"Caillard : l’entreprise havraise disparue" une conférence-débat par Jacques
Defortescu.
Une entreprise du quartier très connue pendant des dizaines d’années en France
et à l’
Conférence : "Les civils reprennent les plages du Débarquement"
14november
18:00
34 Rue Marcel Paul, 76600 Le Havre, France
Description
Nous sommes juste après-guerre. Les estivants reprennent, peu à peu, pied sur les plages normandes,… pêchant, se baignant, bronzant, mangeant sous le regard des épaves du débarquement du 6 juin 1944.
Les Français vivent sous perfusion malgré le plan Marshall. Les trafics et la récupération sont monnaie courante. Les plages sont déminées, certes, mais la Normandie, stigmatisée par les batailles, est à reconstruire.
Quels problèmes rencontrent certains Français ?
Comment accueillir les estivants en nombre, alors qu’il y a tant de réfugiés ?
De Utah Beach à Ouistreham, les touristes, appareil photo en bandoulière, arpentent ce qui, maintenant, sont des sites historiques. Ils reprennent une partie de ce que la guerre leur avait enlevée : la liberté de circuler librement sur ces plages et le faire découvrir aux autres.
Place à l’ère de la carte postale semi-moderne et de la photo privée avant la démocratisation du « Devoir de mémoire ». Et du « merchandising ».
Les Français vivent sous perfusion malgré le plan Marshall. Les trafics et la récupération sont monnaie courante. Les plages sont déminées, certes, mais la Normandie, stigmatisée par les batailles, est à reconstruire.
Quels problèmes rencontrent certains Français ?
Comment accueillir les estivants en nombre, alors qu’il y a tant de réfugiés ?
De Utah Beach à Ouistreham, les touristes, appareil photo en bandoulière, arpentent ce qui, maintenant, sont des sites historiques. Ils reprennent une partie de ce que la guerre leur avait enlevée : la liberté de circuler librement sur ces plages et le faire découvrir aux autres.
Place à l’ère de la carte postale semi-moderne et de la photo privée avant la démocratisation du « Devoir de mémoire ». Et du « merchandising ».