Cirque au balcon | Soif Totale

Description

Afin d’y parvenir, il vous faudra de préférence, une meute de onze circassien·nes ne parlant pas la même langue, un système audio XLR 2.0 muni de son musicien incluant sa guitare et sa voix hispannique, un pull jaune dôté de ses sangles et de son mât chinois, le tout soupoudré d’un éclat jonglistique.

Pour commencer, la ponctualité est votre pire ennemi, calez vos fuseaux horaires sur ceux de Soif Totale.
Une écoute désastreuse est recommandée afin de jouir d’une situation particulièrement incontrôlable.

Ajoutez à cela un zeste de bonne humeur et de détermination, ainsi qu’un folklore aux personnalités multiples qui vous en fera voir de toutes les couleurs. Faites tout de même attention à ne dévaloriser ni offusquer aucun de ces individus. Certes, la division existe mais l’unité l’emporte.

Perdez-vous entre blagues acrobatiques, une préparation sempiternelle, un catwalk mouvementé, de la jonglerie volante, une bande son singulière et bien d’autres enfantillages. Malgré tout, gardez en tête que l’objectif est de commencer le spectacle !

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Carré de je est un hymne à la complicité, à l‘union fraternelle. Dans un espace simple et brut, se retrouvent deux frères. Seuls ou à l’unisson, ils développent un langage acrobatique en se confrontant l‘un à l‘autre pour mieux témoigner de leur lien. Dans un univers visuel et graphique plein d‘imaginaire, confusion et connexion s‘entrecroisent jusqu‘à semer le trouble et bousculer nos repères. Mélange des corps, acrobaties en boucles, on ne discerne plus celui qui mène la danse et celui qui suit, celui qui porte, celui qui vole dans les airs… Avec eux, équilibres, main à main et jeux icariens font résonner engagement et affrontement autant qu’étreinte et complicité pour mieux explorer, non sans humour, les arcanes de leur dualité. La lumière s’en mêle, le tapis glisse…
Une invitation pour un fantastique voyage à la découverte des arts du cirque traditionnel. Spectacle sous chapiteau, déambulations clownesques et animations diverses. Événement organisé en collaboration avec la famille Chabri dans le cadre de la Fête du printemps. Les tickets pour le spectacle sous chapiteau seront disponibles au stand d’Archipel 19, le jour même à partir de 12h.
********** English ********** Can a choreography intertwine different movements, like those of a human body and the flow of goods in a globalised world? Artist Kwame Boafo lives and works in Accra, Ghana, where he plans to open an institute of movement and philosophy. Accra is also the port city through which European end-of-life cars enter the West African market, often after being reconditioned in Brussels. With Threshold, Boafo creates a beautiful solo using visually refined images and movements relating to car fragments to unfold a poetic dialogue between choreography and commercial history. He collaborated with artist Percy Nii Nortey, known to use found objects and materials from mechanical workshops in Ghana to tell the stories collected by these end-of-life cars. For this performance, he created a curtain out of Ghanaian fabrics used to clean the vehicles that arrive from Brussels. Now, presented in the monumental atrium of the Arts et Métiers building – located in the canal area from which cars usually depart – Threshold appears as a visceral composition, dancing in the unexpressed spaces between our presence, environmental degradation and consumerism. In this performance, we suddenly feel the human and non-human movements in our global economy. ********** Français ********** Une chorégraphie peut-elle entrelacer différentes échelles de mouvement, comme celles du corps humain et celles des flux de marchandises d’un monde globalisé ? Kwame Boafo vit à Accra, au Ghana, où il travaille à l’ouverture d’un institut de mouvement et philosophie. Accra est aussi la ville portuaire par laquelle les vieilles voitures européennes – souvent réparées à Bruxelles – arrivent sur le marché ouest-africain. Avec Threshold, Boafo crée un magnifique solo aux images et aux mouvements raffinés évoquant des pièces de voitures, déployant un dialogue poétique entre la chorégraphie et