Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie
Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et
l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde
où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour
redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription
au vernissage obligatoire.
Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie
Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des
œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À
travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur
l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue
entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le
vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste.
Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques).
SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le
Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et
l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un
équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus
et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments
d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui
ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre
relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique.
L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie
Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et
l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses
créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à
une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une
exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer
sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle
dans les disciplines créatives.
L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec
la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y
faire un tour ?
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
1924-2024, Les JO et les JOP au musée !
Description
L'exposition 1924-2024, Les JO et les JOP au musée ! a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Boulogne Billancourt 2024.
Venez découvrir l'exposition 1924-2024, Les JO et les JOP au musée où les élèves de 3 classes de l'école primaire du Numérique vous présentent le sport à travers des oeuvres sélectionnées dans nos collections. Vous pourrez admirer des photographies, des médailles et suivre un parcours numérique via un QR code téléchargeable sur votre smartphone.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.boulognebillancourt.com
Par téléphone
- 01 55 18 46 42
Musée
Information sur la date
Samedi 18 mai 2024
19h30
1 Photo
Événements suggérés
Nouvelle exposition gratuite de street art à Fluctuart ! Ce printemps, la
fameuse péniche parisienne convie 13 artistes issus la scène émergente polonaise
du graffiti et du street art pour nous offrir une plongée dans l’histoire de
l'art urbain en Europe de l'Est. C’est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin
2024.
Après avoir consacré des expositions à Seth, Nasty ou encore à Tania Mouraud,
Fluctuart nous emmène en voyage sur les traces de la scène émergente polonaise
du graffiti et du street art. Intitulée « Habitus de l’Est », cette nouvelle
installation gratuite, à voir sur la fameuse péniche parisienne dédiée à l’art
urbain, est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024.
Au total, Fluctuart convie 13 artistes d’Europe de l’Est, parmi lesquels Finer
et son graffiti classique, Sepe et ses œuvres figuratives, Sicoer et son style
faisant honneur à la typographie, Natalia Magalska et ses créations engagées ou
encore Mariusz M-City Waras qui propose pour l’occasion une installation unique
réalisée in situ.
Toutes et tous en profiteront pour dévoiler à Paris leurs œuvres urbaines
inédites. L’occasion pour les amateurs d’art urbain de plonger dans l’histoire
du street art en Pologne et de découvrir toute la diversité et la richesse des
contenus stylistiques et thématiques de ces artistes originaires d’Europe de
l’Est.
Rendez-vous donc à Fluctuart du 16 mai au 30 juin 2024 pour admirer gratuitement
les œuvres proposées lors de cette exposition, véritable vitrine collective de
la création urbaine en Pologne ! Notez qu’un vernissage, ouvert à tous, est
prévu le mercredi 15 mai à partir de 18h.
Tous les enfants les connaissent : ces Drôles de petites bêtes sont les amis des
plus petits depuis près de 30 ans. La galerie Gallimard met Antoon Krings et ses
créations à l'honneur dans une exposition gratuite à voir du 24 mai au 13
juillet 2024.
Mireille l'abeille, Léon le bourdon, Marie la fourmi, Loulou le pou... Tous ces
petits personnages que vous connaissez bien sont à l'honneur à la galerie
Gallimard, du 24 mai au 13 juillet 2024. Dans une exposition gratuite, le lieu
d'art nous incite à replonger en enfance, en donnant la part belle à ces
créatures qui ont enchanté de nombreux enfants.
Après son exposition consacrée à Martine, la galerie Gallimard se tourne vers
d'autres héros de nos jeunes années. La galerie organise ainsi l'exposition Les
drôles de petites bêtes d'Antoon Krings, dans son espace situé dans le 7e
arrondissement de Paris. Le parcours met en lumière ces célèbres personnages qui
sont apparus en 1994 dans les albums illustrés pour enfants, et qui ont pris vie
dans la série animée diffusée en 2001.
L'exposition rassemble 30 ans d'histoires, de personnages, d'imagination à
travers divers dessins et croquis de l'artiste. Les petits visiteurs comme les
grands devraient apprécier ces œuvres qui retracent l'évolution de cette série,
la création de chaque personnage emblématique. C'est l'occasion de redécouvrir
des personnages oubliés, et de mettre en lumière la littérature enfantine, bien
plus complexe qu'il n'y paraît.
Une jolie exposition à voir gratuitement en famille pendant ces beaux jours ! Et
après votre visite, pourquoi ne pas aller dans un parc ou un jardin de la
capitale, pour tenter d'apercevoir de drôles de petites bêtes ?
Le Hangar Y nous entraîne dans le monde du jouet, avec une exposition ultra
ludique à découvrir du 18 mai au 22 septembre 2024.
Voilà une exposition qui devrait réveiller l'enfant qui sommeille en nous. Le
Hangar Y invite toutes les générations à se retrouver dans cet étrange magasin
de jouets, pour une exposition à la fois ludique et pédagogique, à la découverte
des jeux d'hier et d'aujourd'hui, et de leur impact sur la société.
Du 18 mai au 22 septembre 2024, on déambule au Rayon Jouets, l'exposition qui
mêle art contemporain et Histoire, dans une scénographie immersive ultra
ludique.
