Théâtre de Hautepierre

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Comment créer quand la violence est un paysage quotidien ? Au Brésil, depuis la favela de Mare où travaille sa compagnie, Lia Rodrigues s’y emploie. En témoigne, Fúria, pièce en alerte traversée par la lumineuse énergie des corps en bascule entre terreur et beauté, danger et solidarité. Sur scène neuf danseurs en vêtements colorés. Tout d’abord timide et silencieux, ce cortège étrange et bigarré qui semble composé des exclus de la société – les pauvres, les noirs, les homosexuels et les transgenres… prend place et droit de cité sur le plateau. A l’écart des habituels points de vue qui visent à minorer ou marginaliser les différences, voire à les nier au nom de l’universalisme pour assurer le vivre-ensemble, la chorégraphe brésilienne cherche plutôt à « les aggraver, les intensifier afin d’ouvrir de nouvelles perspectives et façons de penser ». Il s’agit pour elle d’orchestrer « une mise en mouvement qui leur permet d’entrer dans le monde de l’autre ». Un torrent de sensations charrie les corps de Fúria. Organique, sensuelle, la danse de la chorégraphe, autrefois interprète de Maguy Marin, est depuis ses débuts portée par cet engagement. Tout comme l’énergie de son œuvre tend à révéler la force des communautés et la beauté des individus qui les composent, Fúria frappe l’imaginaire autant que la conscience, en alliant le saisissement politique au dépassement poétique. « De cette rencontre physique, charnelle, naît une performance brute et sans détours, un rituel puissant qui provoque aussi la rencontre entre la communauté des danseurs et celle des spectateurs. » Brésil / 9 interprètes / création 2018
Avec ses dix interprètes au plateau, son énergie vibratoire issue des danses urbaines, Bugging se confronte à notre époque dans un mouvement commun, organique et pulsionnel. Selon son chorégraphe Étienne Rochefort, « ces danses reflètent notre monde, contemporain, un monde qui bug ». Breakdance, popping, hip-hop, freestyle, house, krump, voguing, twerk, toutes ces danses récentes dites urbaines issues de la scène underground et des battles intéressent Étienne Rochefort. Nées en réaction aux fractures sociales de notre temps, elles manifestent une énergie commune. Au cœur de sa nouvelle pièce, l’invention d’une gestuelle forgée par la matière corporelle qui en émane et qualifiée de bug (spasme, pop, mouvements contradictoires …) Pour Étienne Rochefort, chaque spectacle est l’occasion de développer un pan particulier de son rapport à la création et à la danse lié à ses autres passions comme le cinéma et la vidéo. Dans Bugging, première pièce avec dix interprètes au plateau, on retrouve l’écriture du chorégraphe associant au registre contemporain des réminiscences de breakdance et de hip-hop. Mais cette pièce est aussi le dernier épisode d’une websérie réalisée en parallèle à la création, Lucas, fast and Curious. Au plateau s’exprime une sorte de communauté du futur. Des êtres singuliers évoluant entre tics exacerbés et dysfonctionnements corporels, des corps bientôt transformés par le mouvement et l’immersion dans une danse qui semble s’affranchir de toute provenance, comme née d’elle-même en réponse au monde qui nous entoure. France / 10 interprètes / création 2022 Coproduction POLE-SUD, CDCN Séance scolaire : VE 29 AVR - 14:30
