Nouvelle création de la Compagnie Serge Barbuscia"C’est lorsque l’on n’est pas
tombé du bon côtéQue la chute paraît beaucoup plus douloureuseDois-je accepter
que l’on ne m’intègrera jamais ?Pendant ce temps, c'est le fossé qui se
creuse"ATTENTION CECI EST UNE COMÉDIE !!Cinq personnages en quête de vérité qui
veulent donner un sens à leurs vies pour donner du sens à la vie...Dans cette
farce loufoque et déjantée, le désespoir s’invite sans complexe et prend la
forme d’un trou béant...Faut-il creuser ? Ou ne pas creuser ? Et de quel trou
s’agit-il ? Celui de la mémoire comme au théâtre ? De la couche d’ozone ? De la
délivrance ? Ou alors peut-être ce fameux trou noir ?UN TEXTE POLITIQUEMENT
INCORRECT !La place de la femme, l’immigration, l’exploitation de l’homme par
l’homme, la rentabilité, le capitalisme, la place de l’animal, le genre...C’est
un huis clos, sans mémoire, sans chronologie... tous ces personnages sont
confrontés à l’obsession de ce trou, inexorablement, inlassablement, comme
guidés par un instinct qui détermine leurs destins.Distribution :Un texte de
Jean-Baptiste BarbusciaMise en scène : Serge Barbuscia
Théâtre Du Balcon
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Dans le cadre du Festival Andalou 2023 !Six jeunes artistes animés d’une même
passion avec des parcours et des horizons différents s’unissent pour vous
communiquer leur amour du Flamenco et lui donner vie. Le chant vient magnifier
le compás des danseurs, le guitariste délivre la richesse de son “toque
flamenco“ tandis que le percussionniste fait retentir ses percussions. Vous
assisterez à un spectacle total, aux promesses incandescentes ! Les maîtres mots
sont Jeunesse, Dynamisme, Transmission, Passion... FLAMENCO !Cette soirée sera
portée par deux danseurs qui ont gagné de grands prix dans leur catégorie : Luca
El Luco a remporté le 1er prix au concours international de baile de Jerez de la
Frontera dans la catégorie soliste professionnel promesse en 2019 et Céline
Daussan « La Rosa Negra » le prix du jury et la bourse du concours de la
fondation Cristian Hereen à Séville en 2020.Compagnie Luca El Luco • Avec :
Céline Daussan « La Rosa Negra » et Luca El Luco (danse), Leny Creff « El
Flaquito » (guitare), Emilio Cortés et Melchior Campos (chant) et Alex Carrasco
(cajón)
C’est l’histoire d’une femme qui tombe, qui tombe.Tout au long de sa chute, soit
tout au long de la pièce, elle se raccroche aux hommes qui l’entourent : Père,
grand-père, premier-amour, mari, amant, psy, médecin...Ce spectacle aborde les
maux de notre société encore emprunte de misogynie. Profondément féministe. En
aucun cas l’homme n’y est diabolisé, cependant le texte fait echo à ce féminisme
multiple et à cette injonction à choisir son camp de façon binaire.L’auteure et
interprète de l’oeuvre, dénonce ses propres travers et s’en amuse... parfois.
