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TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H

AGORIA

Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90, il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain.

Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… « personne ne danse ». Étudiant en cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour pouvoir mixer à cette soirée : « Je me suis demandé un petit moment si j’avais fait le bon choix ».

C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. « Ces années de radio m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ». La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est née ainsi.

Si Agoria produit des disques dès 1999, « La Onzieme Marche », sortie la première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch « qui, dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk » marque une étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira ses deux premiers albums, « Blossom » en 2003 avec un featuring de Tricky, puis « The Green Armchair » en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle des pionniers de Detroit, mais « twistée » par une drôle de pulsation contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop.

Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec l’album « Impermanence » en 2011 et plus encore avec « Drift », sorti en collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, « Drift » confirme le talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture électronique. « Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma liberté musicale, rester un électron libre. » Une ligne de conduite qu’il applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée « Drift » comme son dernier disque.

S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits Sonores dont il est « l’ange gardien » selon l’équipe du festival, son désir « de tenter sans cesse des aventures nouvelles », va l’amener à créer deux des plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006 avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis 2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de « talk », écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains.

En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par la puissance de « Code 1026 », le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film « Go Fast », commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande originale de « Lucky », la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de « Dikkenek ». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux documentaires de Jan Kounen, « Mère Océan » et « Vape Wave ». Une collaboration fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série « The Show ».

La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années, ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres.
Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces, jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques Villeglé, figure essentielle du « Nouveau Réalisme » des années 60, ont été saluées par le célèbre magasine Américains « Interior Design » comme l’un des points forts de l’édition 2019.
Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album « pratiquement terminé ».

