Plongez au c'ur de l'histoire provençale à travers le spectacle époustouflant
'Gloire et Trahisons'. Revivez 2000 ans d'événements marquants avec des
comédiens, danseurs, et des scènes épiques au Théâtre Romain Philippe Leotard à
Fréjus.
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Art et Vin 2024 : Massive Lightness
20juni
-06september
09:00
1609 Route De Malpasset, 83600 Fréjus, France
Description
Vernissage :
Date : 13 juin 2024 , Heure : 18h00
Lieu : Clos des Roses, 1609 Route de Malpasset, 83600 Fréjus
Dates de l'exposition : Du 13 Juin au 06 septembre 2024
Description :
Rejoignez-nous pour le vernissage de "Massive Lightness", une exploration immersive où art et architecture se rencontrent dans une symphonie de formes et d'émotions, par l'artiste Ludovic Regnault. Cette exposition solo marque une étape significative dans la carrière de Ludovic, un talent émergent sorti des ateliers de Jean-Michel Othoniel.
Découvrez comment ses oeuvres transforment l'espace et invitent à une réflexion sur la fluidité des limites entre les disciplines artistiques. Ludovic utilise des matériaux innovants pour créer des structures qui interagissent subtilement avec leur environnement, offrant une nouvelle perspective sur l'interaction entre l'art, l'architecture et la nature.
Le Clos des Roses est fier d'accueillir cette exposition mémorable qui promet non seulement d'engager vos sens mais aussi de réinventer votre perception de l'espace et de la forme.
Venez célébrer avec nous, découvrir les oeuvres captivantes de Ludovic et savourer nos vins exquis lors de cette soirée d'art et de convivialité.
Entrée : Gratuite
Informations et réservations : https://closdesrosesartcenter.my.canva.site/art-et-vin
Nous sommes impatients de vous accueillir pour cette soirée d'art et de découverte !
#MassiveLightness #ArtEtVin #ClosDesRoses #Vernissage #ArtContemporain #Architecture #LudovicRegnault
Site web : https:// https://closdesrosesartcenter.my.canva.site/art-et-vin
Art
Date info
Dujeudi 13 juin 2024auvendredi 6 septembre 2024
09h00
Tickets
Info:
Gratuit
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Suggested events
Les Tambours est une déambulation festive et ludique proposée par la légendaire
compagnie d'arts de la rue, Transe Express. Sept percussionnistes talentueux aux
influences musicales variées vous entraînent dans un parcours dansant et
entraînant. Vêtus de costumes éclatants, ils font résonner leurs instruments
avec une énergie contagieuse, mêlant traditions africaines, indiennes,
méditerranéennes, bretonnes et brésiliennes. Le spectacle se termine en
apothéose avec un final pyrotechnique où les musiciens deviennent de véritables
sorciers des percussions. Une expérience sensorielle unique où la musique et le
feu se rejoignent pour enflammer les c'urs et faire vibrer l'assistance.
Mercredi 17 juillet 2024 21h00 – Les Arcs - Chapelle Sainte Roseline
DUO DEL ANGEL
Eric COURREGES, violoncelle – Sébastien MAZOYER, accordéon
Un répertoire classique revisité par cette formation violoncelle accordéon. Des
couleurs et des ambiances nouvelles créées par ce duo qui saura vous surprendre
par sa virtuosité et son originalité.
Mercredi 24 juillet 2024 21h00 – Les Arcs – Chapelle Sainte Roseline
PIANO 4 MAINS
Duo Chiara NICORA et Fernando BAROFFIO
G. Rossini – C.Chaminade – J. Brahms
La grande virtuosité sublimée par une forte connivence saura vous charmer au
travers l’interprétation de grandes oeuvres musicales.
Mercredi 31 juillet 2024 21h00 – Les Arcs – Chapelle Sainte Roseline
Nuit à l’opéra
Valentine LEMERCIER, mezzo soprano – Frédéric CORNILLE, baryton – Eric
COURREGES, violoncelle - Sylvain SOURET, piano
W.A.Mozart – G.Verdi – J.Massenet – V.Bellini – G.Puccini
« REVES et PASSIONS »
Eric COURREGES, violoncelle – Pascal POLIDORI, guitare
Une histoire d’amitiés et de fidélité ; le duo guitare / violoncelle formé par
Pascal POLIDORI et Éric COURRÈGES revisite les grandes pages du répertoire.
Valse sentimentale de P. TCHAIKOVSKY
Andante et scherzo de Mauro GIULIANI
Le Cygne de Camille SAINT-SAENS
Allegro modérato L’Arpeggione de Frantz SCHUBERT
Romance et rondo de Christian Gottlieb SCHEIDLER
Ave Maria de Jean Sébastien Bach - GOUNOD
Andalouse de Enrique GRANADOS
Ave maria de Astor PIAZZOLLA
Tango en Sky R. DYENS
Samedi 13 juillet 2024 21h00 Vidauban – Domaine des Féraud
Récital Piano Alexandra SOSTMANN
J.S.-BACH « Le piano bien tempéré »
Alchimiste sonore au piano, Alexandra SOSTMANN réussit ici la quadrature du
cercle, alliant par son jeu de J.S. BACH, le cœur et l'esprit dans un équilibre
idéal.
