Nuit Flamenca, Rafael Riqueni - Philharmonie de Paris

Description

Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. NUIT FLAMENCA Rafael Riqueni - José María Gallardo del Rey - Tomatito 6tetConcert• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 4h00 dont 2 entractesPROGRAMME Première partieRafael RiqueniENTRACTEDeuxième partieJosé María Gallardo del Reyavec la collaboration exceptionnelle d'Ana MoralesENTRACTETroisème partieTomatito 6tet Dans un registre andalou avec Rafael Riqueni, classique et chorégraphié avec José María Gallardo del Rey et Ana Morales, dans un pur esprit gitan avec Tomatito : trois grands guitaristes de flamenco se succèdent et se complètent pour une nuit brûlante. Ils sont trois guitaristes à perpétuer la tradition du flamenco, chacun dans une veine personnelle. Considéré comme l’un des virtuoses du genre, Rafael Riqueni s'inscrit dans la pure filiation sévillane, lui le natif du mythique quartier de Triana. José María Gallardo del Rey en incarne une vision plus progressiste souvent en lien avec des chorégraphes, ici avec Ana Morales, danseuse avec les plus grands (Andrés Marín, Javier Barón), dont le jeu a su s’affranchir des codes dans une gestuelle épurée et sensuelle. Quant à José Fernández Torres alias Tomatito (« petite tomate »), il honore l’art du flamenco selon ses fondements gitans en l’enrichissant d’influences jazz. Trois approches, trois esthètes de la guitare, tous unis par un amour commun.

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  • Standard - 24,20 €à 46,20 €

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Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. CZECH PHILHARMONIC / SEMYON BYCHKOV Pablo Ferrández - DvorákConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 2h00 dont 1 entractePROGRAMMEAntonín DvorákConcerto pour violoncelleENTRACTESymphonie n°8DISTRIBUTIONCzech PhilharmonicSemyon Bychkov , directionPablo Ferrández , violoncelle C’est le plus connu des trois concertos de Dvoøák : l’Opus 104 chante ce soir sous l’archet de Pablo Ferrández, que la critique tient pour le « nouveau génie du violoncelle ». Le Czech Philharmonic l’accompagne dans sa langue maternelle. « Je viens juste de terminer le premier mouvement d’un concerto pour violoncelle !! Ne soyez pas surpris, je m’en étonne moi-même et je me demande encore pourquoi je me suis embarqué dans un tel travail », écrit Dvorák à l’ami Alois Göbl au cours de l’automne 1894. S’il semble stupéfait par son propre projet, c’est que l’instrument, dit-on, ne lui plaît guère outre mesure. Entre nouveau monde et vieille Europe, il lui offre néanmoins l’une des plus belles pièces du répertoire. Cinq ans plus tôt, la lumineuse Symphonie n° 8 émerveillait Janáèek. « À peine as-tu découvert une figure que la suivante te fait signe aimablement ; tu te trouves dans un état d’excitation constant mais plaisant », notait entre autres l’ami Leo?. On ne saurait mieux dire.
KLAUS MÄKELÄ / CHRISTIANE KARGMusiciens de l’Orchestre de Paris - Schubert, BrahmsMusique de chambre• Salle des concerts - Cité de la musique• Durée : environ 1h15PROGRAMMEFranz SchubertAdagio e Rondo concertante D487Johannes BrahmsOphelia-Lieder, pour soprano et quatuor à cordesarrangement d'Aribert-ReimannFranz SchubertLe Pâtre sur le rocher, pour soprano, violoncelle et pianoJohannes BrahmsSextuor à cordes n°1 op. 18DISTRIBUTIONKlaus Mäkelä , violoncelleChristiane Karg , sopranoMusiciens de l'Orchestre de Paris Du paysage de la forêt initiatique cher à Schubert aux eaux apaisant pour l’éternité la folie d’Ophélie, c’est dans les profondeurs du sentier romantique que nous entraîne ce programme dédié à Schubert et Brahms. Première composition de Schubert pour cordes et piano, l’Adagio e rondo concertante (1816) a été écrit à la demande du violoncelliste Heinrich Grob, frère de Thérèse Grob, dont Schubert était alors vainement épris. Au violoncelle, Klaus Mäkelä remplace la clarinette dans une transcription du célèbre Pâtre sur le rocher (1828) dont la splendeur mélodique, évoquant l’errance du solitaire au sein de la nature, nous transporte entre les pages d’un roman d’Eichendorff. La même nature, rivière et fleurs, s’accrochent aux cheveux de la « pâle Ophélie » dans les Ophelia-Lieder de Brahms, passionnante vision mélodique de la fiancée d’Hamlet, dont la folie et la mort ont aussi inspiré, entre autres, Berlioz et Richard Strauss. Parfois surnommé « du printemps », le Sextuor à cordes n° 1 (1860) de Brahms est une œuvre à la noble simplicité, en quatre mouvements, dont les deux premiers évoqueront des souvenirs aux spectateurs du film Les Amants de Louis Malle.
