Venez vivre durant 2 heures, un concert riche en émotions, une rétrospective
symphonique sur les plus beaux moments du cinéma
Star Entertainment présente : The Music of Hans Zimmer - présenté par un pirate
de Pirates des Caraïbes !
Concert de Zef Zephyr et Touzdec
Description
Soirée de musique du monde.
Date info
le 03/05/2024 à 20h30. Toï Toï le Zinc : Voir les autres événements
Tickets
Info:
- Plein tarif : 10.00 €
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Suggested events
Le concert Nuits sonores : Troubles est au programme du festival Nuits Sonores
2024.
Le projet Troubles est de retour à Lyon pour un concert spécial lors de Nuits
sonores 2024. Ce concert littéraire réunit l'auteure Virginie Despentes, la
rappeuse Casey, l'actrice Béatrice Dalle et le groupe de rock-noise lyonnais
Zëro. Une proposition scénique audacieuse qui explore des thèmes sociaux et
culturels contemporains à travers des textes poignants des années 60 à nos
jours.
Soirée intitulée "Metamorphosis" (contrepoint visuel inspiré de l’œuvre
graphique de Jean Giraud avec le vidéaste Christophe Waksmann : projection, en
direct, d'une dizaine de planches animées issues de trois des mondes imaginaires
de Mœbius).
Chez les compositeurs baroques, on aime chiper à son voisin. Il ne s’agit pas de
plagiat, mais de la marque d’un profond respect. En reprenant l’oeuvre d’autrui,
l’arrangeur lui garantit en quelque sorte la vie éternelle : les
réappropriations sont infinies et s’adaptent à l’humeur du temps. Un concerto
pour cordes de Vivaldi sert de fil conducteur au concert, dans sa version
originale, puis réinventé par l’ami de Vivaldi Johann Georg Pisendel, et enfin
vu par l’oeil contemporain de Franck-Emmanuel Comte. Bach (l’un des plus grands
virtuoses de la métamorphose) se parodie lui-même. Et, à notre époque, Rasmussen
s’approprie les Quatre Saisons de Vivaldi, tandis que Karl Jenkins puise chez
Vivaldi et Albinoni la matière de son Concerto grosso «Palladio».
Programme :
Antonio Vivaldi, Concerto pour deux violons, violoncelle et cordes en sol
mineur, op. 3/2, RV 578a, extrait de L’Estro armonico (extraits – version
originale, arr. de Johann Georg Pisendel et arr. F.-E. Comte)
Johann Sebastian Bach, Concerto pour violon en ré mineur, BWV 1052R (d’après le
Concerto pour clavecin n° 1, en ré mineur BWV 1052)
Karl Aage Rasmussen, «Summer», extrait de The Four Seasons (d’après Antonio
Vivaldi)
Karl Jenkins, Concerto grosso «Palladio» (d’après Tomaso Albinoni et Antonio
Vivaldi)
Le Concert de l’Hostel Dieu
Stefan Plewniak, violon solo
Franck-Emmanuel Comte, direction et clavecin
Christophe Waksmann, vidéos (d'après Mœbius)
La comédie de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien inspire Béatrice et
Bénédict, la dernière oeuvre lyrique de Berlioz, le plus controversé des
compositeurs romantiques. La création à Baden-Baden, en 1862, est un triomphe.
Entre quatre jeunes gens se jouent deux conceptions de l’amour : la sécurité du
foyer, la sauvagerie du désir. Claudio et Héro incarnent innocemment l’amour
conjugal. Béatrice et Bénédict ont si peur de la prison du mariage qu’ils
refusent de reconnaître leur mutuelle attirance et inventent de se haïr. La
conspiration de leur milieu, société de surveillance et de contrôle, a raison de
leur résistance.