l’histoire commerciale. Pour ce projet, Boafo collabore avec l’artiste Percy Nii Nortey, qui recycle des matériaux provenant d’ateliers mécaniques au Ghana pour mettre en lumière les histoires que racontent ces voitures en fin de vie. Nortey a créé un rideau à partir des tissus ghanéens utilisés pour nettoyer les véhicules venus de Bruxelles. Présenté dans l’atrium monumental des Arts et Métiers – une école technique implantée le long du canal, la zone d’où partent les voitures – Threshold apparaît comme une composition viscérale qui explore par la danse les espaces qui se cachent entre notre présence, la dégradation de l’environnement et le consumérisme. Une performance qui rend soudainement visible les mouvements humains et non-humains de notre économie mondialisée. ********** Nederlands ********** Kan een choreografie de bewegingen van een menselijk lichaam met die van de eindeloze goederenstroom in onze geglobaliseerde wereld laten versmelten? Kunstenaar Kwame Boafo woont en werkt in Accra (Ghana) waar hij een instituut voor beweging en filosofie wil openen. Accra is ook de havenstad waarlangs afgedankte auto's uit Europa de West-Afrikaanse markt binnenkomen, vaak na een opknapbeurt in Brussel. Boafo maakt met Threshold een prachtige solo waarin hij visueel verfijnde beelden en bewegingen die verwijzen naar auto-onderdelen inzet om een poëtische dialoog op gang te brengen tussen choreografie en commerciële geschiedenis. Hij werkt hiervoor samen met kunstenaar Percy Nii Nortey die voorwerpen en materialen uit autowerkplaatsen in Ghana gebruikt om de verhalen van de afgedankte wagens te vertellen. Speciaal voor deze voorstelling maakte hij een gordijn van Ghanese stoffen waarmee de voertuigen worden opgepoetst. Threshold – gepresenteerd in het atrium van het Arts et Métiers gebouw, gelegen in de kanaalzone van waaruit auto’s meestal vertrekken – is een rauwe compositie, op het kruispunt tussen onze aanwezigheid, milieuvervuiling en consumentisme. Een performance die de menselijke en niet-menselijke bewegingen van onze wereldeconomie voelbaar maakt.
Salut à tou·te·s, c’est Apollinaire ! Avant le Festival Interculturel du Conte de Bruxelles, que j'ai l'honneur de créer, je vous invite à découvrir "Welcome Home" au Monde des Histoires. Rejoignez-moi pour une soirée où je partagerai mon expérience de vie entre l'Afrique et la Belgique, entre rires et émotions profondes. Nous explorerons ensemble l'impact de ces deux cultures riches qui ont façonné mon identité. Billets disponibles : Ne manquez pas cette occasion de me soutenir, réservez votre place dès maintenant ici : https://www.mondedeshistoires.be Ce spectacle est parfait pour toutes et tous, celles et ceux qui cherchent à comprendre la richesse de la diversité culturelle. Venez seul·e, en famille ou avec des ami·e·s pour une expérience enrichissante et divertissante. Venez vivre avec moi ce voyage émotionnel où chaque éclat de rire nous rapproche d'un sentiment universel de 'chez nous'
********** Français ********** Queer up, le stand up 100% queer and proud ! Pour l’occasion, Shoot 4 the moon et Les Sous-Entendu·es ont décidé de s’associer pour proposer un stand up filmé en multicam avec la volonté d’en faire une web série. Les artistes que l’on t’a réservé pour cette soirée sont plus drôles que lae plus drôle de tes potes on a nommé : Letizia (avec.un.z), Moana, Nazilta, Taïla, Emilie Croon ! ********** Nederlands ********** Queer up, stand up 100% queer en trots! Voor deze gelegenheid hebben Shoot 4 the moon en Les Sous-Entendu-es de handen ineengeslagen voor een stand-up show gefilmd in multicam met als doel er een webserie van te maken. De artiesten die we deze avond voor je in petto hebben zijn grappiger dan de grappigste van je maten: Letizia (with.a.z), Moana, Nazilta, Taïla en Emilie Croon! ********** English ********** Queer up, stand up 100% queer and proud! To mark the occasion, Shoot 4 the moon and Les Sous-Entendu-es have teamed up to put on a stand-up show filmed in multicam with the aim of turning it into a web series. The performers we've got in store for you this evening are funnier than the funniest of your mates: Letizia (with.un.z), Moana, Nazilta, Taïla and Emilie Croon!