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Voorgestelde evenementen

JOHAN DUPONT vous donne rendez-vous le 25 avril pour le 2e Piano Bar de l’OM ! L’OM Resto vous concocte un buffet du tonnerre qui ravira vos papilles dès 18h avant de pousser la chansonnette dés 20h 🎶 Formule Buffet + Piano Bar : 32€ Entrée seule : 5€ À vos réservations !
TICKETS DISPONIBLES LUNDI 19 FÉVRIER À 11H YANSO X BOUBZ Boub’z a vécu des épreuves marquantes avant se de lancer corps et âme dans le monde du rap. En passant par la fuite de la guerre civile au Rwanda et l’emprisonnement en Belgique, c’est à travers la musique qu’il exprime aujourd’hui sa vision du monde. De son côté, Yanso, originaire de Bruxelles, agit comme porte parole de certains quartiers et exprime son amour de sa ville à travers ses textes. Forts de leurs précédents projets accompagnés de grands noms de la scène rap francophone comme ZKR, ElGrandeToto ou encore Frenetik, les deux rappeurs décident aujourd’hui d’unir leurs univers et leurs identités pour créer «Fantômes», un projet de 8 titres disponible depuis le 19 janvier 2024 sur toutes les plateformes.
Hubs & Flak s’associent pour accueillir Limsa d’Aulnay & Absolem au Reflektor le 27 avril, l’occasion de découvrir en live le nouveau projet d’Absolem, « Les yeux grands fermés ». Vous pourrez aussi découvrir en avant-première la Flak Absolem, une bière brassée en collaboration avec Absolem, FlakBeer & la Brasserie C Le projet « Hubs » est organisé par La Centrale Son depuis 2021. Au cours d’une série d’ateliers, des artistes émergents issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles collaborent, dans un esprit d’apprentissage et de création collectifs, avec l’aide d’artistes confirmés. LIMSA D'AULNAY Véritable enfant d’Aulnay-sous-Bois (93) Salim Ghebache aka Limsa d’Aulnay fait ses premiers pas dans le rap à 16 ans se faisant un petit nom dans son quartier (Cité Emmaus) et dans sa ville. Il rencontre son futur grand ami Georgio en 2010 qui l’invitera sur le légendaire Grünt #11 et lui présentera la 75e Session. 7 ans et 31 Grünt plus tard, il revient en 2020 avec sa Grünt #42 avant de sortir Logique 1 et Logique 2 la même année. Fort du succès d’estime des deux premiers volets, il sort LOGIQUE 3 en 2022 pour clôturer la TRILOGIQUE. Savant mélange de technique de second degré et de textes très personnels, il annonce la sortie d’un album commun avec ISHA “Bitume Caviar” le 1er décembre 2023. ABSOLEM Rappeur bruxellois d’origine liégeoise, fait partie de cette nouvelle génération de la scène belge à la technique maitrisée et au charisme assuré. Très tôt, il est repéré pour son amour de la rime percutante, sa voix grave et ses flows efficaces sur une multitude de freestyles plébiscités, avant de développer ses atouts sur 4 premiers projets. A l’aise sur scène comme en studio, il enflamme son public à chaque passage et sait comment faire de chaque concert un moment unique. Absolem viendra présenter son nouveau projet « Les yeux grands fermés », qui sortira le 29 mars 2024. * https://www.facebook.com/absolemMC * https://www.instagram.com/absolem__hs/ * https://www.youtube.com/results?search_query=absolem TUSSY Rappeur membre du collectif O’B League. En constante recherche de la meilleure version de lui-même, sa zone de confort est un endroit qu’il n’a plus l’habitude de fréquenter. L’artiste belge propose des morceaux originaux aux sonorités modernes et variées. Sa musique est comparable à sa personnalité : une force tranquille en quête d’aventure. * https://www.facebook.com/tussy.original * https://www.instagram.com/tussy.original/ * https://www.youtube.com/@tussy.original US THE MOB * https://www.instagram.com/usthemob/
Trois femmes, trois musiciennes, trois belges, unies par leur passion commune pour la musique de chambre. Elles se sont rencontrées lors de leurs études à l’Institut Royal Supérieur de Musique et de Pédagogie (IMEP) à Namur. Dans nos rêves comme dans ceux des grands compositeurs francophones, tout est possible. On peut être transporté vers le pays des Mille et Une Nuits comme se retrouver dans la Grèce antique au temple d’Adonis. On peut y écouter le chant paisible des bergers mais la chanson la plus charmante est celle des amours. Par ces différentes mélodies françaises, nous vous proposons un cheminement au cœur de ces passions. À travers la musique, une rencontre se fait, mais l’amour naissant n’est pas toujours rempli de joie… On y connaît, à travers les saisons, des peines et des pleurs, même si, entre deux baisers, tout chagrin est oublié.  
Blue Steam c’est d’abord la réunion d’élèves de l’Ecole du Blues-sphere, devenus amis sur scène et bien décidés à montrer leurs capacités artistiques. C’est aussi des femmes et des hommes, de tous âges, séduits par cette musique des âmes que transporte le blues depuis un siècle et demi. Leur joie de partager des moments intenses ne manquera pas de vous réjouir également. Ils se succéderont en petits combos sur la scène du Blues-sphere. Chant : Caroline Danloy, Cigdem Yonder, Hélène Gloesener, Paola Cannella, Pascale Fichers, Alan Kabangu, Chant et harmonica : Christiane Schyns Chant et guitare : Maurice Chefneux Chant et guitare : Samy Kouki Guitare : Clément Baghi, Luc Doms, Christopher Corin Basse : Françoise Ketser, Philippe Franssen Batterie : Francesca Pagano, Marcello Grella Paf 9€
Peppe Voltarelli est un chanteur, auteur-compositeur, acteur et écrivain calabrais. Actif depuis 1990 en tant que fondateur, voix et leader de “Il Parto delle Nuvole Pesanti”, un groupe culte du nouveau folk italien. En tant que soliste, il a sorti sept albums, quatre bandes originales et deux albums live. Il a remporté trois fois le Targa Tenco, avec « Ultima notte a Malá Strana » en 2010 comme meilleur album en dialecte, avec « Voltarelli canta Profazio » en 2016 et avec « Planetario » en 2021, tous les deux comme meilleur album d’interprète. Il a été l’acteur principal et co-auteur du film “La vera leggenda di Tony Vilar” de Giuseppe Gagliardi, le premier mocumentary italien. Il a collaboré avec Claudio Lolli, Teresa De Sio, Sergio Cammariere, Otello Profazio, Roy Paci, Carmen Consoli, Bandabardò et Amy Denio. Une intense activité de concert l’a toujours amené à jouer dans 23 pays à travers le monde et ses albums ont été publiés en Europe, en Argentine, au Canada et aux États-Unis. La dernière œuvre, l’album “La grande corsa verso Lupionòpolis”, a été enregistrée à New York et publiée par Visage Music en 2023.www.peppevoltarelli.euRéservation :
