********** English **********
Many migration movements demand a lot from migrants. Their lives and health are
threatened, their right to self-determination is challenged, and their
individual identities become objects of other people’s prejudices and actions.
All migration processes, even the painful ones, lead to new cultural diversity,
which can be seen as a positive force in today’s societies. Shared experiences
empower the citizens of Europe and help create our joint European identity.
Featured are some very specific situations at European level:
1. The long-term consequences of the German occupation of Norway during World
War II.
2. Prejudices against many Greenlandians after the migration from Greenland to
Denmark since 1945.
3. Forced migration of Sámi from the North to the South of Sweden.
4. Population exchange in former German Pomerania after 1945, exemplified by the
Polish town Slupsk .
5. The long-term consequences of the Holocaust for Lithuanian women.
6. Migration to Slovenia after World War II and the impact of the country’s
independence in 1991 on the migrants.
7. The complex political history of the Istrian peninsula and its multi-ethnic
population related to 200 000 emigrants after World War II.
Reservations: museum@foyer.be
Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
********** Français **********
De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et
leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en
question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et
des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux,
conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une
force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées
renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité
européenne commune.
Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen :
1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant
la Seconde Guerre mondiale.
2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland
au Danemark depuis 1945.
3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède.
4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945,
exemplifié par la ville polonaise de Slupsk.
5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes.
6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de
l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants.
7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population
multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale.
Réservations : museum@foyer.be
Infos : https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
********** Nederlands **********
Veel migratiebewegingen eisen veel van migranten. Hun levens en gezondheid
worden bedreigd, hun recht op zelfbeschikking wordt uitgedaagd, en hun
individuele identiteiten worden objecten van vooroordelen en acties van anderen.
Alle migratieprocessen, zelfs de pijnlijke, leiden tot nieuwe culturele
diversiteit, die kan worden gezien als een positieve kracht in de hedendaagse
samenlevingen. Gedeelde ervaringen versterken de burgers van Europa en helpen
bij het creëren van onze gezamenlijke Europese identiteit.
Er bestaan enkele zeer specifieke situaties op Europees niveau:
1. De langetermijngevolgen van de Duitse bezetting van Noorwegen tijdens de
Tweede Wereldoorlog.
2. Vooroordelen tegen veel Groenlanders na de migratie vanuit Groenland naar
Denemarken sinds 1945.
3. Gedwongen migratie van Sami van het noorden naar het zuiden van Zweden.
4. Bevolkingsuitwisseling in het voormalige Duitse Pommeren na 1945,
geïllustreerd door de Poolse stad Slupsk.
5. De langetermijngevolgen van de Holocaust voor Litouwse vrouwen.
6. Migratie naar Slovenië na de Tweede Wereldoorlog en de impact van de
onafhankelijkheid van het land in 1991 op de migranten.
7. De complexe politieke geschiedenis van het Istrische schiereiland en zijn
multi-etnische bevolking in verband met 200.000 emigranten na de Tweede
Wereldoorlog.
Reserveringen: museum@foyer.be
Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Excelsior : 100ème anniversaire de Stan Lee
Description
Les récits super-héroïques de Marvel évoquent souvent les maux de nos sociétés. Cet aspect trouve un écho tout particulier aujourd’hui, à l’heure où les chaînes d’info en continu et les réseaux sociaux exacerbent le sentiment d’insécurité, possible 3e guerre mondiale, terrorisme et pandémie. La planète plonge dans une atmosphère de scepticisme et de tension permanente. Les super-héros sont une réponse symbolique, eux qui conjurent à chaque fois la menace.Nous aspirons tous à être une sorte de super-héros, ne serait-ce qu’aux yeux de nos proches.Cette idée est parfaitement illustrée dans l’oeuvre « Alter-Héro » de l’artiste Levalet, où il reprend la figure classique du super héros caché derrière son identité civile, portant son costume de super héros sous ses vêtements de ville.Jamais gratuit, toujours pertinent, il reprend la posture de Superman, héros de DC Comics, la maison d’édition concurrente de Marvel, mais son personnage révèle sous sa chemise des couvertures de Comics Marvel où l’on reconnaît Wolverine, Docteur Strange, Hulk, Iron Man...Au-delà d’avoir toujours été le reflet des travers de nos sociétés, à l’image de la lutte de Captain América contre l’Allemagne nazi dans les années 40, le style et le trait de Stan Lee a profondément influencé des générations de graphistes, dessinateurs et artistes à travers le monde.L’artiste français Stan Manoukian, rend hommage au créateur de l’homme araignée avec le dessin « Aranae hominis » où il représente ce personnage encerclé par ses petites créatures tout à la fois monstrueuses et mignonnes, dont il a le secret, comme si ce super-héros s’était perdu dans l’une de ses forêts fantastiques, lui qui est plutôt habitué aux grattes ciels new- yorkais.Brusk quant à lui, fait un hommage au « Trait », à la « Ligne », par une série de dessins sur papier. Il y représente Daredevil, Wolwerine, la Chose et d’autres de ces héros dont les couleurs semblent les abandonner. Sont-ils toujours des super-héros, habités de la même force quand ils sont privés de leur identité chromatique ? »La perception du mythe Marvel par l’artiste chinois Vance ou l’artiste camerounais Boris Anje sera confrontée à celle de Jon Duff, artiste américain pour qui Stan Lee est une icône nationale.Une exposition à découvrir aussi bien pour les amateurs d’art contemporain que les fans de la franchise Marvel, qui découvriront leurs héros préférés sous de nouveaux traits et dans un contexte radicalement différent et inhabituel.
