"Oublier" de Marie Laberge

Description

Du mercredi 27 mars au dimanche 21 avril 2024

« OUBLIER » de Marie Laberge
Adaptation : Jacques De Decker
Quatre sœurs reviennent dans la maison maternelle par un soir de tempête de neige. Elles ne se sont pas vues depuis des années. Leur mère est arrivée au stade critique de la maladie d'Alzheimer. Les vieux griefs ressurgissent et la mémoire n'est pas toujours douce. Une pièce boulversante !

Avec : Stéphanie Moriau, Bernadette Mouzon, Loriane Klupsch, Simon Willame, … Mise en scène : Michel de Warzée
Décor : Serge Daems

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1/Travail sur un plateau cinéma avec ses contraintes et ses applications en conditions réelles de tournage : La différence entre jouer au théâtre et pour la caméra. Même si chaque ciné́aste a son approche personnelle, ils s’accordent tous sur plusieurs points, comme pour dire qu’il y a « direction » en l’absence des acteurs à la table de montage. 2/Approche pratique en tant qu’acteur. Où, comment inventer un jeu ? 3/Le scénario, comment le lire; le séquencer, trouver les informations nécessaires pour construire mon personnage. Lecture du scénario et méthodes pour la mémoire 4/Construire la Back-Story du personnage. Où va, vient et où le personnage Exercices de préparation et les répétitions. Être apte aux répétitions et améliorer le personnage Connaître la caméra et la magie des lumières. Jouer un plan séquence en action sur le plateau. Tous les exercices seront filmés et analysés et certains montés. Ce stage va vous donner une infinité d’outils pour construire et jouer les situations dramatiques écrites par les scénaristes, car les situations dans lesquelles évoluent vos personnages Les stagiaires recevront divers texte avant le stage. On finira le jeudi après-midi et le vendredi par un tournage d’un court métrage. Possibilité de restauration sur place. Il y a une cuisine.
"LE THEATRE : C'EST CHIANT" C'est la première réponse que l'on obtient quand on en parle avec des potes. On va au théâtre par obligation, pour les cours... Le festival de la Nouvelle Senne s'est mis au défi de vous faire découvrir un théâtre différent, créé par et pour des jeunes ; un théâtre qui bouge, qui nous touche, qui nous parle. A la Nouvelle Senne, on va voir un spectacle comme on va voir un match de foot. Avec le soutien de la COCOF.
Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau. Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être.
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi, nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace. Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À travers l'espace occupé par la voix et les chants. Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique, l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de traces, de rêves et de violence.
"La Vie trépidante de Brigitte Tornade" Camille Kohler dresse un constat réaliste et humoristique sur la difficulté de jongler entre plusieurs rôles au quotidien. Submergée, survoltée, déjantée : voici Brigitte Tornade, pas tout à fait 40 ans, mère de quatre enfants, et au bord de la crise de nerfs. Sa vie ? Un marathon incessant. Elle slalome entre ambitions professionnelles, crises de couple et coups d’État permanents des enfants ! La folie ordinaire d’une « vraie » vie de famille moderne, qui nous tend un miroir réaliste et terriblement drôle de nos paradoxes et de nos petits travers. Critique de la société, caricature des mœurs contemporaines, analyse psychologique du fonctionnement du couple parental, cette pièce résolument actuelle, très dans l’air du temps, est tout à la fois fraîche et engagée. Y sont représentés, dans un style impertinent et caustique, les grands dysfonctionnements dont l’ère post #MeToo a pris possession ces dernières années : la discrimination positive, la place de la femme au travail, les questionnements liés à la maternité, au partage des tâches, à la fameuse charge mentale…
Qu'entendons-nous par démocratie ? Quel est l'attrait des régimes autoritaires ? La violence peut-elle parfois être légitime ? Le metteur en scène Piet Arfeuille réunit différentes générations et les fait réfléchir à haute voix ; il brosse un tableau d'époque des années 1970 qui, en même temps, donne l'impression d'être tout à fait actuel. À notre époque, la radicalité semble être à la mode… Mais le vrai dialogue est peut-être celui qui, au lieu d’apporter des réponses, pose des questions et ouvre la réflexion. Une histoire sur le droit ou le devoir de faire comprendre son point de vue, les boussoles morales et la façon dont elles perdent parfois le nord, les brocolis, les sonneries de téléphone et l'alcool en abondance. *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982) : cinéaste pionnier dont les films commentent les divisions de la société allemande. Il a réalisé 42 films en 14 ans. Il doit son décès prématuré à une vie amoureuse intense, beaucoup d'alcool et de drogue.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon.La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur.Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes.Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… »__________De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon. La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur. Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes. Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… » __________ De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