Passionnée, amoureuse, brutale et à fleur de peau, elle nous raconte sa vie,
celle d’une femme d’aujourd’hui, au départ formatée mais qui choisit de ne pas
choisir. Sur scène, elle parle aux hommes de sa vie, ceux qu’elle a connu, ceux
qu’elle a croisé, ceux qu’elle ne connaîtra jamais et ceux qu’elle aimera.Elle
explose les cadres devant nous, au sens figuré comme au sens propre, grâce à une
scénographie évolutive.D’une manière générale, la pièce nous exhorte à ne pas
reproduire les schémas éducatifs subis, à libérer les personnalités.Texte de
Clarisse Fontaine • Mise en scène : Joey Starr
Danse et ThéâtreProduction Théâtre du CorpsTexte Bernard-Marie
KoltèsChorégraphie et mise en scène Marie-Claude Pietragalla et Julien
DerouaultAvec : Julien Derouault et Pierre BellekaLes deux chorégraphes
Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault ont créé à travers le Théâtre du
Corps un espace de travail d’où naissent des spectacles singuliers mêlant avec
nuance danse et théâtre, corps et poésie, oralité et mouvement. Cette méthode
unique en son genre, où l’acteur danse et le danseur joue, est aujourd’hui au
centre de leur travail de création.« Cela traite d’une bagarre de texte, d’une
bagarre verbale que l’on pourrait comparer à une bagarre de rue… Mes personnages
sont passionnés; ils ont envie de vivre et en sont empêchés ; ce sont des êtres
qui cognent contre les murs. Les bagarres justement permettent de voir dans
quelles limites on se trouve, par quels obstacles la vie se voit cernée. On est
confronté à des obstacles – c’est cela que raconte le théâtre. » Bernard-Marie
Koltès« Dans la Solitude des Champs de Coton » écrite par Bernard-Marie Koltes,
est une pièce majeure du théâtre contemporain qui met en scène un dealer et un
client : deux oiseaux de nuit, deux être blessés, deux solitudes…L’auteur nous
donne à voir ce qui se déroule juste avant le conflit, « une bagarre verbale que
l’on pourrait comparer à une bagarre de rue » dans un lieu isolé. Sur ce terrain
neutre et désert, les deux personnages sont amenés à se révéler, à se mettre à
nu. L’offre et la demande, le marchand et le client, la lumière et
l’obscurité…Koltes utilise les contraires, les couples d’opposition pour traiter
des relations complexes entre ces deux êtres que tout oppose, de la
confrontation à l’inconnu.La danse exprime ici l’inconscient poétique des
personnages qui permet de remplir le temps tout comme « l’échange des mots » ne
sert « qu’à gagner du temps avant l’échange des coups ». C’est une parade où
chacun se jauge, se frôle, se provoque. Le désir s’incarne aussi dans les corps,
les respirations, les envolées chorégraphiques qui troublent les protagonistes
et les amènent à réagir, voire même à reconnaître qu’ils sont touchés.La danse
comme les mots cherchent à impressionner, à tester l’adversaire, à se chercher
plutôt que se mordre, mais elle est surtout une ritualisation de la rencontre
avec la mort.
Compagnie : Théâtre National du LuxembourgDistribution :Texte : Jean
PortanteMise en scène: Frank HoffmannMusique et effets sonores: René
NussCostumes:.Denise SchumannLumières: Zeljko SestakAssistance à la mise en
scène: Natalia SanchezAvec: Jacques BonnafféComme son père jadis, le fils
traverse aujourd'hui la frontière entre la Lorraine et le Luxembourg. Pris dans
un embouteillage qui est la règle sur ce tronçon d'autoroute, le fils se met à
rêver. La procession des voitures évoque d'autres processions, plus logues
encore et, surtout, plus terribles: les processions à la télé / ces migrants qui
traversent les couches du temps / quand ont-ils bu ou mangé pour la dernière
fois / quand ont- ils dormi pour la dernière fois / quand sont-ils morts pour la
dernière fois..."Frontalier" raconte une histoire qui est, comme dans beaucoup
