Battle Breakdance Rock the Block

Description

Entrez dans le cercle !

Participez à la Jam de Breaking de la Mons Street Party ! Vous dansez librement dans les cyphers, et les six danseur·ses invité·es sélectionneront ceux·elles qu’ils et elles veulent affronter sur scène.
 
Avec OverFlow
 
Sélections en accès libre : 14h30 → 16h
Phases finales : 16h30 → 17h30

Sam 27.04 – dès 14h30
Maison Folie Gratuit   Dans le cadre de la Mons Street Party, organisée les mercredi 24 et samedi 27 avril à la Maison Folie et au Théâtre le Manège.  

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Événements suggérés

Étoile du Kuchipudi, danse sacrée de l'Inde, Shantala Shivalingappa émerveille par sa force, sa grâce et sa précision. Aurélien Bory a composé pour et avec elle un solo-portrait sur mesure habité par Shiva, dieu créateur et destructeur du Panthéon hindou, dont la danse maintient l'univers en mouvement. La cendre qui couvre son corps dans les représentations inonde ici la scène, où Shantala lui rend hommage avant de se confondre avec lui. Comme un arc tendu entre ciel et terre, porté par les percussions de Loïc Schild, le corps pourtant frêle et gracieux de la danseuse incarne toute la puissance cosmique. Un solo hypnotique et envoûtant, librement inspiré par une gestuelle ancestrale, où tout disparaît et renaît dans un cycle sublime et parfait.
L'exposition Visites guidées de l'exposition permanente dans la pénombre a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Venez découvrir l'exposition permanente du musée dans une ambiance tamisée, propice à la contemplation et à la découverte des oeuvres. Plongez dans une atmosphère unique et laissez-vous guider à travers les différentes salles pour une expérience artistique inédite. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
YES, WE DANCE propose des soirées safes où chacun.e peut venir danser de façon libre et décomplexée. Si toi aussi tu aimes bouger ton corps et partager ton énergie avec celle des autres sur la piste de danse, rejoins-nous !  Pas besoin de savoir suivre le rythme ou de connaitre de chorégraphie quelconque. Nous offrons des espaces safe où chacun.e est invité.e à explorer sa danse et ses mouvements de façon totalement libre et décomplexée, le tout sans consommation d’alcool ou de drogues.  Certaines de nos soirées se font en mixité, d’autres sont réservées aux personnes s’identifiant en tant que femme.
nspirée par la figure de Shiva, dieu de la danse aux mille noms, créateur et destructeur, Shantala Shivalingappa dessine l'espace avec une grâce magnétique et fulgurante. aSH clôt une trilogie de portraits de femmes initiée par le metteur en scène Aurélien Bory. Si la cendre est associée à la destruction, c'est aussi un excellent fertilisant : dans le symbole de mort réside la potentialité de vie. En Inde, la cendre est l'un des attributs de Shiva, seigneur aussi des lieux et des crémations. Jouant avec les formes et les matières, Shantala Shivalingappa sublime somptueusement l'ombre sur un sol recouvert de cendres : elle danse, entre traditions indiennes et occidentales, jusqu'à se faire déesse, jusqu'à faire danser l'espace. Site web : https://www.lephenix.fr/projects/ash-23-24/
Rencontre entre la musique baroque et des artistes phares des cultures urbaines, FugaCités crée un cocktail détonant avec le champion du monde de beatbox Tiko, le fameux slameur Mehdi Krüger et le danseur hip-hop Jérôme Oussou chorégraphié par l'incontournable Mourad Merzouki Imaginé par Franck-Emmanuel Comte et scénographié par la metteuse en scène Bérénice Collet, FugaCités met en regard trois variations poétiques et interdisciplinaires aux multiples inspirations, dans un dialogue créatif entre les instrumentistes du Concert de l'Hostel Dieu et des étoiles phares des cultures urbaines. Éclairé par Pauline Vauchez et accompagné par le contrepoint vidéo de Christophe Waksman, ce spectacle met en lumière trois métissages artistiques dans lesquels les mélodies baroques se jouent des siècles qui les séparent. Site web : https://www.lephenix.fr/projects/fugacites-23-24/
