Exposition intitulée "Contre espace : aujourd'hui, les dix hauts lieux de la
mémoire nationale" (visites guidées, sur réservation, avec interprétation
simultanée en langue des signes française samedis 4 mai et 1er juin à 10h30)...
En s’immergeant au sein du Mémorial national de la prison de Montluc, en
explorant ses archives et en rencontrant le public, Nicolas Daubanes a conçu une
oeuvre positionnant l’art comme vecteur de la transmission ; il investit le
champ mémoriel des lieux qu’il traverse et au sein desquels ses créations
permettent une mise en dialogue entre l’art et la mémoire ; en parallèle de
l’élaboration de ses installations, il mène un important travail de recherche et
de réflexion sur la contrainte, l’absence et les traces ; ce projet artistique
national, novateur par sa nature et son ampleur, ambitionne d’enrichir les
pratiques de transmission et de commémoration à l’heure de la disparition des
derniers témoins.
Walter Bibi et ses amis
16maart
-13april
19 Rue De France, 69100 Villeurbanne, France
Description
Elle met en lumière une cité utopiste créée par Walter Bibi qui recueille toutes celles et ceux qui, comme lui, un jour, se sont retrouvé.es abandonné.es sur l’autoroute. Bouledogue, Basset ou Bichon, tout le monde est bienvenu à Bibiville !
Par une sélection de séquences et de dessins originaux, l’exposition explore comment chacun de ces ouvrages
caractérise la ville, comment nous la façonnons et comment
elle nous façonne en retour. Et pour l’évènement, c’est le
célèbre duo d’architectes Walter & Bibidou qui a conçu le
mobilier, la scénographie, ainsi qu’un jeu de construction inédit : le Bibijeu !
Par une sélection de séquences et de dessins originaux, l’exposition explore comment chacun de ces ouvrages
caractérise la ville, comment nous la façonnons et comment
elle nous façonne en retour. Et pour l’évènement, c’est le
célèbre duo d’architectes Walter & Bibidou qui a conçu le
mobilier, la scénographie, ainsi qu’un jeu de construction inédit : le Bibijeu !
Date info
Du 16/03 au 13/04/2024, tous les jours.
2 Pictures
Suggested events
Du mardi 30 avril 2024 au samedi 25 mai 2024, venez découvrir l'exposition
'Corps et Âmes' au Rize. En partenariat avec le CMP de Villeurbanne, des usagers
et soignants ont collaboré avec l'artiste Marion Semple pour créer des oeuvres
inspirées du thème du corps. Cette exposition met en lumière les créations du
groupe, dans le but de démocratiser l'art, de combattre la stigmatisation de la
maladie psychique et de célébrer le plaisir de créer ensemble. Ne manquez pas le
vernissage le 2 mai à 18h30. Entrée libre.
Infos réservations :
En ligne
-
https://lerize.villeurbanne.fr/agenda/le-rize-accueille-corps-et-ames-voir-imaginer-creer-autour-oeuvres-du-musee/
Par téléphone
- 0437571717
Sylvie Selig
River of no Return - Exposition
Du vendredi 8 mars 2024 au dimanche 7 juillet 2024.
Le macLYON offre sa première exposition muséale au monde à l'artiste Sylvie
Selig, coup de coeur de la 16e Biennale de Lyon, en 2022.
Sur un étage entier, l'exposition au macLYON se déploie autour de River of no
Return, l'immense toile de 140 mètres de long que le macLYON vient de faire
entrer dans sa collection grâce à une campagne de crowdfunding, lancée
mi-octobre 2023. C'est un double événement : la première présentation au public
de cette oeuvre monumentale, et la première fois que Sylvie Selig découvre la
toile dans son ensemble.
L'exposition présentera également de nombreuses autres productions de l'artiste,
illustrant la variété de sa pratique : broderies sur textile, peintures,
dessins, sculptures dont ses mannequins que Sylvie Selig nomme sa Weird Family
[son étrange famille]...
Commissaire : Isabelle Bertolotti, directrice du macLYON
Infos réservation :
Gratuit pour les moins de 18 ans.
Exposition intitulée "Sous les balcons fleuris" : la famille el-Assad, César et
les Syriens (photos, vidéos, maquette, objets, archives)...
Alors que le président syrien, son frère Maher Al-Assad et deux hauts
responsables syriens sont visés, depuis novembre 2023, par des mandats d’arrêt
français pour complicité de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, le
pays entame, en mars 2024, sa 13ème année de guerre civile. Aucun conflit dans
l’histoire n’a mis à jour une telle profusion d’images. Il est question de
millions de documents produits et diffusés grâce aux outils numériques
contemporains : internet, smartphones, clefs USB, antennes satellitaires,
réseaux sociaux... Ils sont utilisés comme autant d’outils de mémoire, de
dénonciation, de propagande, de preuves et d’archivages mais servent des
intérêts contraires.
Exposition biographique in situ présentant les "preuves de vies" de cet espace
en libre évolution dans le cadre des 32 ans de la friche Saint-Bernard : à 14h,
ouverture ; à 18h, présentation, discussion, goûter et activité pour les
enfants...
Construite entre 1859 et 1866 dans les pentes de la Croix-Rousse, l’église
Saint-Bernard a été fermée en 1992 en raison de mouvements de terrain. Après sa
désacralisation en 1999, la Ville de Lyon accorde, en 2016, un bail
emphytéotique au groupe Carré d’Or pour la réhabiliter en coworking. Mais un
groupe de catholiques intégristes, proches de la Fraternité Saint Pie X,
s’oppose judiciairement au projet de réhabilitation. La controverse profite à la
friche ; l’intervalle friche du jardin de l’église Saint-Bernard est un espace
refuge pour les délaissés ne trouvant pas de place ailleurs : les chats-libres
et leurs amis habitent le "temps mort" des planificateurs.
Exposition de peintures intitulée "Nuances printanières" avec des oeuvres de
Fauve, Ulpiano Carrasco, Balthazar, Géraldine Bandiziol et Laurent Bouro
(visites également possibles sur rendez-vous).
Exposition de photos intitulée "Silence" (visites également possibles sur
rendez-vous).
Exposition de sculptures et photos intitulée "It's a triple ding dong !"
Exposition du sculpteur et designer mobilier (céramique et mosaïque), de
l'artiste plasticienne et du sculpteur animalier (céramique).
Exposition intitulée "(H)istoires" : travail de quatre artistes sur qu’est-ce
qui fait histoire...
Que les atrocités infligées au peuple arménien en 1915 ne soient pas encore
reconnues partout comme un génocide dénote de la relativité des lectures de ce
qui fait histoire. Il y a l’histoire racontée par les vainqueurs, l’histoire
muette des vaincus. Les histoires et l’Histoire ne font pas que se raconter et
s’écrire ; elles acquièrent des formes résultant des pouvoir-faire des quatre
créateurs.