Le jeu fait partie de la culture : jouets et pratiques ludiques reflètent les
croyances, habitudes et mœurs d'une époque, d'un pays. Le jeu permet également
de tisser des liens, d'apprendre des éléments-clés de la vie en société. Cette
exposition met en lumière ces liens entre l'objet-jouet, et les systèmes sociaux
et culturels qui se cachent derrière.
Pour cela, on peut admirer et interagir avec 50 œuvres d'artistes contemporains,
et plus de 80 jouets anciens, dont certains datent du IIe millénaire avant J-C !
Chariots et hochets, jeu de l'oie, poupées et figurines, trains miniatures,
briques de construction, déguisements : ces jouets évoluent au fil des époques.
Les apprentissages, les normes montrées, les compétences requises ne sont pas
les mêmes : on voit également la place de l'enfant changer et grandir à travers
ces objets qui les symbolisent.
Pour plaire aux plus jeunes (d'esprit ou d'âge), le Hangar Y a souhaité mettre
en place une scénographie aussi ludique que ces œuvres. L'espace d'exposition
est donc transformé en magasin de jouets géant, coloré et interactif : dans les
coffres et les murs se cachent des jouets ou des passages secrets...
Les artistes contemporains participent eux aussi à cet aspect ludique : on
retrouve des peintures, des sculptures, des installations, des vidéos, des jeux
vidéo... Eh oui : certaines œuvres sont interactives et dynamiques, pour donner
au public une expérience plus immersive et insolite.
Venez jouer au Hangar Y cet été, avec l'exposition Rayon Jouets, à ne pas
manquer !
Le Centre Culturel Coréen vous propose un tour d’horizon passionnant et ludique
de la Corée des jeux, du 18e siècle à nos jours, des jouets anciens aux jeux
vidéos, dans une exposition gratuite du 24 mai au 5 octobre 2024 !
Dans sa nouvelle exposition gratuite, le Centre Culturel Coréen plonge les
visiteurs dans le monde du divertissement coréen, à travers toutes les formes de
jeux existantes, du 18e siècle à aujourd'hui, l'occasion d'explorer tout ce que
peut signifier le terme "jeux", du 24 mai au 5 octobre 2024 ! Vieux de plusieurs
millénaires, jeux et jouets mêlent imagination, stratégie et activité physique,
et passionnent tous les âges, en tissant du lien et en apportant du plaisir.
Au coeur de la péninsule coréenne, certains divertissements étaient autrefois
réservés à la noblesse ! Divisée en trois parties représentant le passé, le
présent et le futur, l'exposition nous plonge d'abord dans la tradition, avec
des reproductions et animations digitales de peinture anciennes, datant du 18e
siècle, où l'on voit de jeunes nobles coréens s’adonnant à diverses distractions
en bonne compagnie. Des vidéos animées, des jeux interactifs, des reproductions
de scènes de jeux folkloriques ou des réinterprétations de jeux traditionnels
comme le cerf-volant viennent compléter ce pan de la culture coréenne.
Depuis la nuit des temps, la course est utilisée pour des questions pratiques,
et notamment comme porteuse de message, comme l'évoque le Musée de la Poste dans
sa nouvelle exposition, qui aura lieu pendant les Jeux Olympiques !
Le musée de la Poste se met aux couleurs des Jeux Olympiques de Paris 2024, avec
une exposition autour de la course et du marathon, du 15 mai au 15 septembre
2024. Le marathon, en tant que discipline olympique, a été inventé par
l’académicien Michel Breal, ami de Pierre de Coubertin, pour les premiers Jeux
Olympiques modernes à Athènes en 1896. Elle s’inspire de la légende du
coureur de Marathon, l'ancêtre du facteur, en 490 av. J.-C !
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et
art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement"
du 15 mai au 17 novembre 2024.
Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris
2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en
mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art,
grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur
sport à travers les collections du Petit Palais.
Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures,
objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et
les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection.
Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres.
On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent
les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est
le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les
subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des
dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres
détails.
L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres
que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté
d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui
prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le
mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs
ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué,
mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées.
Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des
femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants
aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et
se dépenser avec les jeux et sports de leur temps.
On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui
se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue
épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et
paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place
du corps dans cette discipline.
Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels
que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de
style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au
Petit Palais.
Le Goethe-Institut de Paris vous invite à découvrir sa nouvelle exposition
gratuite, intitulée The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, du 13 mai au
27 août 2024. Explorez comment l'art, la technologie et la science se
rencontrent pour transformer notre perception du monde. Une exposition qui
promet une immersion dans les œuvres avant-gardistes, redéfinissant les
frontières entre les disciplines artistiques et scientifiques. Vernissage le 13
mai à 19h.
Quand l'art et les nouvelles technologies se rencontrent... Le Goethe-Institut
de Paris se transforme en un espace de réflexion et d'innovation artistique avec
l'exposition gratuite The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, à découvrir
du 13 mai au 27 août 2024. Une manifestation qui invite les curieux et les
passionnés d'art à plonger dans une ère nouvelle où art, technologie et science
fusionnent pour révéler ce qui demeure habituellement invisible. Conçue par le
ZKM Karlsruhe en Allemagne, cette exposition est non seulement un hommage à
Peter Weibel et à son projet "Renaissance 3.0", mais elle pose également les
jalons d'un futur artistique révolutionnaire.