Art
Information sur la date
11:00:00 - 18:00:00
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Événements suggérés
********** English **********
Photographies by Patrick Labarrere
Ethiopia, cradle of humanity but also cradle of Orthodox Christianity. A dive
into these sacred spaces, into this Ethiopian belief, leads to a loss of
bearings and encourages reflection on the fervor that one encounters while
walking the paths of the ancient kingdom of Abyssinia.
********** Français **********
Exposition de photographies de Patrick Labarrere
L'Éthiopie berceau de l'humanité mais aussi berceau de la chrétienté orthodoxe.
Une plongée dans ces espaces sacrés, dans cette croyance Éthiopienne entraine
une perte de repère et incite à réflexion sur la ferveur que l'on rencontre en
arpentant les chemins de l'ancien royaume d'Abyssinie.
********** Nederlands **********
Tentoonstelling van foto's van Patrick Labarrere
Ethiopië, bakermat van de mensheid maar ook bakermat van het orthodoxe
christendom.
Een duik in deze heilige ruimtes, in dit Ethiopische geloof, leidt tot verlies
van oriëntatie en moedigt reflectie aan over de hartstocht die je tegenkomt
tijdens het bewandelen van de paden van het oude koninkrijk Abessinië.
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies
Van Wielendaele.
Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont
maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij
uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit
de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de
vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de
verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie
tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een
fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met
haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag."
FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos
fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe
analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source
d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie
de la photographe Marlies.
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre
les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou
dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan.
Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont
peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies
silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour
aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au
lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À
supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une
interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les
autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous
parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la
fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque
rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de
vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se
distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un
tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui
ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages
d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui
n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse
recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver
son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que
vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de
couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en
quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous.
Ludovic Degroote
Nu het einde van het schooljaar nadert, tonen de kinderen en jongeren van de
RHOK Academie een deel van het werk dat ze afgelopen jaar gecreëerd hebben.
FR - À l'approche de la fin de l'année scolaire, les enfants et les ados de
l'academie RHOK présentent certains des projets artistiques qu'ils ont réalisés
l'année passée.
A proposal by Dominique de beir with Pierrette Bloch, Cathryn Boch, Dominique De
Beir, Isabelle Ferreira, Hessie, Maëlle Labussière, Patrice Pantin.
********** Français **********
Dans "SEQUENCE 032", la galerie d'art contemporain Le Neuf Gallery présente des
extraordinaires oeuvres de 3 artistes.
BEDDRU (mixed media sur plexiglas, jusqu’au 29/06/24)
Ine Lammers (huile sur toile, jusqu’au 29/06/24)
Marine Walon (acryl sur toile, jusqu’au 11/05/24)
La galerie Le Neuf, située au cœur du quartier artistique de Bruxelles, est
facilement accessible en transports en commun, en vélo ou en voiture (parking
sous le bâtiment).
********** Nederlands **********
In "SEQUENCE 032" presenteert de hedendaagse kunstgalerie Le Neuf Gallery
buitengewone werken van 3 kunstenaars.
BEDDRU (mixed media op plexiglas, tot en met 29/06/24)
Ine Lammers (olie op doek, tot en met 29/06/24)
Marine Walon (acryl op doek, tot en met 11/05/24)
Le Neuf Gallery ligt in het hart van de Brusselse kunstwijk en is gemakkelijk
bereikbaar met het openbaar vervoer, de fiets of met de auto (parkeergarage
onder het gebouw).
