Réveillon du Nouvel an 2023 : soirée lyrique et repas de fête au musée Jacquemart-André

Description

Une soirée du Nouvel an dans un musée, et pourquoi pas ? Le musée Jacquemart-André nous invite à un réveillon très spécial, ce 31 décembre 2022. Tenue de soirée exigée !

Les soirées en club, au théâtre, au restaurant : tout cela, c'est vu et revu. Et pour votre réveillon du Nouvel an 2023, pas question de se contenter de peu. C'est pourquoi le musée Jacquemart-André vous propose une nuit insolite, qui regroupe spectacle, menu de fête et musique, le tout en un seul événement à ne pas manquer !

Officier d'élite au service de Napoléon III, Édouard André s'illustre sous le Second Empire. Devenu homme politique, Édouard André se passionne pour l'art, et devient collectionneur et mécène. Lui et sa femme, Nélie Jacquemart, achètent un hôtel particulier dans le 8e arrondissement, écrin permettant d'exposer leur vaste collection de tableaux, de sculptures, de tapisseries et d'objets d'art du XVIIIe siècle.

Ces collections sont toujours visibles au musée Jacquemart-André, qui les met en valeur le soir du 31 décembre 2022. Le musée nous propose une soirée unique, dans le cadre majestueux de ce temple dédié à l'art et au bon goût.

Et pour célébrer cela, quoi de mieux qu'une soirée musicale, accompagnée d'un repas d'exception ? Le musée Jacquemart-André met les petits plats dans les grands pour nous divertir et nous faire passer un réveillon inoubliable.

Au programme de cette soirée : accueil au champagne Henriot et caviar, cocktail dînatoire, mignardises, et musique bien sûr ! Les artistes nous enchantent avec des airs d'opéra et d’opérette viennoise, parmi lesquels des grandes scènes de La Bohème de Puccini et des Contes d’Hoffmann d’Offenbach, et des airs festifs signés Strauss et Lehár, ainsi que de nombreuses autres surprises.

Pour vos papilles, le musée et Opera a Palazzo ont concocté un menu spécial :

ACCUEILCaviarBlini José Verdé (La rosé de la crevette et tarama, le vert de la menthe et pomme granny)Croque Truffé (Mini croque-monsieur jambon comté AOP et Truffes)ANIMATIONS GASTRONOMIQUETartare en trompe l’œil (Le chef prépare 3 tartares de couleurs identiques mais avec des saveurs totalement différentes.)Rillettes de maquereaux (Quenelle de maquereaux avec radis, ciboulette et raifort)COCKTAIL SALÉCroustade Detox (Concombre et chèvre à la menthe fraîche)Daurade Sakura (Crème de sakura et poudre de sobacha)Croustade Saint-Jacques (Salade d’herbes)Sablé au parmesan (Crémeux de carotte au curry sauvage, pickles de carotte)Nougat pickles - de radis rougeTataki de thon (Sésame grillé, mayonnaise au wazabi et feuille de shizo)Médaillon de homard et sa crème légère SavoraRisotto de betteraves & noix, tuiles et dentellesFilet d’agneau (Crémeux de panais & petits légumes)DESSERTSChoco AddictMini moelleuxTartelette citron et yuzuLe Marron d’ArdècheOpéra Or 1955Macarons Dalloyau

On vous souhaite une belle année 2023 !