d’œuvres de cet auteur attachant et insaisissable en même temps, sa propre
histoire, revu, retravaillée, infléchie par les évolutions politiques et
sociétales d’aujourd’hui et magnifiée par la référence à notre mythologie
mère.Écrire sur les frontières, danser sur les frontières, jouer.Frank Hoffmann
Compagnie Les Épis NoirsAuteur, metteur en scène, et musique original : Pierre
LericqAvec Jules Fabre, Pierre Lericq, Gilles Nicolas, Tchavdar Pentchev, Marie
Réache, Juliette de RibaucourtAssistante mise en scène : Bérangère
MagnaniScénographie : Yves KuperbergCostumes : Chantal Hocdé Del PappasLumières
: François AlapetiteSon : Jules FernagutCréation 2022, La tragédie de Racine,
dé-racinée et en-chantée !« Attention, mesdames, mesdemoiselles, messieurs, les
monstres que vous allez voir ce soir, sont des monstres aussi monstrueux que…
vous ! »L’histoireUne troupe de théâtre ambulant, dirigé par un « Monsieur Loyal
» tonitruant mène ses comédiens à la cravache pour vous raconter la véritable,
et non moins monstrueuse, histoire de Britannicus.Tout se passe en un seul jour
à Rome. En mai 68 de notre ère. Le trente très exactement. Claude, l’empereur
romain, meurt empoisonné par une omelette aux champignons préparée par sa femme
Agrippine qui peut ainsi nommer à la tête de l’empire Romain, son propre fils,
Néron.Ce dernier, dans l’aurore, a enlevé Junie : la jeune femme qui devait se
marier ce jour-même à son frère Britannicus. Néron veut se marier avec Junie. Ce
qui, évidemment, provoque une fureur incommensurable, chez son frère, chez sa
mère, au palais et dans tout l’empire.Narcisse et Albin, les deux conseillers de
Néron, diamétralement opposés, l’un prônant l’honnêteté, l’autre la tyrannie, et
néanmoins frères siamois vont mettre Néron face à ses responsabilités et au
premier choix de sa vie : Junie ou l’empire ?Ou les deux… ?
CREATION 2022Un texte de Matéi VișniecPièce traduite du roumain par l’auteur et
Claire JéquierMise en scène Virginie LemoineAssistante mise en scène Alice
FaureAvec Serge Barbuscia, Pierre Forest & Richard Martin__Pour explorer l’âme
humaine dans ce qu’elle recèle de plus étonnant, de plus généreux, de plus
mesquin ou de plus noir, quelle meilleure idée que de placer les personnages en
situation d’attente ?Trois vieux clowns sur le déclin se présentent à la porte
d’un bureau dont on ne saura jamais rien, pour répondre à une petite annonce
dont on ne saura pas davantage, si ce n’est que l’on y recherche justement un
vieux clown. Jadis, ils ont travaillé ensemble chez Humberto. La joie des
retrouvailles fait bientôt place à la dispute car l’offre ne concerne qu’un seul
poste. Peu à peu, les trois vieux copains deviennent trois gladiateurs tragiques
des temps modernes qui luttent pour survivre tout en se faisant l’illusion
qu’ils ont été appelés pour sauver ce qui reste encore du « grand art du cirque
».Matei Visniec, est l’un des auteurs les plus joués au Festival Off d’Avignon
et aussi l’auteur dramatique le plus joué en Roumanie depuis la chute du
communisme.Virginie Lemoine s’empare de ce texte et explore l’âme humaine dans
ce qu’elle recèle de plus étonnant, de plus généreux, de plus mesquin ou de plus
noir.Avec une infinie délectation, elle va tenter d’élucider qui, de ces trois
clowns, peut prétendre être le meilleur candidat. Le plus talentueux ? Le plus
facétieux ? Le plus original ? Le plus inventif ? Le plus charismatique ? Ou
simplement le plus vieux ?Un suspens haletant d’autant plus que ces trois là se
connaissent parfaitement, s’apprécient par moment mais ont surtout en commun une
semblable et vitale priorité : décrocher le boulot et éliminer l’autre…
Jeune PublicRevanche, c’est pour toutes les fois au collège où on s’est senti