********** Français ********** Dans FeL, la chorégraphe Karolien Verlinden explore les spectres de couleurs de la lumière et joue sur les formes et les perceptions visuelles générées par ses rayonnements. Sur scène, les deux danseuses révèlent une œuvre d'art lumineuse kaléidoscopique.   Karolien Verlinden aime observer les gestes du quotidien et déceler le subtil qui s’en dégage : comment les gens marchent, comment iels s'assoient sur un banc, ce que leur langage corporel révèle, etc. L'idée sous-jacente étant qu'au-delà de la réalité et de sa normalité, il existe toujours un trésor de mondes imaginatifs non découverts.Avec FeL, la chorégraphe explore la qualité physique de la lumière. La lumière est allumée ou éteinte, c’est blanc ou noir… quoique… n’y a-t-il pas un monde infini entre  « allumé » et  « éteint » ?Un voyage du noir absolu au blanc fluorescent, en passant par des angles crochus, des cercles tournants, des figures oscillantes et toute une gamme de couleurs. Car il y a toujours de la lumière — parfois à peine visible, parfois aveuglante, parfois unificatrice. ********** Nederlands ********** Karolien Verlinden observeert graag alledaagse bewegingen en toont het subtiele dat er uit voortkomt: hoe mensen lopen, hoe ze op een bankje zitten, wat hun lichaamstaal onthult, enzovoort. De achterliggende gedachte is dat er voorbij de realiteit en haar normaliteit altijd een schat aan onontdekte fantasiewerelden ligt.Met FeL onderzoekt de choreograaf de fysieke kwaliteit van licht. Licht is aan of uit, het is wit of zwart... hoewel... is er niet een oneindige wereld tussen 'aan' en 'uit'?Een reis van pikzwart naar fel wit, via kromme hoeken, draaiende cirkels, oscillerende figuren en een heel scala aan kleuren. Want er is altijd licht - soms nauwelijks zichtbaar, soms verblindend, soms verbindend.
Geek Corner with our beloved Level Up Academy @LevelUpAcademyBxl https://www.instagram.com/level_up_bruxelles Food by [info soon...] Feel FREE to bring your own picnic! REUSABLE packaging please Flash Tattoos by mr.ink7 https://www.instagram.com/mr.ink7 Visual art by Lara Van den Bosch https://www.instagram.com/lara.vandenbosch Special lovely GREEN Visitors Stream PIKNIK ELEKTRONIK RECORDS releases. https://audius.co/piknikelektronik https://open.spotify.com/playlist/4bzN833Czfy0wksBB36ih1 https://soundcloud.com/piknikelektronikbrussels New Tweaken release on May 1st! https://app.piknikelektronik.com https://rumi.zkft.be http://zkft.be THANK YOU ! @RegionBruxelloise.BrusselsGewest https://be.brussels/en Image de Bruxelles @visitbrussels https://www.visit.brussels @BXLvilledebruxelles https://www.bruxelles.be
********** Français ********** Carcaça nous emporte dans un tourbillon de virtuosité chorégraphique. Dans cette pièce de groupe à l’énergie intense, dix interprètes puisent dans un vaste répertoire, bondissant entre danses de club et excursions vers des pas traditionnels. Au rythme de ces variations de styles, le mouvement se décline au pluriel et l’on observe de fortes singularités faire communauté. Le chorégraphe portugais interroge ici ce qui fait tradition dans le mouvement comme dans l’histoire politique : comment travailler avec des héritages multiples, comment en est-on infusé·e·s au présent ? Tout en engagement physique, Carcaça prend l’allure d’une course, qui s’incarne dans des gestes empruntés tant à la sphère voguing, qu’au kuduro angolais, au pantsula sud-africain ou à la danse classique, le tout accompagné d’une création sonore modulée live. Le défilé frénétique auquel Marco da Silva Ferreira nous convie s’appuie sur la mémoire corporelle de chaque interprète, pour former à partir de cette multitude d’influences dansées un maillage complexe aux couleurs fluo. Dans ce concentré d’histoires traversées à vive allure, les corps sont expressifs, vibrants. Carcaça interroge ce qui irrigue un collectif et ce qui fait tissage, mélange, à la lumière d’une composition habile. ********** Nederlands ********** Voor de Portugees Marco da Silva Ferreira, voormalig topsporter, is dans een instrument. De CARCASS-gemeenschap, met haar verschillende genres, fysionomieën en leeftijden, bouwt een collectieve identiteit op zonder dat de individuele identiteit daarom verdwijnt. Herinnering en heden, verzet en feest, folklore en creatie komen met elkaar in botsing om het lichaam van vandaag, bij uitstek stedelijk, halsstarrig verbonden met de elementen, in vraag te stellen en te vieren. ********** English ********** For Marco da Silva Ferreira from Portugal, who before being a dancer competed in sport at a high level, dance is a tool. Consisting of different genders, faces and ages, the community in CARCASS forms a collective identity without diluting anything about the ten individuals in it. Memory and the present, rebellion and celebration, folklore and creation collide, questioning and celebrating the contemporary body that is resolutely urban, but has a stubborn connection with the elements.
