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Louis XIV était un Roi de Musique : l'ensemble des œuvres composées pour sa vie "officielle" le démontre assez. Mais qui connaît la musique intime du Roi Soleil ? Le soir venu, l'appartement privé a ses propres compositions, jouées par les meilleurs instrumentistes de la cour. Le clavecin, la viole de gambe et le luth prennent le pas sur tambours et trompettes ; les plus magnifiques chanteurs se tiennent à quelques mètres du souverain, jusque dans sa chambre, pour lui donner encore un peu de beauté musicale qui nourriront ses songes royaux... Nous serions vers 1705, Lalande en tant que Surintendant de la musique aurait réuni quelques musiciens "demandés par le Roi" : Marin Marais, Robert de Visée, Michel de la Barre, Antoine Forqueray, pour venir après le Grand Coucher, présenter à Louis un dernier instant de musique, informel et intime. Pour cette soirée inédite, Thibaut Roussel a fédéré les meilleurs musiciens au service d'une résurrection de ces Couchers du Roi. L'enregistrement de ce programme, réalisé au Château pour la collection Château de Versailles Spectacles, sortira simultanément au concert. Un moment d'exception en perspective...
Extraits de Le Malade imaginaire, Le Bourgeois gentilhomme, L’Amour médecin, Le Mariage forcé, George Dandin… Les comédies-ballets de Molière ont connu leur apogée dans la décennie 1660-1670 avec les musiques de Lully, qui ont permis la création devant Louis XIV de chefs-d’œuvre aussi emblématiques de la scène française que Le Bourgeois gentilhomme ou George Dandin, mais également de pièces comiques dont la musique fut une parure d’exception, comme L’Amour médecin ou Le Mariage forcé. La brouille avec Lully consommée, c’est Charpentier qui rejoint Molière pour sa dernière grande création : Le Malade imaginaire en 1673. William Christie réunit un bouquet des deux maîtres compositeurs du Grand Siècle, pour rendre un hommage jubilatoire à Molière et ses musiques. Théâtre, danse et musique s’entremêlent dans une fête dont Molière, Lully et Charpentier sont les grands ordonnateurs, pour une ultime comédie-ballet imaginaire…
Distribution Hakim Ghorab Directeur artistique et chorégraphe Michaël Canitrot DJ Vanetty Warm-up LE GRAND BAL MASQUÉ DU CHÂTEAU DE VERSAILLES, est reporté au samedi 18 juin 2022 (évènement initialement prévu samedi 20 juin 2020 et déjà reporté au samedi 19 juin 2021). Hakim Ghorab reste directeur artistique et chorégraphe de cette prochaine édition. Tous les détenteurs de billets pour cet événement vont recevoir par email le détail des modalités de report ou de remboursement. Les billets du samedi 20 juin 2020 et du samedi 19 juin 2021 sont valables pour la nouvelle date. Vous pourrez vous présenter directement à l'entrée de l'événement avec votre billet d'origine. C'est le code-barres, unique et scanné à l'entrée, qui fera foi. 10E ANNIVERSAIRE Versailles résonne encore des fêtes royales qui animèrent la cour en son temps. Depuis sa première édition en 2011, le Grand Bal Masqué du Château de Versailles célèbre ces nuits fantasques et raffinées à travers une soirée devenue incontournable. L’Orangerie du Château de Versailles et son jardin vous accueillent pour une nuit de fête complètement décalée. Danseurs, performeurs, artistes ponctueront votre soirée tandis que les mix du DJ vous feront danser toute la nuit sous la nef jusqu’au lever du soleil pour un after incroyable au bosquet de la Salle de Bal. Revêtez votre plus beau costume baroque et votre masque et prenez part au Grand Bal Masqué du Château de Versailles pour une soirée hors du commun !