La Galerie Gabel propose un gros plan sur l'œuvre peinte d'Etienne Gros, diplômé
de l'école des beaux-arts de Paris, Grand prix Azart en 2006.Etienne Gros peint
et sculpte des corps..."Les corps sont balayés d'ombre et de lumière, tatoués de
pigments à moins qu'ils n'apparaissent, évanescents au hasard d'un nuage de
fumée.La force n'est plus à démontrer.Ici la chair puissante semble faite de
pierre, là, rougissante, incandescente, elle est sensuelle et les corps
s'enroulent, les membres s'enchevêtrent, s'imbriquent, ainsi zoomé jusqu'à
l'abstraction.À la fin on les devine, est-ce une nuque ? Sont-ce des jambes
imbriquées, des doigts mêlés ?Ils ont là, attractifs, addictifs !"Valerie Gaidoz
Première fondation d'art moderne et contemporain en France, la Fondation Maeght
fêtera son soixantenaire à l'été 2024. Créée en 1964 par le couple de marchands
d'art, éditeurs et lithographes Marguerite et Aimé Maeght, elle fut inaugurée à
Saint-Paul-de-Vence par André Malraux et immédiatement reconnue d'utilité
publique. Cet anniversaire sera marqué par une grande exposition estivale «
Amitiés, Bonnard-Matisse », l'inauguration de nouvelles salles d'exposition
consacrées cette année à la collection permanente et un mois de célébrations
composé de concerts, représentations de danse, projections de films, lectures...
Après avoir montré le travail de Marine Wallon dans des expositions de groupe en
2020 et en 2021, la galerie Catherine Issert consacre pour la première fois à
l'artiste une exposition personnelle du 29 juin au 31 août 2024.
Ses peintures, empreintes de références au cinéma et qui oscillent entre
paysages et compositions abstraites, sont au coeur de cette présentation
inédite, en parallèle à son travail sur papier, autre facette de sa vigueur
picturale. D'une figuration de moments suspendus à un déferlement de matière,
d'un arrêt sur image à un déchaînement gestuel, c'est un univers à la fois
concret et imaginaire qui s'offre au spectateur.
« Si Marine Wallon appartient sans conteste à la nouvelle scène figurative
fran?aise, elle sait s'aventurer du côté d'une abstraction affirmée, et évoluer
sur des lignes de crête. Sa peinture - son médium favori depuis le mitan des
années 2010 - donne à voir l'instant capturé, suspendu, et, dans le même temps,
le mouvement, le foisonnement vibrant des éléments ; elle déploie des horizons
lointains et exotiques aux titres évocateurs autant qu'elle impose la frontalité
intransigeante d'une matière picturale brute. Et c'est en cette tension
incomparablement maîtrisée que le spectateur est ravi, son regard livré à la
peinture même, tandis que l'imaginaire le plus libre s'abandonne à la narration
trouble de scènes énigmatiques.
Ce jeu entre fixité et mouvement trouve quelques clés d'explication dans les
nourritures esthétiques de Marine Wallon. Elle qui regarde passionnément la
peinture, de Delacroix à Joan Mitchell en passant par Milton Avery ou Van Gogh,
reste obsédée par l'image en mouvement. Sa méthode même raconte cette
dialectique : elle navigue dans un flux d'images de paysages glanées sur
internet - sites d'archives, films documentaires, amateurs ou publicitaires - à
la recherche d'un « choc visuel ». Après la capture d'écran, la saturation sur
Photoshop et quelques croquis, vient la mise en danger de la peinture : munie de
pinceaux, de brosses, de tissus plongés dans l'huile et jetés sur la toile ou
simplement de ses doigts, elle livre une pensée sauvage pour donner vie à des
paysages-matières où l'ambigu règne en maître : on ne sait trop si ses
silhouettes incertaines, de simples « punctums » servant à la circulation du
regard, évoluent dans des décors vraisemblables ou s'ils se trouvent nez à nez
avec des signes picturaux. Ce sens aigu de l'indistinct, de l'étrangeté, de
l'imminence, naît à l'intersection d'une histoire du paysage - la mer et la
montagne, effrayantes mais attrayantes, ne sont pas sans rappeler la tradition
du sublime romantique - et de références au cinéma, cinéma expérimental,
d'auteur ou hollywoodien, celui de John Ford, d'Akira Kurosawa, de Jean-Daniel
Pollet ou de Rose Lowder.
