Un parcours orignal dans le cœur historique de Troyes, à la découverte des
spécificités du patrimoine troyen, des anecdotes amusantes ou étonnantes et de
sa petite histoire...
Réservation conseillée (nombre de places limité)
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Un jour, Une église : Troyes – Notre Dame des Trévois
06juli
-07september
83 Boulevard Jules Guesde, 10000 Troyes, Frankrijk
Beschrijving
Découvrez les églises de l’Aube. Pour permettre à chacun de découvrir le patrimoine du territoire, l’association « Un Jour, Une Église » propose de vous ouvrir les portes des églises le temps d’une visite commentée par un bénévole.
Notre Dame des Trévois est une église moderne de brique et de pierre, inscrite au cœur du quartier ouvrier des Trévois, bâtie de 1931 à 1934 par l’architecte Paul Bellot (1876-1944). Large nef. Riches décors intérieurs. Beau mobilier composé de mosaïques, d’autels et de statues (Vierge de la façade, Christ en Croix).
Info & Reservering
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Voorgestelde evenementen
Un parcours orignal dans le cœur historique de Troyes, à la découverte des
spécificités du patrimoine troyen, des anecdotes amusantes ou étonnantes et de
sa petite histoire...
Réservation conseillée (nombre de places limité)
Les médiateurs culturels des musées proposent aux enfants de 4 à 6 ans, une
visite ludique sous forme d'histoires et comptines.
Thème : Voyage en Polynésie, l’œuvre d’Henri Matisse
Sur réservation.
Découvrez les églises de l’Aube. Pour permettre à chacun de découvrir le
patrimoine du territoire, l’association « Un Jour, Une Église » propose de vous
ouvrir les portes des églises le temps d’une visite commentée par un bénévole
(M. Francis Boivin).
La première église dédiée à Sainte-Savine fut édifiée au VIIe siècle sur le lieu
de sépulture de Savine, jeune chrétienne morte en 288 lorsqu’elle apprit le
martyre de son frère Savinien, évangélisateur des Tricasses.
L’église actuelle a été construite au début du XVIe siècle, et est très
homogène. Le portail ouest est un peu plus récent, il a été réalisé en 1611 par
les frères Baudrot. L'église comporte une nef et deux bas-côtés longs de trois
travées, bordée de chapelles latérales, tant au nord qu'au sud. Les deux
dernières travées constituent un transept double non saillant. L'abside est à
trois pans. Le tout est entièrement voûté d'ogives. Le clocher s’élève au-dessus
de la croisée du transept. Les vitraux anciens qui subsistent, souvent seulement
en partie haute des baies, datent essentiellement du début du XVIe siècle . et
du début du XVIIe pour deux baies sud. Pour cette dernière époque, on dispose
dans les archives de la paroisse de marchés passés avec des peintres verriers
comme Toussaint Rudiger (ou Audiger), en 1603, pour avoir " parfait " toutes les
verrières de l’église, avec Linard Gontier de 1620 à 1628 en tant que
restaurateur, puis, en 1635, avec Etienne Clément et Etienne Jubrien pour "
relever " onze panneaux . enfin, en 1639, avec le fils ou neveu de Linard
Gontier, Jean Gontier, pour des réparations.Les sujets traités par les vitraux
du XVIe siècle sont très variés. On y trouve par exemple les Litanies de la
Vierge, associées, dans une verrière composite, à des scènes mariales, à une
grande Crucifixion et à des figures de saints. Dans d’autres panneaux, les
scènes de la vie de saint Eloi, du martyre de saint Hippolyte, les verrières de
la Passion et de la Résurrection proviennent de cartons probablement plus
anciens largement répandus dans la région. Enfin, la quatrième chapelle nord
possède une verrière consacrée à la Vie de sainte Savine. Un fragment présentant
une Trinité en grisaille daté de 1611 compose l’un des ajours du tympan d’une
verrière réalisée en 1885 par Hugot.Vers la fin du XIXe siècle, le décor vitré
est largement complété. Déjà par les peintres-verriers troyens Vincent-Larcher
(baies du sanctuaire : légendes de sainte Savine et de saint Savinien,
1868-1870) et surtout par Hugot, qui intervient entre 1877 et 1885, et à qui
l'on doit notamment dans les chapelles sud, l'Incrédulité de saint Thomas, le
Repas à Emmaüs, la Transfiguration, la Vie de Joseph et Marie et la Vie du
Christ . et dans les chapelles nord les Vies de saint Loup, de sainte
Marie-Madeleine, de saint Mammès, de Notre-Dame de la Salette et des figures de
saints. La baie 19 (légende de Savinien) est due au maître-verrier parisien
Claudius Lavergne qui la réalisa en 1888. Simultanément, ces ateliers ont
restauré les vitraux anciens. L’atelier Vinum a remis en état puis reposé
l’ensemble des vitraux entre 1948 et 1955. Depuis, certaines baies ont une
nouvelle fois été restaurées. Eglise et vitraux sont classés monuments
historiques (au titre immeuble) depuis le 4 janvier 1921.