 Le 31 mars 2022, les Percussions de Strasbourg mettent à l’honneur à la fois des pièces cultes de leur répertoire, dont les interprétations furent nombreuses durant leurs 60 ans d’existence, et une nouvelle création. Cette année anniversaire était le prétexte idéal pour mettre en avant ces oeuvres devenues fondamentales pour la percussion d’aujourd’hui. Une opportunité unique de découvrir ou redécouvrir ces pièces majeures du travail de Maurice Ohana, Miloslav Kabeláč, Philippe Manoury et Maurilio Cacciatore. Dans les années 1960, Maurice Ohana et Miloslav Kabeláč ouvrent la voie à la composition de pièces pour percussions seules. Initialement, elles étaient pensées pour accompagner des performances dansées. Aujourd’hui affranchies de la danse, elles possèdent une identité et une narration propre, et sont les témoins des premières recherches dans le domaine de la percussion. De nombreux compositeurs talentueux s’engagent alors sur cette voie, avec la complicité et l’expertise des Percussions de Strasbourg. Trente ans plus tard, naît Métal de Philippe Manoury, qui pense un sextet pour sixxens, ces instruments inventés expressément par Iannis Xenakis pour l’ensemble. Toujours soucieux de la création d’aujourd’hui, nous offrons également l’occasion de découvrir le travail du jeune compositeur Maurilio Cacciatore, qui explore et développe les possibilités sonores de la baguette vibrante, outil unique au monde, dans sa pièce Corale. Les Percussions de Strasbourg vous accueillent au Théâtre de Hautepierre dans le quartier où le groupe est implanté depuis plus de 40 ans. Programme : 8 inventions, op.45, Miloslav Kabeláč, (1965) 4 études chorégraphiques, Maurice Ohana, (1962) Corale, Maurilio Cacciatore (création mondiale) Entracte Métal, Philippe Manoury (1995) Durée du concert : environ 1h45 Et comme nous sommes ravis de vous retrouver pour ce second concert à domicile en cette année 2022, buvette et restauration seront présentes, dès 19h et jusqu’à minuit.
Une soirée, deux création originales. Avec les compositeurs sur scène, les Percussions de Strasbourg proposent une soirée à la croisée du jazz et du rock noise / expérimental :   Shaker Kami [https://5kyot.r.a.d.sendibm1.com/mk/cl/f/J-vBk43SCGkiS-bzDHpW6CCyytJ8U0NqjUOHBR9Pd4O8xSIaSCDwSUHyKJc69vl6ieBYV3eAo_GGBdqTeHOov2lnb00Vat2ZZXMO38d-gjV8qJZTXBqbcMOoJA2wW-9n67G3-RGNdxNHFDXJjE13oNl62-oMm5s4-g_9DgFjLKGXkJX2NEKBV8W7Mz6xDTnG0mss9IZFtNGwpnwR1usPSNSIS6tRKFErOPQw2GutRGxAxT_xDlFcygUsfnFaTARCtdBxHQIf4M3TdfA] , Nik Bärtsch – 2020 Avec Nik Bärtsch, les Percussions de Strasbourg s’aventurent dans l’univers du jazz minimaliste avec une instrumentation très simple : un piano (Nik Bärtsch) et quatre percussionnistes. Dans cette pièce, dont les jeux rythmico-mélodiques sont savamment construits, les musiciens invitent les « kami » (ces êtres supérieurs issus de la mythologie japonaise) à venir nous rejoindre à l’aide de shakers qui produisent un groove indéniable.   Myotis V [https://5kyot.r.a.d.sendibm1.com/mk/cl/f/SSYv5_Jnt-fBfH6valurP-cxOjuZsSO1TXeRA9izBKEfWIIrGhuy_SHEEec-CtVsBDJRb5uIvxSWyRm-VxNafRdkm1fndfnwSDjly3AJmZtJYSxyWaDicYXgyxEic_uZXU-YCryLDo3Z-EEObxFPFvRwVxCRRyb4JwQb88QIJSRSkuLXfUzWYAAEpueAfVFK7G90tsyXvDsNJwZp1rCZr1lf1kc8f7WG9zpRuMoyP3iZLF7gLCM38a_hN56qDyT4_GqJ_8DAlFSf] , Anthony Laguerre – 2021 Le travail d’Anthony Laguerre se concentre sur le son et la manière dont il se diffuse, s’intensifie, ou au contraire s’efface à la limite de l’audible. Le titre, qui fait référence à la famille des chauve-souris, annonce cette recherche autour des ondes et de la perception du son, qu’il avait initiée avec son premier projet autour de la batterie amplifiée. Aux commandes sur scène, cet ingénieur du son manipule en direct l’espace sonore et joue sur l’acoustique de chaque instrument. Après avoir puisé dans l’énergie rock puis dans les nuances.  
