11ème édition !
Une soixantaine d'artisans / artistes présenteront leurs créations A l'Ombre des
Peupliers de l'aire de loisirs de Compolibat (12) : potiers, créateurs textile,
photographes, plasticiens, ...
Dans ce cadre bucolique, au bord de l'Aveyron, cette journée pleine de
découvertes sera ponctuée d'animations musicales et artistiques.
Un coin des saveurs ravira les papilles des gourmands !
Tous les ingrédients pour une magnifique journée, A l'ombre des Peupliers !
Site web : https://www.facebook.com/alombredespeupliers/
4ème Fête de la Céramique
Beschrijving
Le jeudi 25 juillet au coeur d'Embrun, au pied du lac de Serre-Pon?on, venez découvrir 30 potiers qui vous feront partager leurs passions. Grès, porcelaines, faïences, raku, bijoux, sculptures.
Des démonstrations de tournage et de cuisson Raku ainsi qu'un atelier enfants vous seront proposés gratuitement de 10 h à 12 h et de 15 h à 17 h
Notre marché oeuvre pour la solidarité dans notre grande famille des potiers et le stand bols solidaires attend votre soutien.
Site web : https://www.terresdeprovence.org/embrun
Datum informatie
Jeudi 25 juillet 2024
09h00 • 19h00
Tickets
Info:
Gratuit
1 foto
Voorgestelde evenementen
Du 19 au 30 Juillet, Asso Quartier Libre vous propose l'expo à vivre et voir, à
la Maison Passère . Lieu magique et dynamique dont les programmations restent
une référence. Jubilatoire !
Réunion de 5 artistes travaillant conjointement sous le signe de la
bienveillance et de la bonne humeur. La ligne directrice permet aux 5 de mêler
influences , techniques et sensibilités pour enrichir la création.
Les matières , les couleurs , les formats , les techniques se heurtent et se
complètent pour produire une palette large et lumineuse où chacun trouvera une
fenêtre sur son ressenti.
Parce que Le partage est dans l'ADN du collectif , Quartier Libre invite
Claudine Borsotti ,sculpteure .Ses créations surgissent de l'intime, prennent
corps par leurs contrastes graphiques, leurs teintes saturées ou lumineuses. Le
végétal et l'humain sont indissociables dans les sculptures de Claudine Borsotti
Parce que libre est l'expression , Quartier libre proposera des instants
musicaux où seront largement associés les artistes locaux, avec quelques belles
surprises.
Expo à vivre . En soutien à AFM TELETHON.
Site web : https://www.assoquartierlibre.org
Cette journée, organisée par l'association Ciel et Terre, offre au public de
Forcalquier, une découverte de la richesse de la céramique d'aujourd'hui.
24 potiers et céramistes exposent leur production de terre vernissée, grès,
porcelaine, terre enfumée, faïence... Au travers de pièces utilitaires mais
également de sculpture, de bijoux, de pièces artistiques.
Vous profiterez aussi d'une démonstration de jarre à la corde et d'un atelier de
modelage détonnant pour petits et grands.
Site web :
https://www.terresdeprovence.org/marches-potiers/marche-potier-forcalquier.php
Découvrez une mode en pleine (r)évolution !
22 artistes investissent La Palud sur Verdon pour la 4émé édition de Primus
Tempus, expositions d'art contemporain.
Au château, 18 plasticiens nous proposent leur interprétation unique de la
Grâce, thème du Printemps des poètes 2024. Cette diversité d'approches met en
lumière « la qualité naturelle de toute chose qui, par sa beauté intime, sa
délicatesse, sa spontanéité, sa finesse, sa légèreté, ou par la fusion
harmonieuse de toutes ses qualités, impressionne agréablement les sens et
l'esprit. »
L'église, quant à elle, devient le terrain de création pour 6 artistes qui y
déploient un projet collectif. Cette rencontre particulière et sensible entre
les artistes et le lieu aspire à toucher à l'état de grâce, défini comme « un
état d'équilibre, de paix intérieure et une relation agréable et constructive
avec son environnement. »
Sur la place de l'église et dans les rues du village, plusieurs sculpteurs
tissent un lien gracieux entre nos deux lieux de patrimoine et d'art, le château
et l'église.
Enfin, les visiteurs de l'Hotel des Gorges du Verdon retrouveront plusieurs
sculpteurs Primus Tempus sur leur lieux de villégiature dominant le village.
