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After / D’après / Na L'exposition After / D’après / Na de l'artiste Vincent Meessen inaugure Research in Residence, la nouvelle initiative de recherche transversale basée sur les collections du CIVA. Research in Residence renégocie le terrain entre la sphère hermétique des archives et leur visibilité publique. Le programme soutient la recherche innovante sous diverses formes : expositions, installations, podcasts, conférences, essais, performances, etc.L'exposition After / D’après / Na de Meessen intègre l'architecture dans un environnement partagé entre ses différents cohabitants, humains et non-humains. L'exposition tisse un lien entre deux types d'architecture qui caractérisent La Garenne, une parcelle rurale située dans la banlieue de Bruxelles : le cottage d'inspiration Art nouveau, illustré par une œuvre démolie de Léon Sneyers (dont divers documents sont conservés dans les Collections du CIVA), et la maison contemporaine, telle qu'articulée par OFFICE Kersten Geers David Van Severen et leur projet sur le même site.
Jules Buyssens, architecte paysagiste Après une formation internationale qu’il termine comme chef de bureau dans la célèbre agence d’Édouard André à Paris, Jules Buyssens conçoit près d'un millier de projets en Belgique et dans une dizaine de pays européens (France, Russie, Suisse, Pays-Bas, Luxembourg, Monaco, Pologne, Lituanie).Inspecteur des plantations de la Ville de Bruxelles pendant plus de 30 ans (1904- 1937), il fut aussi le responsable des aménagements paysagers de l’Exposition universelle de 1935 au Heysel. Avec la restauration des jardins de l’abbaye de la Cambre à Bruxelles, il est aussi l’un des premiers en Belgique à aborder la dimension patrimoniale de l’architecture du paysage.Enfin, Buyssens est la cheville ouvrière de l’association et de la revue Le Nouveau Jardin Pittoresque (1913-1940) qui défendent de manière systématique et structurée une inspiration reposant directement sur les exemples de la nature sauvage. Il développe cette réflexion ‘pré-écologique’ à travers des relations étroites avec le monde des botanistes de l’Université de Bruxelles, notamment Jean Massart.Cette personnalité centrale de la première moitié du XXe siècle n’a pas fait l’objet d’une présentation globale depuis près de 40 ans. L’exposition est l’occasion de combler cette lacune dans l’histoire des jardins belge et internationale, de montrer des documents d’une qualité graphique exceptionnelle en grande partie inédits (photos anciennes, plans, archives écrites, objets), mais aussi de répondre aux questions contemporaines liées à l’architecture du paysage.
Sick Architecture
06mei 2022
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28augustus 2022
Il existe des rapports étroits entre architecture et maladie. Le discours architectural se fraie toujours un chemin à travers les théories du corps et de l’esprit, faisant de l’architecte une sorte de médecin et du client un patient. Depuis des milliers d’années, l’architecture est décrite à la fois comme une forme de prévention et comme un remède. Avec « Sick Architecture » le CIVA et curatrice invitée Beatriz Colomina mettent en lumière une thématique plus actuelle que jamais.La santé serait le but premier de l’architecte, comme Vitruve le soulignait déjà au premier siècle avant Jésus-Christ. Pourtant, l’architecture est souvent aussi perçue comme cause de maladie – depuis l’usage de matériaux toxiques dans la construction jusqu’au syndrome du bâtiment malsain. L’architecture elle-même est tombée malade.A chaque époque et à chaque affliction correspond une architecture spécifique. L’époque des maladies bactériennes, de la tuberculose en particulier, a donné naissance à l’architecture moderne dans les premières décennies du XXe siècle, à des bâtiments blancs détachés du « sol humide où couve la maladie », comme le disait Le Corbusier. Durant l’après-guerre, l’attention s’est déplacée vers les problèmes psychologiques. L’architecte a souvent été vu comme une sorte de psy, et la maison pas seulement comme un dispositif médical de prévention de la maladie, mais aussi comme un espace procurant un confort psychologique ou, comme le disait Richard Neutra, de « santé nerveuse ». Le XXIe siècle est l’âge des troubles neurologiques, avec la dépression, le trouble déficitaire de l’attention, les troubles bipolaires, le syndrome du burn-out, les allergies et l’hypersensibilité environnementale comme facteurs définissant l’expérience contemporaine de l’architecture et de l’environnement bâti.En attendant, les pandémies sont de retour. L’épidémie de COVID-19 est en train de refaçonner complètement l’architecture et l’urbanisme. Le virus a mis en évidence les injustices structurelles en matière de race, de classe et de genre, provoquant un appel à la transformation sociale et peut-être à une révolution architecturale.L’exposition élargit le cadre historique et conceptuel des