Et si pour l’Opéra national de Paris, Mehdi Kerkouche entre aujourd’hui dans la
cour des grands. D’une part en remplaçant Mourad Merzouki à la direction du
Centre chorégraphique national de Créteil. Ensuite en signant Portrait, un
miracle d’émotions qui fait se lever les spectateurs partout où il passe. Le
portrait imaginaire de la famille qu’il dessine sur scène célèbre le
vivre-ensemble, l’acceptation de soi, les liens de filiation indéfectibles,
qu’importent les crises et les désaccords. Cette histoire d’amour comme on en
voit peu réunit neuf danseurs venus de tous les horizons, du cabaret, du
hip-hop, du contemporain et même de la danse moderne pour la doyenne de cette
famille hors norme, Amy Swanson, âgée de 67 ans. Enveloppée par les puissantes
nappes sonores de Lucie Antunes, la bande de petits chatons – comme le
chorégraphe aime à appeler ses interprètes – rappelle à chacun de nous un peu de
nos propres histoires et nous cajole le temps d’un instant magique, comme hors
du temps.
Le spectacle sera précédé d’un DJ set.
Comédie Odéon
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L’ABCD’erre, c’est son mémoire expérimental, loufoque et populaire. Avec son Bo
vélo de Babel abracadabrantesque, l’éternel complice de Bernard Lubat chante
l’altérité. Armé de son savoir-improviser et de quelques instruments et
percussions de fortune, ce jongleur de syllabes nous plonge dans un univers
musical et poétique à nul autre pareil.
Une création originale d’André Minvielle et l’association les Chaudrons, en
coopération avec la coopérative cinématographique Les Mutins de Pangée •
Production et distribution : Les Mutins de Pangée • Projection suivi du
Ciné-Manivelle • Production : Les Chaudrons
Archaïque et moderne, grave et burlesque à la fois, la diabolique main-vielle à
roue se dévoile lentement, et révèle ceux qui l’approchent et en tournent la
manivelle, retrouvant le mystérieux chemin perdu de nos rêves communs.
La soirée commence avec l’avant-première d’André Minvielle, l’homme à la
manivelle, film d’Olivier Azam qui, au fil des rencontres, témoigne l’expression
d’un désir collectif de curiosité pour un monde burlesque, sensible et poétique
où il reste encore des âmes en quête d’émerveillement. Le spectacle prolonge le
film, en plusieurs dimensions visuelles et sonores.
André Minvielle et sa main-vielle à roue “sortent” de l’écran. Sa partenaire,
Marina Jolivet, l’accompagne.
Et devant l’écran sont projetées des images tournées à la manivelle. Sous nos
yeux et dans nos oreilles, des tableaux musicaux d’images superposées
s’entremêlent.
Des fragments historiques, des archives familiales, une peinture vivante et
vibrante autour du chant, du corps, la main, le geste, le travail, la machine…
Une expérience cinémato-“vocalchimique” faite à la main, en direct, à vivre en
salle et nulle part ailleurs.
Genre : Chanson / Cinéma
Durée estimée : 50 min
L’Homme à la manivelle un film d’Olivier Azam
Un spectacle d’André Minvielle & Marina Jolivet
Interprétation : André Minvielle, Marina Jolivet
Sonorisation : Rémy Tarbagayre
Dispositif d’éclairage : Claude Couffin
Écritures et regard extérieur : Serge Valetti
« C’était un p’tit mouton qui trottait dans la Lande,
C’était un p’tit mouton, un mouton à 5 pattes,
Sur le dos du mouton deux petits enfants,
Partaient en promenade, partaient en escapade,
C’était un p’tit garçon,
C’était une petite fille,
Qui n’avaient qu’une dent,
Voilà mon commencement,
Qui n’avaient qu’un pied,
Voilà la moitié,
Qui n’avaient qu’un genou
Voilà c’est tout ! »
Histoires de « Qui je suis ? »
Histoires de « Je suis comme-ci et c’est comme ça ! »
« Je s’rai comment quand je s’rai grand ? Comme toi ou différent ? »
C’est dans l’aventure que l’on devient grand.
C’est en goûtant les petits pépins et les joies du quotidien que l’on devient
soi.
Et peu importe, et même tant mieux, si l’on ne ressemble qu’à soi-même.
Et peu importe, et même tant mieux, c’est comme cela que l’on devient curieux.
Conteuse : Cécile Bergame
De son enfance au Laos à son idylle avec une narcotrafiquante... Jérémy
Charbonnel ne racontera rien ! Sûrement parce qu’il a grandi à
St-Cyr-Au-Mont-d’Or, qu’il s’est marié avec une fille de bonne famille et qu’il
n’a rien fait de plus excitant que sa JAPD...
Alors à 35 ans, Jérémy doit voir les choses en face... Il a passé sa vie à faire
ce qu’on lui a dit de faire ! Résultat : une femme, un enfant, une salière
électrique et pas grand-chose à raconter... À moins qu’une décision ne vienne
tout chambouler !
Avec ce nouveau spectacle, Jérémy Charbonnel, nous expose, avec humour et
sincérité, ses failles, ses peurs et ses travers pour mieux révéler les petites
faiblesses de chacun.
Durée : 1h15
De et avec : Jérémy Charbonnel
Un lapin blanc au museau rose est fasciné par la beauté de sa jeune voisine à la
peau sombre et douce, qui ressemble aux princesses des terres africaines. Sous
le charme de la jolie petite fille aux cheveux tirebouchonnés, le lapin blanc
s'interroge: comment faut-il faire pour avoir une fille aussi jolie et aussi
noire qu’elle ? Se plonger dans un bain de peinture sombre? Manger des baies
noires jusqu'à l’indigestion ou bien boire du café jusqu’à en perdre le sommeil
?