********** English **********
In “SEQUENCE 032”, contemporary art gallery Le Neuf
Gallery presents extraordinary works by 3 artists.
BEDDRU (mixed media on plexiglass, until 29/06/24)
Ine Lammers (oil on canvas, until 29/06/24)
Marine Walon (acrylic on canvas, until 11/05/24)
Le Neuf Gallery, located in the heart of the Brussels art district, is easy to
access by public transport, by bike, or by car (parking under the building).
********** English **********
In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta
presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape
through colour and organic materials, brought to life through both drawing
(wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.).
In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers
of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and
randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the
atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the
invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface.
Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image
that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in
graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses.
Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting
and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of
confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been
evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the
small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the
contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive
pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the
paper.
ABOUT THE ARTIST
Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in
Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts
(ENSAV La Cambre, Brussels, 2016).
Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le
Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts,
European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic
Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux,
Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies
at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris,
the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the
winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof
and the Prix Carré sur Seine in 2020.
From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium
to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of
Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in
all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture
and photography, construction allows her to speak of the human being, the one
who both inhabits and builds.
In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape
and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of
withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection,
confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading
her increasingly towards projects in the public space.
********** Français **********
Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie
Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage
au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le
dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…).
Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant
deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate,
appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface
du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs
vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une
surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent
l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La
seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre,
obstruer ou limiter ces étendues infinies.
Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de
grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste
pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué
dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées
des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais
ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif
du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier.
A PROPOS DE L’ARTISTE
Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante
basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en
arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016).
Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en
Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à
Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins
Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été
résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à
Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est
lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et
du prix Carré sur Seine en 2020.
De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade
de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages
bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture
sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la
sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain,
celui qui, tout à la fois, habite et édifie.
Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de
manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la
matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut
apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme
l’amène également de plus en plus vers
des projets dans l’espace public.
********** Nederlands **********
In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert
Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de
leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of
organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de
papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht.
In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik
maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De
eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele
papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een
landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het
gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar
accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte
afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in
een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of
andere manier deze oneindige uitgestrektheid.
De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen
rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de
kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich
terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name
de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin
boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de
niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van
de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier
gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel
verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons
een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen.
OVER DE KUNSTENARES
Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in
Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in
Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016).
Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België
(Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée
in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in
Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook
residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des
Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze
is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix
Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020.
Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion
van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de
steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar
vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van
tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie
kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt.
In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke
benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel
kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een
meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik
maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich
terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming,
afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie
Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving,
waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema
van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die
bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor
stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
********** English **********
In 1954 an Irish woman travelled to England to give birth to an illegitimate
child. In 2024 her granddaughter, the filmmaker, traces her journey piecing
together fragments of her story. Máthair (Mother) draws on a complex web of
obfuscated information, from adoption administrative agencies, records of a
Catholic Mother and Baby Home and chat-room conversations between strangers
following the same archival trail. Máthair questions the institutions of
religion, notions of motherhood, and a sense of place.
Keira Greene is an artist working across film, photography, performance and
text. Her work is preoccupied with the social and organic life and landscape of
specific environments. Her work is produced through a collaborative and
conversational practice of looking, writing and forming enduring relationships.
Recent works are concerned with ideas of the body and the experience of emotion,
in dialogue with an embodied filmmaking practice.
http://keiragreene.com/
********** Français **********
En 1954, une femme Irlandaise se rend en Angleterre pour donner naissance à un
enfant illégitime. En 2024, sa petite-fille – la réalisatrice – retrace son
parcours en reconstituant les fragments de son histoire. Máthair (Mère) s'appuie
sur un réseau complexe d'informations obfusquées, provenant d'agences
administratives d'adoption, des dossiers d'un foyer catholique pour mères et
bébés et de conversations en ligne entre des inconnu·e·s suivant les mêmes
traces d'archives. Máthair interroge les institutions religieuses, le concept de
maternité et le sentiment d'appartenance à un lieu.