discussions, avec des éléments d’analyse qui couvrent un spectre allant de l’architecture historique de la quarantaine à Ellis Island et à l’ancien lazaret de Venise jusqu’à l’architecture moderne d’Aino et Alvar Aalto et d’Henri Lacoste, en passant par les expérimentations d’Hans Hollein et de la Coop Himmelb(l)au dans les années 1960. Enfin, « Sick Architecture » s’attardera sur les réalisations de figures contemporaines de l’architecture (51N4E, Arno Brandlhuber / B+, Elizabeth Diller, De Vylder Vinck Taillieu, Andrés Jaque) et les propositions et œuvres d’artistes tels que Sammy Baloji, Mohammed Bourouissa, Vivian Caccuri, Goldin+Senneby et Ahmet Öğüt.L’exposition s’accompagne d’une série de publications en ligne sur e-flux Architecture, dont la première partie est parue en 2020 et dont la seconde partie paraîtra au moment de l’ouverture de l’exposition en mai. Y contribuent, les auteurs suivants : Edna Bonhomme, David Gissen, Brooke Holmes, Fabiola Lopez-Duran, Elizabeth Povinelli, Meredith TenHoor et Mark Wigley, ainsi que de nombreux doctorants de la Princeton University qui participent depuis 2019 aux séminaires de Beatriz Colomina consacrés aux liens entre architecture et maladie.Le 6 mai, les « Sick Architecture Talks » auront lieu de 10 à 21 heures au CIVA, avec des exposés de plus de 20 architectes, artistes, écrivains et scientifiques. L’évènement, animé par le rédacteur en chef adjoint d’e-flux Architecture, Nick Axel, sera également diffusé en direct sur e-flux Live.Avec la contribution de : 51N4E, Aino & Alvar Aalto, An Tairan, Andrea Bagnato, Sammy Baloji, Franco Basaglia, Eugène Beaudouin / Marcel Lods, Victoria Bergbauer, Anna Bokov, Mohamed Bourouissa, Angela Brown / Jorge González, Ibiayi Briggs, Gaston Brunfaut, Holly Bushman, Victoria Bugge Øye, Burokade Architects, Vivian Caccuri, Susana Calò / Godofredo Pereira, Center for Independent Living, Coop Himmelb(l)au, Simon De Nys-Ketels, Marie de Testa, De Vylder Vinck Taillieu / BAVO, Elizabeth Diller, dRMM, André Farde / Jean Saidman, Clemens Finkelstein, Dante Furioso, Ignacio G. Galán, Goldin+Senneby, Paul Hankar, Josef Hoffmann, Hans Hollein, Victor Horta, Lydia Inber, Stanislas Jasinski, Andrés Jaque, Charles Jencks, Angelika Joseph, Rebecca Kellawan, Maggie Keswick Jencks, Henri Lacoste, Le Corbusier, Fabiola Lopez Duran / Ana-Maria Tavares, Iván López Munuera, Miralles Tagliabue EMBT, Jacques Moeschal, László Moholy-Nagy, Jean Mouigneau, Richard Neutra, Ahmet Öğüt, Kara Plaxa, Michel Polak, Philippe Rahm, Guillermo Sánchez Arsuaga, Alexandra Sastrawati, Giuseppina Scavuzzo, Shivani Shedde, René Schoentjes, Maxwell Smith-Holmes, Nicole Sonolet, Iason Stathatos, Meredith TenHoor, Mies van der Rohe, Jeremy Lee Wolin, VOET, Chenchen Yan, Zhongguo Jianzhu
Il y a 100 ans, les premières cités-jardins font leur apparition en Belgique. Un siècle plus tard, la question se pose de savoir si leur philosophie de vie collective et coopérative est susceptible d’apporter des solutions à la crise actuelle du logement. A partir d’une exposition et d’un colloque, le CIVA souhaite ouvrir la question. À la fin de la Première Guerre mondiale, une crise du logement fait rage en Belgique. La pénurie de matériaux fait exploser les coûts de construction, la rareté des terrains à bâtir alimente la spéculation, et la reconstruction après les bombardements est douloureusement lente. Une situation qui ne fait qu'aggraver les conditions de vie déjà misérables de la classe ouvrière, poussée par l'exode rural vers les villes depuis la moitié du XIXème siècle.À la recherche de solutions, une partie des pouvoirs publics ainsi que les architectes de l'avant-garde moderniste belge proposent le modèle de la cité-jardin : un quartier d’habitations dans un espace vert situé à la périphérie des villes. Le modèle présente de nombreux avantages : le terrain à bâtir est moins cher, l'utilisation de matériaux modernes tels que le béton ainsi que la standardisation contribuent à réduire les coûts et à accélérer le processus de construction.Certaines de ces cités-jardins des années 1920 vont privilégier le modèle économique et socio-culturel de l’habitat coopératif : chaque résident est locataire de son logement mais co-propriétaire de l’ensemble de la cité-jardin. Un modèle qui implique non seulement la création de nombre d’espaces de vie et d’équipements collectifs, mais aussi un équilibre entre l'individuel et le collectif, le privé et le public, l'unité et la diversité.Aujourd’hui, la question du logement collectif est à nouveau à l’ordre du jour. Avec une exposition, consacrée principalement à la cité-jardin Le Logis-Floréal, et un colloque avec des invités belges et internationaux, le CIVA met non seulement les cités-jardins coopératives dans une perspective historique, mais examine également la pertinence du modèle pour répondre aux défis actuels en matière d'architecture, d'urbanisme, de paysage et de modèle socio-économique et culturel.