Sauvage Production (PLATESV-R-2022-000697) présente PROJECTION : L’OLIVIER SAUVAGE de Kamel Azouz Originaire d’un village de Kabylie en Algérie, Méziane Azaiche arrive en France à l’âge de 23 ans. Sa détermination sans faille et son ouverture d’esprit, puisées dans sa passion pour le spectacle vivant et l’art en général, pallient une instruction sommaire. Méziane est un personnage authentique à la générosité singulière. Malgré les désillusions, il trace son chemin pas à pas et son parcours atypique, ponctué de rencontres improbables, visite plus de soixante-dix années d’histoire commune entre la France et l’Algérie. C’est l’histoire du créateur du Cabaret Sauvage, devenu aujourd’hui l’une des salles de spectacle les plus prestigieuses et éclectiques de France. C’est le récit universel d’un immigré, un homme venu d’ailleurs, qui a défié toutes les adversités afin de réaliser son rêve et de conquérir sa liberté. CONCERT : BRAHIM TAYEB Brahim Tayeb jongle avec raffinement entre l'écriture, la composition et l'interprétation. Amoureux de la guitare et du oud, sa musique est imprégnée autant des airs de son pays natal – l’Algérie - que des influences des musiques du monde qui l’entourent (africaine, orientale, occidentale…). Véritable poète, ses chansons explorent des thématiques aussi variées que profondes, telles que l'exil et la quête inlassable de lendemains plus lumineux. Thèmes auxquels vient se mêler subtilement celui de l’amour, se confondant souvent avec les maux. Brahim Tayeb crée une expérience captivante, enrichie sur scène par ses musiciens, incarnant une fusion audacieuse de cultures et d'émotions. Un moment de partage où la musique et les textes donnent lieu à une performance musicale exceptionnelle. Brahim Tayeb crée une expérience captivante, enrichie sur scène par ses musiciens, incarnant une fusion audacieuse de cultures et d'émotions. Un moment de partage où la musique et les textes donnent lieu à une performance musicale exceptionnelle. Distribution : Brahim Tayeb (oud, guitare, chant) Salem Kerrouche (flûte traversière et nay) Tariq (violon) Jugurtha (piano) Karim Ziad (batterie) Manuel (basse)
Une épopée sur la quête de soi, le destin et l’héritage culturel à travers une pièce dansée sur la succession au sein des royaumes du Cameroun. Célébrations. Lamentations. Pouvoir. Pleures. Rencontres. Résilience. Joie. Avènement. Rythmes soutenus et variés. Corps en perpétuel mouvement. NJEÜDÃ, « succession » en langue medjumba de l’Ouest Cameroun, est un voyage au cœur des traditions et cultures camerounaises. 15 interprètes, danseurs, danseuses, musiciens, chanteuses, explorent toutes ces facettes en mettant en vitrine des références identitaires propres à chaque aire culturelle développée en tableaux. Synopsis La pièce s’ouvre sur un événement déterminant : le décès d’un roi. Au lieu d'entamer les rites prévus, le successeur désigné refuse la responsabilité du trône et prend la fuite. Au cours de sa fuite, il rencontrera différents peuples, sera confronté à la magie (en bien comme en mal) et sera encadré par les souverains voisins. Grandissant tout au long de ce voyage initiatique, il lie des alliances avec ces royaumes pour revenir enfin chez lui, prêt à assumer le rôle qui lui est destiné. Influences culturelles Le Ballet de la Diaspora Camerounaise vous offre ainsi un périple complet à travers les différentes cultures retrouvées dans « l’Afrique en miniature » : la variété des paysages, atmosphères, musiques et danses est au cœur de cette œuvre, dans laquelle les danses et musiques patrimoniales agissent comme prisme d’appréhension et de résolution des problématiques contemporaines de tribalisme et de liens culturels et identitaires rencontrées dans toute l’Afrique. Chorégraphie de Gabin TCHOUPO assité de Martial EFOULOU Présenté par le Ballet de la Diaspora Camerounaise
