Vernissage le 28 juin, à 18h
La galerie Eva Vautier a le plaisir de présenter l'exposition BACK AGAIN de
Philippe Perrin. Après avoir exposé au Centre Pompidou (Paris) à la Maison
Européenne de la Photographie (Paris), à la Villa Arson (Nice), au Musée d'art
contemporain de Lyon, à la Biennale de Venise ou encore à celle de La Havane,
Philippe Perrin propose, pour cette première exposition à la galerie, un
dialogue entre quelques unes de ses oeuvres les plus récentes dont une série
inédite : PEINTURES DE GUERRE.
Exposition du 28 juin au 29 septembre
Site web : https://eva-vautier.com/
les vaccins à quoi ça sert ?
02februari 2022
-23februari 2022
Boulevard Victor Hugo
Boulevard Victor Hugo, Nice, Provence-Alpes-Côte d'Azur 06000, France
Description
Elle retrace l'histoire de la vaccination en passant par le mécanisme de fonctionnement du vaccin et sa composition.
Elle apporte également un éclairage sur le vaccin contre la Covid 19 et déconstruit un certain nombre de fausses informations à ce propos.
Entrée gratuite
Information fournie par Mairie de Lançon de Provence
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Entrée gratuite
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Suggested events
L'exposition 'MiróMatisse. Par-delà les images' est une collaboration entre la
Fundació Joan Miró à Barcelone et le musée Matisse à Nice. Elle explore les
liens entre les oeuvres de Henri Matisse et de Joan Miró. Ne manquez pas cette
occasion unique de plonger dans l'univers artistique de ces deux grands maîtres.
Venez découvrir cette exposition fascinante au Musée Matisse à Nice.
Elli Chrysidou - Fragmented memories in Red
Jeudi 27 juin 2024 de 16h à 21h
Vernissage en présence de l'artiste
Exposition jusqu'à fin juillet 2024
Entrée libre
"Fragmented Memories in Red" est une oeuvre qui explore les complexités de la
fragmentation de la mémoire. Cette oeuvre d'art entremêle des images traitées
tirées de l'histoire de l'art, créant une tapisserie d'émotions et de souvenirs.
La couleur dominante, le rouge, palpite à travers l'oeuvre, symbolisant la
passion, l'intensité et l'interconnexion des souvenirs dispersés. Chaque
fragment, délicatement tissé, invite le spectateur à réfléchir à la nature
complexe de la mémoire et à son impact profond sur notre perception du passé.
"Fragmented Memories in Red" est un voyage visuel qui remet en question les
limites de la mémoire et invite à l'introspection sur la fluidité de nos
souvenirs.
Site web : http:// www.galerie-depardieu.com
Infos réservation :
Galerie Depardieu6 rue du docteur Jacques Guidoni06000 NiceTel 0 966 890
274www.galerie-depardieu.comDu lundi au samedi de 14h30 à 18h30Entrée libre
Lieu de RDV : A l'entrée du musée, niveau -2 par les grands escaliers de la
partie moderne du musée.
Heure de RDV : 10h45
Qu’ont en commun Henri Matisse et Joan Miró ? Si la recherche de l’harmonie «
décorative » qui caractérise l’œuvre de Matisse semble à première vue très
éloignée de l’inquiétante étrangeté du surréaliste Joan Miró, leurs conceptions
de l’art et de la création entretiennent pourtant des rapports profonds, que le
musée Matisse de Nice propose de révéler, sans pour autant masquer toutes les
différences qui les séparent. Le parcours de l’exposition met notamment l’accent
sur les regards croisés que les deux artistes ont porté sur leurs œuvres
respectives, puisant une réflexion et inspiration nouvelle l’un chez l’autre.
Car, en effet, il ne faut pas oublier que Matisse et Miró se sont reconnus et
admirés mutuellement...
Après avoir montré le travail de Marine Wallon dans des expositions de groupe en
2020 et en 2021, la galerie Catherine Issert consacre pour la première fois à
l'artiste une exposition personnelle du 29 juin au 31 août 2024.
Ses peintures, empreintes de références au cinéma et qui oscillent entre
paysages et compositions abstraites, sont au coeur de cette présentation
inédite, en parallèle à son travail sur papier, autre facette de sa vigueur
picturale. D'une figuration de moments suspendus à un déferlement de matière,
d'un arrêt sur image à un déchaînement gestuel, c'est un univers à la fois
concret et imaginaire qui s'offre au spectateur.
« Si Marine Wallon appartient sans conteste à la nouvelle scène figurative
fran?aise, elle sait s'aventurer du côté d'une abstraction affirmée, et évoluer
sur des lignes de crête. Sa peinture - son médium favori depuis le mitan des
années 2010 - donne à voir l'instant capturé, suspendu, et, dans le même temps,
le mouvement, le foisonnement vibrant des éléments ; elle déploie des horizons
lointains et exotiques aux titres évocateurs autant qu'elle impose la frontalité
intransigeante d'une matière picturale brute. Et c'est en cette tension
incomparablement maîtrisée que le spectateur est ravi, son regard livré à la
peinture même, tandis que l'imaginaire le plus libre s'abandonne à la narration
trouble de scènes énigmatiques.
Ce jeu entre fixité et mouvement trouve quelques clés d'explication dans les
nourritures esthétiques de Marine Wallon. Elle qui regarde passionnément la
peinture, de Delacroix à Joan Mitchell en passant par Milton Avery ou Van Gogh,
reste obsédée par l'image en mouvement. Sa méthode même raconte cette
dialectique : elle navigue dans un flux d'images de paysages glanées sur
internet - sites d'archives, films documentaires, amateurs ou publicitaires - à
la recherche d'un « choc visuel ». Après la capture d'écran, la saturation sur
Photoshop et quelques croquis, vient la mise en danger de la peinture : munie de
pinceaux, de brosses, de tissus plongés dans l'huile et jetés sur la toile ou
simplement de ses doigts, elle livre une pensée sauvage pour donner vie à des
paysages-matières où l'ambigu règne en maître : on ne sait trop si ses
silhouettes incertaines, de simples « punctums » servant à la circulation du
regard, évoluent dans des décors vraisemblables ou s'ils se trouvent nez à nez
avec des signes picturaux. Ce sens aigu de l'indistinct, de l'étrangeté, de
l'imminence, naît à l'intersection d'une histoire du paysage - la mer et la
montagne, effrayantes mais attrayantes, ne sont pas sans rappeler la tradition
du sublime romantique - et de références au cinéma, cinéma expérimental,
d'auteur ou hollywoodien, celui de John Ford, d'Akira Kurosawa, de Jean-Daniel
Pollet ou de Rose Lowder.
Marine Wallon opère donc une audacieuse alchimie : l'image animée se trouve
fixée, pour finalement redevenir foisonnement ; l'image numérique éthérée
devient picturalité concrète ; l'image par essence reproductible s'incarne dans
l'aura d'une peinture ; l'image triviale, jetable, devient poétique, unique. La
magie a lieu dans une sorte de danse ou de transe : si la genèse du travail
vient de l'oeil parcourant l'écran, la suite du processus créatif est des plus
physiques. Entre le monde du tout-image qui est désormais le nôtre et celui des
premiers âges de l'humanité, Marine Wallon cherche un geste primitif, aussi
simple parfois que la main trempée dans la peinture et posée sur la toile,
réitération d'un geste artistique originel évoquant sa pratique première de
l'argile. À l'aide de ses spalters et pinceaux, elle libère, en une touche âpre
et texturée, des arabesques, des étirements de peinture, de véritables rideaux
de matière qui balaient, souvent en diagonale, la surface de la toile. Elle
cherche la perturbation, l'excès, la perte des repères, à la lisière du
dissonant ; depuis plusieurs années, Marine Wallon a banni toute idée de
perspective. Ses peintures, désertiques, rocailleuses, enneigées, sont des
scènes vides et pourtant saturées, où le moment de suspens cinématographique
saisi en plongée ou en contre-plongée rencontre des temps géologiques
immémoriaux. Repères de temps et d'espace se trouvent ainsi abolis, les échelles
nous échappent et le vertige nous guette. La manière qu'a Marine Wallon
d'habiter le médium se transmet vite au spectateur : quels qu'en soient le
format et la technique - huiles sur toile, travaux sur papier exécutés à
l'aquarelle, à la gouache ou au crayon, gravures -, on sent, face à ses oeuvres,
le froid des montagnes, le sel des embruns, la morsure du soleil, le souffle du
vent. Ses pièces, toutes à la fois figuratives, atmosphériques, lyriques,
dessinent ensemble, une fois leur accrochage orchestré, le storyboard d'un film
que l'on peut sans cesse recomposer. »
Elsa Hougue
Première fondation d'art moderne et contemporain en France, la Fondation Maeght
fêtera son soixantenaire à l'été 2024. Créée en 1964 par le couple de marchands
d'art, éditeurs et lithographes Marguerite et Aimé Maeght, elle fut inaugurée à
Saint-Paul-de-Vence par André Malraux et immédiatement reconnue d'utilité
publique. Cet anniversaire sera marqué par une grande exposition estivale «
Amitiés, Bonnard-Matisse », l'inauguration de nouvelles salles d'exposition
consacrées cette année à la collection permanente et un mois de célébrations
composé de concerts, représentations de danse, projections de films, lectures...
