(S)’AIMER. Un cœur qui bat… pas que pour soi

Description

La prochaine expo de la Fabrique de Soi se prépare !


Nous aurons la chance d’accueillir lors du vernissage le délégué général aux droits de l’enfant, Solayman Laqdim qui inaugurera cette nouvelle exposition d'enfants.
Apres « HAB(R)ITER ou si bien chez soi » ( 2022), « MANGER!? Regarde dans ton assiette », en cette année 2023-24 nous explorons une troisième thématique essentielle: « S’AIMER. Un cœur qui bat…pas que pour soi ».

Bloquer la date du 28 juin à 19h.
Au centre culturel de Tubize

Information sur la date

Du 28/06/2024 au 11/07/2024

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Gratuit

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Événements suggérés

Valy Hart est une artiste brainoise formée en bande dessinée entre autre par le grand scénariste belge Yvan Delporte (rédacteur en chef du journal Spirou). Attirée aussi par la peinture et les grands formats, elle s’est spécialisée pendant 20 ans dans les fresques et trompe-l’œil. Elle est également une portraitiste émérite qui peint avec finesse, réalisme et sensibilité l’histoire de ses sujets. Aujourd’hui, elle revient dans cette exposition sur ses premiers amours à voir l’Illustration et la Bande-Dessinée. Elle utilise sa passion pour la photographie en randonnée comme base pour une série d’illustrations sur Braine-Le-Château, sa nouvelle ville de cœur, et ses monuments. Les œuvres sont réalisées à l’acrylique et feutres. Y seront également exposés une série de portraits, toujours dans le style comics de personnalités de la commune. Informations pratiques: * L'exposition se tiendra à la Maison du Bailli du 4 mai au 2 juin * Du mercredi au dimanche de 13h à 17h * Gratuit
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
Emilie Danchin conveys questions in her work pertaining to the realism of photography by involving the body in the pho- tographic space. It is very vibrant as well as an organic ad- venture. Emilie Danchin does not photograph reality as such, but a kind of dream rooted in the subject, to a certain extent a somewhat inhabited or animated dreamy reality. To this effect, the photographic act extends to a personal phenome- nology and the progressive creation of a visual language ca- pable of relaying a personal experience charged with images and emotions that, universally recognisable, are likely to stir viewers’ feelings, disrupt thought and trigger dreams. Emilie Danchin introduces here Le Bois des Rêves, the culmi- nation of a performance and photographic work achieved in a property that is noteworthy in terms of its architecture, as well as its gardens, in the Arts-and-Crafts style. This heritage site lent itself to her proposal to have the freedom to take over a space and a body, hers in this case. She tackles the question of origins in a foreign place in a paradoxical way. It substitutes a space that no longer exists, which represents her origins. This property conjured up, through a combination of me- mories, her own English place of birth, the houses belonging to her grandmothers, their gardens in the countryside and seaside, baths, woodworks, smells, clothes, furniture, musica- lity... a whole atmosphere that is generally, culturally familiar to her. And at the same time, it recalled absence, missing people, invasion and emptiness of the body and a house that until recently remained within the same family, loss and the parentage that was interrupted. By means of self-portrait, Emilie Danchin wondered what the inside of the house would look like. How would the emotions generated by the exterior of the house be conveyed in her outside landscapes? How would she extri- cate her body from the matter to render it in a landscape having similar characteristics? How would time intervene in this memory-enhanced place where her own body, her robe and some of her clothes combined with those that belonged to three generations of women, the house, gar- den, the photographic act itself have jointly become the template for a vital identity-related fiction? Her aim was to found her hope of investing a space, materialising and filling a form of absence, the place of the origins, a kind of double of another imaginary space, distant and close, inaccessible, erased, deleted, having left the body and the house and nevertheless, inalienable yet. Le Bois des Rêves is carried by the the artist’s body postures, which has become a sensitive measure of the evocative potential of the place. Equally, the place has given live to non-material memories, the vague outlines of which could not have stood out without this inseparable staging of her body and the space. The photographic medium is presented in a variety of aspects, black and white, colour, varying formats and scales, as well as dialogue between fiction and observation. Video is added to this. Processed as stills, this lends the ensemble a form of heartbeat in real time as such of perception through gaze. This results in an art form in several phases, the assembly of which in its entirety impresses a circular motion in space and physically creates time. Intimating the desire to go on reconnais- sance, this photographic form espouses the volatility of space and time, emotions, dreams and the sense of self. One marvels before the representation of the memory space, whose autobiographical form is that of an absolute memory and of a dream.