« Je n’aime personne ! Je suis très méchant ! » Pour ne pas avoir fait ses devoirs, un enfant est privé de goûter et puni jusqu’au soir. De rage, il renverse la théière, étouffe les braises dans la cheminée, déchire ses cahiers, lacère les tentures, détraque une horloge et martyrise un écureuil. Ivre de sa toute puissance sur ce monde dévasté, il cherche le repos dans un fauteuil, mais celui-ci se dérobe pour aller danser. Sous les yeux ébahis de l’enfant, ses victimes inanimées prennent vie : la théière discute boxe avec la tasse chinoise, le feu gronde et menace tandis que la princesse s’éveille de son conte. Les animaux du jardin – chats, rainettes, libellules, chauves-souris et écureuils – le tourmentent à leur tour, bien décidés à lui donner une bonne leçon et lui enseigner la compassion. À chacun des sortilèges sortis de l’imagination de Colette, Maurice Ravel a donné une couleur musicale et un style singulier. Jazz, valse, danse espagnole, sarabande néo-classique et envolées lyriques se succèdent dans un opéra-kaléidoscope qui se fait nomade grâce à un spectacle de chambre itinérant, présenté dans le Grand Est par les chanteurs de l’Opéra Studio et quatre instrumentistes.    À partir de 7 ans
« Je n’aime personne ! Je suis très méchant ! » Pour ne pas avoir fait ses devoirs, un enfant est privé de goûter et puni jusqu’au soir. De rage, il renverse la théière, étouffe les braises dans la cheminée, déchire ses cahiers, lacère les tentures, détraque une horloge et martyrise un écureuil. Ivre de sa toute puissance sur ce monde dévasté, il cherche le repos dans un fauteuil, mais celui-ci se dérobe pour aller danser. Sous les yeux ébahis de l’enfant, ses victimes inanimées prennent vie : la théière discute boxe avec la tasse chinoise, le feu gronde et menace tandis que la princesse s’éveille de son conte. Les animaux du jardin – chats, rainettes, libellules, chauves-souris et écureuils – le tourmentent à leur tour, bien décidés à lui donner une bonne leçon et lui enseigner la compassion. À chacun des sortilèges sortis de l’imagination de Colette, Maurice Ravel a donné une couleur musicale et un style singulier. Jazz, valse, danse espagnole, sarabande néo-classique et envolées lyriques se succèdent dans un opéra-kaléidoscope qui se fait nomade grâce à un spectacle de chambre itinérant, présenté dans le Grand Est par les chanteurs de l’Opéra Studio et quatre instrumentistes.    À partir de 7 ans
« Je n’aime personne ! Je suis très méchant ! » Pour ne pas avoir fait ses devoirs, un enfant est privé de goûter et puni jusqu’au soir. De rage, il renverse la théière, étouffe les braises dans la cheminée, déchire ses cahiers, lacère les tentures, détraque une horloge et martyrise un écureuil. Ivre de sa toute puissance sur ce monde dévasté, il cherche le repos dans un fauteuil, mais celui-ci se dérobe pour aller danser. Sous les yeux ébahis de l’enfant, ses victimes inanimées prennent vie : la théière discute boxe avec la tasse chinoise, le feu gronde et menace tandis que la princesse s’éveille de son conte. Les animaux du jardin – chats, rainettes, libellules, chauves-souris et écureuils – le tourmentent à leur tour, bien décidés à lui donner une bonne leçon et lui enseigner la compassion. À chacun des sortilèges sortis de l’imagination de Colette, Maurice Ravel a donné une couleur musicale et un style singulier. Jazz, valse, danse espagnole, sarabande néo-classique et envolées lyriques se succèdent dans un opéra-kaléidoscope qui se fait nomade grâce à un spectacle de chambre itinérant, présenté dans le Grand Est par les chanteurs de l’Opéra Studio et quatre instrumentistes.    À partir de 7 ans
