L'an Vert

Locatie

Aankomende evenementen

Er zijn geen aankomende evenementen

Evenementen in het verleden

Sébastien Hogge est un virtuose liégeois de la guitare folk. Sa musique offre un voyage dans son univers varié bercé entre le folk, le blues, le rock, la musique latine et le jazz. Ses compostions sont empreintes de son énergie forte et positive. Spécialiste du finger-picking, il en revisite les frontières et propose une musique singulière. En plus de sa maitrise technique incroyable, il se démarque par son sens du groove inné, sa perception subtile de la rythmique et son sens de la mélodie. Son jeu de guitare exceptionnel laisse aussi libre cours à l’improvisation avec une facilité déconcertante. Chaque concerts de Sébastien Hogge est un moment unique, hors du temps ou se mêle le partage de son art avec talent et sensibilité. Sa prestation scénique vous touchera aussi par sa communication avec le public et sa personnalité qui se reflète dans sa musique.
En mode acoustique, Pascal Mohy (piano), Quentin Liégeois (guitare) et Sam Gerstmans (contrebasse) vous proposent une parenthèse jazz tout en douceur. Amis dans la vie, ils n’ont cessé de travailler ensemble sur leurs instruments tout en écoutant les plus grands musiciens de jazz.
Le quartet franco-belge ORLANDO du saxophoniste Toine Thys sort un nouvel album ‘Betterlands’. Il est accompagné par Maxime Sanchez au piano, Florent Nisse à la contrebasse et Teun Verbruggen à la batterie. Neuf nouveaux titres qui viennent compléter les 10 de l’album précédent, qui leur a valu l’Octave de la Musique en 2021. Orlando est ici dans une nouvelle version avec un nouveau batteur et une musique encore plus tournée sur le jeu d’ensemble. Plutôt que des cascades de notes et des feux d’artifices, on explore ici le son et l’espace. Certains titres sont graves et solennels, tandis que d’autres sont empreints de joie et d’espoir. Toine Thys utilise aussi de l’électronique pour sampler son saxophone, le superposer et le traiter sur plusieurs plages, une façon d’ouvrir la musique vers des espaces plus grands. Toine Thys – saxes, clarinette basse, électronique  Teun Verbruggen – batterie  Maxime Sanchez – piano  Florent Nisse – contrebasse
Le Show Macrales revient pour un show incroyable, Revenge Baby ! Nous invitons 5 artistes qui ont déjà participé en tant que « baby », mais cette fois-ci, iels reviennent pour se venger, montrer deux fois plus de talents, deux fois plus de beauté et deux fois plus d’énergie !
Cette soirée réunira trois solos de musiciens / compositeurs / performeurs de musiques électro-acoustiques, atmosphériques et envoûtantes. — 20h30 : PHIL MAGGI (Liège) Phil Maggi présentera plusieurs thèmes de ses différents albums qui constitueront ce soir-là un paysage sonore sous forme de rétrospective d’une vingtaine d’années de musiques avec une quinzaine d’albums. https://philmaggi.bandcamp.com/ [https://philmaggi.bandcamp.com/]https://philmaggi.bandcamp.com/ — 21h15 : JEREMY YOUNG (Montréal) Jeremy Young est un compositeur et créateur de musique électronique concrète de Tiohtià:ke/Montréal. Il est membre du trio électroacoustique moderne classique Sontag Shogun et de l’unité poésie_sound Cloud Circuit, entre autres projets itinérants. En 2021, Young sort Amaro, un LP personnel construit autour de compositions électroacoustiques et d’improvisations utilisant des oscillateurs et des bandes, organisées en duo avec les artistes multidisciplinaires Pauline Kim Harris (String Noise), Ida Toninato, Markus Floats, Dolphin Midwives, Deanna Radford, Johannes Bergmark , le cinéaste Tomonari Nishikawa et la figure créative légendaire Vito Ricci. En 2022, August Tape Sketches, une collection de croquis de collage de boucles de bande pour guitare solo improvisée, a été publiée par le label belge Meakusma. Jeremy