*ABRACA D'IMPRO *
Deux personnages déboulent sur scène pour raconter une histoire... Mais Oups!
Ils/elles ont perdu leur histoire et vont avoir besoin des idées des enfants
pour en inventer une nouvelle.
Ils/elles récoltent les propositions et les dessinent sur des petits papiers,
On mélange le tout dans un chapeau, et Hop! ABRACAD'IMPRO l'histoire apparaît
avec magie!
Aventures, personnages hauts en couleurs et émotions seront au rendez vous!
👉 Théâtre d'improvisation pour Petits (de 3 à 8 ans) et leurs Grands (les
parents)
Spectacle de la Troupe 100 Histoires
Avec Agathe Mortelecq, Arnaud Van Parys, Vincent Doms, Elodie Vraiment, Florian
Jubin et Viki Kesmaecker
--------------
🌺 INFORMATIONS PRATIQUES : 🌺
Lieu : Le TRAC
Adresse : 110, rue Albert Meunier- Auderghem
Spectacles à 11h15
Il est possible de :
- boire un verre sur place avant/pendant le spectacle
- manger après le spectacle (uniquement sur réservation)
TARIFS
Sur réservation : 7€/personne
Sur place : 9€/personne
(Place offerte au parent accompagnant minimum 3 enfants)
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🗓 DATES DE LA SAISON : 🗓
⏰ Spectacle à 11h15 ⏰
*
2023
* 30 septembre
* 28 octobre
* 25 novembre
* 16 décembre
2024
* 27 janvier
* 24 février
* 30 mars
* 27 avril
* 25 mai
* 29 juin
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PLAN DE TABLE
Noter que nous établissons un pan de table pour chacun de nos spectacles.Voici
comment nous vous installons en salle
* Ceux qui mangent sont à table
* Nous vous réservons une table, en salle 😉
* Ceux qui ne mangent pas n’auront pas forcément de table
* Ceux qui viennent seuls feront des rencontres pendant la soirée
* Et tout ceux qui ne réservent pas comptent bien trop sur la chance 😅
Le Trac est un Café-Théâtre et propose des Dîners-Spectacles, par conséquent,
veuillez noter que les réservations qui ne comprennent pas de repas ne peuvent
pas être garanties. En cas d'annulation, nous vous informerons -évidemment- par
e-mail ou SMS.
07maart
-09maart
19:00 - 20:30
Rue De Fierlant - De Fierlantstraat 120, 1190 Forest, Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Description
La Comédie improvisée
Dans "Comédia !", les quatre comédiens et comédiennes mettent à l’honneur la Comédie avec un grand C. En début de spectacle, c’est vous qui allez les inspirer en donnant à chacun des quatre personnages un métier et une passion mais également le titre de la Comédie. Les comédiens et les comédiennes vont alors piocher dans leurs 1000 costumes de scène ceux qui seront les plus appropriés à leurs personnages et se mettre en place dans un véritable décor de théâtre.
C’est ensuite parti pour une heure d’improvisation dans ce lieu unique où pendant les 24h de l’histoire, les artistes déborderont d’imagination, de générosité et de répartie pour donner vie aux éléments que vous aurez choisis et vous proposer cette Comédie des temps modernes.
Alors installez-vous confortablement et laissez-vous emporter dans le monde fantastique de la Comédie improvisée !
Teaser : https://youtu.be/Gc6jIQO5p7U?si=rt8HJTL0udDjPT1o
Dans "Comédia !", les quatre comédiens et comédiennes mettent à l’honneur la Comédie avec un grand C. En début de spectacle, c’est vous qui allez les inspirer en donnant à chacun des quatre personnages un métier et une passion mais également le titre de la Comédie. Les comédiens et les comédiennes vont alors piocher dans leurs 1000 costumes de scène ceux qui seront les plus appropriés à leurs personnages et se mettre en place dans un véritable décor de théâtre.