Conteuse : Mercedes Alfonso
Musicien : Lukas Villon
DOVE IDOL c'est la rencontre du magnétisme des icônes comme l'expression d'une
humanité décadente, avec la grâce d'une Nature aux vertus infinies, afin de
bâtir son propre monde intérieur, de l'incarner pleinement et proposer par la
même au spectateur un crédo universel.Laureth Sulfate, par sa volonté d'agir sur
le présent éternel, transfigure une réalité qu'elle relie par la puissance de
son imaginaire, à une fiction polymorphe, alternative cohérente et tragique en
train d'advenir.Laureth Sulfate est une artiste polymorphe à l’imaginaire décalé
d’où jaillissent des œuvres empreintes d’humour et de sensualité.Diplômée de
l'école nationale supérieure des Beaux-arts de Lyon, au croisement de la
mythologie et de questions sociétales telles que la condition des femmes ou
l’urgence sanitaire, Laureth Sulfate sait provoquer notre regard en créant des
chocs symboliques et déroutants.Sa pratique inclut sculpture, installation,
chant, performance, vidéo, photographie, street-art ; elle a fait l’objet de
publications dans des livres d’art internationaux tels que Street art of the
time in Corona ou Beyond words de Cindi Adler (2020).Son travail artistique est
centré autour de la représentation du corps féminin, considéré comme expression
du divin et miroir d'une civilisation pleinement engagée dans la fête dramatique
de la postmodernité. Elle crée des œuvres d'art immersives et interactives,
invitant le public à s'engager avec son art de manière vivante.En transcendant
les limites de la photographie et de l'art numérique traditionnels grâce à la
technologie et son environnement, elle donne vie à ses installations.Le
parapluie du poète reçoit une pluie de cendres, des cortèges de femmes et de
fleurs défient le temps.Vernissage le 13 mai à 17h
Un « coming-out » spirituel, voilà le spectacle auquel nous invite Mehdi Djaadi.
Dans ce seul-en-scène à la fois drôle et profond, il incarne et donne la parole
à une quinzaine de personnages rencontrés lors de son odyssée.
Tel un miroir et servi par une écriture ciselée, Mehdi nous met chacun face à
nos croyances, nos travers et nos contradictions, le tout avec bienveillance.
Une pièce qui rassemble, une ode à la liberté, une invitation à la rencontre.
« Ce spectacle c’est l’histoire de ma vie. Une vie faite de rencontres, de quête
de liberté et de spiritualité. Des rencontres de milieux aux idéaux opposés qui
m’ont pourtant chacun enrichis. Quand je me retourne sur mon parcours, je me
rends compte à la fois de sa singularité et de sa complexité. J'ai pris le parti
de me raconter avec humour, dérision et respect, ma volonté étant d’essayer
d’expliquer à quel point ces idéaux se côtoient avec harmonie et bienveillance
sans jugement.
Est-ce utopique ? J’aimerais que le spectateur ressente face à tous ces
personnages à la fois la violence et la cruauté que ces confrontations
engendrent, mais aussi la grandeur et la beauté que j’ai pu percevoir en eux. À
l'issue de la pièce, j'espère et souhaite que le spectateur considère ses
semblables et s’observe avec davantage de curiosité, d’autodérision et
d’empathie. » Mehdi DJAADI
Avec : Mehdi DJAADI
Texte : Mehdi DJAADI et Thibaut EVRARD
Mise en scène : Thibaut EVRARD
Création lumière : Frédérick DOIN
Critique presse
« Brise les stéréotypes ! » The New-York Times
« Un pur bonheur » Télérama
« Subtil » Le Parisien
« De haute volée » Topito
Oui ! D’accord ! Un signe. Mais les signes c’est hyper compliqué. Alors on
attend et on vit, on boit, on cause, on skie, on cherche, on danse, on aime, on
plonge, on nage, on surnage, on repart toujours à l’attaque avec ses joies, ses
erreurs, ses doutes, ses bonheurs, ses amours, ses potes. Et parfois on se dit
aussi qu’il vaudrait peut-être mieux être une carotte. Voilà on ne peut pas
mieux résumer ce voyage mortellement drôle qui se cache derrière ce titre À PART
ÇA LA VIE EST BELLE.
Critiques presse
« Rire mortel. » Le Journal du dimanche
« Et pourtant on rit. Et même beaucoup. » Télérama
« Plus drôle ! Plus dingue ! Plus intelligent ! Cherchez pas. Y’a pas. » Paris
Match
« Humour inclassable. » Le Parisien
« Plus jamais vous n’emprunterez le pont de Juvisy sans éclater de rire. » Le
Pariscope
Genre : Seul en scène
De : François Rollin et Jean-Jacques Vanier
Mise en scène : François Rollin
Lumières : Nicolas Priouzeau
Fable héroïque en 3 rounds
Pied Rouge s’apprête à affronter ses démons pour le combat de sa vie.
Elle s’échauffe, se livre avec toute la force de sa naïveté.
Entre deux confidences, elle uppercute la réalité et boxe ses idées noires.
Le Ring devenu le terrain de jeu de son imaginaire, notre héroïne ne
risque-t-elle pas de se mettre K.O toute seule…?
Peu importe le prix à payer, elle fera tout pour échapper à son chaos.
Genre : Clown-Théâtre
Durée : 1h10
De et par : Perrine Rouland
Mise en scène : Marc Gelas, Valérie Millerioux
Création lumières: Hugo Bunel