PHILIPPE MAILLARD PRODUCTIONS (Lic.2-1006808/3-1006809) présente ce concert. Alia Sellami, chant Ensemble De Caelis Laurence Brisset, direction Chants sacrés, manuscrits de Las Huelgas, chants des églises d’Orient et chants soufis Le désert de Thèbes fut le refuge des premiers chrétiens. Depuis on nomme « Thébaïde » tout lieu de retrait du monde. Le désert a toujours fasciné les hommes épris d’absolu, il relie les trois religions monothéistes. Au Moyen-Âge, en Occident, il désigne l’ermitage, la forêt, les îles, les monastères. Chez les Soufis, la Khalwa qualifie aussi bien l’action de s’isoler que le lieu où l’on s’isole : la nature, le désert, la grotte, la cellule, on y cherche « l’illumination ». Ce programme invite à traverser ces déserts, poétiques ou réels, avec des chants sacrés occidentaux puisés dans le manuscrit de Las Huelgas, monastère féminin fondé au XIIe siècle en Espagne et en Orient le chant maronite, le chant soufi et des poèmes de Loránd Gáspár. Deux œuvres actuelles, Khalwa d’Alia Sellami et Déserts de Jonathan Bell permettront selon les mots de Loránd Gáspár de « tisser, envers et contre toutes les apparences une continuité entre la musique du passé, celle d’aujourd’hui et celle de demain, voire, d’essayer d’en utiliser les fils assonants et dissonants dans un commun faisceau du questionnement de la douleur et de la lumière ».
William Winterstin, piano. Bach, 1ère Partita – Schumann, Humoresque Chopin, Polonaise héroïque Petit bijou de l’Art baroque édifié en 1733, l’église Saint-Ephrem dont l'acoustique est remarquable se situe dans un écrin de verdure en plein Centre historique de Paris (Quartier Latin) proche du Panthéon et de la Sorbonne. Le calme et la sérénité qui y règnent en font un lieu propice à l’écoute de la musique classique. Les nombreux concerts qui y sont organisés sont donnés par des artistes, tous lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi eux, nombreux sont lauréats de concours internationaux. Concert aux chandelles : le choeur de l'église est illuminé de bougies soulignant le côté romantique et intimiste de l’église. Par ses concerts de qualité, Saint-Ephrem est devenu le rendez-vous incontournable des passionnés de musique classique.
D'après l'histoire vraie de Charlotte Piazza Cette pièce est un témoignage d’enfermements, d’une schizophrénie ostracisée, de violences psychiatriques, d’un combat pour vivre. Elle exprime des moments de joie, de poésie, de solidarité, d’élan de vie, broyés par la prison puis l’asile. Elle est un hommage à Charlotte Piazza, victime de ces maltraitances et de ces injustices, ainsi qu’à toutes les victimes des institutions carcérales et psychiatriques. Mise en scène : Patricia Piazza. Avec : Julia Beauquesne, Suzana Joaquim Maudslay, Alicia Lassalle, Jonathan Le Guillou, Marine Lemonnier. Costumes : Anne Poitral. Lumières : Elvire Flocken-Vitez . Musique : Dinah Ekchajzer, Magali Goblet, Nicolas Rayappa.