Sentiments et Tourments, qui saurait mieux les évoquer que Henry Purcell ?
Passions et Tempêtes, qui saurait mieux les décrire que William Shakespeare ?
Ces deux artistes ont mis leur génie au service du peuple et c’est dans leurs
mondes, singuliers et foisonnants, que nous invitons acteurs et musiciens à
égayer le public d’aujourd’hui. Armés de leur polyvalence et de leur adresse, à
la lueur de quelques bougies, ils font revivre cet univers terriblement baroque.
Nous sommes à Londres à la fin du XVIIe siècle, entre chien et loup, il pleut
derrière la fenêtre, les cartes sont distribuées sur la table. En compagnie de
Frances Purcell, la veuve du musicien, et de l’éditeur Henry Playford, nous
feuilletons le recueil posthume du maître, l’Orpheus britannicus, véritable «
bible » des meilleurs moments de toute sa brillante production.
Spirits Songs pour certains, Music for a while pour d’autres, c'est tour à tour
la folie de Beth, la rencontre exotique d’une reine indienne, ou le picaresque
Don Quichotte que nous redécouvrons. Et sautillant de scène en scène, entre
dangereuses séductions et hardies plaisanteries, c’est tout le théâtre de
Shakespeare qui s’invite à la fête.
Échafaudé autour de grandes pages musicales écrites « pour passer le temps »
(pièces de symphonie, masques et canons, airs à chanter ou à boire, monologues
et scènes de tragédie), la soirée bouscule et bascule, entre concert mis en
scène et théâtre élisabéthain mis en musique. Il s’agit bien d’un cabaret avec
en contrepoint l’apparition de personnages épiques, tous sortis d’un songe...
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Sentiments et Tourments, qui saurait mieux les évoquer que Henry Purcell ?
Passions et Tempêtes, qui saurait mieux les décrire que William Shakespeare ?
Ces deux artistes ont mis leur génie au service du peuple et c’est dans leurs
mondes, singuliers et foisonnants, que nous invitons acteurs et musiciens à
égayer le public d’aujourd’hui. Armés de leur polyvalence et de leur adresse, à
la lueur de quelques bougies, ils font revivre cet univers terriblement baroque.
Nous sommes à Londres à la fin du XVIIe siècle, entre chien et loup, il pleut
derrière la fenêtre, les cartes sont distribuées sur la table. En compagnie de
Frances Purcell, la veuve du musicien, et de l’éditeur Henry Playford, nous
feuilletons le recueil posthume du maître, l’Orpheus britannicus, véritable «
bible » des meilleurs moments de toute sa brillante production.
Spirits Songs pour certains, Music for a while pour d’autres, c'est tour à tour
la folie de Beth, la rencontre exotique d’une reine indienne, ou le picaresque
Don Quichotte que nous redécouvrons. Et sautillant de scène en scène, entre
dangereuses séductions et hardies plaisanteries, c’est tout le théâtre de
Shakespeare qui s’invite à la fête.
Échafaudé autour de grandes pages musicales écrites « pour passer le temps »
(pièces de symphonie, masques et canons, airs à chanter ou à boire, monologues
et scènes de tragédie), la soirée bouscule et bascule, entre concert mis en
scène et théâtre élisabéthain mis en musique. Il s’agit bien d’un cabaret avec
en contrepoint l’apparition de personnages épiques, tous sortis d’un songe…
Les Quatre Saisons de Vivaldi sont les concertos pour violon les plus célèbres
de l’histoire de la musique. L’abondance des contrastes en fait une œuvre qui
répond parfaitement aux critères de la musique baroque.
Mais ce qui intrigue davantage le public du XVIIIe siècle, ce sont les
mimétismes, très présents dans les Quatre Saisons. À travers les quatre
concertos, on croit entendre le son des oiseaux, l’orage qui gronde, la pluie,
le vent ou encore la lourdeur d’un été chaud.
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