Het Volk der Introverten is een geboetseerde menigte bestaande uit hoofdjes van klei met ogen dicht, gemaakt door vele handen. Onder leiding van kunstenaar Mirthe Dokter (Pollif Projects) wordt je meegenomen in een zoektocht van je handen naar jezelf, met de klei als vriendelijke bondgenoot. Door een moment gezamenlijk introvert te zijn poogt Mirthe deze kant van de mens meer ruimte te geven in het dagelijkse leven. Ook biedt het kunstwerk een podium aan de mensen die zich ongezien voelen. Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan komt, opnieuw onzichtbaar.
********** Français ********** L'Université libre de Bruxelles (ULB) célèbre, du 16 mai au 22 juillet 2024, 60 ans d'immigration marocaine en Belgique avec l'exposition itinérante gratuite Belgica Biladi : une histoire belgo-marocaine. Conçue en partenariat avec la Ville de Bruxelles, cette exposition se tiendra dans divers espaces publics de la ville et s'inscrit dans le cadre du 60e anniversaire de la signature des accords bilatéraux entre la Belgique et le Maroc pour une immigration de travail. Belgica Biladi propose un parcours immersif accessible à tous dans le centre-ville de Bruxelles, ponctué d’installations utilisant le mobilier urbain et retraçant l'expérience de l'immigration marocaine en Belgique, depuis l'arrivée des premiers travailleurs marocains dans les années 1960 jusqu'à la co-construction actuelle d'une société plurielle et multiculturelle. L'exposition met en lumière les témoignages de plusieurs générations d'immigrés marocains, enrichis par des archives, des photographies et des vidéos. Des experts interviennent également pour apporter leur éclairage sur les différentes thématiques abordées. L'ULB, à travers Belgica Biladi, souhaite contribuer activement à la déconstruction des stéréotypes et la lutte contre les préjugés liés à l'immigration. L'exposition vise à mettre en avant la richesse de la culture plurielle belge, née du brassage des cultures et des contributions de ses différentes communautés. Belgica Biladi se veut une invitation à la découverte de l'histoire et de la culture belgo-marocaine, ainsi qu'à la rencontre entre les différentes communautés de Bruxelles. L'exposition encourage le dialogue et la compréhension mutuelle, en célébrant la diversité et la contribution de la communauté marocaine à la société belge. ********** Nederlands ********** Van 16 mei tot 22 juli 2024 viert de Université libre de Bruxelles (ULB) 60 jaar Marokkaanse immigratie in België met de gratis reizende tentoonstelling Belgica Biladi. De tentoonstelling is ontworpen in samenwerking met de Stad Brussel en wordt in verschillende openbare ruimtes in de stad gehouden in het kader van de 60ste verjaardag van de ondertekening van de bilaterale akkoorden tussen België en Marokko over arbeidsimmigratie. Belgica Biladi neemt bezoekers mee op een immersief parcours door het centrum van Brussel, onderbroken door installaties die gebruik maken van straatmeubilair om de ervaring van de Marokkaanse immigratie naar België weer te geven, vanaf de aankomst van de eerste Marokkaanse arbeiders in de jaren 1960 tot de huidige co-constructie van een pluriforme en multiculturele samenleving. De tentoonstelling belicht de getuigenissen van verschillende generaties Marokkaanse immigranten, verrijkt met archieven, foto's en video's. Er zijn ook deskundigen te gast om licht te werpen op de verschillende thema's die aan bod komen. Met Belgica Biladi wil de ULB actief bijdragen tot de deconstructie van stereotypen en de strijd tegen vooroordelen in verband met immigratie. De tentoonstelling wil de aandacht vestigen op de rijkdom van de pluricultuur in België, die voortkomt uit de vermenging van culturen en de bijdragen van de verschillende gemeenschappen. Belgica Biladi is een uitnodiging om de Belgisch-Marokkaanse geschiedenis en cultuur te ontdekken en de verschillende gemeenschappen in Brussel te ontmoeten. De tentoonstelling moedigt dialoog en wederzijds begrip aan en viert de diversiteit en bijdrage van de Marokkaanse gemeenschap aan de Belgische samenleving.
********** Nederlands ********** De werken van Elodie Antoine hebben een speelse en dubbelzinnige dimensie. Ze houdt van tegenstrijdigheden, van het uitlokken van het vreemde door een spel van ontmoetingen, en van de mogelijkheden die ontstaan tijdens het creatieve proces, die haar van het ene naar het andere punt leiden. De draden van haar gedachten woekeren, bestuiven elkaar en verspreiden zich om een soort mycelium te vormen, een soort zwam, een organisme dat ook vaak voorkomt in haar werk. Op deze manier creëert ze een organische esthetiek met vele, slim met elkaar verbonden facetten, zoals de vreemde voetbal waarvan elke zeshoek versierd is met een roze vilten tepel. ********** Français ********** Si les œuvres d’Elodie Antoine contiennent une dimension ludique et ambiguë, c’est que l’artiste aime à travailler avec les ambivalences, susciter l’étrangeté par un jeu de rencontres, exploiter les opportunités qui se tissent au fil de sa démarche, un point l'entraînant vers un autre. Les filaments de sa pensée prolifèrent, se contaminent et s’étendent pour former un réseau micellaire semblable à celui des champignons, organismes qui colonisent également son travail. L’artiste construit ainsi une esthétique organique aux multiples facettes savamment liées les unes aux autres, à l’image de cet étrange ballon de foot dont chaque hexagone est orné d’un téton de feutre rose.
Nu het einde van het schooljaar nadert, tonen de kinderen en jongeren van de RHOK Academie een deel van het werk dat ze afgelopen jaar gecreëerd hebben. FR - À l'approche de la fin de l'année scolaire, les enfants et les ados de l'academie RHOK présentent certains des projets artistiques qu'ils ont réalisés l'année passée.