Vernissage : samedi 15 juin, 11h.
Site web : https://start06.com
Tout au long de la saison estivale, le château médiéval de Simiane la Rotonde
accueille des expositions d'art contemporain. Profitez d'une visite au château
pour venir les découvrir !
L'exposition "Paysage sans bornes" du peintre Jean Pierre Dupont est présentée
en partenariat avec la Maison de Brian, galerie d'art contemporain qui fête ses
20 ans cette année, située dans le vieux village de Simiane la Rotonde.
Composé pour la Rotonde de Simiane, ce paysage sans bornes doit être regardé
comme un seul panoramique, sans commencement ni fin, allant de la nuit au jour
et du jour à la nuit, du printemps à l'hiver et au printemps, de la roche au
plus ténu de l'air qui à son tour se fond en montagne. Le?on de regard sur les
variables du ciel et les états passagers de la Terre...
Site web : https://www.simiane-la-rotonde.fr/
Infos réservation :
contact@simiane-la-rotonde.fr04 92 73 11 34
Le Magasin, Centre national d'art contemporain et la bibliothèque municipale de
Grenoble s'associent pour présenter l'exposition «Étoiles ou Tempêtes» de Benoît
Piéron, du 28 juin au 20 octobre 2024.
L'exposition rassemble pour la première fois une sélection importante d'oeuvres
retra?ant le parcours de l'artiste ainsi que des oeuvres produites spécialement
pour l'occasion. Son titre se présente comme un clin d'oeil de l'artiste à
Gaston Rebuffat, célèbre alpiniste des années 1950, qui a su transmettre dans
ses livres son amour de la montagne et partager avec ses lecteurs les sensations
d'altitude, de lumière, et les histoires humaines sous-jacentes aux performances
des corps. Pour Benoît Piéron, ces ascensions sont menées à l'horizontal, par
l'imaginaire et sans muscles saillants, dans la blancheur clinique des draps de
lits dont les plis peuvent se muer tout autant en crevasses qu'en sommets.
Ainsi, avec cette exposition, le Magasin CNAC se transforme en bibliothèque
temporaire et devient, selon les mots de l'artiste, un véritable «syndicat
d'initiative pour voyageurs immobiles».
Site web : http://magasin-cnac.org/
Lieu de RDV : A l'entrée du musée, niveau -2 par les grands escaliers de la
partie moderne du musée.
Heure de RDV : 10h45
Qu’ont en commun Henri Matisse et Joan Miró ? Si la recherche de l’harmonie «
décorative » qui caractérise l’œuvre de Matisse semble à première vue très
éloignée de l’inquiétante étrangeté du surréaliste Joan Miró, leurs conceptions
de l’art et de la création entretiennent pourtant des rapports profonds, que le
musée Matisse de Nice propose de révéler, sans pour autant masquer toutes les
différences qui les séparent. Le parcours de l’exposition met notamment l’accent
sur les regards croisés que les deux artistes ont porté sur leurs œuvres
respectives, puisant une réflexion et inspiration nouvelle l’un chez l’autre.
Car, en effet, il ne faut pas oublier que Matisse et Miró se sont reconnus et
admirés mutuellement...
STÉPHANE BOLONGARO ? TOTOR "
Connaissez-vous Totor ?
Le chien sculpté dans un bloc de polystyrène par Stéphane Bolongaro ?
De Miami en passant par Nice, Monaco, Totor sera à Levens, un privilège !
Du lundi au samedi de 9h00 à 13h00 et de 14h00 à 17h00
Entrée libre
Site web :
https://levens.fr/tout-savoir-sur-la-commune-de-levens-levenstourisme/decouvrir-circuit-fleche-de-levens-tourismelevens/la-galerie-du-portal/
Infos réservation :
09 62 66 85 84
Après avoir montré le travail de Marine Wallon dans des expositions de groupe en
2020 et en 2021, la galerie Catherine Issert consacre pour la première fois à
l'artiste une exposition personnelle du 29 juin au 31 août 2024.
Ses peintures, empreintes de références au cinéma et qui oscillent entre
paysages et compositions abstraites, sont au coeur de cette présentation
inédite, en parallèle à son travail sur papier, autre facette de sa vigueur
picturale. D'une figuration de moments suspendus à un déferlement de matière,
d'un arrêt sur image à un déchaînement gestuel, c'est un univers à la fois
concret et imaginaire qui s'offre au spectateur.