Charpente, toiture, maçonnerie…, durant trois ans, la Ville va engager
d’importants travaux de rénovation de l’église, avec le soutien de l’État, de la
Région Grand Est et du Département de l’Aube.
Venez marcher sur les traces de nos libérateurs lors de cette visite guidée
inédite qui vous mènera sur les lieux emblématiques de la libération de Troyes
contre l’occupant allemand qui s’est déroulée les 25 et 26 août 1944.
Cette visite faite par un passionné, spécialisé sur cette bataille et sur
l'armée américaine, vous expliquera les combats qui se sont déroulés dans la
ville avec des anecdotes et des photos d'époque.
Venez découvrir cette bataille qui est entrée dans l'Histoire et qui restera un
haut fait d'arme pour l'armée américaine !
Visite gratuite - Sur réservation
Nombre de places limité (20 personnes maximum)
Découvrez 9 siècles d’histoire du vitrail, depuis le Moyen-âge jusqu’à nos
jours, qui font de Troyes la capitale européenne du vitrail.
Des éclatantes verrières colorées de l'église Ste Madeleine aux délicates
grisailles de l'église St Pantaléon, vous allez en prendre plein les yeux !
Découvrez Troyes sous une toute autre lumière ! A la lueur des étoiles… et des
éclairages urbains ! La nuit tombée, le cœur historique arbore une beauté
magique et magnifiée par les habillages de lumière.
Un parcours à emprunter absolument pour découvrir des lieux magiques habilement
éclairés, comme notamment les places de l’Hôtel de Ville, Jean Jaurès et de la
Libération, et les quais de Seine remarquablement réhabilités.
Informations supplémentaires :
Réservation et paiement obligatoires avant départ de la visite auprès de
l'accueil de Troyes La Champagne Tourisme pendant les heures d'ouverture.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel.
Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de
faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses
vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des
XVIè et XIXè.
>> A propos de l'église de Creney :
L’église Saint-Aventin de Creney-près-Troyes existe au moins depuis le XIIe
siècle.
L’édifice actuel a été construit d’est en ouest au XVIe siècle et seules les
parties basses de la tour remontent au XIIIe. Le portail sud de style
Renaissance est daté de 1557 et serait peut-être l’œuvre des maîtres maçons
Jademet et J. Thiedot en raison de sa proximité stylistique avec l’ancienne
porte occidentale de Saint-Parres-aux-Tertres qui porte leur signature. Le
porche a été refait en 1847-1848. L’édifice est une église-halle à trois
vaisseaux de cinq travées voûtée d'ogives terminée par une abside à trois pans.
Le chœur liturgique empiète sur les deux dernières travées du vaisseau central
et le clocher est implanté sur la troisième travée de ce même vaisseau. Les
collatéraux sont couverts de toitures perpendiculaires à l’axe de l’édifice. La
façade occidentale est marquée par la présence d’un portail donnant accès à un
vestibule d’entrée. Un important ensemble de vitraux a été réalisé vers
1510-1520 lors des travaux de reconstruction. De nombreuses inscriptions
permettent de les dater et de connaître leurs commanditaires, des personnalités
locales. Les vitraux s’inspirent, entre autres modèles, de ceux de l’église de
la Madeleine de Troyes et s’apparentent donc à "l’école troyenne". Les
verrières, restaurées en 1894 par Gaudin, ont été déposées en 1939 puis à
nouveau restaurées en 1957-1958 par Max Ingrand. Sont présentées à la fois des
grandes scènes s’étendant sur plusieurs panneaux, comme l’Adoration des Mages
réalisée en 1520 pour François Hennequin et Louise Molé et des figures de saints
parrainant les donateurs, comme les saints Henri, Barbe, Catherine et Marguerite
avec Henry de Foissy et Marguerite de Chamrémy. Cette dernière verrière comporte
aussi des scènes de la Passion du Christ. La Crucifixion a été exécutée en 1520
pour le curé Nicolas Godet. Dans la verrière offerte par François Hennequin et
Louise Molé, les scènes de la Circoncision du Christ et de l’Adoration des mages
se déroulent dans des intérieurs architecturaux de style Renaissance. Enfin, les
panneaux donnés par Jehan Gubelin et sa femme, dans le premier quart du XVIe
siècle, sont consacrés à la Vierge avec les scènes de l’Annonciation, de la
Dormition et du Couronnement de Marie. L’église a été classée monument
historique en 1907 et les vitraux au titre objet le 9 août 1894.
