Humains et animaux se retrouvent dans les œuvres poétiques d'Edi Dubien, exposé
au musée de la Chasse et de la Nature, du 10 décembre 2024 au 4 mai 2025.
Quelques touches de couleurs, des tr
12december
-11januari 2025
16:30 - 18:30
Vanities Gallery
9 Rue Biscornet, 75012 Paris, France
Description
« INATTENDUE »
Exposition du 12 décembre 2024 au 11 janvier 2025
Vernissage le jeudi 12 décembre à partir de 18h30
« Tout le bonheur du monde est dans l'inattendu٭», disait l’immortel Jean d’Ormesson. L’inattendu, c’est une rencontre, une amitié, la collision de deux âmes qui s’apprivoisent et se découvrent. La vie, par essence, est inattendue : elle incarne le chaos, au sens mathématique du terme, où la multitude de facteurs rend impossible toute prédiction. En y réfléchissant bien, nous sommes entourés par cet abysse, naviguant tous dans les eaux troubles de l’existence. Sommes-nous le résultat de nos actions, ou bien l’origine de notre histoire ? Les deux sont vrais : parfois nous influençons nos vies, d’autres fois, nous en subissons le courant.
Les oeuvres de David Feruch traduisent cette philosophie. En utilisant les nouvelles technologies, il crée des oeuvres où mathématiques et fractales se font chimères, métaphores de notre crise existentielle. Nous sommes un agglomérat d’atomes, de gènes, un être physique d’où naissent pourtant pensée et questionnement. Sa série Résidence explore cette thématique, interrogeant la genèse du tout à partir du rien.
Il enrichit cette série d’oeuvres plus figuratives, où la recomposition symbolise l’idée que nous sommes faits d’un tout : de nos origines, de notre passé, de notre éducation, de notre chair.
Chaque être humain est unique ; il incarne, osons le dire, l’inattendu dans l’espace-temps.
٭Citation tirée du livre C’était bien paru en 2013
Exposition du 12 décembre 2024 au 11 janvier 2025
Vernissage le jeudi 12 décembre à partir de 18h30
« Tout le bonheur du monde est dans l'inattendu٭», disait l’immortel Jean d’Ormesson. L’inattendu, c’est une rencontre, une amitié, la collision de deux âmes qui s’apprivoisent et se découvrent. La vie, par essence, est inattendue : elle incarne le chaos, au sens mathématique du terme, où la multitude de facteurs rend impossible toute prédiction. En y réfléchissant bien, nous sommes entourés par cet abysse, naviguant tous dans les eaux troubles de l’existence. Sommes-nous le résultat de nos actions, ou bien l’origine de notre histoire ? Les deux sont vrais : parfois nous influençons nos vies, d’autres fois, nous en subissons le courant.
Les oeuvres de David Feruch traduisent cette philosophie. En utilisant les nouvelles technologies, il crée des oeuvres où mathématiques et fractales se font chimères, métaphores de notre crise existentielle. Nous sommes un agglomérat d’atomes, de gènes, un être physique d’où naissent pourtant pensée et questionnement. Sa série Résidence explore cette thématique, interrogeant la genèse du tout à partir du rien.
Il enrichit cette série d’oeuvres plus figuratives, où la recomposition symbolise l’idée que nous sommes faits d’un tout : de nos origines, de notre passé, de notre éducation, de notre chair.
Chaque être humain est unique ; il incarne, osons le dire, l’inattendu dans l’espace-temps.
٭Citation tirée du livre C’était bien paru en 2013