Ouvrons nos églises – Feuges

Beschrijving

Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel.

Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè.

>> A propos de l'église de Feuges :

L’église est inscrite aux monuments historiques depuis 1972 et renferme un trésor de la sculpture en bois polychromé.

L’église Saint-Benoit date du XIIe siècle. C’est l’une des plus anciennes églises romanes de l’aube dont l’architecture n’a pas été dénaturée, mais elle a été restaurée au XVIe et comporte une verrière du XVIe siècle classée monument historique et représentant l’adoration des bergers.

Son chevet (l’arrière comprenant le cœur et l’abside), est plat et non arrondit, témoignant de l’influence rurale des constructions sacrées en campagne au XIIe siècle.

Le Christ en croix monumental (1,82 x 1 ,74), daté du dernier quart du XVIe siècle, est classé monument historique depuis 1911. La richesse et la finesse des détails, la qualité d’assemblage et de sculpture, tant que sa taille imposante, apportent une intensité à l’œuvre et accompagnent l’expression de la douleur retenue du Christ.
Les yeux fermés et les sourcils froncés, les Christ en croix étaient destinés à accompagner les croyants dans leur compassion et leur prière.
Aujourd’hui reconnu comme une œuvre incontournable du XVIe siècle champenois, il était exposé lors de l’exposition « Le Beau XVIe siècle : chefs-d’œuvre de la sculpture en Champagne » présentée en 2009 dans l’église Saint-Jean-au-marché à Troyes.

