Cherchez la femme… On en trouvera presque toujours une sous les plus amoureuses
mélodies. Muses ou égéries, interprètes, inspiratrices et poétesses sont mises à
l’honneur dans ce récital en forme d’hommage à la puissance féminine. Au cœur du
programme, les célèbres Lieder que Wagner composa sur des poèmes de celle dont
il s’était épris, Mathilde Wesendonck – sa seule composition sur un texte qu’il
n’ait pas écrit lui-même… Un joyau de la musique de chambre où les premiers
ferments de Tristan et Isolde se font déjà entendre… À retrouver en compagnie
d’autres pierres précieuses du répertoire, servies par la voix puissante et
subtile de la soprano Cyrielle Ndjiki Nya, accompagnée avec finesse par Kaoli
Ono.
Sergueï Rachmaninov (1873-1943)
Spring waters
Lilacs
Zdes horosho
Nye poi krasavitsa
Elégie (piano seul)
Richard Wagner (1813-1883)
Wesendonck Lieder
« Der Engel »
« Stehe still »
« Im Treibhaus »
« Schmerzen »
« Traume »
Claude Debussy (1862-1918)
Clair de lune (piano seul)
Henri Duparc (1848 – 1933)
Chanson triste
Au pays où se fait la guerre
Invitation au voyage
Cyrielle Ndjiki Nya soprano
Kaoli Ono piano
En partenariat avec la Fondation Royaumont
La Fondation Bettencourt Schueller est le mécène principal du Pôle voix et
répertoire de la Fondation Royaumont
Avec le généreux soutien d’Aline Foriel-Destezet
Opéra de Lille
Locatie
Aankomende evenementen
Er zijn geen aankomende evenementen
Evenementen in het verleden
+/- 1h10
Boucle magnétique disponible
Elle est l’icône enchanteresse d’un peuple en lutte…
En 2005, sa chanson Keçe Kurdan appelle les femmes à lutter contre leur
oppression et retentit dans le monde entier comme un hymne de la communauté
kurde. Depuis, Aynur n’a cessé de tracer son chemin musical, tour à tour témoin
et messagère, compositrice à part entière mais aussi gardienne du répertoire
traditionnel des chants et danses populaires des plaines et des montagnes.
Récompensée par de nombreux prix internationaux (Womex, Femmes de la
Méditerranée), invitée par des musiciens aussi prestigieux que le violoncelliste
Yo-Yo Ma et son Silk Road Ensemble, elle a décliné au fil de sept albums son
propre mélange de tradition et d’influences occidentales, d’agilité vocale et de
douceur, tout en puissance et en subtilité. Passant d’un luth solitaire à des
cordes opulentes, du jazz aux mélodies folkloriques, elle apporte à chaque
élément de son répertoire une même intensité. « Dans la culture alévie dont je
suis issue, explique-t-elle, il n’y a pas de livre sacré. C’est pourquoi la
musique y joue un rôle majeur. Tous les témoignages, toutes les histoires ont
été transmises par la musique depuis des générations ».
Aynur Doğan chant, tembur
Franz Von Chossy Piano
Chris Jennings Basse
Patrick Goraguer Batterie
Caner Malkoc Clarinette
+/- 5h, deux entractes compris
Chanté en allemand, texte français écrit par Tiago Rodrigues intégré à la mise
en scène
Boucles magnétiques disponibles
« Je cherche en vain une oeuvre qui ait la même dangereuse fascination, la même
effrayante et suave infinitude que Tristan et Isolde. Le monde est pauvre pour
celui qui n’a jamais été assez malade pour goûter cette ‘volupté de l’enfer’ » –
ainsi parlait Nietzche, qui s’y connaissait. De tous les opéras du monde,
pourtant riches en paroxysmes, on n’en trouvera pas un qui symbolise mieux la
passion sans limite, de deux êtres « donnés entièrement l’un à l’autre pour ne
plus vivre que l’amour ».
