Drama

Description

Que peut encore le théâtre (et en l'occurrence la danse) quand la vie est devenue un spectacle permanent ? Quand un buzz chasse l'autre sur les réseaux sociaux et que les fake news fascinent, comment retenir l'attention du public, aussi courte que précieuse ? C'est entendu, il va falloir en faire des caisses.

Dix danseuses et danseurs intrépides ressuscitent alors les mythes du théâtre d'hier et d'avant-hier, de la tragédie grecque au music-hall des années 1920, pour voir ce qu'on pourrait encore en tirer. Avec une explosion de couleurs sur le plateau et de drames en coulisses, et non sans un regard lucide sur l'industrie du spectacle, Drama de Constanza Macras est une comédie musicale intrépide au chaos joyeux, qui agit comme un anti-dépresseur.

Date info

Jeudi 11 avril 2024

20h00

Tickets

Info:

10.00 €

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Et si la cuisine pouvait changer le monde à Au fond, il s'y noue tellement de choses : notre rapport à la consommation, au vivant, aux autres. Pour Sien Vanmaele, c'est une évidence : il est temps de manger et de vivre différemment. Elle convie le public à partager le repas qu'elle cuisine en direct mais aussi ses découvertes et ses réflexions nourries de deux années passées au contact du monde de la mer. Installé sur deux niveaux tout autour d'elle, le public écoute, regarde, goûte et touche. Et peut-être initie de nouvelles habitudes, un lien inédit avec ce qui nous environne. Un dîner convivial, fédérateur et plein d'espoir, qui nourrit le corps et l'esprit. À table !
Un musicien, un jongleur, des balles qui rebondissent sur les triangles posés au sol et donnent le rythme. L'exécution est millimétrée, l'harmonie parfaite, la virtuosité de chacun et l'écoute de l'autre sont indispensables à cette partition musicale et gestuelle. Mais tout à coup, ces satanés triangles se mettent à bouger tout seuls, et tout est chamboulé. Musicien et jongleur doivent s'ajuster à ces déplacements apparemment aléatoires pour retrouver un semblant d'unité. Et plus les objets s'émancipent, plus les artistes ressemblent à des robots. C'est à se demander qui commande, ici ? Dans un dispositif simple mais rudement efficace, Man Strikes Back est une métaphore dynamique et ludique des rapports entre hommes et machines.
Étoile du Kuchipudi, danse sacrée de l'Inde, Shantala Shivalingappa émerveille par sa force, sa grâce et sa précision. Aurélien Bory a composé pour et avec elle un solo-portrait sur mesure habité par Shiva, dieu créateur et destructeur du Panthéon hindou, dont la danse maintient l'univers en mouvement. La cendre qui couvre son corps dans les représentations inonde ici la scène, où Shantala lui rend hommage avant de se confondre avec lui. Comme un arc tendu entre ciel et terre, porté par les percussions de Loïc Schild, le corps pourtant frêle et gracieux de la danseuse incarne toute la puissance cosmique. Un solo hypnotique et envoûtant, librement inspiré par une gestuelle ancestrale, où tout disparaît et renaît dans un cycle sublime et parfait.
Le spectacle Balades virtuelles a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Participez à la découverte du Forum antique à travers la projection du film " Retour à Bagacum II ". Plongez dans l'histoire de manière immersive et originale lors de cette expérience unique. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
Le spectacle Balades virtuelles et visites du site archéologique a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Venez découvrir le Forum antique à travers une expérience unique ! Assistez à la projection du film " Retour à Bagacum II " pour plonger dans l'histoire, puis laissez-vous guider lors d'une visite du site archéologique éclairé par des photophores. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
Didier et Corinne ont fêté leurs 25 ans de mariage il y a peu. Corinne a réservé un week-end pour deux dans un hôtel branché. Elle a voulu cette parenthèse pour qu’ils puissent se retrouver, loin du quotidien et des enfants. Corinne a peur de la routine, peur de ne plus être aimée et désirée. Didier, lui, n’aime pas les questionnements, il croit au couple, au quotidien et à la pérennité du choix fait il y a 25 ans. Nous allons vivre ce week-end avec eux, entre pleurs et fous rires, confessions intimes, danses endiablées, tendresse et colère, room service défaillant, décryptage d’un exemplaire de « Le sexe pour les nuls », souvenirs, bilan et projets… Attention, « Avé César ! » n’est pas une comédie romantique ordinaire, vous ne saurez peut-être pas, après quatre-vingt-dix minutes, qui vient de Mars et qui vient de Vénus, mais le miroir qui vous est tendu vous offrira une soirée d’éclats de rires et d’émotions. « Un voyage touchant et hilarant au cœur du couple et de sa longévité » FRANCE BLEU « Belle leçon de vie et bons acteurs » CARRE OR « On peut tous se retrouver dans cette pièce. Elle nous donne envie de nous redire des "je t'aime" et de faire plus attention à l'autre » LES NOURRITURES LITTERAISTRES