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Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Sainte-Maure : L’église Sainte-Maure, de la commune du même nom, portait le vocable de Saint-Barthélemy jusqu’à ce que le pèlerinage à sainte Maure (sainte qui vécut au IXe siècle) prit une certaine ampleur. Bâti d’ouest en est, l’édifice a été érigé en deux campagnes. La massive tour-clocher de façade est probablement l’élément le plus ancien, de peu antérieur aux quatre travées de la nef avec bas-côtés, qui datent du XVe siècle ou du début du XVIe siècle. L'ensemble est couvert d'ogives. Les parties orientales, chœur et transept halle de trois travées couvert de voûtes à cantons, liernes et tiercerons plus élevées que celles de la nef, se terminent par une abside à trois pans . elles ont été terminées en 1546. Les verrières les plus anciennes (1er quart du XVIe siècle) se situent dans le bas-côté nord de la nef et sont contemporaines de sa construction ou de peu postérieures. Les panneaux anciens occupent les tympans et les têtes de lancettes. Ils ont été largement complétés à la fin du XIXe siècle, notamment par des rondels figurés peints par le collectionneur H. de Faucigny, prince de Lucinge, offerts par sa famille en 1899.Ces panneaux sont trop fragmentaires pour qu'une logique d'ensemble puisse être trouvée à leur iconographie. On y trouve de nombreuses représentations d’écus armoriés, comme ceux d’Odard Hennequin, évêque de Troyes, ou de Nicolas Bizet de Troyes, seigneur de Charley. On y voit également un abbé (saint Léon) tenant la palme du martyr, une Assomption, le martyre de saint Sébastien et un Christ en croix. Dans le transept se trouve un second groupe de vitraux anciens. Le peintre verrier troyen Linard Gonthier a travaillé à Sainte-Maure, mais on ignore sur quelles baies. On lui attribue par tradition la réalisation (vers 1600) des verrières des Jugements de Salomon (baie 6) et de l’Arbre de Jessé (baie 8). Cette dernière, datée 1603, a probablement été offerte par Jean Thévignon, abbé de Sainte-Maure, commandeur de Saint-Antoine et aumônier du roi. Ces deux verrières ont été très restaurées à la fin du XIXe siècle, et il ne subsiste plus que la lancette centrale de l'Arbre de Jessé. Des vitraux antérieurs à quelques années près ont été rassemblés dans une grande verrière composite (baie 7) montrant notamment des donateurs présentés par leurs saints patrons. A la fin du XIXe siècle ont été ajoutées dans le chœur les verrières du Calvaire et de sainte Maure (1888), et de saint Barthélemy, respectivement par Chabrin (ou Chabin ?) et Virot, et les Litanies de la Vierge. Enfin, en 1985, Sylvie Gaudin, également chargée de restaurations, crée les deux verrières décoratives entourant la baie d’axe de l’abside.Les verrières sont restaurées et complétées à la fin du 19e siècle. Elles sont restaurées à nouveau en 1916. En 1972, les vitraux du bras nord du transept sont réparés par l’atelier Vinum. Plusieurs verrières sont remises en état entre 1981 et 1985 par Michel Mauret, d’Heiltz-le-Maurupt (Marne). Eglise et vitraux sont classés monuments historiques (au titre immeuble) en date du 20 avril 1931.
Découvrez les églises de l’Aube. Pour permettre à chacun de découvrir le patrimoine du territoire, l’association « Un Jour, Une Église » propose de vous ouvrir les portes des églises le temps d’une visite commentée par un bénévole (M. Francis Boivin). La première église dédiée à Sainte-Savine fut édifiée au VIIe siècle sur le lieu de sépulture de Savine, jeune chrétienne morte en 288 lorsqu’elle apprit le martyre de son frère Savinien, évangélisateur des Tricasses. L’église actuelle a été construite au début du XVIe siècle, et est très homogène. Le portail ouest est un peu plus récent, il a été réalisé en 1611 par les frères Baudrot. L'église comporte une nef et deux bas-côtés longs de trois travées, bordée de chapelles latérales, tant au nord qu'au sud. Les deux dernières travées constituent un transept double non saillant. L'abside est à trois pans. Le tout est entièrement voûté d'ogives. Le clocher s’élève au-dessus de la croisée du transept. Les vitraux anciens qui subsistent, souvent seulement en partie haute des baies, datent essentiellement du début du XVIe siècle . et du début du XVIIe pour deux baies sud. Pour cette dernière époque, on dispose dans les archives de la paroisse de marchés passés avec des peintres verriers comme Toussaint Rudiger (ou Audiger), en 1603, pour avoir " parfait " toutes les verrières de l’église, avec Linard Gontier de 1620 à 1628 en tant que restaurateur, puis, en 1635, avec Etienne Clément et Etienne Jubrien pour " relever " onze panneaux . enfin, en 1639, avec le fils ou neveu de Linard Gontier, Jean Gontier, pour des réparations.Les sujets traités par les vitraux du XVIe siècle sont très variés. On y trouve par exemple les Litanies de la Vierge, associées, dans une verrière composite, à des scènes mariales, à une grande Crucifixion et à des figures de saints. Dans d’autres panneaux, les scènes de la vie de saint Eloi, du martyre de saint Hippolyte, les verrières de la Passion et de la Résurrection proviennent de cartons probablement plus anciens largement répandus dans la région. Enfin, la quatrième chapelle nord possède une verrière consacrée à la Vie de sainte Savine. Un fragment présentant une Trinité en grisaille daté de 1611 compose l’un des ajours du tympan d’une verrière réalisée en 1885 par Hugot.Vers la fin du XIXe siècle, le décor vitré est largement complété. Déjà par les peintres-verriers troyens Vincent-Larcher (baies du sanctuaire : légendes de sainte Savine et de saint Savinien, 1868-1870) et surtout par Hugot, qui intervient entre 1877 et 1885, et à qui l'on doit notamment dans les chapelles sud, l'Incrédulité de saint Thomas, le Repas à Emmaüs, la Transfiguration, la Vie de Joseph et Marie et la Vie du Christ . et dans les chapelles nord les Vies de saint Loup, de sainte Marie-Madeleine, de saint Mammès, de Notre-Dame de la Salette et des figures de saints. La baie 19 (légende de Savinien) est due au maître-verrier parisien Claudius Lavergne qui la réalisa en 1888. Simultanément, ces ateliers ont restauré les vitraux anciens. L’atelier Vinum a remis en état puis reposé l’ensemble des vitraux entre 1948 et 1955. Depuis, certaines baies ont une nouvelle fois été restaurées. Eglise et vitraux sont classés monuments historiques (au titre immeuble) depuis le 4 janvier 1921. Charpente, toiture, maçonnerie…, durant trois ans, la Ville va engager d’importants travaux de rénovation de l’église, avec le soutien de l’État, de la Région Grand Est et du Département de l’Aube.