L'exposition puise dans les œuvres d'art initialement présentées à Karlsruhe et
y ajoute une sélection spécialement adaptée au contexte parisien. Les visiteurs
peuvent découvrir des pièces telles que les "Architectures Imaginaires" d’Otto
Beckman, qui interrogent l'évolution de l'art à travers le prisme des
technologies avancées. Des œuvres comme "93% Human" de Helen Pynor offrent une
méditation profonde sur le vivant, tandis que "METABOLICA Camp" de Thomas
Feuerstein entrelace directement la science et l'histoire de l'art avec des
éléments de science-fiction. Ces œuvres illustrent parfaitement l'idée de
transcender les conventions artistiques pour explorer de nouvelles forces
créatives et sensibilités.
Au-delà de son aspect artistique, The Next Renaissance est un carrefour
d'innovation culturelle et scientifique. Cette exposition illustre comment la
collaboration entre l'art et la science peut engendrer des changements profonds,
poussant notre société à repenser son avenir. En incarnant une "renaissance
3.0", elle s'inspire des bouleversements de la Renaissance italienne pour
stimuler une révolution dans notre compréhension et interaction avec le monde.
Le Goethe-Institut, en collaboration avec l’EIT Culture & Creativity et le MSC,
offre ainsi une plateforme unique pour les acteurs du changement qui aspirent à
redéfinir les frontières entre les disciplines culturelles et scientifiques.
Avec la participation d'artistes internationaux tels que Rafael Lozano-Hemmer,
Manfred P. Kage et Joel Ong, The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible est
une expérience incontournable pour quiconque s'intéresse à la manière dont l'art
peut remodeler notre réalité. L'occasion également de voir comment l'art
médiatique scientifique peut ouvrir de nouvelles perspectives et influencer
notre société de façon durable.
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Nouvelle exposition gratuite à découvrir dans le hall d’accueil de la Maison de
la culture du Japon à Paris, du 7 mai au 1er juin 2024. Une fois encore, le
centre culturel nippon nous invite à partir en voyage grâce aux photographies de
Junji Takasago, qui rendent hommage à la beauté de la nature !
La Maison de la culture du Japon à Paris continue de nous faire voyager grâce à
sa belle et riche programmation. Outre les ateliers, les spectacles ou encore
les projections, le centre culturel nippon organise tout au long de l’année une
série d’expositions payantes ou même souvent accessibles gratuitement. A
découvrir au premier niveau de l’établissement implanté à deux pas du pont de
Bir-Hakeim et de la tour Eiffel, certaines installations sont également
proposées au rez-de-chaussée, dans le hall d’accueil de la Maison de la culture
du Japon.
C’est le cas de la prochaine exposition du centre. Intitulée « Reflets de la
nature », cette installation est une invitation au voyage, à la découverte de la
belle et riche nature, grâce aux sublimes photographies de Junji Takasago.
C’est avec la photographie sous-marine que Junji Takasago débute sa carrière. Il
rencontre alors le célèbre apnéiste Jacques Mayol, qui a inspiré le film "Le
Grand Bleu" de Luc Besson. Junji Takasago immortalisera d’ailleurs des moments
de Jacques Mayol en contact avec les animaux.
Son expérience se poursuit avec plusieurs séjours effectués à Hawaï et aux
États-Unis en quête des arcs-en-ciel de nuit. Amoureux de la nature qui nous
entoure et des animaux qui peuplent notre planète, Junji Takasago est devenu un
photographe reconnu et très influent dans le domaine.
Le photographe, qui a visité plus de cent pays, publié une trentaine de recueils
de photos et d’essais, exposé ses clichés à de nombreuses reprises, est
également un artiste engagé, membre fondateur de l’association Oceanic Wildlife
Society (OWS). Preuve de sa renommée, Junji Takasago a reçu en 2022 le
prestigieux prix « Wildlife Photographer of the Year » dans la catégorie « Art
de la nature ».
Ce printemps, le photographe Junji Takasago expose donc ses fascinants clichés
dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon pendant environ
quatre semaines, du 7 mai au 1er juin 2024. Ne manquez pas l’occasion d’admirer
la beauté de la nature et de notre belle planète grâce aux clichés de Junji
Takasago !
A noter que le photographe sera présent à la Maison de la culture du Japon lors
d’une conférence exclusive (gratuite sur réservation) prévue le 14 mai. Il
présentera à cette occasion quelques-uns de ses clichés les plus célèbres et
partagera plusieurs anecdotes.
Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore
Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre
2024.
Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche
carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour
commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une
exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses
passions...
Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une
exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les
œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques
et privées, sont réunies pour cette exposition inédite.
Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à
ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux,
leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et
plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré,
analysé, étudié chaque aspect de cet animal.
On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ
de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur
naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion
sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault,
le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance.
Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un
parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire,
Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort
du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !