Exposition de peintures intitulée "Nuances printanières" avec des oeuvres de
Fauve, Ulpiano Carrasco, Balthazar, Géraldine Bandiziol et Laurent Bouro
(visites également possibles sur rendez-vous).
Variations Textiles
25maart
-30maart
45 Rue Saint-Georges, 69005 Lyon, France
Description
Julie-Victoire Daubié a 37 ans lorsqu'elle passe son baccalauréat le 17 août 1861 à Lyon. C'est une femme engagée depuis longtemps dans l'émancipation des femmes et elle a déjà fait parlé d'elle en remportant le premier prix du concours de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon en 1859 avec une enquête très poussée sur les conditions de vie et de travail des femmes, qui deviendra en 1866 l'ouvrage "La femme pauvre du XIXe siècle".
A l'occasion du bicentenaire de sa naissance (1824-1874) la maison d'édition textile Ames Soeurs et l'association culturelle Si/si les femmes existent, mémoire poétique poursuivre leur collaboration avec la création d'une série de foulards et pochettes inspirées des objets de l'artiste Anne Monteil-Bauer qui rend hommage à l'engagement féministe de la première française à obtenir le baccalauréat.
Un vernissage et une performance sous forme de narration express sera proposée au public le mardi 26 mars à partir de 17h à la galerie Ames Soeurs.
A l'occasion du bicentenaire de sa naissance (1824-1874) la maison d'édition textile Ames Soeurs et l'association culturelle Si/si les femmes existent, mémoire poétique poursuivre leur collaboration avec la création d'une série de foulards et pochettes inspirées des objets de l'artiste Anne Monteil-Bauer qui rend hommage à l'engagement féministe de la première française à obtenir le baccalauréat.
Un vernissage et une performance sous forme de narration express sera proposée au public le mardi 26 mars à partir de 17h à la galerie Ames Soeurs.
Date info
Du lundi 25 au samedi 30 mars 2024 de 11h à 18h30.
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Suggested events
Exposition intitulée "Sous les balcons fleuris" : la famille el-Assad, César et
les Syriens (photos, vidéos, maquette, objets, archives)...
Alors que le président syrien, son frère Maher Al-Assad et deux hauts
responsables syriens sont visés, depuis novembre 2023, par des mandats d’arrêt
français pour complicité de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, le
pays entame, en mars 2024, sa 13ème année de guerre civile. Aucun conflit dans
l’histoire n’a mis à jour une telle profusion d’images. Il est question de
millions de documents produits et diffusés grâce aux outils numériques
contemporains : internet, smartphones, clefs USB, antennes satellitaires,
réseaux sociaux... Ils sont utilisés comme autant d’outils de mémoire, de
dénonciation, de propagande, de preuves et d’archivages mais servent des
intérêts contraires.
Exposition biographique in situ présentant les "preuves de vies" de cet espace
en libre évolution dans le cadre des 32 ans de la friche Saint-Bernard : à 14h,
ouverture ; à 18h, présentation, discussion, goûter et activité pour les
enfants...
Construite entre 1859 et 1866 dans les pentes de la Croix-Rousse, l’église
Saint-Bernard a été fermée en 1992 en raison de mouvements de terrain. Après sa
désacralisation en 1999, la Ville de Lyon accorde, en 2016, un bail
emphytéotique au groupe Carré d’Or pour la réhabiliter en coworking. Mais un
groupe de catholiques intégristes, proches de la Fraternité Saint Pie X,
s’oppose judiciairement au projet de réhabilitation. La controverse profite à la
friche ; l’intervalle friche du jardin de l’église Saint-Bernard est un espace
refuge pour les délaissés ne trouvant pas de place ailleurs : les chats-libres
et leurs amis habitent le "temps mort" des planificateurs.
Exposition intitulée "Qu'est-ce que tu fabriques ? Lyon industrielle et
ouvrière" : découverte des techniques, des savoir-faire et la vie des
travailleurs du passé... (pour tout public à partir de 12 ans).
Cette histoire, celle de la fabrique de la soie en particulier, a contribué à
construire le paysage lyonnais et a formé une population ouvrière nombreuse. Ses
développements ont durablement marqué la ville et son identité jusqu’à nos
jours. L’histoire industrielle lyonnaise est mise en perspective avec les enjeux
du travail et de l’industrie d’aujourd’hui. L’exposition est rythmée par de
nombreuses archives sonores et vidéos, des objets du quotidien du travail, des
matériaux textiles, des commandes photographiques contemporaines et des pièces
de collection majeures (le métier à tisser à la grande tire, la mécanique
Jacquard...).
Exposition intitulée "(H)istoires" : travail de quatre artistes sur qu’est-ce
qui fait histoire...
