Ouvrons nos églises – Saint-Jean-de-Bonneval

Beschrijving

Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel.

Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè.

>> A propos de l'église de Saint-Jean-de-Bonneval :

L’église Saint-Jean-Baptiste construite à la place de la précédente effondrée en 1818, a été érigée entre 1826 et 1830.

Dans ses inspirations du passé, le XIXe a choisi ici de reprendre les grandes lignes des basiliques romaines. A vaisseau unique flanqué de bas-côtés, séparés de la nef par des colonnes toscanes, et des petites fenêtres hautes à l’étage supérieur contribuent à recréer les sensations fantasmées d’une basilique romaine.
Alors que l’extérieur parait sobre et la forme simple, l’intérieur invite au dépaysement.
Son mobilier est pour partie classé monument historique à titre d’objets : une statue en calcaire polychromé et doré de Saint Nicolas du XVIe, dans la même technique, deux statues de la fin du XVIe ou début XVIIe représentant pour Sainte Syre et la Vierge à l’enfant.
Deux statuettes reliquaires viennent rejoindre cette collection, l’une de Saint Jean-Baptiste et l’autre de la Vierge à l’enfant, toutes deux en chêne et faux marbre polychromé et datées du XVIIIe siècle.

L'étude d'Inventaire autour de l'église Saint-Jean-Baptiste est terminée ! Cette église, construite de 1826 à 1830, a été financée par les sept communes de la paroisse : Assenay, Lirey, Longeville (sur-Mogne), Maupas, Prunay (annexée à Saint-Jean-de-Bonneval en 1908), Saint-Jean-de-Bonneval et Villery.

