Exposition disciplines Olympiques

Description

Venez découvrir l'exposition du club photo de la MJC de Tonnerre sur les disciplines Olympiques !

Date info

Du 6 juillet au 20 août.

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Suggested events

Etant très proche des animaux depuis sa tendre enfance, Izquierdo Belén, artiste peintre autodidacte de 28 ans, porte un intérêt naturel pour la cause animale dans le monde. C'est à travers son art, qu'elle espère réveiller les esprits face au déclin de certaines espèces en voie d'extinction et menacées par l'Homme dues à la pollution, la déforestation, le braconnage et la maltraitance. Le noir et blanc de ses œuvres s'entremêlent afin de jouer entre ombres et lumières. De la peinture acrylique, en passant par l'huile, toutes répondent au style du réalisme, parfois à l'hyperréalisme; une esthétique aux détails bien soignés et aux gestes fluides. Lire la suite
À l'occasion des Journées européennes du patrimoine, découvrez le parcours de sculptures végétales monumentales vivantes de la forêt des Géants verts à Argentenay. Cette année, le parc fête ses 10 ans de création. Chaque année, une nouvelle installation abordant une thématique relative à la biodiversité est proposée. En suivant le thème de cette année : " Migration ", le sculpteur Alain Bresson met l'accent sur une éventuelle migration de certains animaux en voie d'adaptation. Le parcours accueille également des oeuvres picturales de la plasticienne Marie-Laure Hergibo.
L’artiste Claire Marin a concocté pour l’Office de Tourisme du Migennois une exposition spéciale en rapport avec le milieu qui nous entoure “Histoires d’eaux”, peintures et calligraphies. Entre le canal de Bourgogne, l’Yonne, l’Armançon, le Serein et les dizaines de petits rus qui courent sur notre territoire, le thème choisi est évidemment des plus parfaits. Et pour fêter cette nouvelle exposition, elle vous invite à son vernissage le 20 juillet, à partir de 18h. Peintre calligraphe, autrice et conteuse, je tisse un lien entre ces différentes formes d’expression artistique qui me permettent de partager ma vision du monde et de la vie. Que ce soit par la calligraphie ou par mes textes, mon écriture voyage de livres en tableaux, jusqu’au théâtre où elle se déploie par la voix. C’est en Bourgogne que je travaille chaque jour les lettres hébraïques, alphabet directement issu des hiéroglyphes égyptiens et qui se trouve être à l’origine de nos langues. Cette écriture picturale m’inscrit dans une discipline où le corps et l’esprit s’engagent en harmonie. Lire la suite
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail d’illustrateur. Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a probablement appartenu à l’artiste lui-même. Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès 1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté, issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs qui les caractérisent.
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail d’illustrateur. Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a probablement appartenu à l’artiste lui-même. Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès 1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté, issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs qui les caractérisent.
Les Jeux Olympiques sont une magnifique opportunité de mettre en évidence ce qui lie l'Art et le Sport. De tout temps, le sport a été une source d'inspiration pour les artistes. Pierre Merlier n'échappe pas à cette règle bien que n'ayant jamais pratiqué aucun sport, mais portait un intérêt tout particulier à la représentation du corps et du mouvement. Des œuvres sculptées et peintes de ce créateur hors normes feront l'objet d'une installation ludique, humoristique et singulière. Lire la suite
Ursula Kraft revisite le musée des Arts Naïfs et Populaires de Noyers, en mettant en relation des œuvres d’art contemporaines avec la collection permanente : une façon de donner à revoir ce lieu avec un autre regard. L’apparition ponctuelle et inattendue des interventions temporaires accompagnent les visiteurs, comme un fil d’Ariane, à travers les trois étages du musée, établissant ainsi un parcours inouï. Lire la suite