C’est ensuite parti pour une heure d’improvisation dans ce lieu unique où pendant les 24h de l’histoire, les artistes déborderont d’imagination, de générosité et de répartie pour donner vie aux éléments que vous aurez choisis et vous proposer cette Comédie des temps modernes.
Alors installez-vous confortablement et laissez-vous emporter dans le monde fantastique de la Comédie improvisée !
Teaser : https://youtu.be/Gc6jIQO5p7U?si=rt8HJTL0udDjPT1o
Improvisation
Billets
Info:
Préventes : Plein tarif : 18,5€/ Séniors : 16€/ Etudiants, demandeurs d’emploi, artistes : 12,5€/ Enfants : 10€
Info & Réservation
Organisateur
1 Photo
Événements suggérés
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope ».
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais
d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte
artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la
douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice,
mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour
but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le
viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un
corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
SKATEx - Urban cultures en instellingen: hoe samenwerken?
theatrale conferentie en discussietafels
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Wat zijn de problemen bij professionele artistieke creatie met of gebaseerd op
urban culturen? Welke emancipatorische relaties kunnen worden opgebouwd tussen
culturele instellingen en kunstenaars uit urban culturen?
Op 23 mei 2024 nodigen we je uit in de Pianofabriek om deel te nemen aan een
collectieve reflectie over deze vragen, te beginnen met SKATEx, een theatrale
conferentie over artistiek onderzoek naar skateboarden op het podium,
voorgesteld door het gezelschap Mond'en scène. De lezing wordt gevolgd door
rondetafels over het thema: "Urban cultures en instellingen: hoe samenwerken?
Deze bijeenkomst is een gelegenheid om ervaringen uit te wisselen over het
integreren van urban culturen in culturele programma's (theaters, festivals,
sociaal-culturele evenementen, tentoonstellingen, etc.). De bijeenkomst is
bedoeld voor urban kunstenaars die ervoor gekozen hebben om samen te werken met
instellingen en vice versa. Het doel is om goede praktijken te identificeren die
navolging verdienen en valkuilen die best vermeden worden! Deze bijeenkomst is
ook bedoeld voor programmeurs die nieuwe werkwijzen willen ontdekken.
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"SKATEx" wordt een conferentie over het artistieke onderzoek van Charly Magonza
(regisseur), Kévin Dupont (skateboarder) en Mehdi Delanoeije (acrobaat).
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Info en inschrijven via dit formulier of skatoria.diffusion@gmail.com
Volledig programma: https://shorturl.at/hijlD
Meer info: Facebook-event
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Een evenement georganiseerd door Compagnie Mond’en scène en Skatoria vzw, in
samenwerking met Pianofabriek, Radio Panik, Cifas, het Cultureel centrum Jacques
Franck en met de steun van de Gemeente Sint-Gillis, in het kader van de
projectoproep 1060 CultureCultuur
********** English **********
In Уя (‘Nest’), we observe a corridor of a small apartment in Bishkek, as if
from the room next door, while several characters pass by: a girl who works in
the Kyrgyz clubbing scene, a boy whose father left to fight with ISIS, an
elderly woman who created an orphanage at home, a far-right nationalist and a
feminist activist. Theater 705, one of the few independent theatres in
Kyrgyzstan and a feminist voice in Central Asia, created Уя (Nest) from recorded
interviews with real people in Kyrgyzstan who answered the same question: what
is home for you? Chagaldak Zamirbekov and his actors weave together these
stories in a cinematographic, hyper-realistic style that reproduces not just the
words of each respondent, but also their pauses and intonations. The characters
in the same space do not seem to see each other, evoking a sense of loneliness
and bewilderment in Kyrgyz society, fertile ground increasingly used to affirm
nationalist ideology. Maybe this house, this nest, is the nation itself, a place
where people can be merely present in the same space or truly live together. Уя
(Nest) paints a portrait of Kyrgyz society on the cusp of hyperbole and realism.
It’s a rare opportunity to confront the intimate revelations of a region absent
from the festival for too long.