********** English ********** What makes up a democracy? What is so attractive about authoritarian regimes? Can violence sometimes be legitimate? Director Piet Arfeuille brings together various generations and makes them think out loud; he creates a seventies imagery that simultaneously feels modern and current.  Being radical is cool … or so it seems in these times. But maybe the real dialogue is one that doesn’t deliver answers, but that asks questions and opens up our thinking. A story about the right or the duty to clarify your point of view, about moral compasses and how they sometimes lose their way, about broccoli, phone ringing and plenty of alcohol. *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982): ground-breaking filmmaker who used his films to address the divisions in German society. Created 42 films in a span of 14 years. An intense love life fuelled by alcohol and drugs resulted in an untimely death. ********** Français ********** Qu'entendons-nous par démocratie ? Quel est l'attrait des régimes autoritaires ? La violence peut-elle parfois être légitime ?   Le metteur en scène Piet Arfeuille réunit différentes générations et les fait réfléchir à haute voix ; il brosse un tableau d'époque des années 1970 qui, en même temps, donne l'impression d'être tout à fait actuel.  À notre époque, la radicalité semble être à la mode… Mais le vrai dialogue est peut-être celui qui, au lieu d’apporter des réponses, pose des questions et ouvre la réflexion.  Une histoire sur le droit ou le devoir de faire comprendre son point de vue, les boussoles morales et la façon dont elles perdent parfois le nord, les brocolis, les sonneries de téléphone et l'alcool en abondance. *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982) : cinéaste pionnier dont les films commentent les divisions de la société allemande. Il a réalisé 42 films en 14 ans. Il doit son décès prématuré à une vie amoureuse intense, beaucoup d'alcool et de drogue. ********** Nederlands ********** Wat verstaan we onder democratie? Wat is de aantrekkingskracht van autoritaire regimes? Kan geweld soms legitiem zijn?  Regisseur Piet Arfeuille plaatst verschillende generaties bij elkaar en laat ze luidop denken; hij schetst een tijdsbeeld uit de jaren '70 dat tegelijkertijd aanvoelt als vandaag.  Radicaal zijn is cool…. zo lijkt het wel in deze tijd. Maar misschien is de echte dialoog er wel één die geen antwoorden geeft, maar juist vragen stelt en het denken opentrekt. Een verhaal over het recht of de plicht je standpunt duidelijk te maken, over morele kompassen en hoe die soms het noorden kwijtraken, over broccoli, telefoongerinkel en veel alcohol.  *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982): baanbrekend cineast die met zijn films de verdeeldheid van de Duitse samenleving becommentarieerde. Maakte 42 films op 14 jaar tijd. Een heftig amoureus leven met veel drank en drugs bezorgden hem een vroegtijdige dood.
Rien n’est ce qu’il paraît, dans le vieux manoir anglais de Bly. La nouvelle gouvernante reçoit une consigne importante : ne jamais laisser les enfants seuls ! Elle comprend bien vite pourquoi, après avoir fait la rencontre effrayante des fantômes de la précédente gouvernante et d’un certain Peter Quint. Tandis que protéger les enfants devient de plus en plus difficile, des questions inquiétantes s'accumulent : quelles horreurs se sont-elles produites précédemment ? Les enfants sont-ils vraiment innocents ? Ce que vous voyez est-il bien réel ?Sur la base d’une intrigante ghost story de Henry James, Benjamin Britten a composé, avec The Turn of the Screw, un thriller psychologique sous forme d’opéra de chambre. La metteure en scène Andrea Breth préserve le mystère et fait de House Bly un labyrinthe où les personnages ne sont pas les seuls à s’égarer. Avec l’aide du chef d’orchestre Antonio Méndez, elle desserre complètement les vis de votre imagination... Vous avez moins de 30 ans ? Assistez à cet opéra lors de la soirée « Young Opera » (10.5.2024) et profitez d’une réception gratuite ainsi que d’une introduction exclusive.