Peu d’opéras aussi peuvent rivaliser avec les splendeurs orchestrales, déployées
quatre heures durant par Wagner dans un souffle ininterrompu, jusqu’au sommet
inégalé de l’art lyrique que représente la célèbre mort d’Isolde… Partisan d’un
théâtre à la fois populaire et exigeant, associant avec une rare maestria
l’engagement et la délicatesse, le metteur en scène Tiago Rodrigues a suscité
l’enthousiasme du public et de la critique avec des spectacles qui concilient
les grandes histoires et celles du quotidien, les déchirements contemporains et
la force des tragédies antiques.
Pour sa première incursion sur une scène lyrique, le nouveau directeur du
Festival d’Avignon se saisit de la figure des amants éternels pour écrire « une
histoire de l’histoire », comme une archive sauvage pour mieux regarder notre
temps. Ses héros ne sont ni naïfs ni pris au piège, ils revendiquent leur
transgression et choisissent de vivre dans les marges leur amour impossible,
comme une parenthèse enchantée. Au monde qui voudrait les poursuivre, Tiago
Rodrigues rappelle l’avertissement du poète Hölderlin : « Ne trouble jamais la
paix des amants ! ».
Tristan et Isolde
Opéra en trois actes de Richard Wagner (1813-1883)
Livret de Richard Wagner d’après le roman Tristan de Gottfried von Straßburg (v.
1230)
Créé en 1865 à Munich
Cornelius Meister direction musicale
Tiago Rodrigues mise en scène
Reprise assurée par Laurent Delvert
Fernando Ribeiro décors
José António Tenente costumes
Rui Monteiro lumières
Simon Hatab dramaturgie
Stefan Schreiber assistant à la direction musicale
Nicolas Chesneau chef de chant
Louis Gal chef de chœur
Avec
Daniel Brenna Tristan
Annemarie Kremer Isolde
Marie-Adeline Henry Brangäne
Alexandre Duhamel Kurwenal
David Steffens Roi Marke
David Ireland Melot
Kaëlig Boché un Berger, un Marin
Sofia Dias, Vítor Roriz danseurs-chorégraphes
Chœur de l’Opéra de Lille
Orchestre National de Lille
Nouvelle production Opéra national de Lorraine
Coproduction Opéra de Lille, théâtre de Caen
Tristan und Isolde, Handlung in drei Aufzügen
Musique de Richard Wagner
© Schott Music GmbH & Co. KG, Mainz
Avec l’autorisation de Première Music Group
Production déléguée Opéra national de Lorraine,
Coproduction Opéra de Lille et Théâtre de Caen
Les décors ont été réalisés par Eclectik Sceno
Les costumes ont été fabriqués par l’atelier costumes de l’Opéra national de
Lorraine
Mise en vente des places le 31 janvier
Tarif unique 5 € par spectacle
Qui aurait cru pouvoir s’éclater sur Rameau ? Se trémousser joyeusement avec
Debussy ? Ce ne sont que quelques-unes des joies que réserve la Hip Hit Pop
Classic Parade. Entre bal et boum, du bel canto au dancefloor, du baroque au
clubbing, on y retrouve un creuset de mélodies impérissables, pour un moment
festif ouvert à tous les âges et mené par un duo de danseurs. Dès l’âge de 4
ans, on pourra semer ses envies et ses idées dans Et si tu danses, un spectacle
interactif, qui associe théâtre et danse sur les traces du Petit Poucet. Conçu
par l’intrépide danseuse et chorégraphe Marion Lévy avec l’auteure Mariette
Navarro, cette variation pleine de fantaisie sur le conte fait découvrir Poucet
devenu adulte… et passablement perdu. Pour retrouver le chemin de ses souvenirs,
de ses peurs et de ses joies, il se laissera guider par ses jeunes spectateurs.
Coup double : une déambulation en trois temps dans l’Opéra… dans les trésors de
la musique baroque proposée par les Solistes du Concert d’Astrée. Open your ears
propose un parcours en petits groupes et en plusieurs étapes, où les mini
concerts impromptus sont précédés par des « écluses » : des invitations à
découvrir de façon vivante les différents aspects des pièces présentées et le
raffinement de leurs contrastes.