********** Français **********
Уя (« Nid ») nous immerge dans le couloir d’un appartement de Bichkek. Comme si
nous étions témoin·tes de scènes depuis une pièce voisine, nous observons des
personnages traverser l’espace : une fille qui travaille dans le milieu du
clubbing kirghize, un garçon dont le père combat avec Daech, une femme âgée qui
a fondé un orphelinat chez elle, un nationaliste d’extrême droite et une
activiste féministe. Chagaldak Zamirbekov et Theater 705, l’un des rares
théâtres kirghizes indépendants et une voix féministe d’Asie centrale, ont créé
Уя (Nest) à partir d’entretiens faits avec des Kirghizes ayant tous·tes répondu
à la même question : qu’est-ce que la maison pour vous ? Leurs récits, jusqu’à
leurs mots et intonations, sont reproduits par les acteur·ices dans un style
cinématographique hyperréaliste. Les personnages partagent un même espace sans
sembler se voir, évoquant un certain sentiment de solitude et de désarroi de la
société kirghize – un terreau fertile pour l’idéologie nationaliste. Cette
maison, ce nid, pourrait-elle être la nation au sein de laquelle nous pourrions
coexister ou vivre véritablement ensemble ? Уя (Nest) dépeint un portrait de la
société kirghize au croisement entre l’hyperbole et le réalisme. Une occasion
rare de tendre l’oreille aux révélations intimes d’une région trop longtemps
absente du festival.
********** Nederlands **********
Met Уя (‘Nest’) kijken we binnen in de gang van een appartementje in Bishkek
waar verschillende personages de revue passeren: een meisje dat in het
Kirgizische nachtleven werkt, een jongen wiens vader is vertrokken om voor IS te
vechten, een oudere vrouw die weeskinderen opvangt, een extreemrechtse
nationalist en een feministische activiste. Theater 705, één van de weinige
onafhankelijke theaters in Kirgizië en een feministische stem in Centraal-Azië,
creëerde Уя (Nest) op basis van interviews met Kirgiziërs. Ze beantwoordden
telkens de vraag: wat is ‘een thuis’ voor jou? In een cinematografische,
hyperrealistische stijl weeft Chagaldak Zamirbekov deze verhalen tot een geheel.
Niet alleen de woorden, maar ook pauzes en intonaties worden trouw
gereproduceerd. De personages delen dezelfde ruimte maar lijken elkaar niet te
zien, wat een gevoel van eenzaamheid en vervreemding oproept, sterk aanwezig in
de Kirgizische samenleving en een vruchtbare bodem voor nationalistische
ideologieën. Misschien is dit huis, dit nest, wel de natie zelf; een plek waar
mensen naast elkaar aanwezig kunnen zijn, of écht kunnen samenleven. Уя (Nest)
schetst een portret van de Kirgizische samenleving op de grens van hyperbool en
realisme.
"Les relations mère-fille peuvent être magnifiquement compliquées".
Car si le lien qui les unit est unique, il est aussi et surtout complexe.
Cette relation l'auteure a souhaité la décomplexer
en proposant une pièce théâtrale aussi drôle qu'émouvante.
La comédienne nous explique : " On parle ici d'une mère particulière parce
qu'elle est encombrante, étouffante, castratrice voire destructrice même.
C'est un personnage très théâtral, ce qui me permet de l'imiter et d'en faire
rire,
mais aussi d'être dans l'émotion car elle peut être touchante et se révéler
d'une fragile flamboyance".
Un spectacle poignant !
DUREE - 55min
_______________________________________________________
« Le spectacle des Belges qui veulent simplifier la langue française » : tout
est faux dans cette phrase. Pas « simplifier » mais faire preuve d’esprit
critique. Pas « des Belges », mais des passionnés qui veulent partager les
découvertes des linguistes. Pas même la langue, seulement son orthographe. Car
l’orthographe, c’est pas la langue, juste le code graphique qui permet de la
retranscrire.
Une approche pop et iconoclaste, pour dédramatiser un débat et aussi parce qu’il
faut bien avouer que l’Académie Française a un vrai potentiel comique...