Venez marcher sur les traces de nos libérateurs lors de cette visite guidée inédite qui vous mènera sur les lieux emblématiques de la libération de Troyes contre l’occupant allemand qui s’est déroulée les 25 et 26 août 1944. Cette visite faite par un passionné, spécialisé sur cette bataille et sur l'armée américaine, vous expliquera les combats qui se sont déroulés dans la ville avec des anecdotes et des photos d'époque. Venez découvrir cette bataille qui est entrée dans l'Histoire et qui restera un haut fait d'arme pour l'armée américaine ! Visite gratuite - Sur réservation Nombre de places limité (20 personnes maximum)
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Creney : L’église Saint-Aventin de Creney-près-Troyes existe au moins depuis le XIIe siècle. L’édifice actuel a été construit d’est en ouest au XVIe siècle et seules les parties basses de la tour remontent au XIIIe. Le portail sud de style Renaissance est daté de 1557 et serait peut-être l’œuvre des maîtres maçons Jademet et J. Thiedot en raison de sa proximité stylistique avec l’ancienne porte occidentale de Saint-Parres-aux-Tertres qui porte leur signature. Le porche a été refait en 1847-1848. L’édifice est une église-halle à trois vaisseaux de cinq travées voûtée d'ogives terminée par une abside à trois pans. Le chœur liturgique empiète sur les deux dernières travées du vaisseau central et le clocher est implanté sur la troisième travée de ce même vaisseau. Les collatéraux sont couverts de toitures perpendiculaires à l’axe de l’édifice. La façade occidentale est marquée par la présence d’un portail donnant accès à un vestibule d’entrée. Un important ensemble de vitraux a été réalisé vers 1510-1520 lors des travaux de reconstruction. De nombreuses inscriptions permettent de les dater et de connaître leurs commanditaires, des personnalités locales. Les vitraux s’inspirent, entre autres modèles, de ceux de l’église de la Madeleine de Troyes et s’apparentent donc à "l’école troyenne". Les verrières, restaurées en 1894 par Gaudin, ont été déposées en 1939 puis à nouveau restaurées en 1957-1958 par Max Ingrand. Sont présentées à la fois des grandes scènes s’étendant sur plusieurs panneaux, comme l’Adoration des Mages réalisée en 1520 pour François Hennequin et Louise Molé et des figures de saints parrainant les donateurs, comme les saints Henri, Barbe, Catherine et Marguerite avec Henry de Foissy et Marguerite de Chamrémy. Cette dernière verrière comporte aussi des scènes de la Passion du Christ. La Crucifixion a été exécutée en 1520 pour le curé Nicolas Godet. Dans la verrière offerte par François Hennequin et Louise Molé, les scènes de la Circoncision du Christ et de l’Adoration des mages se déroulent dans des intérieurs architecturaux de style Renaissance. Enfin, les panneaux donnés par Jehan Gubelin et sa femme, dans le premier quart du XVIe siècle, sont consacrés à la Vierge avec les scènes de l’Annonciation, de la Dormition et du Couronnement de Marie. L’église a été classée monument historique en 1907 et les vitraux au titre objet le 9 août 1894.
Un parcours orignal dans le cœur historique de Troyes, à la découverte des spécificités du patrimoine troyen, des anecdotes amusantes ou étonnantes et de sa petite histoire... Réservation conseillée (nombre de places limité)
Un parcours orignal dans le cœur historique de Troyes, à la découverte des spécificités du patrimoine troyen, des anecdotes amusantes ou étonnantes et de sa petite histoire... Réservation conseillée (nombre de places limité)
Découvrez Troyes sous une toute autre lumière ! A la lueur des étoiles… et des éclairages urbains ! La nuit tombée, le cœur historique arbore une beauté magique et magnifiée par les habillages de lumière. Un parcours à emprunter absolument pour découvrir des lieux magiques habilement éclairés, comme notamment les places de l’Hôtel de Ville, Jean Jaurès et de la Libération, et les quais de Seine remarquablement réhabilités. Informations supplémentaires : Réservation et paiement obligatoires avant départ de la visite auprès de l'accueil de Troyes La Champagne Tourisme pendant les heures d'ouverture.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Moussey : Cette église romane du XII° siècle dédiée à Saint Martin n'a connu que très peu de transformations. Son beau porche en pierre dont la toiture se prolonge jusqu'aux bas-côtés est constitué de baies jumelées qu'ornent de petites colonnes. La nef quant à elle, malgré sa hauteur, n'est pas voûtée comme d'ailleurs les bas-côtés qui courent sur toute sa longueur. Eclairée par de petites ouvertures plein cintre, elle est marquée par d'impressionnants piliers carrés sans chapiteau supportant des arcades plein cintre ou en ogives. Enfin, le chœur accueille la tour de l'édifice. Les nombreuses statues des XIV et XVI° siècles qui ornent l'intérieur de l'édifice sont attribués à l'Ecole troyenne. Le bénitier est un témoignage du XII° siècle, quelques éléments de vitraux du XVI° siècles ont été conservé et le maître-autel ainsi que la chaire réalisés en bois sculpté datent du XVIII° siècle.