Que les atrocités infligées au peuple arménien en 1915 ne soient pas encore
reconnues partout comme un génocide dénote de la relativité des lectures de ce
qui fait histoire. Il y a l’histoire racontée par les vainqueurs, l’histoire
muette des vaincus. Les histoires et l’Histoire ne font pas que se raconter et
s’écrire ; elles acquièrent des formes résultant des pouvoir-faire des quatre
créateurs.
Exposition de photos intitulée "Silence" (visites également possibles sur
rendez-vous).
Dans cette deuxième exposition solo avec la galerie Houg et première exposition
dans le nouvel espace de Lyon, Zoé Baraton explorera le rapport
apparition/disparition. A travers ses supports de prédilection - le papier et le
verre - elle s'attache à rendre visible le phénomène même de la disparition. Une
fois la poussière retombée / Once the dust settles exposera ses recherches
autour des Ghost Towns nord-américaines et dévoilera ses nouvelles
expérimentations autour du blanc de Meudon.
Interroger l'existant et la manière dont l'invisible fa?onne notre rapport au
monde, mettre en présence de l'absence, faire apparaître la disparition, voilà
le propos de son oeuvre. Tout en rendant subtilement présents des paysages
spoliés, des habitations abandonnées ou hantées, des populations décimées ou
encore des mélodies immémorées, Zoé Baraton nous dévoile les multiples
possibilités de profondeur et de relief de la ligne et rend visible une
matérialité cachée.
Que ses oeuvres soient sur papier, verre ou caissons lumineux, leurs supports
plans semblent au premier abord imposer leur frontalité et se révéler
pleinement.
Pourtant Zoé Baraton parvient toujours, par des jeux de lumière, de matière ou
de transparence, à troubler nos perceptions et imposer une présence
fantomatique. Ses oeuvres se matérialisent autant qu'elles se dissolvent. Nous
questionnant, elles nous invitent à nous attarder plus longuement et à nous
approcher d'elles ; afin de mieux ressentir les différentes dimensions de leur
propos comme de leur matérialité.
Explorant la tactilité du support en creusant des couches de textures et de
significations, ses oeuvres sur différents types de papiers ou plaques de verre,
surfaces planes et bidimensionnelles par excellence, s'imposent dans de
nouvelles spatialités et tendent vers une étonnante profondeur. Plus seulement
tracée, dessinée dirons-nous, la ligne est gravée dans le verre, perforée ou
coupée au scalpel dans le papier ou bien encore révélée par un dispositif
lumineux.
Site web : https://www.galeriehoug.com
Exposition de sculptures et photos intitulée "It's a triple ding dong !"
En partenariat avec l'association Brouill'Arts Lyonnais, la Tomaselli Collection
vous invite à venir découvrir l'exposition « La Modernité à Lyon : 1900 - 1925 »
qui se tiendra du 23 avril au 7 septembre 2024.
L'accrochage de notre future exposition couvre la période du début du XXe siècle
depuis la création du Salon des Artistes Lyonnais en 1901 (rebaptisé plus tard
Salon d'Automne) jusqu'à la création du Salon du Sud-Est en 1925.
Cette présentation s'intéresse particulièrement aux artistes du groupe Ziniar.
Les membres de ce groupe, ignares assumés et revendicateurs, réfutent l'art
académique pour être résolument modernes. Ne réalisant aucun manifeste
artistique, ils oeuvrent à la réalisation de trois albums présentant leurs
oeuvres gravées.
Actifs de 1920 à 1924, ils entrainent avec eux de nombreuses initiatives, telles
que les revues d'avant-garde Promenoir (1921-1922) et Manomètre (1922-1928).
Site web : https://tomaselli-collection.com
Infos réservation :
Tomaselli Collection est ouverte au public de manière permanente du mardi au
samedi de 10h30 à 17h30.Tarifs : 10 euros par personneTarif étudiant : 6
euros.Gratuité : Tomaselli Collection est gratuite pour les moins de 18
ans.Visites guidées : 15 euros par personne.
Exposition intitulée "Contre espace : aujourd'hui, les dix hauts lieux de la
mémoire nationale" (visites guidées, sur réservation, avec interprétation
simultanée en langue des signes française samedis 4 mai et 1er juin à 10h30)...
En s’immergeant au sein du Mémorial national de la prison de Montluc, en
explorant ses archives et en rencontrant le public, Nicolas Daubanes a conçu une
oeuvre positionnant l’art comme vecteur de la transmission ; il investit le
champ mémoriel des lieux qu’il traverse et au sein desquels ses créations
permettent une mise en dialogue entre l’art et la mémoire ; en parallèle de
l’élaboration de ses installations, il mène un important travail de recherche et
de réflexion sur la contrainte, l’absence et les traces ; ce projet artistique
national, novateur par sa nature et son ampleur, ambitionne d’enrichir les
pratiques de transmission et de commémoration à l’heure de la disparition des
derniers témoins.