Enfin, participez à la célébration du centenaire de l’Opéra avec un Concert du
Mercredi qui rend hommage aux compositrices méconnues dont la lilloise Jeanne
Thieffry dont des œuvres ont été jouées lors du concert d’inauguration de
l’Opéra en 1923.
C’est une boum, un bal, un hit-parade pour les enfants et leurs parents.
À partir de 8 ans
David Rolland conception
Vendredi 8 mars 10h, 11h30 et 14h
Samedi 9 mars 11h30, 15h et 18h
Durée +/- 1h
Avant et après le bal, vous pourrez participer à des ateliers proposés par des
artistes plasticiens.
Un spectacle interactif, entre théâtre et danse, sur les traces du Petit Poucet.
À partir de 4 ans
Marion Lévy conception
Mariette Navarro texte et dramaturgie
Hanna Söjdin costumes et accessoires
Véronique Marsy création lumière
Stanislas Siwiorek comédien et danseur
Vendredi 8 mars 11h et 14h30
Samedi 9 mars 10h et 14h30
Durée +/- 45 min
Parcourez l’Opéra, franchissez les écluses et découvrez les couleurs chatoyantes
de la musique baroque en plusieurs courts concerts avec les solistes du Concert
d’Astrée.
À partir de 6 ans
Avec les solistes du Concert d’Astrée
Mercredi 6 mars 10h30
Jeudi 7 mars 10h30 et 14h30
Durée +/- 1h30
Si on a appris à fréquenter les compositrices Pauline Viardot ou Lili Boulanger,
qui connaît en revanche Marguerite Canal ? Ou encore Jeanne Thieffry,
compositrice lilloise qui participa au premier concert donné dans notre Opéra ?
Avec Ayako Tanaka au violon, le pianiste Jean-Michel Dayez propose de
redécouvrir ces pionnières, et leur associe des œuvres de deux de nos
contemporaines : la jeune Amiénoise Camille Pépin, et la grande Kaija Saariaho,
décédée il y a peu. Un concert où la forme et la qualité d’expression d’œuvres
injustement ignorées par le répertoire du XXe rencontrent les créations du XXIe
“qui nous emmèneront vers des espaces nouveaux, tissés de dialogues avec le
passé et de visions inouïes”.
Pièces de :
Jeanne Thieffry (1886-1970)
Marguerite Canal (1890-1978)
Lili Boulanger (1893-1918)
Pauline Viardot (1821-1910)
Kaija Saariaho (1952-2023)
Camille Pépin (1990 -)
Ayako Tanaka violon
Jean-Michel Dayez piano
« – Quoi de neuf ? – Mozart ! » Avec ce concert ouvert sur la découverte, les
musiciens de L’Instant Donné renouvellent à leur façon ce vieil et endurant
adage. La musique se transforme et, siècle après siècle, se nourrit d’elle-même…
comme le prouvent ici des compositeurs contemporains, confrontés à leurs
illustres aînés. La Japonaise Mioko Yokoyama métamorphose le troisième Moment
musical de Schubert, Aurélien Dumont distille des bribes de Mozart dans une
pièce au titre énigmatique – Gruau d’agrumes –, Heinz Holliger badine avec Bach…
Quant à Gérard Pesson, il remodèle à sa guise un menuet de Mozart pour en tirer
une tyrolienne… avec yodel !