********** English ********** A solo figure stands at the edge of the proscenium stage – the place often used for speeches and stand-up comedy – and silently morphs from one pose to the next, like a body shaped by time. Iconic and mundane images emerge in a dramaturgy that exposes a nuanced embodiment of what it means to sustain a place, a pose, a representation. Maria Hassabi merges the strength and vulnerability one experiences on stage – to be uncovered. She frames her signature style of stillness, slowness and aesthetic precision, and invites her audience to awaken their own references to a parade of images as they unfold. What happens when the process of an image is revealed? In a contemporary culture fiercely flooded by images, does it lose its appeal when compared to our expectations? Hassabi has presented her work in the world’s leading museums and exhibition contexts, and at the festival in 2014 and 2017. On Stage is undoubtedly one of her most radical and personal works, offering a feminist reflection and a piercing insight into her artistic trajectory. Before an audience, Maria Hassabi’s intensity is visible, almost tangible, in a work of rare power that leaves no one indifferent. ********** Français ********** Une personne se tient au bord du proscenium – l’espace de l’avant-scène souvent utilisé pour les discours ou le stand-up – et passe en silence d’une pose à une autre. La bande sonore va et vient, comme si elle suivait les mouvements du vent, ou comme si elle était l’écho de bruits lointains qui refléterait une histoire qui n’a pas encore eu lieu. Subtilement, des références iconiques et des images du quotidien émergent et interrogent ce que signifie occuper un lieu et prendre position. Dans un solo tout en nuance, Maria Hassabi fusionne le pouvoir et la vulnérabilité que l’on peut ressentir lorsqu’on “est” sur scène. Dans son style caractérisé par la lenteur, les silences et la précision esthétique, elle éveille l’imagination du public par un défilé d’images séquentielles. Que se passe-t-il lorsque le processus de création d’une image est exposé ? Dans un monde inondé d’images, ne perdent-elles pas rapidement leur attrait ? Hassabi, qui a présenté son travail dans les plus grands musées du monde et au festival en 2014 et 2017, offre avec On Stage l’une de ses œuvres les plus radicales et personnelles ; une réflexion féministe et un regard approfondi sur sa trajectoire artistique. Une œuvre d’une rare puissance qui rend l’intensité de Hassabi visible, presque tangible, en face-à-face avec le public. ********** Nederlands ********** Een figuur staat aan de rand van het proscenium – het deel van de scène dat vaak gebruikt wordt voor toespraken en stand-up comedy – en transformeert geruisloos van de ene pose in de andere. Geluid komt en gaat en lijkt de echo te zijn van een soundtrack ergens ver weg, van een verhaal dat nog moet plaatsvinden. Iconische en alledaagse beelden duiken op in een dramaturgie die een genuanceerde belichaming voorstelt van wat het betekent om een plaats in te nemen, een houding aan te nemen. Maria Hassabi versmelt de kracht met de kwetsbaarheid van het ‘op scène staan’. Ze doet dit in haar kenmerkende stijl vol stilte, traagheid en esthetische precisie, en wakkert de fantasie van het publiek aan via een parade van opeenvolgende beelden. Wat gebeurt er wanneer de totstandkoming van een beeld wordt blootgelegd? Verliest het niet al snel zijn aantrekkingskracht, in een wereld die overspoeld wordt door beelden? Hassabi presenteerde haar werk in ’s werelds meest toonaangevende musea en op het festival in 2014 en 2017. On Stage is ongetwijfeld één van haar meest radicale en persoonlijke werken, met een feministische boodschap. Een performance die Hassabi’s intensiteit zichtbaar, bijna tastbaar maakt en een fascinerende inkijk geeft in haar artistieke traject.