Notez que tout n’est pas faux : il s’agit bien d’un spectacle... Et drôle en
plus.
C'est quand la dernière fois que vous avez changé d’avis ?
_______________________________________________________
Conférence ludique, instructive, interactive. La Libre Belgique, Guy Duplat,
28.09.16
Le tout agrémenté de fautes légendaires – le fameux « Omar m’a tuer » – et
flagrants délits humoristiques. Le Soir, Catherine Makereel, 16.09.16
Une vraie gourmandise intellectuelle. L’Humanité, Caroline Constant, 22.11.19
Erudit, drôle, bien menée, La Convivialité est un objet scénique atypique qui
titille les méninges. Le Monde, Sandrine Blanchard, 18.11.19
_______________________________________________________
VOIR LE TEASER : https://vimeo.com/236903278
AFTER SCENE - Je 25.05 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle.
_______________________________________________________
Conception et écriture Arnaud Hoedt et Jérôme Piron - Jeu Philippe Couture,
Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, Antoni Severino (en alternance) - Direction
technique Charlotte Plissart - Régie Charlotte Plissart, Clément Papin, Aurélie
Perret (en alternance) - Co-mise en scène Dominique Bréda, Arnaud Pirault et
Clément Thirion - Création vidéo Kévin Matagne - Conseiller technique Nicolas
Callandt. Conseiller artistique Antoine Defoort - Assistanat à la mise en scène
Anaïs Moray – Photo visuel Kévin Matagne - Développement et diffusion Habemus
Papam.
Une création de la compagnie Chantal & Bernadette. En coproduction avec le
Théâtre National/Bruxelles et L’Ancre/Charleroi et Hypothalamus renforcé. Avec
le soutien du Théâtre La Cité/Marseille, de La Bellone/Bruxelles, de la
compagnie La Zouze/Marseille et du Service de la Langue française de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et du Centre culturel de Braine L’Alleud. Avec
l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Service du théâtre).
********** Français **********
Libre adaptation du conte « la petite fille aux allumettes » (Andersen), –
Spectacle écrit pour la rue, une marionnette portée, trois acteurs-musiciens et
une caravane « pop up » – Comme un cri de colère poétique…
Spectacle à partir de 5 ans. Théâtre-installation.
********** Nederlands **********
Een vrije bewerking van Andersen's sprookje "Het meisje met de lucifers" - Een
voorstelling geschreven voor de straat, met een pop, drie acteur-muzikanten en
een pop-up caravan - Als een poëtische schreeuw van woede...
Vanaf 5 jaar. Theaterinstallatie.
********** English **********
A free adaptation of Andersen's fairy tale "The Little Match Girl" - A show
written for the street, with a puppet, three actor-musicians and a pop-up
caravan - Like a poetic cry of anger...
For ages 5 and up. Theatre-installation.
Venez découvrir le Club des 3x20 du Comme Eddy Club, dans une salle cosy située
au 1er étage du Sister Brussels Café, à 2 pas de la Grand-Place de BXL.
Au menu de ces soirées : 3 humoristes en devenir auront chacun.e 20 minutes pour
vous surprendre, vous faire rire, vous émouvoir !
> Jeudi 21/3 : Flora, Guillaume & Amandine
> Jeudi 18/4 : Bilette, Liane & Vincent Van Parys
> Jeudi 23/5 : Ness, Luis Bellis & Le Duo Complice
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FOOD & DRINKS :
Venez plus tôt pour manger et/ou boire un verre sur place avant le spectacle :
carte bio, sans gluten, vegan, bières locales et jus maison !
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Le "Comme Eddy Club", c'est un jeu de mots pourri (vous l'avez ?), mais ce sont
surtout des soirées d'humour (presque) tous les jeudis à l'étage du Sister
Brussels Café. Pour être tenu.e au courant de nos activités, suivez-nous sur
Instagram : @commeeddyclub
Une co-production The Sister Brussels Café et Comme Eddy Club, à l'initiative
d'Edgar Kosma (Eddy pour les intimes, vous l'avez cette fois ?)