Wolfgang Amadeus Mozart (Autriche, 1756-1791)
Quatuor avec flûte en ré majeur, K. 285
1er mouvement – Allegro
2e mouvement – Adagio
Aurélien Dumont (France, 1980)
Gruau d’agrumes (2009-2014)
Gérard Pesson (France, 1958)
Six transformations du menuet K. 355 de Mozart : « Tyrolienne » (2010)
Johann Sebastian Bach (Allemagne, 1685-1750)
Extrait de la Sarabande de la Partita en la mineur, BWV 1013
Heinz Holliger (Suisse, 1939)
Sonate (in)solit(air)e : IV La Bande de Sara (langoureux, mais digne)
Johann Sebastian Bach
Suite n° 2 en la mineur, BWV 1067 : « Badinerie 2 »
Heinz Holliger
Sonate (in)solit(air)e : VI Badines ! Ries ! Beaucoup moins vite que …! (très
prudemment)
Mioko Yokoyama (Japon, 19)
Metamorphosis of Moments Musicaux n° 3
d’après Franz Schubert, création – commande de L’Instant Donné (2020)
Wolfgang Amadeus Mozart
Quatuor avec flûte en ré majeur, K. 285
3e mouvement – Rondo
L’Instant Donné
Mayu Sato-Brémaud flûte
Saori Furukawa violon
Elsa Balas alto
Nicolas Carpentier violoncelle
Ils se sont rencontrés au Mexique en 2013, et ils tracent depuis leur route
pleine de swing entre l’Europe et l’Amérique latine. Un Argentin, un Uruguayen
et deux Français, issus de formations différentes mais tous curieux de sons
anciens et d’aventures nouvelles. Quatre tempéraments forts qui partagent une
même vision musicale, aussi rigoureuse que cosmopolite, et un même amour du
quatuor à cordes. Une formation qu’ils replacent au cœur battant de l’histoire
du jazz, avec un concert en forme de voyage dans le temps : des vibrantes « jazz
funerals » de La Nouvelle Orléans aux Big Bands de Broadway, des notes bleues du
cool jazz à l’énergie revendicative des années 60…
Guillaume Latil
Echoes of New Orleans
Love is not a Broadway Song
Swing 21
Olivier Samouillan
Viola Blues
Valse à Nini
Rodrigo Bauza
Rezo a mi modo
Modal Prayer
Minor Bop
Please No Licks
Federico Nathan
Redemption Ballad
Samba Latente
Cuareim Quartet
Rodrigo Bauza violon
Federico Nathan violon
Olivier Samouillan alto
Guillaume Latil violoncelle
Alors que Soraya Mafi se prépare à l’imminence d’un heureux évènement, le
récital « L’appel de l’Orient » initialement prévu se mue en échappée vers de
lumineuses contrées nordiques, en compagnie de la soprano suédoise Johanna
Wallroth et du pianiste Simon Lepper.
Mélodies de Lili Boulanger, Nadia Boulanger et Raoul Pugno, Alban Berg, Wilhelm
Stenhammar, Ture Rangström, Jean Sibelius
Propulsée sur la scène internationale après avoir remporté le prestigieux
concours Mirjam Helin à Helsinki en 2019, lauréate du programme BBC Radio 3 New
Generation Artist, la jeune soprano suédoise Johanna Wallroth fera notamment ses
débuts au Festival de Glyndebourne dès l’été prochain en interprétant Cléopâtre
dans le Giulio Cesare de Händel mis en scène par David McVicar.
Avec la complicité du grand pianiste Simon Lepper, elle nous entraîne vers le
génie mélodique et la poésie des grands espaces propres aux pays nordiques.
Partant des Heures claires de Nadia Boulanger et Raoul Pugno, passant par les
lieder de jeunesse d’Alban Berg, le duo fait escale à Stockholm dans la douce
lumière de mélodies postromantiques signées Wilhelm Stenhammar et Ture
Rangström. De véritables raretés, avant une dernière échappée dans la Finlande
suédophone de l’incontournable Sibelius.
Lili Boulanger (1893-1918)
Vous m’avez regardé avec toute votre âme
Nadia Boulanger (1887-1979) et Raoul Pugno (1852-1914)
Les Heures claires :
« Le ciel en nuit s’est déplié »
« C’était en juin »
« Que tes yeux clairs, tes yeux d’été »
« S’il arrive jamais »
Alban Berg (1885-1935)
Sieben frühe Lieder (Sept lieder de jeunesse) :
« Nacht » (Nuit)
« Schilflied » (Chant du roseau)
« Die Nachtigall » (Le Rossignol)
« Traumgekrönt » (Couronné de rêve)
« Im Zimmer » (Dans la chambre)
« Liebesode » (Ode à l’amour)
« Sommertage » (Jours d’été)
Wilhelm Stenhammar (1871-1927)
I skogen (Dans la forêt)
Flickan knyter i Johannenatten (Pendant la nuit de la Saint-Jean)
Flickan kom ifrån sin älsklings möte (La fille revint d’un rendez-vous avec son
amoureux)
Ture Rangström (1884-1947)
Bön till natten (Prière à la nuit)
Flickan under nymånen (La Fille sous la nouvelle lune)
Hennes ord (Ses mots) :
« Kärleken är en rosenlund » (L’amour est une roseraie)
« Jag hörde din röst » (J’ai entendu ta voix)
« Jag fryser om dina händer » (Mes mains sont froides)
Jean Sibelius (1865-1957)
En slända (Une libellule)
Var det en dröm? (Était-ce un rêve ?)