********** Français ********** Le Centre culturel de Ganshoren La Villa et le Service Prévention de la commune de Ganshoren s’associent pour célébrer le 17 mai, journée internationale de lutte contre l’homophobie, la lesbophobie, la transphobie et la biphobie ! Le 17 mai est la date symbolique choisie pour commémorer la décision de l’OMS de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale (17/05/1990). Depuis, cette journée a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie. La Villa, en collaboration avec le service prévention de la commune de Ganshoren, souhaite également célébrer cette date qui sera sous le signe de la diversité, de l’inclusivité, de la bienveillance, de la rencontre, du partage, de la convivialité… de toutes les couleurs du drapeau LGBTQIA+ 14h – 15h30 : Inauguration du passage piéton Arc-en-ciel (Arrêt de bus SORENSEN) 17h – 19h : Atelier d’écriture slam en non-mixité choisie QUEER à La Villa – Pour les personnes sexisées LGBTQIA+ uniquement. (Avec Agojie (Elle) du collectif Slameke) 20h : Concert Scène ouverte Slam/Open mic ouvert à toustes animé par Slâme dérisoire, notre MC du jour (Elle/Ielle) du collectif Slameke. Un texte dit = Un verre offert ! ********** Nederlands ********** Cultureel Centrum La Villa en de preventiedienst van Ganshoren slaan de handen in elkaar om 17 mei te vieren, de Internationale Dag tegen Homofobie, Lesbofobie, Transfobie en Bifobie! 17 mei is de symbolische datum die werd gekozen om de beslissing van de WHO te herdenken om homoseksualiteit niet langer als een mentale ziekte te beschouwen (17/05/1990). Sindsdien is het doel van deze dag het bevorderen van bewustmakings- en preventie-initiatieven om homofobie, lesbofobie, bifobie en transfobie te bestrijden. De Villa, in samenwerking met de preventiedienst van de gemeente Ganshoren, wil ook deze datum vieren, die in het teken zal staan van diversiteit, inclusiviteit, welwillendheid, ontmoetingen, delen en gezelligheid - in alle kleuren van de LGBTQIA+ vlag. ********** English ********** Workshop Slam & Scène Open/Mic
D’un côté, il y a les archives télévisées conservées par la Sonuma ; de l’autre, il y a Laurence Bibot qui s’en amuse dans des capsules parodiant les archétypes féminins : shampouineuse, directrice d’école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Sœur Sourire ou encore Amélie Nothomb. Le résultat est drôle, absurde et mélancolique. Parce que Laurence pose un regard sur une époque : des langages, des coiffures, des folklores ; mais aussi parce qu’elle éclaire la place de la femme dans les médias et la manière dont nos traditions et notre société ont évolué depuis l’avènement de la télévision. Ce ne sera pas un one-woman-show, ce ne sera pas un documentaire ; ce sera un spectacle-playback, une forme en chair et en son à partager avec le public, en toute confidentialité.
********** English ********** How do we feel the impact of events which are so much larger than us, move through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their voices generate a score that crescendos and resonates as they clutch, careen and cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell their sweat and feel the steam of the spiralling scenes. Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling, adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible physical power of queer bodies. ********** Nederlands ********** Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en bezielen, maar zoveel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden een steeds veranderend tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform. Hun stemmen genereren een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een oppervlak dat te klein is om hen te bevatten en uit zijn voegen dreigt te barsten. De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar verzoend. Het publiek zit rondom rond, als kijkend naar een bokswedstrijd, en kan de performers bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven. De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen, geluiden, geuren, sappen en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal, oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen. ********** Français ********** Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner. Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur et l’ardeur de scènes étourdissantes. La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons, d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance physique des corps queer et à leurs évolutions.