Keira Greene est une artiste qui travaille à la frontière du film, de la
photographie, de la performance et du texte. Son travail se concentre sur la vie
sociale et organique au sein de paysages spécifiques. Son travail est produit
par une pratique collaborative et conversationnelle du regard, de l'écriture et
par la formation de relations durables. Ses œuvres récentes s'intéressent aux
corps et à l'émotion, en dialogue avec une pratique cinématographique incarnée.
http://keiragreene.com/
********** Nederlands **********
In 1954 reisde een Ierse vrouw naar Engeland om te bevallen van een
buitenechtelijk kind. In 2024 volgt haar kleindochter, de filmmaker, haar reis
door fragmenten van haar verhaal bij elkaar te zoeken. Máthair (Mother) is
gebaseerd op een complex web van verdoezelde informatie van adoptiebureaus,
verslagen van een katholiek tehuis voor moeders en baby's, en chatgesprekken
tussen vreemden die hetzelfde archiefspoor volgen. Máthair bevraagt de
instellingen van religie, noties van moederschap en een gevoel van plaats.
Keira Greene is een kunstenaar die werkt met film, fotografie, performance en
tekst. Haar werk houdt zich bezig met het sociale en organische leven en
landschap van specifieke omgevingen. Haar werk wordt gemaakt door middel van een
collaboratieve en conversationele praktijk van kijken, schrijven en het vormen
van duurzame relaties. Recente werken houden zich bezig met het lichaam en de
ervaring van emotie, in dialoog met een belichaamde filmpraktijk.
http://keiragreene.com/
Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter son vernissage le 02 mai 2024.
1° À ne pas manquer la fin de l’exposition d’avril :
Finissage le 27 & 28 avril de 11h 00 à 18h 00.
Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 04 avril :
https://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-son-prochain-vernissage-du-04-04-2024-et-son-agenda-culturel/
2° La prochaine exposition de mai :
Les artistes présents pour cet événement sont :
Helene De Smet (Be) peintures, Cécile Van Ransbeeck (Be) peintures, Natalina
Cullier-Montagné (Fr) sculptures en grès et en Raku, Michel Sebastian (Fr)
peintures (prolongement), Nicole Meunier (Be) peintures, Rita Teugels (Be)
peintures, Anita De Meyer (Be) peintures et l’écurie de la galerie (Int)
peintures et sculptures.
Ainsi que Nathalie Pannetier artisane d’art en maroquinerie à son compte depuis
2019. Elle apprit ce magnifique métier chez Hermès, pendant 13 ans, gravi les
échelons l’un après l’autre jusqu’à être manager d’atelier. Elle s’est ensuite
mise à son compte et crée sa propre marque : « Les Cuirs du Clédou ». Chaque
pièce est unique, elle ne réalise jamais de série, de l’artisanat d’art à l’état
pur !
Référencé Atelier d’Art de France.
Vernissage le jeudi 02 mai de 18h 30 à 21h 30.
Finissage le 25 & 26 mai de 11h 00 à 18h 00.
Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 02 mai :
https://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-son-prochain-vernissage-du-02-05-2024-et-son-agenda-culturel/
La 7e remise des recueils et des diplômes sera le samedi 25 mai 2024 pour les
recueils n° 11 T I & II/2022 !
Lien de l’annonce de la fête de remise 2024 sur mon site Internet :
https://www.espaceartgallery.eu/la-7e-fete-de-remise-des-publications-2022-relatives-au-travail-de-fond-de-la-galerie-aura-lieu-le-samedi-25-mai-2024-de-18h-30-a-22h-00/
https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu
https://www.instagram.com/espace.art.gallery/
https://www.linkedin.com/in/jerry-delfosse-espace-art-gallery/
Lien vers le renouveau urbanistique dans le centre de Bruxelles !
https://www.oxybrussels.eu/?fbclid=IwAR1VEUNKNZwMNYHxaun0rOVdabtQ_ZZUQkARzbby64SjD5K0z7z8Eebm1Xo
Si vous ne voulez plus être informé sur les activités de la galerie il suffit
d’envoyer un mail à eag.gallery@gmail.com en indiquant votre refus !
Bien cordialement,
Jerry Delfosse
Galeriste
*
Fondateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery,
Les Éditions d’Art EAG & EAG Studio’s
Co-fondateur et propriétaire du réseau Arts et Lettres 3.0
Administrateur général
*
Président de jury pour décerner un diplôme d’art
Membre d’un jury international à Corsica Art Fair
*
Rue de Laeken, 83 à B 1000 Bruxelles - Belgium
GSM: 00.32.497. 577.120
eag.gallery@gmail.com
https://www.espaceartgallery.eu/
https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu
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