********** Français ********** Le collectif Play Label inaugure la saison des open-airs avec son rendez-vous annuel sur la Place Poelaert. Près de 3000 personnes seront réunies le samedi 04 mai pour célébrer la culture festive et la scène électronique locale grâce à un line-up 100% bruxellois. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les amoureux de dance music. ********** Nederlands ********** Het collectief Play Label opent het seizoen van de openluchtfeesten met zijn jaarlijkse bijeenkomst op het Poelaertplein. Bijna 3000 mensen zullen op zaterdag 4 mei samenkomen om de feestcultuur en de lokale elektronische muziekscene te vieren met een line-up die volledig Brussels is. Een evenement dat dance muziekliefhebbers niet mogen missen. ********** English ********** The collective Play Label kicks off the open-air season with its annual rendezvous at Place Poelaert. Nearly 3000 people will gather on Saturday, May 4th to celebrate the festive culture and local electronic scene with a 100% Brussels-based lineup. An event not to be missed for dance music lovers.
********** English ********** Maryse Condé wrote Tituba a fictional childhood, adolescence and death in her award-winning book I, Tituba, whereupon philosopher Elsa Dorlin wrote an essay on Tituba in Moi, toi, nous ... Tituba of de ontologie van het spoor. When Dorothée Munyaneza was introduced to Elsa and her work, there was little hesitance: she knew she wanted to create something around the figure of Tituba. In this new solo, a dialogue with musician Khyam Allami, Dorothée Munyaneza tries to breathe new life into the lives and dreams of Tituba. The men and women whose identities and existences were denied and squashed by slave trade and colonial regimes. Through words. Through the body. Through the space the voice takes up, and through song. Dorothée visualises a physical archive capable of gathering memories and honouring them. A living, sensitive, physical and bodily archive, where experiences are gathered. A solo conceived as a cross-pollination, a hybrid space. African, but also American, European, Caribbean, ... A space full of traces, dreams, and violence. ********** Français ********** Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi, nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace. Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À travers l'espace occupé par la voix et les chants. Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique, l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de traces, de rêves et de violence. ********** Nederlands ********** Maryse Condé schreef Tituba in haar prijswinnende boek I, Tituba een fictieve kindertijd, adolescentie en levenseinde toe. Waarop filosofe Elsa Dorlin een beschouwing op Tituba schreef in Moi, toi, nous ... Tituba of de ontologie van het spoor. Toen Dorothée Munyaneza kennis maakte met Elsa en haar werk, was er niet lang twijfel: ze wilden iets creëren rond Tituba. In deze nieuwe solo, in dialoog met muzikant Khyam Allami, tracht Dorothée Munyaneza de levens en dromen van Tituba nieuw leven in te blazen. De mannen en vrouwen wiens identiteit en bestaan ontkend en verpletterd werden door de slavenhandel en het koloniale regime. Via woorden. Via het lichaam. Via de ruimte die de stem inneemt en via liederen. Dorothée verbeeldt een lichaamsarchief dat in staat is herinneringen te verzamelen en in ere te houden. Een levend, gevoelig, fysiek en lichamelijk archief, waarin ervaringen verzameld liggen. Een solo opgevat als een kruisbestuiving, een hybride ruimte. Nu eens Afrikaans, dan weer Amerikaans, Europees, Caraïbisch, ... Een ruimte vol sporen, dromen en geweld.