** 'Cosmogonical Treat', la nouvelle expo individuelle de Peter Depelchin se développe selon le concept de l’ouroboros (ancien symbole du serpent qui se mord la queue) : sans commencement ni fin. Cependant, comme son titre l'indique, l'exposition est aussi une gâterie, un régal cosmogonique. Une cosmogonie est un modèle, une théorie qui sert à expliquer l'origine et le développement de l'univers. Depelchin aborde sa cosmogonie à la fois d'un point de vue mythologique et d'un point de vue astrophysique. En d'autres termes, il s'agit, d'une part, d'un récit des origines nouvellement formulé et, d'autre part, d'une visualisation évocatrice des dernières théories relatives à l'origine et à la formation de la structure de notre univers. ********** Nederlands ********** Peter Depelchins nieuwe soloshow 'Cosmogonical Treat' biedt zich aan als een ouroboros (het eeuwenoude symbool van de slang die zich in de staart bijt); zonder begin noch einde. Zoals de titel aangeeft, is de expo echter ook een treat, m.n. een traktatie op een kosmogonie. Een kosmogonie is een model, een pasvorm die dient als verklaring voor het ontstaan en de ontwikkeling van het universum. Depelchin benadert zijn kosmogonie zowel vanuit een mythologisch perspectief als vanuit een astrofysisch perspectief. De traktatie is met andere woorden een nieuw geformuleerd oorsprongsverhaal enerzijds en een suggestieve visualisatie van de recentste theorieën in relatie tot het ontstaan en de structuurvorming van ons heelal anderzijds.
Annexée à la programmation du MACS (Grand-Hornu) en tant que projet extra-muros, l’installation d’Alec De Busschère, "Memory Cache Collection 99", se présente comme un dédale d’images imprimées sur de fins grands voiles librement suspendus dans l’espace d’exposition. Cette architecture translucide dans laquelle le public est invité à déambuler et à se perdre est d’autant plus déroutante que le moindre courant d’air peut en modifier l’orientation des cloisons grâce à un ingénieux mécanisme de suspension. Le spectacle de ces images fantomatiques prend alors une dimension légèrement cinétique, voire cinématographique, résultant de l’instabilité des voiles, de la circulation des spectateurs comme des effets de surimpressions et de fondus enchaînés. Labyrinthique et kaléidoscopique, le dispositif a l’apparence d’un « théâtre de la mémoire », cet outil mnémotechnique qui localise sur un plan de distribution architectural les images parcellaires d’une histoire à reconstituer. Cette connotation archéologique prend aussi son sens quand on sait que ce matériau visuel fut extrait, en 1999, de la mémoire de plusieurs ordinateurs personnels : des « fichiers caches » récupérés par l’artiste pour réaliser, à l’époque, sa vidéo "Keep the cache in memory". Des images pauvres en informations et qualité, orphelines de leurs auteurs et de leurs sites internet d’origine s’y enchaînaient les unes aux autres à un rythme quasi stroboscopique, témoin de la frénésie qui s’était emparée de toute une génération de navigateurs insomniaques. Vingt-cinq ans plus tard, Alec De Busschère revient sur cet océan d’archives pour en livrer une vision diamétralement opposée : des images dont il a diminué le nombre, agrandi la taille et ralenti la vitesse, comme une manière aussi de leur donner, malgré leur superficialité, l’épaisseur existentielle d’un geste humain et de sa trace, même technologique. Adresse : Rue du Ruisseau, 37 – 1080 Bruxelles Vernissage : 30.08.24 | 18h Exposition : 31.08 > 22.09.24 Horaires : Mercredi - dimanche | 14h - 19h
