Et si la cuisine pouvait changer le monde à Au fond, il s'y noue tellement de
choses : notre rapport à la consommation, au vivant, aux autres. Pour Sien
Vanmaele, c'est une évidence : il est temps de manger et de vivre différemment.
Elle convie le public à partager le repas qu'elle cuisine en direct mais aussi
ses découvertes et ses réflexions nourries de deux années passées au contact du
monde de la mer. Installé sur deux niveaux tout autour d'elle, le public écoute,
regarde, goûte et touche. Et peut-être initie de nouvelles habitudes, un lien
inédit avec ce qui nous environne. Un dîner convivial, fédérateur et plein
d'espoir, qui nourrit le corps et l'esprit. À table !
Drama
11april
20:00
181 Avenue Jean Jaurès, 59600 Maubeuge, France
Description
Que peut encore le théâtre (et en l'occurrence la danse) quand la vie est devenue un spectacle permanent ? Quand un buzz chasse l'autre sur les réseaux sociaux et que les fake news fascinent, comment retenir l'attention du public, aussi courte que précieuse ? C'est entendu, il va falloir en faire des caisses.
Dix danseuses et danseurs intrépides ressuscitent alors les mythes du théâtre d'hier et d'avant-hier, de la tragédie grecque au music-hall des années 1920, pour voir ce qu'on pourrait encore en tirer. Avec une explosion de couleurs sur le plateau et de drames en coulisses, et non sans un regard lucide sur l'industrie du spectacle, Drama de Constanza Macras est une comédie musicale intrépide au chaos joyeux, qui agit comme un anti-dépresseur.
Art
Date info
Jeudi 11 avril 2024
20h00
Tickets
Info:
10.00 €
1 Picture
Suggested events
Un musicien, un jongleur, des balles qui rebondissent sur les triangles posés au
sol et donnent le rythme. L'exécution est millimétrée, l'harmonie parfaite, la
virtuosité de chacun et l'écoute de l'autre sont indispensables à cette
partition musicale et gestuelle. Mais tout à coup, ces satanés triangles se
mettent à bouger tout seuls, et tout est chamboulé. Musicien et jongleur doivent
s'ajuster à ces déplacements apparemment aléatoires pour retrouver un semblant
d'unité. Et plus les objets s'émancipent, plus les artistes ressemblent à des
robots. C'est à se demander qui commande, ici ?
Dans un dispositif simple mais rudement efficace, Man Strikes Back est une
métaphore dynamique et ludique des rapports entre hommes et machines.
Étoile du Kuchipudi, danse sacrée de l'Inde, Shantala Shivalingappa émerveille
par sa force, sa grâce et sa précision. Aurélien Bory a composé pour et avec
elle un solo-portrait sur mesure habité par Shiva, dieu créateur et destructeur
du Panthéon hindou, dont la danse maintient l'univers en mouvement. La cendre
qui couvre son corps dans les représentations inonde ici la scène, où Shantala
lui rend hommage avant de se confondre avec lui. Comme un arc tendu entre ciel
et terre, porté par les percussions de Loïc Schild, le corps pourtant frêle et
gracieux de la danseuse incarne toute la puissance cosmique. Un solo hypnotique
et envoûtant, librement inspiré par une gestuelle ancestrale, où tout disparaît
et renaît dans un cycle sublime et parfait.
Le spectacle Balades virtuelles a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à
Bavay 2024.
Participez à la découverte du Forum antique à travers la projection du film "
Retour à Bagacum II ". Plongez dans l'histoire de manière immersive et originale
lors de cette expérience unique.
Infos réservations :
En ligne
- http://forumantique.lenord.fr
Par téléphone
- 03 59 73 15 50
Le spectacle Balades virtuelles et visites du site archéologique a lieu dans le
cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024.
Venez découvrir le Forum antique à travers une expérience unique ! Assistez à la
projection du film " Retour à Bagacum II " pour plonger dans l'histoire, puis
laissez-vous guider lors d'une visite du site archéologique éclairé par des
photophores.
Infos réservations :
En ligne
- http://forumantique.lenord.fr
Par téléphone
- 03 59 73 15 50
Didier et Corinne ont fêté leurs 25 ans de mariage il y a peu. Corinne a réservé
un week-end pour deux dans un hôtel branché. Elle a voulu cette parenthèse pour
qu’ils puissent se retrouver, loin du quotidien et des enfants. Corinne a peur
de la routine, peur de ne plus être aimée et désirée.
Didier, lui, n’aime pas les questionnements, il croit au couple, au quotidien et
à la pérennité du choix fait il y a 25 ans. Nous allons vivre ce week-end avec
eux, entre pleurs et fous rires, confessions intimes, danses endiablées,
tendresse et colère, room service défaillant, décryptage d’un exemplaire de « Le
sexe pour les nuls », souvenirs, bilan et projets…
Attention, « Avé César ! » n’est pas une comédie romantique ordinaire, vous ne
saurez peut-être pas, après quatre-vingt-dix minutes, qui vient de Mars et qui
vient de Vénus, mais le miroir qui vous est tendu vous offrira une soirée
d’éclats de rires et d’émotions.