Doris Kuert - Suivez les Muses
Figures mythologiques
Jeudi 13 juin 2024 de 18h à 21h
Vernissage en présence de l'artiste
Exposition jusqu'à fin juillet 2024
Entrée libre
Figures mythologiques / Photographie analogique / Émulsion photographique
Le choix des noms, en particulier ceux de l'Antiquité grecque, est voulu par
Doris Kuert. Electra, Artémis, Méduse et Salomé suscitent en elle certaines
associations qui - on a presque envie de dire : chaque jour - ouvrent une
nouvelle facette.
Andreas Jahn
Mes modèles sont des femmes de mon entourage, des amies ou même l'une de mes
filles. Elles sont prêtes à mettre en scène des gestes convenus ou spontanés. Un
simple vêtement sert d'accessoire. La combinaison d'un corps féminin et d'un
tissu évoque une dignité antique et une grâce éphémère. Cela éveille des
associations d'idées - et certaines poses évoquent le nom d'une femme des mythes
gréco-romains, ce qui donne au drame suggestif une véritable apparence.
Le procédé de l'émulsion photographique permet d'obtenir des effets passionnants
à partir d'intentions, de phénomènes aléatoires, de traces de travail et prend
au sérieux les processus d'une solarisation. Les photos présentées ici sont le
résultat heureux du développement, de l'expérimentation et du fait de se laisser
surprendre. Il est parfois arrivé qu'un travail m'échappe littéralement et que
l'image s'évapore comme une chimère parce que la gélatine de la plaque offset ou
du papier s'écoule.
Doris Kuert
Site web : http://www.galerie-depardieu.com
Infos réservation :
Galerie Depardieu6 rue du docteur Jacques Guidoni06000 NiceTel 0 966 890 274Du
lundi au samedi de 14h30 à 18h30Entrée libre
La Station accueille l'exposition Pajama Party, une carte blanche à Olivier
Millagou, artiste et commissaire d'exposition pour l'occasion. La proposition de
cette exposition, qui s'inscrit dans le cadre d'Éclairage public au 109, est de
réenchanter notre présence au monde par le biais du surf, de la mer, de l'océan,
de ses abords.
Le miroir de sa surface nous masque les dégâts que nous infligeons à l'univers
océanique. Les artistes réuni.e.s ici proposent par humilité, de faire monde
autrement, en créant de nouveaux imaginaires.
Site web : https://www.lastation.org/
La Galerie Gabel propose un gros plan sur l'œuvre peinte d'Etienne Gros, diplômé
de l'école des beaux-arts de Paris, Grand prix Azart en 2006.Etienne Gros peint
et sculpte des corps..."Les corps sont balayés d'ombre et de lumière, tatoués de
pigments à moins qu'ils n'apparaissent, évanescents au hasard d'un nuage de
fumée.La force n'est plus à démontrer.Ici la chair puissante semble faite de
pierre, là, rougissante, incandescente, elle est sensuelle et les corps
s'enroulent, les membres s'enchevêtrent, s'imbriquent, ainsi zoomé jusqu'à
l'abstraction.À la fin on les devine, est-ce une nuque ? Sont-ce des jambes
imbriquées, des doigts mêlés ?Ils ont là, attractifs, addictifs !"Valerie Gaidoz
Plongez dans l'univers captivant de l'exposition 'Chagall politique - Le cri de
la liberté' à Nice. Découvrez une grande rétrospective mettant en lumière
l'oeuvre de l'artiste Marc Chagall à travers les événements historiques
marquants de son époque. Une occasion unique de saisir la puissance de son art
engagé et de son message de liberté.