Johanna Wallroth soprano
Simon Lepper piano
« De quels liens se tisse le fil des histoires ? De l’Arabie des Mille et Une
Nuits à la Russie de Rimski-Korsakov, en passant par le Paris de Lili Boulanger,
file un même récit que reprend aujourd’hui la pianiste virtuose Mara Dobresco,
entourée par Manon Galy et Kacper Nowak. Un programme qu’elle a voulu consacrer
aux femmes, à leurs luttes, leurs victoires secrètes. Pour retrouver la voix de
Shéhérazade, qui raconte des histoires pour sauver sa vie… De la même manière,
les compositrices présentées dans ce programme racontent des histoires qui sont
restées longtemps ‘endormies’ et qui trouvent aujourd’hui un chemin vers
l’auditeur, prêt à les entendre et à les aimer. »
Nikolaï Rimski-Korsakov (1844-1908) (transcriptions de Fritz Kreisler)
Extraits de Shéhérazade (trio)
Danse orientale
Chanson arabe
Amy Beach (1867-1944)
Dreaming (piano)
Trois Pièces, op. 40
Ernest Bloch (1880-1949)
De la vie juive (violoncelle et piano)
Lili Boulanger (1893-1918)
Nocturne (piano, violon)
D’un soir triste (trio)
D’un matin de printemps (trio)
* Programme en miroir du projet Shéhérazade créé par l’Ensemble K – Simone
Menezes www.ensemblek.com [http://www.ensemblek.com]
Solistes de l’ensemble K
Mara Dobresco piano
Manon Galy violon
Kacper Nowak violoncelle
Créé en 2004, Umwelt a retenti comme une déflagration. Après le très beckettien
May B et une incandescente Cendrillon, le spectacle est devenu une pierre
angulaire dans la carrière de Maguy Marin, figure incontournable et audacieuse
de la danse française.
Qu’y voit-on ? Des gestes qui se répètent, se multiplient et se transforment, de
lentes métamorphoses, des couples qui s’étreignent puis se séparent, des
naissances, des casques guerriers ou des oreilles de lapin, comme autant de
fantaisies dérisoires…
Que n’y voit-on pas ? Tout le hors-champs de la coulisse, qui se signale, se
joue et se dérobe au regard, dans le souffle puissant d’un mouvement toujours
renouvelé… « On propose un paysage », explique la chorégraphe. « Une sensation
subjective du monde dans lequel on vit. On donne ainsi forme à ses joies, à ses
rages, à ses incompréhensions. Et on propose le résultat à d’autres, en espérant
qu’ils partageront notre perception. »
Créée en 2004 et reprise avec succès en 2013, la pièce a fait voir à nouveau
toute son acuité dans un monde en proie à de nouvelles crises. La revoici,
devenue un classique subversif de l’histoire de la danse, et prête une fois
encore à stupéfier.
Umwelt
Création 2004
Nouvelle production 2013
Maguy Marin conception
Denis Mariotte dispositif sonore, musique
Alexandre Béneteaud lumières
Nelly Geyres costumes
Emmanuel Robin technique vocale
Avec
Ulises Alvarez, Kostia Chaix, Kaïs Chouibi, Daphné Koutsafti, Louise Mariotte,
Lise Messina, Isabelle Missal, Paul Pedebidau, Ennio Sammarco Danse