********** English ********** In the exhibition MOON RIVER, Bart Vandevijvere and Steven Antonio Manes explore common ground. They find it in their shared identities. For instance, the concept of water is inherent in the surname Vandevijvere, which on one hand, refers to the artist's residence by the River Lys (Leie), and on the other, to the importance of rippling/movement in his work. Similarly, "Manes" evokes a metaphor, reminiscent of moonlight, the reflection of the moon. This glow creates an interplay that encapsulates both surface and universe.Their specific artistic journeys are thus connected through this onomastics. The moon and its reflection on the river visually represent their collaboration. In MOON RIVER, light, time, and space transcend individual artistry. ********** Français ********** Dans l'exposition MOON RIVER, Bart Vandevijvere (°1961) et Steven Antonio Manes (°1993) cherchent des points communs dans leurs œuvres. Ces points communs se trouvent déjà dans leurs identités. Il y a, par exemple, la notion d'eau qui se trouve dans le nom de famille de Bart: Vandevijvere. L’étang fait en effet référence, d'une part, au lieu de résidence de l'artiste sur les bords de la Lys (de Leie) et, de l’autre part, à l'importance de l'ondulation et du mouvement comme celle de l’eau, dans son œuvre. Le nom Manes semble également être une métaphore. Il évoque le clair de lune, le reflet de la lune dans l’eau. Cette lueur crée une interaction dans laquelle la surface et l'univers sont contenus. Leurs trajectoires particulières artistiques se rejoignent ainsi dans cette onomastique. La lune et son reflet sur la rivière sont une représentation visuelle de leur collaboration. La lumière, le temps et l'espace transcendent l'art individuel dans notre exposition MOON RIVER. ********** Nederlands ********** In de tentoonstelling MOON RIVER zoeken Bart Vandevijvere (1961) en Steven Antonio Manes (1993) naar raakvlakken. Die vinden ze al terug in hun beider identiteit. Zo is er bijvoorbeeld het gegeven van water in de familienaam Vandevijvere. Die verwijst daarmee enerzijds naar de woonplek van de kunstenaar aan de Leie en anderzijds naar het belang van rimpeling/beweging in zijn werk. Ook Manes lijkt een metafoor. Die doet denken aan maanlicht, de reflectie van de maan. Dat schijnsel zorgt voor een wisselwerking waarin zowel oppervlakte als universum vervat zijn. Hun specifieke artistieke parcours verbinden zich op die manier in deze onomastiek. De maan en haar reflectie op de rivier is een beeldende weergave van hun samenwerking. Licht, tijd en ruimte overstijgen in MOON RIVER het individuele kunstenaarschap.
********** English ********** Thu-Van Tran draws on literature, history, and nature to explore the question of exile and the mutation of beings and languages in the wake of colonial narratives. 'Write as the Beasts Cry at Night' unfolds in La Loge like an open book, a palimpsest where Marguerite Duras' aura intersects with legendary, intimate writings. Through tracing, imprinting, and fragmenting, the artist focuses on what her chosen materials represent, searching for recollections she can extract. Thu-Van Tran scrutinises contaminated memories, the processes of disappearance and reappearance, and buried violence to sketch out a new imaginar—a possible liberation. ********** Français ********** Thu-Van Tran puise dansla littérature, l’histoire et la nature afin d’explorer la question de l’exil, les mutations des êtres et des langues au gré des récits coloniaux. 'Write as the Beasts Cry at Night' se déploie dans La Loge comme un livre ouvert, un palimpseste où l’aura de Marguerite Duras croise des écrits légendaires et intimes. Par son usage de la trace, de l’empreinte et du fragment, l’artiste se concentre sur la charge des matières qu’elle choisit, en quête des réminiscences qu’elle pourra dégager. Thu-Van Tran scrute la mémoire contaminée, les processus de disparition et de réapparition, les violences enfouies pour esquisser un nouvel imaginaire, une possible délivrance. ********** Nederlands ********** Thu-Van Tran vindt inspiratie in de literatuur, geschiedenis en natuur om thema’s zoals ballingschap en de mutatie van levende wezens en talen te verkennen aan dehand van koloniale verhalen. Write as the Beasts Cry at Night ontvouwt zich in La Loge als een open boek, een palimpsest waar de aura van Marguerite Duras legendarische en intieme geschriften kruist. Door haar gebruik van sporen, afdrukken en fragmenten focust de kunstenares op de lading van de materialen die ze kiest, op zoek naar herinneringen die ze kan losmaken. Thu-Van Tran doorgrondt het aangetaste geheugen, de processen van verdwijnen en opnieuw verschijnen en het verborgen geweld om zo een nieuwe verbeelding en een mogelijke bevrijding te schetsen.