Berlioz compose, pour porter cette histoire, une musique qu’il décrit comme «
une des plus vives et des plus originales, qui exige une excessive délicatesse
d’exécution. » Le metteur en scène Damiano Michieletto, pour sa part, est
fasciné par le génie visionnaire de Berlioz, qui « ne s’arrête pas à la
narration d’une histoire mais la transforme en un voyage personnel, où sa
musique agrandit les espaces, élargit l’horizon. »
Opéra-comique en 2 actes
Livret du compositeur d’après la pièce de Shakespeare Beaucoup de bruit pour
rien
Création à Baden-Baden en 1862
Nouvelle production
Mise en scène : Damiano Michieletto
Direction musicale : Johannes Debus
Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, Solistes du Lyon Opéra Studio
Dali est un jeune artiste de 21 ans, dont les inspirations s'étendent de la
chanson française au r'n'b US. Accompagné de son compositeur Kura, l'artiste
développe une esthétique à la croisée des chemins entre rap et chanson, mêlant
thématiques fortes et mélodies légères. Fort de ses premières sorties qui l'ont
placé sur le devant de la scène émergente actuelle, il revient avec un nouveau
projet intitulé Muse qui retrace ses expériences et souvenirs de ses moments
passés auprès des figures féminines qui l'ont marqué.
Elle est la nouvelle voix du jazz et, à 34 ans, l’une des artistes les plus
imaginatives de la scène contemporaine. Née d’une mère française et d’un père
haïtien, Cécile McLorin Salvant grandit à Miami où elle commence sa formation
musicale classique avant de rejoindre Aix-en-Provence pour y étudier le droit et
l’opéra. De sa voix en or, elle illumine ses choix particulièrement audacieux de
répertoire et de compositions : un savant équilibre de jazz, d’inspirations
classiques, de racines folkloriques et de reprises pop. Auréolée de
prestigieuses récompenses, souvent comparée aux légendaires Sarah Vaughan ou
Ella Fitzgerald, Cécile McLorin Salvant impressionne par l’originalité et
l’exigence de sa discographie, à l’instar des récents Mélusine et Ghost Song. Et
c’est probablement Wynton Marsalis qui en parle le mieux : «Elle possède
l’assurance, l’élégance, l’âme, l’humour, la sensualité, la puissance, le
registre, la perspicacité, l’intelligence, la profondeur et la grâce ; on ne
trouve une telle chanteuse qu’une seule fois sur une voire deux générations.»
Rien que ça.
Programme :
Orchestre national de Lyon
Dirk Brossé, direction
Cécile McLorin Salvant, voix
Sullivan Fortner, piano
La Loi des montagnes d'Erich von Stroheim ?(Blind Husbands, États-Unis, 1919,
1h42, N&B)
Dans un village du Tyrol, un lieutenant tente de séduire l'épouse d'un médecin.
Ce dernier finit par avoir des soup?ons et propose au séducteur de l'accompagner
en montagne... Premier long métrage du génial Erich von Stroheim, et l'un des
premiers succès public et critique des Studios Universal. Un mélodrame singulier
bousculant les conventions.
Restauration 4K par the Austrian Film Museum à partir d'une copie nitrate 35mm
de sa collection et les intertitres originaux provenant d'un internégatif 35mm
des collections du Museum of Modern Art (New York).
Accompagnement au piano par Didier Martel
Site web :
https://billetterie.institut-lumiere.org/la-loi-des-montagnes-loisirs-institut-lumiere-hangar-lyon-12-mai-2024-css5-institutlumiere-pg101-ri10315617.html
Il était une fois… L’ouverture d’Oberon commence comme un conte de fée,
merveilleuse introduction à l’opéra de Weber inspiré par Le Songe d’une nuit
d’été de Shakespeare. Comment pourrait-on, après cela, douter de la capacité de
l’orchestre à raconter une belle histoire ? Dans sa Sixième Symphonie,
Tchaïkovski précise toutefois que le programme est «profondément subjectif» et
qu’il revient au public d’en dessiner les lignes. Toutefois, le titre est sans
ambiguïté : «Pathétique», comme l’une des plus célèbres sonates de Beethoven.
Tchaïkovski compose une musique bouleversante ; jusqu’au finale lamentoso,
chaque émotion y est puisée dans une indicible souffrance. Et tout aussi secret
s’annonce le Concerto pour piano de Schumann, avec son motif formé sur les
lettres du prénom de sa bien-aimée Clara. Après les doutes et la douleur
inspirés par une séparation forcée, la joie des retrouvailles s’y impose.
Programme :
Carl Maria von Weber, Ouverture d’Oberon
Robert Schumann, Concerto pour piano en la mineur, op. 54
Piotr Ilitch Tchaïkovski, Symphonie n° 6, en si mineur, op. 74, «Pathétique»
Orchestre national de Lyon
Sir Andrew Davis, direction
Garrick Ohlsson, piano
Soirée avec le quartet féminin de death métal accompagné par Nakkeknaekker et
Plaguemace.