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Découvrez Elektra, spectacle d'opéra incontournable au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, le 29 avril 2024. Le Théâtre des Champs-Élysées accueille Elektra de Richard Strauss pour une représentation unique le 29 avril 2024. Une merveilleuse occasion de découvrir ou redécouvrir cette œuvre majeure du répertoire lyrique, chantée en allemand et surtitrée en français et en anglais. Avec une durée approximative de 1h50, cette production du Théâtre des Champs-Élysées s'annonce comme un des rendez-vous incontournables de la saison culturelle parisienne. Elektra s'inscrit dans le cadre de la fructueuse collaboration entre Richard Strauss et Hugo von Hofmannsthal, inaugurée par cette violence et noirceur inouïes, cette histoire de vengeance sans répit qui continue de nous fasciner par sa puissance musicale et dramatique. L'œuvre propose un véritable défi pour les artistes participant à cette performance, exigeant de leur part une profonde compréhension du texte et une maîtrise technique solide. Parmi ces artistes figurent certains des noms les plus admirés de l'opéra actuel. On retrouve la soprano dramatique Iréne Theorin dans le rôle-titre d'Elektra, reconnue comme l'une des meilleures interprète actuelle du rôle pour son engagement dramatique et sa puissance vocale. A ses côtés, la mezzo-soprano Violetta Urmana endosse le rôle de Clytemnestre et apporte une interprétation sans nul doute à la hauteur de la complexité du personnage. En plus de Theorin et Urmana, la distribution comprend Simone Schneider incarnant Chrysothémis, Pawel Konik dans le rôle d'Oreste, et Matthias Klink jouant Egisthe. Pour diriger ce chef-d'œuvre avec une distribution à compléter, nous retrouverons Cornelius Meister, à la tête du Staatsorchester Stuttgart. Elektra, avec son intrigue tirée de la tragédie de Sophocle remaniée par Hugo Von Hofmannstahl, s'inscrit dans une vision intemporelle de la confrontation aux ténèbres de la psyché humaine et du cycle de la vengeance. Ici, l'engrenage inévitable de la vengeance est rendu avec une intensité dramatique inégalée, la musique de Strauss explorant les profondeurs de l'âme humaine avec une violence et une précision inégalées. En conclusion, le Théâtre des Champs-Élysées se prépare à accueillir une production exceptionnelle d'Elektra qui marquera sans aucun doute les esprits. Ne manquez pas cette soirée de musique et de théâtre remarquable à Paris le 29 avril 2024. Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Sortez les agendas, voici un rendez-vous à ne pas manquer : le 28 avril 2024 à 13h, le musée d'Orsay organise une battle de waacking, avec l'artiste Josépha Madoki. Au musée d'Orsay, l'art résonne et nous fait chavirer dans un tourbillon d'émotions et de sensations. La salle des fêtes du musée accueille un grand spectacle ce dimanche 28 avril 2024, une représentation unique et inédite à ne manquer sous aucun prétexte. L'artiste Josépha Madoki, chorégraphe et spécialiste des danses urbaines nous invite à une battle de waacking ! Ces mots vous sont étrangers ? Laissez-nous vous expliquer... Cette compétition de danse rassemble les meilleurs artistes internationaux, les plus grandes stars de waacking du monde entier, au sein du musée d'Orsay, pour un affrontement épique au rythme des musiques du hip-hop, de l'électro, de la funk ou du disco. Le waacking est un art venu des Etats-Unis, qui s'apparente au voguing. Né dans les communautés LGBTQIA+, ce style de danse est inspiré des divas hollywoodiennes des années folles. Le but est de bouger les bras au rythme de la musique, notamment en les faisant passer au-dessus et autour de la tête. Josépha Madoki est l'une des plus grandes représentantes de ce genre en France. Dans la majestueuse salle des fêtes du musée d'Orsay, la danseuse et ses concurrents internationaux devraient donc nous en mettre plein les yeux, et nous donner, à nous aussi, envie de danser ! Un événement festif et 100% feel-good, à vivre au printemps dans le musée parisien. Réservez vite votre place.
Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ». Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique. La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon, ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois. De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de visite. Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années, inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres. Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
A l'occasion de la 17e édition de "Tous à l'Opéra", quatre prestigieux établissements parisiens et franciliens vous ouvrent leurs portes les vendredi 3, samedi 4 et dimanche 5 mai 2024. Le moment idéal pour découvrir gratuitement le faste et la beauté de ces lieux de culture exceptionnels. Comme une envie de découvrir les richesses des Opéras de la capitale ? Bonne nouvelle : l'opération Tous à l'Opéra fait son retour ce printemps en France à l'occasion d'une nouvelle et 17e édition à ne pas manquer les vendredi 3, samedi 4 et dimanche 5 mai 2024. En cette année des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris, la valeur d'« esprit d’équipe » sera mise en avant. Pour cette nouvelle édition, parrainée par Guillaume Diop, le célèbre danseur étoile du Ballet de l’Opéra national de Paris, l’opération Tous à l’Opéra compte une fois encore vous faire découvrir les coulisses de quelques-uns des plus beaux opéras de France, notamment à Paris et en Île-de-France. Comment ? Pendant trois nouvelles journées, du 3 au 5 mai 2024, le public est invité à venir profiter de nombreuses animations gratuites et accessibles à toutes et tous, comme des répétitions publiques, des concerts, des ateliers de costumes et de maquillages, des visites des coulisses, ou encore des rencontres avec les professionnels... Attention, notez que certains événements sont à réserver gratuitement en amont (ouverture prochaine des réservations). Preuve de son succès, cette manifestation - très plébiscitée par les Françaises et les Français - a réuni depuis sa création en 2007 plus d’un million et demi de curieux et passionnés dans les différents opéras français participant à l'événement. Pour l'heure, la programmation 2024 de Tous à l'Opéra n'a pas encore été dévoilée, alors restez connectés. En revanche, on peut déjà vous révéler que l'événement vous invite cette année à pousser les portes de 28 opéras en France, dont quatre maisons d’opéra et de compagnies lyriques à Paris et en Île-de-France, à savoir le Palais Garnier, l'Opéra Comique, l'Opéra Royal de Versailles, et l'Opéra de Massy.