La dernière Reine de France, au destin exceptionnel, tragique et glamour à la fois, méritait un ballet : Thierry Malandain lui a brodé un costume sur mesure pour un spectacle haut en couleurs et profondément dédié à Versailles et à son Opéra Royal. Désignée comme le mauvais génie du royaume et rendue responsable de tous ses malheurs, avant qu’on emporte son corps sur une brouette, la tête entre les jambes... Marie-Antoinette, sans son insouciance, sans ses réticences à sa fonction de Reine, sans Trianon, sans ses favorites, ses coquetteries, ses diamants, sans les décris de la cour grossis par les pamphlets et les caricatures, sans la Révolution et la croyance que le sang versé concourait au progrès, aurait certainement poursuivi son existence frivole et ne serait pas morte suppliciée. Comment une Reine adorée de tout un peuple, perdit elle son affection avant de mourir de sa haine ? Comment celle qui incarnait le symbole de la royauté aida-t-elle à en précipiter la chute ? Le ballet de Thierry Malandain retrace le parcours de Marie-Antoinette à Versailles : de son arrivée à la cour, jour de son mariage et de l’inauguration de l’Opéra Royal, à son départ en octobre 1789, qui l’emporte vers son destin…
1745 : Louis XV marie son fils, le Dauphin Louis, avec Marie-Thérèse d'Espagne. Pour les festivités, on donne dans la Grande Écurie de Versailles, transformée en théâtre temporaire, une nouvelle œuvre commandée à Rameau : Platée. 1745 : Louis XV marie son fils, le Dauphin Louis, avec l'infante d'Espagne Marie-Thérèse. Pour les festivités de ces Noces Royales, on donne dans la Grande Écurie de Versailles, transformée en théâtre temporaire, une nouvelle œuvre commandée à Rameau : la comédie lyrique Platée. Ce grand opéra-bouffon dans lequel les dieux se jouent d'une grenouille en lui faisant croire qu'elle est aimée de Jupiter, est sans doute la plus extraordinaire comédie en musique du XVIIIe siècle français - même si les spectateurs de la Première ont cru reconnaître la laide petite princesse espagnole dans l'héroïne coassante ! Partition hors norme, qui assied des rythmes inventifs et inattendus sur un orchestre éblouissant, et donne son lot de virtuosité italienne à la Folie, alors que le rôle-titre compose un personnage unique dans l'histoire lyrique, confié à un ténor haute-contre qui doit être prêt à incarner une grenouille Reine des marais... L'infernal trio Niquet, Shirley et Dino, après avoir vengé Purcell dans King Arthur et rajeuni Boismortier grâce à Don Quichotte, chausse maintenant ses bottes et descend dans le marécage de Platée pour en donner sa version loufoque - et "historiquement informée", comme il se doit !
1745 : Louis XV marie son fils, le Dauphin Louis, avec Marie-Thérèse d'Espagne. Pour les festivités, on donne dans la Grande Écurie de Versailles, transformée en théâtre temporaire, une nouvelle œuvre commandée à Rameau : Platée. 1745 : Louis XV marie son fils, le Dauphin Louis, avec l'infante d'Espagne Marie-Thérèse. Pour les festivités de ces Noces Royales, on donne dans la Grande Écurie de Versailles, transformée en théâtre temporaire, une nouvelle œuvre commandée à Rameau : la comédie lyrique Platée. Ce grand opéra-bouffon dans lequel les dieux se jouent d'une grenouille en lui faisant croire qu'elle est aimée de Jupiter, est sans doute la plus extraordinaire comédie en musique du XVIIIe siècle français - même si les spectateurs de la Première ont cru reconnaître la laide petite princesse espagnole dans l'héroïne coassante ! Partition hors norme, qui assied des rythmes inventifs et inattendus sur un orchestre éblouissant, et donne son lot de virtuosité italienne à la Folie, alors que le rôle-titre compose un personnage unique dans l'histoire lyrique, confié à un ténor haute-contre qui doit être prêt à incarner une grenouille Reine des marais... L'infernal trio Niquet, Shirley et Dino, après avoir vengé Purcell dans King Arthur et rajeuni Boismortier grâce à Don Quichotte, chausse maintenant ses bottes et descend dans le marécage de Platée pour en donner sa version loufoque - et "historiquement informée", comme il se doit !