Chaque premier dimanche du mois, le Musée Mode & Dentelle ouvre ses portes gratuitement.A 14h, notre guide vous emmène à la découverte de l’exposition : Jules François Crahay. Back in the spotlight.Les places étant limitées, les réservations pour la visite guidée sont obligatoires via notre plateforme de réservation.
Multiples
03sep.
-
02feb. 2025
********** English ********** Capsule exhibit  The Museum holds prints highlighting the various aspects of the city. For several years now, our team has been engaged in a massive project to inventory them. Our collections currently comprise 1500 prints, the oldest one dating back to the 16th century, and the most recent one barely a few years old. A print is an image printed using a matrix with the image in relief. Prints offer a valuable window onto their era. They are generally documentary in nature, but may also be artistic, allegorical, religious or satirical. Thanks to their precision and attention to detail, these works offer valuable historical information while also attesting to the technical and artistic skill of their creators. The Museum invites you to discover a selection of this varied and fascinating graphical heritage. Practical information Access to the Parenthesis Space is included with the entry ticket ********** Français ********** Le Musée conserve des estampes illustrant la ville sous ses différents aspects. Depuis plusieurs années, notre équipe mène une vaste campagne d’inventaire. A ce jour, nos collections comptent 1.500 estampes. La plus ancienne date du 16e et la plus récente de quelques années à peine. Une estampe est une image imprimée au moyen d'une matrice traitée en relief. Elles représentent une fenêtre précieuse sur leur époque. Principalement documentaires, elles peuvent également être artistiques, allégoriques, religieuses ou satiriques. Par leur précision et leur souci du détail, ces œuvres fournissent de précieuses informations historiques tout en témoignant du savoir-faire technique et artistique de leurs créateurs. Le Musée vous invite à découvrir une sélection de ce patrimoine graphique varié et fascinant. Informations pratiques •L’accès à l’Espace Parenthèse est compris dans le ticket d’entrée •Mardi 01 et jeudi 03.10 à 12h30 : visites Midis bruxellois •Jeudi 03.10.24 à 18h30 : Jeudi de l’Histoire : Disparu et oublié ? L'estampe s'en souvient ! ********** Nederlands ********** Capsule-tentoonstelling Het Museum heeft prenten die de stad belichten in al haar verschillende aspecten. Ons team is die al een aantal jaar aan het inventariseren. Zo telt de collectie momenteel 1.500 prenten. De oudste dateert van de 16e eeuw, terwijl de meest recente maar een paar jaar oud is. Prenten zijn afbeeldingen die worden afgedrukt met behulp van een matrix met de afbeelding in reliëf. Ze bieden een waardevolle kijk op hun tijdperk. Al leren ze ons niet alleen iets bij, maar kunnen ze ook artistiek, allegorisch, religieus of satirisch zijn. Door hun precisie en oog voor detail bieden deze werken waardevolle historische informatie en getuigen ze van de technische en artistieke vaardigheden van hun makers. Het Museum nodigt u uit om een selectie van dit gevarieerde en fascinerende grafische erfgoed te ontdekken. Toegang tot Tussen haakjes is inbegrepen in het museumticket. Dinsdag 01.10 en donderdag 03.10 om 12.30 uur: Broodje Brussel  Donderdag 03.10.24 om 18.30 uur: Geschiedenis op donderdag: Verdwenen en vergeten? De prent onthoudt!