Young interprétera de nouveaux sketchs pour oscillateurs et bande extraits de son prochain disque, Cablcar (2025). https://jeremyyoung.bandcamp.com/…/stop-f-ing-killing… [https://jeremyyoung.bandcamp.com/…/stop-f-ing-killing…]https://jeremyyoung.bandcamp.com/.../stop-f-ing-killing... — 22h15 : MT GEMINI (Bruxelles) MT Gemini est le projet de Yannick Franck dans lequel il présente des terrains inexplorés de la musique Jamaïcaine réorchestrée sous forme de manipulations électro-acoustiques. En 2019, son intérêt pour le ska précoce, le boss reggae, le rocksteady et le dancehall l’a amené à lancer MT Gemini, un projet dans lequel il a commencé à explorer les nombreuses polarités inattendues qui s’opèrent entre la musique jamaïcaine et des manipulations électroacoustiques assez rudimentaires. Il a rapidement sorti un premier LP qui est sorti sur le label belge Sub Rosa, et qui s’est retrouvé dans la liste des « 10 disques de l’année » de la section Dub de Wire Magazine. “ Chacune des pièces est un exemple frappant de transformation magique, allant au-delà de la simple déconstruction pour créer quelque chose de profondément lysergique qui est à des années-lumière de la matière première dont elle est née, Franck est toujours inventif dans son alchimie, évitant soigneusement la tentation de répéter les mêmes tours ou de s’orienter dans une direction déjà explorée : chaque pièce est traitée comme une base tout à fait unique sur laquelle une nouvelle vision se développerait organiquement.” – Brainwashed (Royaume-Uni). Selon lui, MT Gemini n’est pas de la musique dub en soi mais plutôt une déconstruction incantatoire de mélodies jamaïcaines, un mélange de mutations sonores cultivées en laboratoire, imprégnées d’étrangeté, de joie et de nostalgie. Mais surtout une méditation sur l’altérité et la conciliation des contraires. https://www.youtube.com/watch?v=KFc4vrotsKw [https://www.youtube.com/watch?v=KFc4vrotsKw]
En longeant les maisons de nos villes, les passants ne perçoivent souvent plus ces nombreuses têtes soudées aux anciens immeubles, qui nous observent, nous scrutent, nous épient. Que peuvent-ils bien penser de nous, collés à nos ordiphones et habituellement indifférents voire insensible à leur beauté ou leur splendide monstruosité, ces vieux crânes sculptés, immobiles mais néanmoins à l’affût ? Katfa alias Fabian Cattarossi Ces photos ont été « prises » à Liège, mais aussi en région bruxelloise, et à divers endroits de France.
alètheia – ἀλήθεια  Solo de musique traditionnelle et expérimentale de / par Julia Robert Cette phrase d’Héraclite signifie : « La nature aime à se cacher ». Selon Heidegger, cet aphorisme exprime l’essence profonde de l’alètheia, à savoir que le dévoilement implique nécessairement et simultanément le voilement. Alètheia signifie aussi « l’être – vrai ». Dans ce solo, Julia Robert joue de la viole d’amour, un instrument baroque qui fut très à la mode au XVIIIe siècle. On y suggère qu’elle est de tous les instruments celui dont le son ressemble beaucoup à la voix humaine. Elle résonne de manière naturelle grâce à ses cordes sympathiques. Julia Robert la joue de manière pure, en acoustique, en reprenant différents morceaux traditionnels anciens, en révélant progressivement sa voix. — En 1ère partie : CLARA LÉVY – “13 Visions” (d’après Hildegarde Von Bingen et Pauline Oliveros) Le projet « 13 visions » est la rencontre rêvée de deux compositrices dont les esthétiques musicales partagent de nombreuses affinités, malgré les siècles qui les séparent : Hildegarde Von Bingen et Pauline Oliveros. Leurs visions respectives se croisent au sein d’un cycle de treize pièces pour violon seul. Quelque part entre la composition, l’arrangement et la citation, le point de départ de ce projet est la partition-texte « 13 changes » de Pauline Oliveros : il s’agit de treize consignes poétiques – s’inspirant d’évènements terrestres ou cosmiques. Le présent projet conserve la structure voulue par Pauline Oliveros, tandis que ses consignes y déterminent l’univers sonore de chaque pièce, à travers divers modes de jeu et préparations à l’instrument. Les chants d’Hildegarde Von Bingen y apparaissent « en négatif » : le violon, tenant le rôle du bourdon, propose une harmonisation sobre des mélodies choisies.