« Si Marine Wallon appartient sans conteste à la nouvelle scène figurative
fran?aise, elle sait s'aventurer du côté d'une abstraction affirmée, et évoluer
sur des lignes de crête. Sa peinture - son médium favori depuis le mitan des
années 2010 - donne à voir l'instant capturé, suspendu, et, dans le même temps,
le mouvement, le foisonnement vibrant des éléments ; elle déploie des horizons
lointains et exotiques aux titres évocateurs autant qu'elle impose la frontalité
intransigeante d'une matière picturale brute. Et c'est en cette tension
incomparablement maîtrisée que le spectateur est ravi, son regard livré à la
peinture même, tandis que l'imaginaire le plus libre s'abandonne à la narration
trouble de scènes énigmatiques.
Ce jeu entre fixité et mouvement trouve quelques clés d'explication dans les
nourritures esthétiques de Marine Wallon. Elle qui regarde passionnément la
peinture, de Delacroix à Joan Mitchell en passant par Milton Avery ou Van Gogh,
reste obsédée par l'image en mouvement. Sa méthode même raconte cette
dialectique : elle navigue dans un flux d'images de paysages glanées sur
internet - sites d'archives, films documentaires, amateurs ou publicitaires - à
la recherche d'un « choc visuel ». Après la capture d'écran, la saturation sur
Photoshop et quelques croquis, vient la mise en danger de la peinture : munie de
pinceaux, de brosses, de tissus plongés dans l'huile et jetés sur la toile ou
simplement de ses doigts, elle livre une pensée sauvage pour donner vie à des
paysages-matières où l'ambigu règne en maître : on ne sait trop si ses
silhouettes incertaines, de simples « punctums » servant à la circulation du
regard, évoluent dans des décors vraisemblables ou s'ils se trouvent nez à nez
avec des signes picturaux. Ce sens aigu de l'indistinct, de l'étrangeté, de
l'imminence, naît à l'intersection d'une histoire du paysage - la mer et la
montagne, effrayantes mais attrayantes, ne sont pas sans rappeler la tradition
du sublime romantique - et de références au cinéma, cinéma expérimental,
d'auteur ou hollywoodien, celui de John Ford, d'Akira Kurosawa, de Jean-Daniel
Pollet ou de Rose Lowder.
Marine Wallon opère donc une audacieuse alchimie : l'image animée se trouve
fixée, pour finalement redevenir foisonnement ; l'image numérique éthérée
devient picturalité concrète ; l'image par essence reproductible s'incarne dans
l'aura d'une peinture ; l'image triviale, jetable, devient poétique, unique. La
magie a lieu dans une sorte de danse ou de transe : si la genèse du travail
vient de l'oeil parcourant l'écran, la suite du processus créatif est des plus
physiques. Entre le monde du tout-image qui est désormais le nôtre et celui des
premiers âges de l'humanité, Marine Wallon cherche un geste primitif, aussi
simple parfois que la main trempée dans la peinture et posée sur la toile,
réitération d'un geste artistique originel évoquant sa pratique première de
l'argile. À l'aide de ses spalters et pinceaux, elle libère, en une touche âpre
et texturée, des arabesques, des étirements de peinture, de véritables rideaux
de matière qui balaient, souvent en diagonale, la surface de la toile. Elle
cherche la perturbation, l'excès, la perte des repères, à la lisière du
dissonant ; depuis plusieurs années, Marine Wallon a banni toute idée de
perspective. Ses peintures, désertiques, rocailleuses, enneigées, sont des
scènes vides et pourtant saturées, où le moment de suspens cinématographique
saisi en plongée ou en contre-plongée rencontre des temps géologiques
immémoriaux. Repères de temps et d'espace se trouvent ainsi abolis, les échelles
nous échappent et le vertige nous guette. La manière qu'a Marine Wallon
d'habiter le médium se transmet vite au spectateur : quels qu'en soient le
format et la technique - huiles sur toile, travaux sur papier exécutés à
l'aquarelle, à la gouache ou au crayon, gravures -, on sent, face à ses oeuvres,
le froid des montagnes, le sel des embruns, la morsure du soleil, le souffle du
vent. Ses pièces, toutes à la fois figuratives, atmosphériques, lyriques,
dessinent ensemble, une fois leur accrochage orchestré, le storyboard d'un film
que l'on peut sans cesse recomposer. »
Elsa Hougue