Ouvrons nos églises est un concept, créé il y a plus de 10 ans par José Cotel.
Des bénévoles locaux ouvrent et font visiter leur église gratuitement afin de
faire découvrir le patrimoine rural si riche dans notre région, tant par ses
vitraux du XIIème au XXIème siècle, que par ses nombreuses statues notamment des
XVIè et XIXè.
>> A propos de l'église de Sainte-Maure :
L’église Sainte-Maure, de la commune du même nom, portait le vocable de
Saint-Barthélemy jusqu’à ce que le pèlerinage à sainte Maure (sainte qui vécut
au IXe siècle) prit une certaine ampleur.
Bâti d’ouest en est, l’édifice a été érigé en deux campagnes. La massive
tour-clocher de façade est probablement l’élément le plus ancien, de peu
antérieur aux quatre travées de la nef avec bas-côtés, qui datent du XVe siècle
ou du début du XVIe siècle. L'ensemble est couvert d'ogives. Les parties
orientales, chœur et transept halle de trois travées couvert de voûtes à
cantons, liernes et tiercerons plus élevées que celles de la nef, se terminent
par une abside à trois pans . elles ont été terminées en 1546. Les verrières les
plus anciennes (1er quart du XVIe siècle) se situent dans le bas-côté nord de la
nef et sont contemporaines de sa construction ou de peu postérieures. Les
panneaux anciens occupent les tympans et les têtes de lancettes. Ils ont été
largement complétés à la fin du XIXe siècle, notamment par des rondels figurés
peints par le collectionneur H. de Faucigny, prince de Lucinge, offerts par sa
famille en 1899.Ces panneaux sont trop fragmentaires pour qu'une logique
d'ensemble puisse être trouvée à leur iconographie.
On y trouve de nombreuses représentations d’écus armoriés, comme ceux d’Odard
Hennequin, évêque de Troyes, ou de Nicolas Bizet de Troyes, seigneur de Charley.
On y voit également un abbé (saint Léon) tenant la palme du martyr, une
Assomption, le martyre de saint Sébastien et un Christ en croix. Dans le
transept se trouve un second groupe de vitraux anciens. Le peintre verrier
troyen Linard Gonthier a travaillé à Sainte-Maure, mais on ignore sur quelles
baies. On lui attribue par tradition la réalisation (vers 1600) des verrières
des Jugements de Salomon (baie 6) et de l’Arbre de Jessé (baie 8). Cette
dernière, datée 1603, a probablement été offerte par Jean Thévignon, abbé de
Sainte-Maure, commandeur de Saint-Antoine et aumônier du roi. Ces deux verrières
ont été très restaurées à la fin du XIXe siècle, et il ne subsiste plus que la
lancette centrale de l'Arbre de Jessé. Des vitraux antérieurs à quelques années
près ont été rassemblés dans une grande verrière composite (baie 7) montrant
notamment des donateurs présentés par leurs saints patrons. A la fin du XIXe
siècle ont été ajoutées dans le chœur les verrières du Calvaire et de sainte
Maure (1888), et de saint Barthélemy, respectivement par Chabrin (ou Chabin ?)
et Virot, et les Litanies de la Vierge. Enfin, en 1985, Sylvie Gaudin, également
chargée de restaurations, crée les deux verrières décoratives entourant la baie
d’axe de l’abside.Les verrières sont restaurées et complétées à la fin du 19e
siècle. Elles sont restaurées à nouveau en 1916. En 1972, les vitraux du bras
nord du transept sont réparés par l’atelier Vinum. Plusieurs verrières sont
remises en état entre 1981 et 1985 par Michel Mauret, d’Heiltz-le-Maurupt
(Marne).
Eglise et vitraux sont classés monuments historiques (au titre immeuble) en date
du 20 avril 1931.
Visite flash d'une heure de la Maison Rachi.
La Maison Rachi vous invite à un incroyable voyage dans le temps dans un
bâtiment hors du commun de 2000m² récemment restauré, dont l’apogée se situe
dans l’oratoire et le bet hamidrash (salle d’étude) reconstitués, qui vous
plongeront dans le Troyes médiéval de Rachi !
Vous découvrirez également les cours et salles restaurées, la splendide verrière
de la synagogue et différentes salles d’exposition pour une approche
scénographique novatrice de l’œuvre et de l’histoire de Rachi.
Informations supplémentaires :
Merci de vous présenter 10 mn avant le début de la visite, avec une pièce
d’identité et sans sac volumineux.