Oui ! Deux fois le titre. Ce n’est pas une coquille mais qu’on ne s’y trompe
pas, il ne s’agit pas ici d’une nouvelle adaptation de Poil de carotte de Jules
Renard.
Solal, un comé
Théâtre : Longtemps je me suis levée tôt au Théâtre d'Evreux
Description
Inspirée des luttes des Jeannette de la biscuiterie de Mondeville ou des ouvrières de la fabrique Moulinex, la pièce est une histoire écrite au « féminin ouvrier ». Une plongée dans le quotidien du travail, dans la fièvre des combats et des solidarités, dans le tréfonds des « histoires ensilencées ».
À la fabrique de sapins artificiels qui doit être délocalisée, une ouvrière est retrouvée pendue. Une enquête est en cours. Ses collègues vont se battre pour que sa mort soit reconnue comme un accident du travail. Elles racontent ce qui s’est
passé à l’avocat chargé de défendre la cause.
Des souvenirs remontent à la surface, des tranches de vie de boulot, d’usure et de précarité. Des instants joyeux aussi, des fraternités de lutte. On joue et on rejoue l’histoire pour mieux en déceler l’innommable.
Claire Barrabès va au cœur du sensible, à l’os, afin d’entrapercevoir l’invisible, le tu, le caché. Les larmes dérangent le rire, à moins que ce ne soit l’inverse.
Elle nous offre un « théâtre documenté », pas documentaire. Une tragédie à enguirlander le sapin, une « comédie noire prolétaire ».
Longtemps, je me suis levée tôt : une madeleine ouvrière !
À la fabrique de sapins artificiels qui doit être délocalisée, une ouvrière est retrouvée pendue. Une enquête est en cours. Ses collègues vont se battre pour que sa mort soit reconnue comme un accident du travail. Elles racontent ce qui s’est
passé à l’avocat chargé de défendre la cause.
Des souvenirs remontent à la surface, des tranches de vie de boulot, d’usure et de précarité. Des instants joyeux aussi, des fraternités de lutte. On joue et on rejoue l’histoire pour mieux en déceler l’innommable.
Claire Barrabès va au cœur du sensible, à l’os, afin d’entrapercevoir l’invisible, le tu, le caché. Les larmes dérangent le rire, à moins que ce ne soit l’inverse.
Elle nous offre un « théâtre documenté », pas documentaire. Une tragédie à enguirlander le sapin, une « comédie noire prolétaire ».
Longtemps, je me suis levée tôt : une madeleine ouvrière !
Tickets
Tarif de base
uniquement hors les murs5 €–
5€
Tarif de base
10 €20 €
10€