A.J. Lode Janssens (1941) est un des architectes les plus singuliers et un des enseignants les plus radicaux de Belgique. Il a cependant choisi l’exil volontaire pendant ces deux dernières décennies pour résister à toute forme de vie publique. Tout au long de sa carrière, Janssens a entretenu une relation ambiguë avec l’architecture. Il s’est montré très intéressé par les potentialités offertes par l’architecture expérimentale, tout en étant consterné face à ses prétentions.L’exposition du CIVA consacrée à son travail architectural prolifique – et pourtant encore largement méconnu – est centrée sur la « maison ballon » (Humbeek, 1973-82), une tentative éphémère et sans concession de désarchitecturalisation et d’harmonisation avec la nature. Une expérience de vie. Au centre de l’exposition conçue par les curateurs Peter Swinnen et Nikolaus Hirsch, une maquette à l’échelle ¼ du « ballon » produite par CRIT.architects permettra au public de s’emparer pleinement de la mesure de cette réalisation qui occupe une place essentielle dans l’œuvre de l’architecte. En présentant aussi des documents d’archives originaux – jamais dévoilés jusqu’à présent – l’exposition propose un éclairage de la pratique de recherche spatiale, qui procède par essais et erreurs, de Janssens. En outre, l'exposition présente une installation de Marc Godts qui constitue une approche atmosphérique de l'expérience d'A.J. Lode Janssens. Le SLIDEMONSTER est un ensemble de six projecteurs et lecteurs multimédias, montés sur une structure de support sur mesure, qui projettent une sélection des diapositives originales du ballon. Dans le cadre de l'exposition, un masterstudio avec des étudiants de la faculté d'architecture de la KU Leuven a également encouragé les étudiants à approfondir les aspects physiques et psychologiques de l'expérimentation de la maison ballon.Janssens a étudié l’architecture et l’urbanisme à l’école d’architecture Sint-Lucas, où il est repéré pour son talent par Willy Van Der Meeren. Ensemble, ils fondent un atelier expérimental, l’Atelier Alpha (Sterrebeek, 1964-68). Plus tard, Janssens lancera son propre bureau privé, tout en réalisant simultanément un programme de formation spécifique, centré sur la notion de symbiose sociale et spatiale. En 1979, Lode Janssens fonde la Sint-Lucas Werkgemeenschap (SLuW), associant étroitement enseignement de l’architecture, pratique de l’architecture et recherche par la création architecturale. La SLuW s’est développée en parallèle avec le profond engagement de Janssens auprès de l’ILAUD, l’International Laboratory of Architecture and Urban Design de Giancarlo de Carlo. En 1991, Lode Janssens est nommé chef de département à l’école d’architecture Sint-Lucas, ce qui clôt ainsi la boucle d’un parcours marqué par un engagement architectural des plus originaux.En outre, l'exposition présente l'installation "Slidemonster" de Marc Godts et - en hommage à la pratique académique d'A.J. Lode Janssens - les projets d'un masterstudio de la faculté d'architecture de la KU Leuven.L’exposition s’accompagne de la parution de l’ouvrage « A.J. Lode Janssens / 1,47 mbar » ainsi que du documentaire « A Gentle Pressure ».