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Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Lirey : En 1356, l’église collégiale de Lirey était construite pour accueillir le Saint-Suaire. (Le Saint-Suaire, linge où le portrait du Christ se serait dessiné par la seule pose de celui-ci sur son visage après sa crucifixion, était à Lirey de 1353 à 1418). Démolie à la Révolution, nombre de son mobilier s’est vu accueillir par d’autres lieux de cultes et musées, comme des autels qui sont aujourd’hui conservés au Victoria and Albert Museum de Londres. L’actuelle église est dédiée à l’Annonciation de la Vierge et érigée de 1870 à 1880.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Crésantignes : Placée sous le vocable de Saint Sébastien, l’église de Crésantignes date de la seconde moitié du XVIIIème siècle. La précédente église, fondée en 1576 par Anne de Vaudrey, seigneur de Saint Phal et de Crésantignes, avait été détruite en 1711. L’édifice actuel comporte un retable en pierre polychrome et plusieurs statues classées. Afin d’assurer la pérennité du bâtiment, de nombreux travaux ont déjà été effectués par les conseils municipaux successifs. En effet, la toiture, les abat-sons, les piliers et les voûtes ont fait l’objet de restaurations.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Moussey : Cette église romane du XII° siècle dédiée à Saint Martin n'a connu que très peu de transformations. Son beau porche en pierre dont la toiture se prolonge jusqu'aux bas-côtés est constitué de baies jumelées qu'ornent de petites colonnes. La nef quant à elle, malgré sa hauteur, n'est pas voûtée comme d'ailleurs les bas-côtés qui courent sur toute sa longueur. Eclairée par de petites ouvertures plein cintre, elle est marquée par d'impressionnants piliers carrés sans chapiteau supportant des arcades plein cintre ou en ogives. Enfin, le chœur accueille la tour de l'édifice. Les nombreuses statues des XIV et XVI° siècles qui ornent l'intérieur de l'édifice sont attribués à l'Ecole troyenne. Le bénitier est un témoignage du XII° siècle, quelques éléments de vitraux du XVI° siècles ont été conservé et le maître-autel ainsi que la chaire réalisés en bois sculpté datent du XVIII° siècle.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église d'Isle-Aumont : Motte féodale d'Isle Aumont (classée Monument Historique en 1967) : église Saint-Pierre aux trois sanctuaires (Xème, XIIème et XVIème) . Exposition lapidaire . allée des sarcophages . stèles funéraires mérovingiennes et statuaire de l'Ecole Troyenne.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Villy-le-Maréchal : Cette église date du XVIe siècle. C'était une paroisse appartenant au Grand-doyenné de Troyes, puis à la fin du XVIIIe siècle elle a été rattachée à l’archiprêtre de Troyes. Elle est placée sous le vocable de la Nativité de la Vierge, bâtie sur une forme de croix latine, son abside est à cinq pans. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1992.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Javernant : L’église de l’Assomption de la Vierge de Javernant était autrefois succursale de Saint-Jean de Bonneval et n'a été érigée en cure qu'en 1747. D’un plan simple en croix latine, l’église comporte une nef à vaisseau unique de trois travées, un transept saillant et une abside à trois pans. L'édifice est homogène . il a été commencé par l'est pendant le premier quart du XVIe siècle. Les deux travées occidentales sont un peu plus récentes et datent du second quart ou du milieu du XVIe siècle (un autel fut érigé en 1560). Elle se termine par un beau portail sculpté occidental de style flamboyant au décor Renaissance, qui présente les signatures peintes de L. Cabutel et C. Paiso. Des vitraux d’origine subsistent dans les trois baies de l'abside et, sous forme de fragments, dans deux baies du transept et une baie est de la nef. Les trois verrières de l’abside sont composites et rassemblent des panneaux provenant d’au moins cinq baies différentes. L’ensemble des verrières a été restauré entre 1973 et 1979 par l'atelier Vinum. Les thèmes représentés sont la Genèse, sans doute exécutée sur le modèle de la verrière de la Madeleine de Troyes, l’Arbre de Jessé peint d’après la suite de cartons employée à l’église des Noës-près-Troyes, la Vie de la Vierge et du Christ et enfin la vie de saint Jean-Baptiste qui s’apparente à celles des églises de Ceffonds (52) et d’Ormes (10). La baie d'axe, dont la date inscrite a été interprétée comme 1518, montre un curé donateur présenté par saint Nicolas et diverses scènes plus ou moins complètes comme la Crucifixion, l’Annonciation, l’Adoration des Mages, une figure du Baptiste. La baie de nef avec fragments du XVIe siècle porte la date de 1537. L'église a été inscrite monument historique le 7 mai 1926. Les vitraux anciens sont classés monument historique depuis le 27 décembre 1913.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Sommeval : L’église Saint-Martin datée de 1834 se trouve au centre du village. La tour-clocher date du XVIIe siècle, mais la touche particulière de cette église est dans son plafond. Sa charpente est visible et des poutres de chêne massif composent des lignes et croisillons le long de la nef. Plusieurs statuettes conservées dans l’église sont classées monuments historiques depuis les années 1980 : une statue de Saint Nicolas en chêne, polychromée et datée du XVIIe-XVIIIe, une statue de bois du XVIIIe représentant Saint Eloi, une Vierge à l’enfant en chêne du XIXe, et une Sainte Marguerite du XVIe en calcaire.