TICKETS DISPONIBLES LE 21 FÉVRIER À 11H DOUBLE AFFICHE EXCEPTIONNELLE POUR LE REFLEKTOR MR GISCARD Il s’appelle monsieur Giscard. Il n’a jamais été centriste, ni président, et sûrement n’a développé aucun tropisme pour les diamants. Mais comme son prénom est Valery, il fut un temps où lorsque ses interlocuteurs lui demandaient la nature d’un tel prénom masculin, le jeune homme avait pour habitude de répondre : « Valery ? Comme le président ». Du coup c’était presque devenu naturellement un nom composé et c’est ainsi resté. Gonflé, c’est aussi une manière de s’attribuer une carte d’identité qui atteste d’une volonté de mettre de la distance et du décalage en toute chose. Monsieur Giscard, contrairement à son illustre roi républicain, a de quoi tenir ses promesses avec ce premier programme musical de cinq titres qui pourrait bien provoquer une révolution de velours dans le monde de la chanson française. L’art du décalage est partout chez ce jeune homme de 28 ans, ultra séduisant par sa nonchalance masculine et sa candeur virile. JOANNA Depuis la sortie en 2018 de son premier morceau “Séduction”, Joanna s’est affirmée comme une voix à la fois puissante et éthérée de la nouvelle scène pop française. Autodidacte et touche-à-tout, l’artiste, originaire de Rennes, s’est depuis fait remarquer grâce à Vénus, un premier EP entre mythologie, féminisme et R’n’B, et Sérotonine, un premier album narratif qui emmenait ses auditeurs et auditrices dans toutes les étapes d’une relation amoureuse, du premier regard à la déchirure, ainsi qu’à la renaissance. Aujourd’hui, elle revient avec WHERE IS THE LIGHT ?, un deuxième album au récit plus autobiographique. Plus intime et ancré, il marque un changement musical dans le parcours de Joanna. De l’ombre à la lumière C’est au cœur d’une dépression que WHERE IS THE LIGHT ? voit le jour. Il faut garder cette information en tête à l’écoute de cet opus, baigné dans une atmosphère singulière qui opère comme un remède nécessaire pour apaiser nos maux. WHERE IS THE LIGHT ? est imaginé comme un diptyque entre les ténèbres et la splendeur. Ou plutôt, comme un chemin, qui part des Enfers (citées dans “FIGHTING”, morceau d’empowerment par excellence), pour finir au-dessus des étoiles. Tout au long du disque, les morceaux les plus aériens, quasiment conçus comme des berceuses (comme “RÊVERIE” dont le piano, couplée au chant mystique de Joanna, ont un effet réparateur) laissent place à des chansons d’une intensité haletante, à l’image de “MÉTA DEUIL” et sa production hyperpop qui nous attrape et ne nous lâche pas. Entre l’acoustique et l’électronique, WHERE IS THE LIGHT ne choisit pas. Ou plutôt, il choisit les deux, et apprend à les fondre ensemble, dans des suites d’accords tantôt vaporeux, tantôt acérés. Au piano succèdent les violons, puis les rythmiques rock et même techno, en passant par les synthétiseurs vintage choisis pour l’enregistrement de l’album. Rien n’a été laissé au hasard, jusqu’au moindre glitch : « Les rythmiques choisies sont puissantes, c’est pourquoi nous avons mixé beaucoup de batteries acoustiques avec des sonorités très électroniques, pour donner rendre les émotions physiques » déclare Joanna à propos des choix de production. Rester authentique À la première écoute, difficile d’ignorer que WHERE IS THE LIGHT ? transpire d’honnêteté. Là où Sérotonine imaginait le récit chronologique d’une histoire d’amour fictive, WHERE IS THE LIGHT ? est une œuvre complètement autobiographique, née du regard que l’artiste a osé poser sur elle-même, au cœur d’une période trouble. En partant de l’intime, Joanna raconte l’universel. L’histoire d’une reconstruction, ses hauts et ses bas, qui paraissent parfois insurmontables : « Je me suis retrouvée face à moi-même, et j’ai dû sortir de l’ombre pour rester en vie. C’est ce que raconte l’album : comment retrouver la lumière par soi-même ». Pour ce faire, elle est pour la première fois dans son parcours, pleinement impliquée dans la composition et la production des titres. Après des années passées à observer les autres, à y toucher, un peu, de loin, Joanna s’est engouffrée dans les affres de la création musicale, afin de pouvoir prendre toutes les décisions par elle-même. En résulte 14 morceaux aux productions électroniques et acoustiques, parfois ultra-présentes et impérieuses, comme sur “L’ORAGE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI FORT”, mais aux mélodies qui savent aussi se faire plus discrètes pour laisser la voix se déployer. C’est notamment le cas du morceau “CE N’EST PAS SI GRAVE”, qui affirme le statut de vocaliste de Joanna, tout en exorcisant ses traumatismes. WHERE IS THE LIGHT ? est un parcours semé d’embûches, emblème de la résilience, du lâcher prise et de l’acceptation. Il marque ainsi la renaissance d’une artiste qui a su regarder au plus profond d’elle-même pour faire naître une œuvre pleines de nuances, à écouter jusqu’à l’extase.
11 ans après leur dernière scène en Belgique, le groupe iconique La Rumeur est de retour en Belgique pour un concert exceptionnel à Bruxelles ! Depuis le 1er Volet (1997) jusqu’à leur dernier album Comment rester propre ? (2023), La Rumeur a toujours pris à contre-pied les schémas habituels dictés par l’industrie du disque. Leur discographie s’articule sur la base d’un triptyque et cinq albums, le tout articulé de plusieurs petites tournées. Rendez-vous le 26 avril à BXL Central [Chez Pias] avec le groupe qui entamera la deuxième partie de leur tournée. La première partie du concert sera assurée par Melfiano qui sort son nouveau projet Black Album, ainsi que nos DJ locaux Mr. Rens et Nuts.