L'Oberhausener Institut zur Erlangung der Hochschulreife (aujourd'hui : Niederrhein-Kolleg) réalisé par l'architecte allemand Oswald Mathias Ungers entre 1953 et 1959 est un projet d'école qui associe une approche pédagogique progressive à un nouveau langage architectural. Le projet d'Ungers reliait l'architecture de la République fédérale d'Allemagne au contexte européen plus large de l'après-guerre. La conception suivait des idées émancipatrices ; la disposition spatiale et l'esthétique matérielle de l'école étaient conçues en dialogue étroit avec les processus et structures sociaux souhaités.Le projet est utilisé comme point de départ pour jeter un nouveau regard à la fois sur le travail d'Ungers et sur les approches de la sociologie en architecture. Lors d'une summer school à l'Ungers Archiv für Architekturwissenschaft à Cologne en juillet 2019, le projet a été analysé avec des étudiants de la KU Leuven, Faculté d'architecture et de la Kunstakademie Düsseldorf.À la suite de la summer school, neuf étudiants ont décidé de poursuivre leur travail sur le sujet et d'approfondir les idées développées. Les résultats sont maintenant présentés dans une exposition au CIVA. Plutôt que de livrer une interprétation globale du projet d'Ungers, l'exposition représente une pluralité de voix, de réflexions et d'interprétations de la conception. Outre les dessins originaux d'Ungers, l'exposition comprend des installations et des présentations analytiques, qui réfléchissent de manière critique le projet d'Ungers.Avec le soutien de Ungers Archiv für Architekturwissenschaft (UAA).
Institution Building
27augustus 2021
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07november 2021
L’exposition Institution Building présente et questionne les différentes composantes d’un musée – non seulement les parties les plus visibles (comme l’exposition), mais aussi les parties moins publiques, souvent cachées (comme les archives, l’administration, la maintenance). Suivant une logique séquentielle de dix composantes institutionnelles, l’exposition se développe de semaine en semaine, ajoutant élément après élément, pour finalement présenter l’institution comme un cadavre exquis – un organisme en perpétuel changement, qui remet constamment en question et légitime sa raison d’être.Située au début d’une phase de transition entre le CIVA tel qu’il est en 2021 et son nouveau siège à Kanal en 2024, Institution Building est l’autoréflexion d’une institution en transformation, une remise en question du rôle des institutions culturelles en tant que telles – et du CIVA en particulier – qui initie donc un processus de réinvention pour les années à venir.Dans une logique séquentielle, chaque chapitre vise à réinventer une composante du musée d’architecture : : Hospitality (26.08), Format (02.09), Collection (09.09), Audience (16.09), Agency (23.09), Pedagogy (30.09), Emancipation (07.10), Environment (14.10), Preservation (21.10), Idiom (28.10). Plus de 150 architectes, artistes, historiens, écrivains et militants font partie de l’exposition et des événements parallèles :Iñaki Ábalos / Giovanna Borasi — Canadian Centre for Architecture / Juan José Castellón González / Stefano Graziani / Juan Herreros / OFFICE Kersten Geers David Van Severen, Accatone (Ismaël Bennani, Sophie Dars, Orfée Grandhomme, Carlo Menon), David Adjaye, AgwA / KU Leuven, Lucia Allais, Altitude 35 (Benoît Barnaud, Clara Loukkal) / Marie Cazaban-Mazerolles / Julien Claparède-Petitpierre / Antoine Espinasseau / PEAKS (Charles Aubertin, Camille Dupont, Samuel Jaubert de Beaujeu, Éva Maloisel) / UR (Chloé Valadié, Gaétan Brunet) / ZEFCO (François Peyron, Florian Dupont), Gabriela Anco / Vadim Zakharov, David Apheicex / Constructo / Camille Frechou / In out Concept / MBL architectes (Benjamin Lafore, Sébastien Martinez Barat), Vulcano, Apparatus 22 (Maria Farcas, Dragos Olea, Erika Olea, Ioana Nemes), architecten jan de vylder inge vinck, Cyrus Ardalan / Ophélie Dozat / Lucien Dumas, Atelier Kanal (noArchitecten, Sergison Bates architects, EM2N), Kader Attia, Shumon Basar / Douglas Coupland / Hans Ulrich Obrist, Thomas Bayrle, BC architects (Laurens Bekemans, Nicolas Coeckelberghs, Ken De Cooman, Wes Degreef), Olivier Bertrand / Piero Bisello / Benjamin De Backer / Diego Thielemans / Sophie Varin, Felix Beytou / Jacques Hondelatte / Juan Perez Amaya, Daniel Birnbaum, Simon Boudvin, BMA Bouwmeester Maître Architecte (Kristiaan Borret, Julie Collet, Géraldine Lacasse, Tine Vandepaer), Bernard Boccara, Gideon Boie / Lieven De Cauter / Cinéma Jolia (Jolien De Nijs, Giulia Lazzara), Valerio Borgonuovo / Silvia Franceschini / Remo Buti, Bovenbouw / Caruso St John, Renaat Braem, Arno Brandlhuber / b+, Buchner Bründler Architekten, Laurent Busine / Mundaneum — Maurice-Karel Heymans, Léonard Homez, Paul Otlet / Wouter Van Acker, Caryatide (Simon Campedel, Thibault Lambert, Claudia Mion, Antoine Stevenot) / Marcel-Louis Baugniet / Victor Bourgeois / Louis-Herman De Koninck / Marcel Depelsenaire / Henri Derée / Albert-Charles Duesberg / Maurice Gaspard / Gustave Herbosch / Oscar Jespers / Elisabeth Prins / Émile Sergysels / Auguste Vanden Nieuwenborg, Bambi Ceuppens, Boris Charmatz, Aric Chen, Asli Cicek, CLARA / Wim Cuyvers, Beatriz Colomina, Maurice Culot / Philippe Lefèbvre, Luc Deleu — T.O.P. office, Simon Denny / Linda Kantchev, Antoine Devaux, Vincent Detroy / V+ (Jörn Aram Bihain & Thierry Decuypere), DOGMA (Pier Vittorio Aureli, Martino Tattara), Filip Dujardin, Keller Easterling, Cornelia Escher / Lars Fischer / OM Ungers, François Farges / Roger Caillois, Fischli/Weiss, Jean Garcin - Karbon’ architecture et urbanisme / Claire Valette – IOTA, Jacques Gillet, Pieterjan Ginckels / Sleepers Dreamers, Jean Glibert, Guy Gypens, Samia Henni, Sandi Hilal / Alessandro Petti, Niall Hobhouse, Tom Holert, Carsten Höller, Victor Horta, Stanislas Jasinski, John Knight, Rem Koolhaas / Ingo Niermann, Rosalind Krauss, Lucien & Simone Kroll, Laura Kurgan / Dare Brawley / Jia Zhang / Wendy Hui Kyong Chun, Zak Kyes / Radim Pesko, LABEL (Jean-Didier Bergilez, Michel Lefèvre, Thibaut Rome) / MUOTO (Gilles Delalex, Yves Moreau), Léopold Lambert, Alfred Ledent, Pierre Leguillon — La Promesse de l’Écran, Clara Leverd / Veronique Patteeuw / Madelon Vriesendorp, Jacques Ligot (with Eimi Leggett, Timothy Nouzak, Mary Szydlowska, Mooni Van Tichel), Lesley Lokko / African Futures Institute, Jill Magid, MAIO, Reinhold Martin, Mitch McEwen, NEWROPE (Panayotis Antoniadis, Seppe De Blust, Lukas Fink, Falma Fshazi, Evelyne Gordon, Michiel van lersel, Freek Persyn, Charlotte Schaeben, Ina Valkanova), Atelier Ergon / Gorbon Ceramics / New South (Meriem Chabani, Etienne Chobaux, John Edom) Amelyn Ng, Jorge Otero-Pailos, Frei Otto / IL, Jean Painlevé, Hila Peleg, Raphael Pirenne / WIP (Justine Babut, Adèle Boterf, Victoria Cattani, Justine Debaene, Jade Rouanet), Marie-Françoise Plissart, PLMD (PleaseLetMeDesign / Damien Aresta, Pierre Smeets), Rimini Protokoll (Helgard Haug, Stefan Kaegi, Daniel Wetzel), Dennis Pohl / Bouwcentrum-Cegos, Tobias Rehberger, Selma Robert / Akarova, Martha Rosler, Coline Rosoux, Christopher Roth, Raphael Julien Saint Amand, Hilary Sample, Tamaya Sapey-Triomphe, Tomás Saraceno, Maria Fernanda Serna, Bas Smets / Paul Duvigneaud, Barbara Stauffacher Solomon, Studio Ossidiana (Giovanni Bellotti, Alessandra Covini), Superflex, Peter Swinnen — CRIT, Harald Szeemann, Milica Tomic, Traumnovelle, Urban, Sumaya Valley, Anton Vidokle, Oriol Vilanova, Georg Vrachliotis, Apolline Vrancken / Simone Guillissen-Hoa, Wim Waelput, Eyal Weizman — Forensic Architecture, Mark Wigley, XDGA I Xaveer De Geyter Architects, Mawena Yehouessi and many more.