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Montceaux les Vaudes : Sainte Syre est une remarquable petite église reconstruite au XIXe siècle. Elle a été rebâtie sur les bases de l'ancien édifice qui était probablement la chapelle de l'ancien château (1398), dont il reste l'ancienne motte féodale encore entourée de ses douves. L'église est encore entourée de son cimetière et de quelques sépultures anciennes. Vous remarquerez lors de votre visite sa proximité avec le nouveau château du XIXe siècle de style Tudor dont les propriétaires ont pris en charge, à l'époque, la reconstruction du gros oeuvre mais aussi la décoration intérieure de l'édifice. Les œuvres remarquables et particularités de l'église : L'église présente un ensemble harmonieux de peintures murales, vitraux et statuaire "dans son jus" de style XIXe siècle. Mais aussi des statues du XVIème, des vitraux de belle facture. L'unique élément classé est un lutrin de 1528 comportant les armes et la statue du donateur, le curé Huyard.
Découvrez les églises de l’Aube. Pour permettre à chacun de découvrir le patrimoine du territoire, l’association « Un Jour, Une Église » propose de vous ouvrir les portes des églises le temps d’une visite commentée par un bénévole (M. Francis Boivin). La première église dédiée à Sainte-Savine fut édifiée au VIIe siècle sur le lieu de sépulture de Savine, jeune chrétienne morte en 288 lorsqu’elle apprit le martyre de son frère Savinien, évangélisateur des Tricasses. L’église actuelle a été construite au début du XVIe siècle, et est très homogène. Le portail ouest est un peu plus récent, il a été réalisé en 1611 par les frères Baudrot. L'église comporte une nef et deux bas-côtés longs de trois travées, bordée de chapelles latérales, tant au nord qu'au sud. Les deux dernières travées constituent un transept double non saillant. L'abside est à trois pans. Le tout est entièrement voûté d'ogives. Le clocher s’élève au-dessus de la croisée du transept. Les vitraux anciens qui subsistent, souvent seulement en partie haute des baies, datent essentiellement du début du XVIe siècle . et du début du XVIIe pour deux baies sud. Pour cette dernière époque, on dispose dans les archives de la paroisse de marchés passés avec des peintres verriers comme Toussaint Rudiger (ou Audiger), en 1603, pour avoir " parfait " toutes les verrières de l’église, avec Linard Gontier de 1620 à 1628 en tant que restaurateur, puis, en 1635, avec Etienne Clément et Etienne Jubrien pour " relever " onze panneaux . enfin, en 1639, avec le fils ou neveu de Linard Gontier, Jean Gontier, pour des réparations.Les sujets traités par les vitraux du XVIe siècle sont très variés. On y trouve par exemple les Litanies de la Vierge, associées, dans une verrière composite, à des scènes mariales, à une grande Crucifixion et à des figures de saints. Dans d’autres panneaux, les scènes de la vie de saint Eloi, du martyre de saint Hippolyte, les verrières de la Passion et de la Résurrection proviennent de cartons probablement plus anciens largement répandus dans la région. Enfin, la quatrième chapelle nord possède une verrière consacrée à la Vie de sainte Savine. Un fragment présentant une Trinité en grisaille daté de 1611 compose l’un des ajours du tympan d’une verrière réalisée en 1885 par Hugot.Vers la fin du XIXe siècle, le décor vitré est largement complété. Déjà par les peintres-verriers troyens Vincent-Larcher (baies du sanctuaire : légendes de sainte Savine et de saint Savinien, 1868-1870) et surtout par Hugot, qui intervient entre 1877 et 1885, et à qui l'on doit notamment dans les chapelles sud, l'Incrédulité de saint Thomas, le Repas à Emmaüs, la Transfiguration, la Vie de Joseph et Marie et la Vie du Christ . et dans les chapelles nord les Vies de saint Loup, de sainte Marie-Madeleine, de saint Mammès, de Notre-Dame de la Salette et des figures de saints. La baie 19 (légende de Savinien) est due au maître-verrier parisien Claudius Lavergne qui la réalisa en 1888. Simultanément, ces ateliers ont restauré les vitraux anciens. L’atelier Vinum a remis en état puis reposé l’ensemble des vitraux entre 1948 et 1955. Depuis, certaines baies ont une nouvelle fois été restaurées. Eglise et vitraux sont classés monuments historiques (au titre immeuble) depuis le 4 janvier 1921. Charpente, toiture, maçonnerie…, durant trois ans, la Ville va engager d’importants travaux de rénovation de l’église, avec le soutien de l’État, de la Région Grand Est et du Département de l’Aube.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel. Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des XVIè et XIXè. >> A propos de l'église de Bouilly : L’église Saint-Laurent, édifiée au XVIe siècle, a régulièrement été restaurée. Classée monument historique en 1909, elle a été construite en deux temps : sa nef, son transept occidental et son porche datent de la campagne de 1520 à 1540, alors que son transept oriental, son abside et son chœur datent de celle de 1540 à 1560. Elle dispose d’un double transept, c’est-à-dire que deux vaisseaux viennent traverser la nef, qui se trouve être particulièrement en vogue dans l’aube au XVIe siècle. Elle abrite un riche mobilier pour beaucoup classé monument historique depuis la fin du XIXe et le début du XXe siècle. Par exemple, un retable en chêne représentant la vie de Saint-Nicolas du XVIe et assemblé au XIXe, le maître-autel en calcaire où la profusion des détails rime avec la qualité d’exécution et de composition de l’ensemble datant du XVIe, ou encore une Sainte Marguerite sculptée toute en finesse en calcaire et polychromée. Cette dernière a été présentée à l’exposition « Le Beau XVIe : chefs-d’œuvre de la sculpture en Champagne », qui s’est déroulée en 2009 à l’église Saint-Jean-au-marché de Troyes.