1745 : Louis XV marie son fils, le Dauphin Louis, avec Marie-Thérèse d'Espagne. Pour les festivités, on donne dans la Grande Écurie de Versailles, transformée en théâtre temporaire, une nouvelle œuvre commandée à Rameau : Platée. 1745 : Louis XV marie son fils, le Dauphin Louis, avec l'infante d'Espagne Marie-Thérèse. Pour les festivités de ces Noces Royales, on donne dans la Grande Écurie de Versailles, transformée en théâtre temporaire, une nouvelle œuvre commandée à Rameau : la comédie lyrique Platée. Ce grand opéra-bouffon dans lequel les dieux se jouent d'une grenouille en lui faisant croire qu'elle est aimée de Jupiter, est sans doute la plus extraordinaire comédie en musique du XVIIIe siècle français - même si les spectateurs de la Première ont cru reconnaître la laide petite princesse espagnole dans l'héroïne coassante ! Partition hors norme, qui assied des rythmes inventifs et inattendus sur un orchestre éblouissant, et donne son lot de virtuosité italienne à la Folie, alors que le rôle-titre compose un personnage unique dans l'histoire lyrique, confié à un ténor haute-contre qui doit être prêt à incarner une grenouille Reine des marais... L'infernal trio Niquet, Shirley et Dino, après avoir vengé Purcell dans King Arthur et rajeuni Boismortier grâce à Don Quichotte, chausse maintenant ses bottes et descend dans le marécage de Platée pour en donner sa version loufoque - et "historiquement informée", comme il se doit !
Au cœur de la Première Guerre mondiale se déroula le Génocide des Arméniens en Turquie (1915-1916). Les deux tiers de la population arménienne périrent du fait de déportations, famines et massacres planifiés par l’Empire Ottoman. La Chapelle Royale sera l’endroit où faire entendre la voix du peuple arménien, par des musiques qui sont aujourd’hui symboliques de son histoire plurimillénaire. Sa capitale Erevan est l’une des plus anciennes cités au monde, fondée en -782, et l’Arménie fut le premier Royaume Chrétien, au IVe siècle. Après bien des vicissitudes et une diaspora considérable, les Arméniens sont aujourd’hui un peuple mondialisé mais une culture vivante. Trois artistes virtuoses donnent à entendre les splendides « musiques classiques » de l’Arménie, pour que le souvenir et la force de vivre soient réunis en ce moment symbolique. PROGRAMME Concert-commémoration du génocide arménien Trio d’Arno Babadjanian Pièces de Komitas et Khachaturian
Comédie-ballet en trois actes et en prose créée par la Troupe du Roi sur la scène du Palais-Royal à Paris en 1673. « La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie.» C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001, et qui, joué plus de 500 fois depuis, fait partie de ces spectacles intemporels visités par des générations de comédiens de la Troupe. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet. 10 février 1673, Molière, dans le rôle d’Argan, crée sa nouvelle œuvre où il est question de vrai ou faux malade, de vrai ou faux médecin, de vrai ou faux maître de musique, de vraie comédie mais aux accents dramatiques. Sept jours plus tard, alors qu’il donne la quatrième représentation de la pièce, sa maladie pulmonaire l’oblige à s’interrompre et l’emporte quelques heures après. Impossible dès lors de ne pas voir planer sur le personnage d’Argan l’ombre du dramaturge mourant qui « dans son propre malheur choisit de nous faire rire ». Si le charlatanisme des médecins est un thème privilégié de l’auteur, c’est la science médicale elle-même qui est attaquée dans cette farce satirique, doublée d’une sombre et lucide méditation sur la peur de la mort. Écrite par un Molière affaibli, victime des intrigues de Lully, en disgrâce royale, abattu par la mort de son fils et de son amie de toujours, Madeleine Béjart, sa dernière pièce est cependant une de ses plus brillantes comédies.
Comédie-ballet en trois actes et en prose créée par la Troupe du Roi sur la scène du Palais-Royal à Paris en 1673. « La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie.» C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001, et qui, joué plus de 500 fois depuis, fait partie de ces spectacles intemporels visités par des générations de comédiens de la Troupe. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet. 10 février 1673, Molière, dans le rôle d’Argan, crée sa nouvelle œuvre où il est question de vrai ou faux malade, de vrai ou faux médecin, de vrai ou faux maître de musique, de vraie comédie mais aux accents dramatiques. Sept jours plus tard, alors qu’il donne la quatrième représentation de la pièce, sa maladie pulmonaire l’oblige à s’interrompre et l’emporte quelques heures après. Impossible dès lors de ne pas voir planer sur le personnage d’Argan l’ombre du dramaturge mourant qui « dans son propre malheur choisit de nous faire rire ». Si le charlatanisme des médecins est un thème privilégié de l’auteur, c’est la science médicale elle-même qui est attaquée dans cette farce satirique, doublée d’une sombre et lucide méditation sur la peur de la mort. Écrite par un Molière affaibli, victime des intrigues de Lully, en disgrâce royale, abattu par la mort de son fils et de son amie de toujours, Madeleine Béjart, sa dernière pièce est cependant une de ses plus brillantes comédies.