EDGES est le projet rock/jazz de Guillaume Vierset. Depuis 2022, ils ont sorti 1 full album (The End Of The F***ing World) et 2 EP live. Toujours des tracks bouillonnantes et audacieuses. Ça décolle, ça tournoie, ça se brûle les ailes contre les projecteurs, puis ça se pose doucement, comme un oiseau sur une branche, calmé par une série de loopings réussis. Des jeux de rôles aux croisements du rock, du jazz, du noisy contemporain, de flirts soniques dissonants, avec des musiciens de haut vol. On le reconnaît d’ordinaire en quelques lignes mélodiques, qu’il s’agisse de jazz, de rock, de pop, ou encore de folk. Sa patte ? Cette écriture des contrastes, cette poésie oxymorique contenue dans chaque composition et révélée dans ses arrangements soignés et dans sa fragilité assumée, celle du roseau qui plie sans casser. C’est sa manière à lui de nous raconter des histoires oniriques, parfois duveteuses, parfois râpeuses. Guillaume pratique tous ces styles et les mélange avec brio, auditeur acharné et passionné de chacun d’eux et compositeur intarissable, de jour comme de nuit. Il passe d’un projet à l’autre en embrassant leur coexistence qui construit sa personnalité musicale profonde. A la fois nonchalant et poétique, vif et vivifiant, le guitariste aime nous entraîner dans ses univers clairs-obscurs dont on ressort émus.  Guillaume Vierset – guitares Matteo Mazzu – basse Teun Verbruggen – batterie Dorian Dumont – synthé
L’An Vert invite Sylvain Darrifourcq à présenter son ouvrage, réflexion sur la place de l’artiste dans nos sociétés. La rencontre sera animée par deux invité.e.s surprise ! Figure reconnue de cette génération d’improvisateurs curieuse des frontières, Sylvain Darrifourcq est un musicien très demandé. En 2009, il obtient une « Victoire du Jazz » avec le Emile Parisien Quartet, dont il a été le batteur pendant plus de 10 ans. Passionné par les questions de temporalité, d’espace et de rupture en musique, il crée aujourd’hui un langage très personnel, construit autour des notions de « poly-vitesse », de « physiqualité » et de mécanisation du geste sonore. Ainsi naissent ses propres projets MILESDAVISQUINTET !, IN LOVE WITH et TENDIMITE. En 2023, il crée HECTOR Editions dans le but d’éditer des ouvrages à contenus scientifiques et de partage des savoirs, et publie le livre ‘20 000 MOTS’ qu’il co-écrit avec Antoine Lebousse. A travers cet ouvrage, l’artiste s’interroge sur ce qui fabrique une carrière artistique : l’illusion méritocratique, le marketing et la simplification du réel, la relation discutable qu’entretiennent productivité et bien-être. Les bouleversements liés à la crise du coronavirus ont conféré encore davantage d’urgence à ces questionnements : comment continuer à répondre aux injonctions à l’innovation dans un monde qui pourtant s’uniformise ? Pourquoi produire toujours plus, quand les milieux artistiques sont déjà saturés de propositions, d’œuvres, de messages ? Comment concilier des tâches de communication et d’organisation chronophages avec un temps de réflexion et d’expérimentation artistique qui s’amenuise toujours plus ? A travers cet ouvrage, Sylvain pose des mots sur une réalité et des questionnements qui ne trouvent encore que peu d’écho dans l’espace public. Nous sommes ravi.e.s de l’accueillir pour cette soirée qui s’annonce d’ores et déjà passionnante !