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition "Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024. Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ? Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport, politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver leur honneur, rabaisser leur ennemi. Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée. Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles : selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou proscrits. L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle. Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs : escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses. Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en situation, avec un décor immersif et théâtralisé. Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire, hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours autant. La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et ces styles. Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de l'art. À voir dès le printemps 2024.
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique". Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique. En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie... Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique. Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays. C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et des trouvailles archéologiques. L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de 1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs. Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896. Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024. C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de Paris. L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème, ouverte à tous. Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à disposition dans l'exposition. Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous l'aurez deviné - des années 1980 ! Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
C'est le bon plan de ce week-end du 27 et 28 avril 2024 : les familles (avec enfants) peuvent profiter de tout plein d'activités, d'animations et de visites guidées gratuites au musée d'Art Moderne de Paris, ce samedi et dimanche. Dans le cadre des week-ends gratuits en famille organisés par Paris Musées, le samedi 27 et le dimanche 28 avril 2024 l'entrée est non seulement gratuite pour toute la famille au musée d'Art Moderne, mais surtout, c'est tout un programme qui attend les petits comme les grands lors de ce week-end placé sous le signe de la culture. Au programme ? Des visites contées, des ateliers créatifs pour s'initier aux arts plastiques, mais aussi, visite guidée sensorielle du musée d'Art Moderne en famille, une session de yoga kids friendly face aux œuvres... Pour ce week-end en famille au musée d'Art Moderne, le sport domine la programmation à l'occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, à vous de découvrir comment art et sport sont liés au sein du musée ! Vous l'aurez compris, ce week-end du 27 et 28 avril est non seulement un super bon plan pour visiter un musée en famille sans dépenser un sou, mais surtout, c'est l'occasion de découvrir les belles animations ludiques, poétiques, artistiques, pour émerveiller petits et grands pendant ces deux jours exceptionnels. Petits artistes sportifs Parents et enfants dans la visite reprennent les postures de sportifs représentées dans des œuvres, comme l’Equipe de Cardiff de Robert Delaunay. En atelier, les participants commencent par un échauffement artistique où ils explorent différents mouvements puis esquissent rapidement des gestes en laissant le crayon suivre le rythme des imaginations ! Histoires partagées Clotilde Lebas raconte pour petit.e.s et grand.e.s, avec l'envie de suspendre le temps. Elle aime tout particulièrement travailler dans des musées, pour faire y résonner histoires et oeuvres d'art. Autant d'histoires qui se déploieront devant des tableaux (La Danse de Matisse, L'équipe de Cardiff de Delaunay...) qui, sous vos yeux, prendront un autre sens. Yoga face aux oeuvres Une séance de yoga Iyengar en famille devant l’œuvre La danse d’Henri Matisse. Visite danse hip-hop face aux oeuvres Venez découvrir en famille les collections du musée à travers une visite active de danse Hip-Hop. Hand-hop - Scopitone & Cie Hand Hop est un appel à se saisir de sa liberté à danser où bon nous semble, une invitation au mouvement continu face aux règles et normes imposées. Autour d’une course-poursuite effrénée entre l’autorité et la désinvolture, Hand Hop entend rendre à la rue son énergie contagieuse, vivante de rassemblement, de corps et de musique. Une allusion aux premiers clips de Hip Hop, combinée d’un clin d’œil à Tex Avery, pour célébrer la Street dance qui s’impose aujourd’hui comme une incontournable du paysage chorégraphique contemporain et une victoire sur l’espace public.