Etant très proche des animaux depuis sa tendre enfance, Izquierdo Belén, artiste
peintre autodidacte de 28 ans, porte un intérêt naturel pour la cause animale
dans le monde. C'est à travers son art, qu'elle espère réveiller les esprits
face au déclin de certaines espèces en voie d'extinction et menacées par l'Homme
dues à la pollution, la déforestation, le braconnage et la maltraitance.
Le noir et blanc de ses œuvres s'entremêlent afin de jouer entre ombres et
lumières. De la peinture acrylique, en passant par l'huile, toutes répondent au
style du réalisme, parfois à l'hyperréalisme; une esthétique aux détails bien
soignés et aux gestes fluides.
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Exposition disciplines Olympiques
06juli
-20augustus
4 Rue Du Grenier À Sel, 89700 Tonnerre, France
Description
Venez découvrir l'exposition du club photo de la MJC de Tonnerre sur les disciplines Olympiques !
Date info
Du 6 juillet au 20 août.
1 Picture
Suggested events
Marie-Odile Mizier, photographe, présente du vendredi 12 juillet au samedi 31
août à l'Eglise romane Saint-Jean-Baptiste de Chassignelles, son exposition de
photos "Regards urbains : la rue face aux murs".
Dessins et peintures.
À l'occasion des Journées européennes du patrimoine, découvrez le parcours de
sculptures végétales monumentales vivantes de la forêt des Géants verts à
Argentenay. Cette année, le parc fête ses 10 ans de création. Chaque année, une
nouvelle installation abordant une thématique relative à la biodiversité est
proposée. En suivant le thème de cette année : " Migration ", le sculpteur Alain
Bresson met l'accent sur une éventuelle migration de certains animaux en voie
d'adaptation. Le parcours accueille également des oeuvres picturales de la
plasticienne Marie-Laure Hergibo.
L’artiste Claire Marin a concocté pour l’Office de Tourisme du Migennois une
exposition spéciale en rapport avec le milieu qui nous entoure “Histoires
d’eaux”, peintures et calligraphies. Entre le canal de Bourgogne, l’Yonne,
l’Armançon, le Serein et les dizaines de petits rus qui courent sur notre
territoire, le thème choisi est évidemment des plus parfaits.
Et pour fêter cette nouvelle exposition, elle vous invite à son vernissage le 20
juillet, à partir de 18h.
Peintre calligraphe, autrice et conteuse, je tisse un lien entre ces différentes
formes d’expression artistique qui me permettent de partager ma vision du monde
et de la vie.
Que ce soit par la calligraphie ou par mes textes, mon écriture voyage de livres
en tableaux, jusqu’au théâtre où elle se déploie par la voix.
C’est en Bourgogne que je travaille chaque jour les lettres hébraïques, alphabet
directement issu des hiéroglyphes égyptiens et qui se trouve être à l’origine de
nos langues.
Cette écriture picturale m’inscrit dans une discipline où le corps et l’esprit
s’engagent en harmonie.
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Venez découvrir l'exposition de peinture d'Arts en Tonnerrois !
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet
artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail
d’illustrateur.
Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François
Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé
Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel
Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a
probablement appartenu à l’artiste lui-même.
Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de
fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès
1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain
s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de
l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par
illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois
jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs
les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté,
issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la
simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs
qui les caractérisent.
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet
artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail
d’illustrateur.
Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François
Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé
Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel
Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a
probablement appartenu à l’artiste lui-même.
Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de
fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès
1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain
s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de
l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par
illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois
jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs
les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté,
issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la
simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs
qui les caractérisent.
Les Jeux Olympiques sont une magnifique opportunité de mettre en évidence ce qui
lie l'Art et le Sport. De tout temps, le sport a été une source d'inspiration
pour les artistes. Pierre Merlier n'échappe pas à cette règle bien que n'ayant
jamais pratiqué aucun sport, mais portait un intérêt tout particulier à la
représentation du corps et du mouvement. Des œuvres sculptées et peintes de ce
créateur hors normes feront l'objet d'une installation ludique, humoristique et
singulière.
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Ursula Kraft revisite le musée des Arts Naïfs et Populaires de Noyers, en
mettant en relation des œuvres d’art contemporaines avec la collection
permanente : une façon de donner à revoir ce lieu avec un autre regard.
L’apparition ponctuelle et inattendue des interventions temporaires accompagnent
les visiteurs, comme un fil d’Ariane, à travers les trois étages du musée,
établissant ainsi un parcours inouï.
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