L’exposition annuelle des Artistes de Thudinie vous fera encore une fois découvrir des œuvres très variées. Plasticiens, photographes, littérateurs membres des Artistes seront mis à l’honneur. En hommage à Gustave Marchoul, un des membres fondateurs de l’association, en cette année de célébration de son centenaire, quelques une de ses œuvres seront exposées. VERNISSAGE LE VENDREDI 5 AVRIL à 19h Expo du 5 avril au 4 mai 2024 Au  Centre culturel Haute Sambre – rue des Nobles, 32 – 6530 Thuin En semaine de 9h à 16h et les samedis de 14h à 17h – Pas d’ouverture le dimanche Entrée libre Infos : Centre culturel Haute Sambr [https://www.facebook.com/centreculturelhautesambre?__cft__[0]=AZWIlpbYL658XcKnFFFxrKH_guccRnZRpdUCXwGpAWVJ6JWED7qV4JZAQfYaPj6_XhIG7Y2ns2onx_J9SEdvMsA3BxiA7MtwN0PpBoFp0VfVXbI31JjtgYo0Do5Z0kGD5lPaMEXsw53yGZE3SkzOeNTDOoOjXI7Ndx8n8WKoynqHe-j-Ql-PaaX5tN3oXW61AAaNAXVBtpyVAgz-XfX59IVO&__tn__=-]K-y-R]e.
En deux pièces, førm Inførms et Emaphakathini, les chorégraphes Marco da Silva Ferreira et Amala Dianor font vibrer leurs écritures pour les danseur·euse·s de Via Katlehong. La compagnie sud-africaine incarne l’ardeur du pantsula, danse urbaine aux jeux de jambe véloces. C’est un diptyque où se décline au fil de deux chorégraphies l’impétuosité de Via Katlehong. Cette compagnie sud-africaine fait sonner depuis 1992 l’héritage du panstula, une danse née dans les années 1960 dans les township de Johannesburg, caractérisée par la virtuosité de ses pas rapides. En ouverture du programme Via Injabulo, le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira, imprégné de ses recherches sur les danses urbaines africaines-américaines, plonge le groupe dans une ambiance clubbing au rythme intense avec førm Inførms. Puis, avec Emaphakathi, le Français Amala Dianor fait exploser la liesse d’être ensemble qui habite cette danse sociale, à la fois sonore par ses frappes de pied, vocale par ses cris qui scandent la danse. Un ensemble entraînant, où l’hybridité des danses d’Afrique du Sud, à la frontière entre danses traditionnelles et urbaines contemporaines, résonne.
Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans. Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu, Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient. "Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?" Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres aux écoles ou aux places publiques.
Nicolas Lacroix est trop gentil et il le reconnait volontiers. Il aime aussi rendre les gens heureux et les faire rire, ça a toujours été le cas. Depuis l’école primaire où il reproduisait des sketchs vus à la télé, il rêve de planches. C’est par les réseaux sociaux qu’il va y arriver. Encouragé par ses proches, il publie une première vidéo sur Tik Tok, succès immédiat. Un an et demi plus tard, plus d’un million et demi de personnes le suivent au quotidien. Comme il croit plus au travail qu’au talent, il prend son temps et c’est finalement GuiHome qui va l’emmener sur scène en produisant son premier spectacle. Il y est question d’un garçon trop gentil qui ne sait pas dire non mais n’en pense pas moins. Regarder le monde, parler de ce qu’il connait, tourner son coming out en dérision, s’inquiéter de l’avenir de la langue quand Wejdene aura pris la place de Baudelaire, imaginer qu’une assistante virtuelle puisse faire office de psy. Arriver toujours à la même conclusion, celle qui existe depuis la nuit des temps, c’était mieux avant. Nicolas assume son côté un peu vieux jeu, celui d’un jeune homme nostalgique embarqué dans un monde trop rapide. L’air de rien, il dit beaucoup des angoisses de sa génération. Aujourd’hui, même si les réseaux sociaux occupent une place importante, il sait qu’un artiste ne se fait pas en un jour et il redoute l’explosion en plein vol. Pas question de se reposer sur ses lauriers, surtout s’ils sont virtuels. Du coup, il travaille encore et toujours pour mériter chaque rire et chaque applaudissement et il aime ça.