********** English **********
From the first camera to 45 billion cameras worldwide today, the visual
sociologist filmmakers widen their lens to expose both humanity's unique
obsession with the camera's image and the social consequences that lay ahead.
Cineflagey by Cinematek & Kinograph
€ 9,5 > € 7
********** Français **********
De la découverte de la camera obscura à la diffusion de la première image
animée. De l'invention de la webcam à la première vidéo devenue virale. Ce
documentaire plein d'esprit et de réflexion montre l'essor de la culture
visuelle telle que nous la connaissons, en entremêlant des images d'archives
historiques avec des vidéos personnelles, des flux en direct, des amateurs de
sensations fortes risquant leur vie pour du contenu sur les médias sociaux et
des photographies de presse poignantes qui resteront à jamais gravées dans les
mémoires. Les réalisateurs posent ainsi aux spectateurs la question suivante :
quelles sont les conséquences de l'exposition aux milliards d'images qui
rivalisent constamment pour attirer notre attention ?
Cineflagey by Cinematek & Kinograph
€ 9,5 > € 7
********** Nederlands **********
Sinds de ontdekking van de camera obscura tot de vertoning van het eerste
bewegende beeld. Van de uitvinding van de webcam tot de eerste video die viral
ging. Deze geestige en tot nadenken stemmende documentaire toont de opkomst van
de beeldcultuur zoals wij die kennen en verweeft historisch archiefmateriaal met
homevideo's, live streams, sensatiezoekers die hun levens riskeren voor social
media content en aangrijpende persfotografie die voor altijd in het geheugen
gegrift zullen blijven staan. De makers stellen de kijkers aan de hand hiervan
de vraag: wat zijn de gevolgen van blootstelling aan de miljarden beelden die
continu strijden om onze aandacht?
Cineflagey by Cinematek & Kinograph
€ 9,5 > € 7
24november 2023
18:00 - 19:45
Rue Rouge - Rodestraat 47, 1180 Uccle - Ukkel, Brussels-Capital, Belgium
Description
Le Théâtre des Martyrs et le Centre culturel d’Uccle vous invitent à un évènement spécial à l’occasion des représentations d’Europe connexion, un spectacle mis en scène par Pauline d’Ollone.
L’Arbre Providence, c’est un documentaire qui fait écho au spectacle, qui donne à voir les conséquences du lobbyisme à un niveau international, mais aussi les réponses citoyennes : « cultiver des champs en Afrique sans engrais ni pesticides, c'est possible grâce aux arbres fertilitaires; Bruno Devresse remet en lumière une pratique agroforestière ancestrale, qui sort les paysans de la pauvreté ».
Synopsis
C’est l’histoire de la rencontre entre un homme et un arbre. Il y a presque trente ans, un jeune coopérant belge reconnait un arbre dans la brousse, ou plutôt il le redécouvre, car cet arbre était oublié, ignoré depuis des générations. Avec Kwami, un Togolais, Bruno Devresse remet dans la lumière une pratique agroforestière ancestrale : planter certains arbres dans les champs de café, cacao, légumes ou céréales parce qu’ils fertilisent gratuitement les sols, parce qu’ils restaurent en quelques années des sols devenus impropres à l’agriculture.
Ces arbres qu’on appelle fertilitaires sortent les paysans de la pauvreté; ils les persuadent de rester au village plutôt que de chercher à émigrer. Ces arbres stockent des tonnes de carbone, ils attirent les pluies, ils pourraient changer l’Afrique mais ça ne plait pas à tout le monde !
Ciné-débat
La projection, organisée dans le cadre du Mois du Doc, sera suivie par un débat sur l’impact de nos politiques agricoles et commerciales et le poids que peut avoir la société civile face à des lobbys internationaux internationaux, avec :
• Michel Hellas, journaliste, réalisateur du documentaire.
• Marc Roux, un des membres fondateurs (avec l'équipe d'APAF international) de la société Samanea qui commercialise les crédits carbones pour l’ONG APAF.
• Zoé Gallez, co-coordinatrice de Terre-en-vue, une coopérative qui a pour but de préserver les terres agricoles, pour une agriculture durable.
L’Arbre Providence, c’est un documentaire qui fait écho au spectacle, qui donne à voir les conséquences du lobbyisme à un niveau international, mais aussi les réponses citoyennes : « cultiver des champs en Afrique sans engrais ni pesticides, c'est possible grâce aux arbres fertilitaires; Bruno Devresse remet en lumière une pratique agroforestière ancestrale, qui sort les paysans de la pauvreté ».
Synopsis
C’est l’histoire de la rencontre entre un homme et un arbre. Il y a presque trente ans, un jeune coopérant belge reconnait un arbre dans la brousse, ou plutôt il le redécouvre, car cet arbre était oublié, ignoré depuis des générations. Avec Kwami, un Togolais, Bruno Devresse remet dans la lumière une pratique agroforestière ancestrale : planter certains arbres dans les champs de café, cacao, légumes ou céréales parce qu’ils fertilisent gratuitement les sols, parce qu’ils restaurent en quelques années des sols devenus impropres à l’agriculture.
Ces arbres qu’on appelle fertilitaires sortent les paysans de la pauvreté; ils les persuadent de rester au village plutôt que de chercher à émigrer. Ces arbres stockent des tonnes de carbone, ils attirent les pluies, ils pourraient changer l’Afrique mais ça ne plait pas à tout le monde !
Ciné-débat
La projection, organisée dans le cadre du Mois du Doc, sera suivie par un débat sur l’impact de nos politiques agricoles et commerciales et le poids que peut avoir la société civile face à des lobbys internationaux internationaux, avec :
• Michel Hellas, journaliste, réalisateur du documentaire.
• Marc Roux, un des membres fondateurs (avec l'équipe d'APAF international) de la société Samanea qui commercialise les crédits carbones pour l’ONG APAF.
• Zoé Gallez, co-coordinatrice de Terre-en-vue, une coopérative qui a pour but de préserver les terres agricoles, pour une agriculture durable.
Tickets
Info:
L’évènement est gratuit, mais le nombre de place étant limité, il est nécessaire de s’inscrire