« Un voyage touchant et hilarant au cœur du couple et de sa longévité » FRANCE
BLEU
« Belle leçon de vie et bons acteurs » CARRE OR
« On peut tous se retrouver dans cette pièce. Elle nous donne envie de nous
redire des "je t'aime" et de faire plus attention à l'autre » LES NOURRITURES
LITTERAISTRES
L’exposition annuelle des Artistes de Thudinie vous fera encore une
fois découvrir des œuvres très variées. Plasticiens, photographes,
littérateurs membres des Artistes seront mis à l’honneur. En hommage à Gustave
Marchoul,
un des membres fondateurs de l’association, en cette année de
célébration de son centenaire, quelques une de ses œuvres seront
exposées.
VERNISSAGE LE VENDREDI 5 AVRIL à 19h
Expo du 5 avril au 4 mai 2024
Au Centre culturel Haute Sambre – rue des Nobles, 32 – 6530 Thuin
En semaine de 9h à 16h et les samedis de 14h à 17h – Pas d’ouverture le dimanche
Entrée libre
Infos : Centre culturel Haute Sambr
[https://www.facebook.com/centreculturelhautesambre?__cft__[0]=AZWIlpbYL658XcKnFFFxrKH_guccRnZRpdUCXwGpAWVJ6JWED7qV4JZAQfYaPj6_XhIG7Y2ns2onx_J9SEdvMsA3BxiA7MtwN0PpBoFp0VfVXbI31JjtgYo0Do5Z0kGD5lPaMEXsw53yGZE3SkzOeNTDOoOjXI7Ndx8n8WKoynqHe-j-Ql-PaaX5tN3oXW61AAaNAXVBtpyVAgz-XfX59IVO&__tn__=-]K-y-R]e.
En deux pièces, førm Inførms et Emaphakathini, les chorégraphes Marco da Silva
Ferreira et Amala Dianor font vibrer leurs écritures pour les danseur·euse·s de
Via Katlehong. La compagnie sud-africaine incarne l’ardeur du pantsula, danse
urbaine aux jeux de jambe véloces.
C’est un diptyque où se décline au fil de deux chorégraphies l’impétuosité de
Via Katlehong. Cette compagnie sud-africaine fait sonner depuis 1992 l’héritage
du panstula, une danse née dans les années 1960 dans les township de
Johannesburg, caractérisée par la virtuosité de ses pas rapides. En ouverture du
programme Via Injabulo, le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira,
imprégné de ses recherches sur les danses urbaines africaines-américaines,
plonge le groupe dans une ambiance clubbing au rythme intense avec førm Inførms.
Puis, avec Emaphakathi, le Français Amala Dianor fait exploser la liesse d’être
ensemble qui habite cette danse sociale, à la fois sonore par ses frappes de
pied, vocale par ses cris qui scandent la danse. Un ensemble entraînant, où
l’hybridité des danses d’Afrique du Sud, à la frontière entre danses
traditionnelles et urbaines contemporaines, résonne.
Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la
recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la
position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour
un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans.
Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu,
Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en
s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le
mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son
environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où
la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un
costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que
réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient.
"Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images
et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création
contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?"
Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres
aux écoles ou aux places publiques.
Nicolas Lacroix est trop gentil et il le reconnait volontiers.
Il aime aussi rendre les gens heureux et les faire rire, ça a toujours été le
cas.
Depuis l’école primaire où il reproduisait des sketchs vus à la télé, il rêve de
planches.
C’est par les réseaux sociaux qu’il va y arriver. Encouragé par ses proches, il
publie une première vidéo sur Tik Tok, succès immédiat. Un an et demi plus tard,
plus d’un million et demi de personnes le suivent au quotidien.
Comme il croit plus au travail qu’au talent, il prend son temps et c’est
finalement GuiHome qui va l’emmener sur scène en produisant son premier
spectacle.
Il y est question d’un garçon trop gentil qui ne sait pas dire non mais n’en
pense pas moins. Regarder le monde, parler de ce qu’il connait, tourner son
coming out en dérision, s’inquiéter de l’avenir de la langue quand Wejdene aura
pris la place de Baudelaire, imaginer qu’une assistante virtuelle puisse faire
office de psy. Arriver toujours à la même conclusion, celle qui existe depuis la
nuit des temps, c’était mieux avant. Nicolas assume son côté un peu vieux jeu,
celui d’un jeune homme nostalgique embarqué dans un monde trop rapide. L’air de
rien, il dit beaucoup des angoisses de sa génération.
Aujourd’hui, même si les réseaux sociaux occupent une place importante, il sait
qu’un artiste ne se fait pas en un jour et il redoute l’explosion en plein vol.
Pas question de se reposer sur ses lauriers, surtout s’ils sont virtuels. Du
coup, il travaille encore et toujours pour mériter chaque rire et chaque
applaudissement et il aime ça.