Marine Wallon opère donc une audacieuse alchimie : l'image animée se trouve
fixée, pour finalement redevenir foisonnement ; l'image numérique éthérée
devient picturalité concrète ; l'image par essence reproductible s'incarne dans
l'aura d'une peinture ; l'image triviale, jetable, devient poétique, unique. La
magie a lieu dans une sorte de danse ou de transe : si la genèse du travail
vient de l'oeil parcourant l'écran, la suite du processus créatif est des plus
physiques. Entre le monde du tout-image qui est désormais le nôtre et celui des
premiers âges de l'humanité, Marine Wallon cherche un geste primitif, aussi
simple parfois que la main trempée dans la peinture et posée sur la toile,
réitération d'un geste artistique originel évoquant sa pratique première de
l'argile. À l'aide de ses spalters et pinceaux, elle libère, en une touche âpre
et texturée, des arabesques, des étirements de peinture, de véritables rideaux
de matière qui balaient, souvent en diagonale, la surface de la toile. Elle
cherche la perturbation, l'excès, la perte des repères, à la lisière du
dissonant ; depuis plusieurs années, Marine Wallon a banni toute idée de
perspective. Ses peintures, désertiques, rocailleuses, enneigées, sont des
scènes vides et pourtant saturées, où le moment de suspens cinématographique
saisi en plongée ou en contre-plongée rencontre des temps géologiques
immémoriaux. Repères de temps et d'espace se trouvent ainsi abolis, les échelles
nous échappent et le vertige nous guette. La manière qu'a Marine Wallon
d'habiter le médium se transmet vite au spectateur : quels qu'en soient le
format et la technique - huiles sur toile, travaux sur papier exécutés à
l'aquarelle, à la gouache ou au crayon, gravures -, on sent, face à ses oeuvres,
le froid des montagnes, le sel des embruns, la morsure du soleil, le souffle du
vent. Ses pièces, toutes à la fois figuratives, atmosphériques, lyriques,
dessinent ensemble, une fois leur accrochage orchestré, le storyboard d'un film
que l'on peut sans cesse recomposer. »
Elsa Hougue
Le spectacle Les Baudrières a lieu dans le cadre du festival Festiv'Allier 2024.
Découvrez 'Les Baudrières', un spectacle captivant de la compagnie L'Encordée,
présenté dans la cour de l'école Jeanne d'Arc à Grasse.
Ce trio vertical, musical et verbal explore les thèmes de la connexion, de
l'ancrage et de la confiance. Enfiler un baudrier devient une métaphore pour
tisser des liens, assurer et écouter les autres. Les artistes questionnent nos
manières de communiquer et cherchent à comprendre les zones d'ombre qui créent
des quiproquos et des ruptures.
Avec Thaïs Barathieu, Justine Delolme et Lucie Muller, ce spectacle soutenu par
diverses institutions offre une réflexion profonde sur la pluralité des moyens
d'expression et la complexité de la compréhension.
Rejoignez-nous le 1er août à 21h30 pour une performance inoubliable, accessible
à tous dès 6 ans.
Du 11 mai au 22 septembre 2024, le Suquet des Artistes de Cannes présente Dessus
Dessous, une exposition consacrée à l'artiste Julien des Monstiers. Entre
beaux-arts et arts appliqués, Julien des Monstiers expérimente les limites de la
peinture, tout en recherchant la profondeur, les surfaces, les textures, les
plis et fractures. Ces oeuvres présentées au Suquet des Artistes, qu'elles
soient figuratives ou abstraites, ont vocation à montrer que le sujet n'est pas
dans l'image mais dans la fa?on de la faire.
Une aura d'étrangeté imprègne les toiles de Julien des Monstiers. Paysages
altérés, motifs, déchirés, les peintures semblent à la fois contemporaines et
s'extraire d'un passé lointain. Cette sensation tient, sans doute, à la
superposition de strates de matière qui interroge et perturbe le regard du
visiteur. L'artiste semble se jouer des certitudes trop rapidement acquises.
Car, si de prime abord, celui qui se confronte à son travail, peut avoir
l'impression que le peintre creuse dans les différentes couches qui recouvrent
la toile, en observant attentivement les surfaces peintes, il apparaît que c'est
le processus inverse qui est à l'oeuvre. L'artiste devient illusionniste et le
spectateur victime de son mensonge. Son oeuvre rappelle que les sens sont
faillibles et peuvent entrainer sur une fausse route celui qui s'y fie sans
discernement. L'impression de duperie est renforcée par l'idée qu'une partie de
l'image est cachée et ne sera jamais accessible à celui qui la contemple. Le
peintre, en choisissant ce qui sera dévoilé dans la construction de son tableau,
convoque l'imagination car on ne peut rêver que ce qui est absent. Jouant,
ainsi, avec la frustration des visiteurs, il les plonge au coeur de la magie de
la création et leur permet de retrouver, pour un instant, un émerveillement
enfantin.