exclu, rejeté, où on n’a pas voulu de nous dans le groupe, parce qu’on n’était
«pas assez ci» ou «trop ça».C’est l’histoire de Tom qui ne supporte plus que des
élèves imposent leur loi. Avec ses amis, il va s’unir à tous les malmenés, les
mis de côté, les boucs émissaires pour que plus personne n’ait à subir. Le
groupe Revanche est créé.Ce projet de création est le 5e de la compagnie 7e
Ciel, qui a vu le jour avec deux spectacles jeune public « Pacamambo » de Wajdi
Mouawad en 2010 et « L’enfant sauvage » de Bruno Castan en 2013. Il s’agissait
alors d’aborder des thèmes forts voire tabous comme le deuil et la différence
auprès des jeunes spectateurs pour susciter des débats tout en proposant une
mise en scène esthétique et onirique.10 ans sont passés depuis, avec
l’affirmation de défendre un théâtre exigeant au service d’auteurs contemporains
et d’aborder des thèmes sociétaux où chacun puisse y trouver une
résonance.DISTRIBUTIONTexte Marjorie FabreMise en scène Marie ProvenceRegard
chorégraphique Aurélien DesclozeauxCostumes en coursLumières en coursJeu Samuel
Diot, Audrey Lopez, Florine Mullard, Léopold Pélagie, Quentin
Wasner-LaunoisProduction : Compagnie 7e CielCoproduction : Théâtre de la
Joliette – Scène conventionnée Art et Création – Expressions et écritures
contemporaines.La Minoterie – Scène conventionnée Art Enfance Jeunesse. Avec le
soutien de la ville de Marseille.
Compagnie : MARILU ProductionDistribution complète: Jean-luc Porraz, Nathalie
Mann, Jacob Porraz, Valentine GaleyVincent, un adolescent ayant le syndrome
autistique d’Asperger, est exclu de son école faute d’AVS. La violence que cela
lui provoque plonge la famille au bord d’un abîme, et sur le fil du rasoir entre
rire et larmes, combativité et lâcher prise, entre réalité, poésie et
ré-inventions. Comment trouver sa place? Comment s’accepter, s’aimer et trouver
la liberté d’être pleinement soi-même? Dans ce quotidien, extra-ordinaire, dans
cette maison qui protège mais qui enferme, Vincent n’est pas le seul à subir ces
tremblements. Tous les membres de cette famille y sont confrontés. Ils portent
en eux les affronts de la réalité et ce besoin vital d’y échapper, ils
grandissent en liberté.« Rentrer dans le moule » est hymne joyeux à la
différence, la poésie, la liberté et l’amour!
Jeune PublicRevanche, c’est pour toutes les fois au collège où on s’est senti
exclu, rejeté, où on n’a pas voulu de nous dans le groupe, parce qu’on n’était
«pas assez ci» ou «trop ça».C’est l’histoire de Tom qui ne supporte plus que des
élèves imposent leur loi. Avec ses amis, il va s’unir à tous les malmenés, les
mis de côté, les boucs émissaires pour que plus personne n’ait à subir. Le
groupe Revanche est créé.Ce projet de création est le 5e de la compagnie 7e
Ciel, qui a vu le jour avec deux spectacles jeune public « Pacamambo » de Wajdi
Mouawad en 2010 et « L’enfant sauvage » de Bruno Castan en 2013. Il s’agissait
alors d’aborder des thèmes forts voire tabous comme le deuil et la différence
auprès des jeunes spectateurs pour susciter des débats tout en proposant une
mise en scène esthétique et onirique.10 ans sont passés depuis, avec
l’affirmation de défendre un théâtre exigeant au service d’auteurs contemporains
et d’aborder des thèmes sociétaux où chacun puisse y trouver une
résonance.DISTRIBUTIONTexte Marjorie FabreMise en scène Marie ProvenceRegard
chorégraphique Aurélien DesclozeauxCostumes en coursLumières en coursJeu Samuel
Diot, Audrey Lopez, Florine Mullard, Léopold Pélagie, Quentin
Wasner-LaunoisProduction : Compagnie 7e CielCoproduction : Théâtre de la
Joliette – Scène conventionnée Art et Création – Expressions et écritures
contemporaines.La Minoterie – Scène conventionnée Art Enfance Jeunesse. Avec le
soutien de la ville de Marseille.