« Je n’aime personne ! Je suis très méchant ! » Pour ne pas avoir fait ses devoirs, un enfant est privé de goûter et puni jusqu’au soir. De rage, il renverse la théière, étouffe les braises dans la cheminée, déchire ses cahiers, lacère les tentures, détraque une horloge et martyrise un écureuil. Ivre de sa toute puissance sur ce monde dévasté, il cherche le repos dans un fauteuil, mais celui-ci se dérobe pour aller danser. Sous les yeux ébahis de l’enfant, ses victimes inanimées prennent vie : la théière discute boxe avec la tasse chinoise, le feu gronde et menace tandis que la princesse s’éveille de son conte. Les animaux du jardin – chats, rainettes, libellules, chauves-souris et écureuils – le tourmentent à leur tour, bien décidés à lui donner une bonne leçon et lui enseigner la compassion. À chacun des sortilèges sortis de l’imagination de Colette, Maurice Ravel a donné une couleur musicale et un style singulier. Jazz, valse, danse espagnole, sarabande néo-classique et envolées lyriques se succèdent dans un opéra-kaléidoscope qui se fait nomade grâce à un spectacle de chambre itinérant, présenté dans le Grand Est par les chanteurs de l’Opéra Studio et quatre instrumentistes.    À partir de 7 ans
« Je n’aime personne ! Je suis très méchant ! » Pour ne pas avoir fait ses devoirs, un enfant est privé de goûter et puni jusqu’au soir. De rage, il renverse la théière, étouffe les braises dans la cheminée, déchire ses cahiers, lacère les tentures, détraque une horloge et martyrise un écureuil. Ivre de sa toute puissance sur ce monde dévasté, il cherche le repos dans un fauteuil, mais celui-ci se dérobe pour aller danser. Sous les yeux ébahis de l’enfant, ses victimes inanimées prennent vie : la théière discute boxe avec la tasse chinoise, le feu gronde et menace tandis que la princesse s’éveille de son conte. Les animaux du jardin – chats, rainettes, libellules, chauves-souris et écureuils – le tourmentent à leur tour, bien décidés à lui donner une bonne leçon et lui enseigner la compassion. À chacun des sortilèges sortis de l’imagination de Colette, Maurice Ravel a donné une couleur musicale et un style singulier. Jazz, valse, danse espagnole, sarabande néo-classique et envolées lyriques se succèdent dans un opéra-kaléidoscope qui se fait nomade grâce à un spectacle de chambre itinérant, présenté dans le Grand Est par les chanteurs de l’Opéra Studio et quatre instrumentistes.    À partir de 7 ans
« Je n’aime personne ! Je suis très méchant ! » Pour ne pas avoir fait ses devoirs, un enfant est privé de goûter et puni jusqu’au soir. De rage, il renverse la théière, étouffe les braises dans la cheminée, déchire ses cahiers, lacère les tentures, détraque une horloge et martyrise un écureuil. Ivre de sa toute puissance sur ce monde dévasté, il cherche le repos dans un fauteuil, mais celui-ci se dérobe pour aller danser. Sous les yeux ébahis de l’enfant, ses victimes inanimées prennent vie : la théière discute boxe avec la tasse chinoise, le feu gronde et menace tandis que la princesse s’éveille de son conte. Les animaux du jardin – chats, rainettes, libellules, chauves-souris et écureuils – le tourmentent à leur tour, bien décidés à lui donner une bonne leçon et lui enseigner la compassion. À chacun des sortilèges sortis de l’imagination de Colette, Maurice Ravel a donné une couleur musicale et un style singulier. Jazz, valse, danse espagnole, sarabande néo-classique et envolées lyriques se succèdent dans un opéra-kaléidoscope qui se fait nomade grâce à un spectacle de chambre itinérant, présenté dans le Grand Est par les chanteurs de l’Opéra Studio et quatre instrumentistes.    À partir de 7 ans