Les Coquineries de Comedia

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Le 17 juin, c'est avec des fourmis dans les jambes et des étoiles dans les yeux, transis de désir et ivres de joie, que les Coquines et les Coquins de Comedia77 sont prêts à vous revoir pour des retrouvailles chaleureuses, poétiques et libertines...Ils promettent de vous faire rire, rêver, de vous émouvoir et de vous émoustiller … En textes, en chansons, en danses et en surprises ! La soirée sera belle, joyeuse et sans complexe … Attention, ça va être CHAUD !Alors, ne boudez pas votre plaisir pour ce rendez-vous tant attendu au Poche Théâtre de Charleroi !!Places limitées, réservations plus que souhaitée.Réservations: 0491 280 220 - info@comedia-77.be* Cette soirée est réservée aux +18 ans !

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Pitch Nous sommes un soir d’automne 1124, il y a 900 ans. Une grande dame approche, accompagnée de toute sa cour.  Yolande de Gueldre, Veuve du Comte de Hainaut, regarde le vieux donjon oublié qui domine la région. C’est ici, sur cette colline, qu’elle va fonder la ville de Binche. L’endroit est stratégique et tous les conseillers de la Comtesse prédisent à la future cité un avenir brillant. Mais Yolande semble ailleurs, distante, rêveuse. Elle fait appeler son fils Baudouin. Il a à peine 16 ans. En privé, elle lui glisse un mot à l’oreille. Le croirez-vous ? Le destin de la ville vient de basculer à jamais. Toute l’histoire de Binche se construira désormais autour de ces quelques mots, susurrés en secret, d’une mère à son fils. Quel est donc ce secret qui va traverser les siècles et qui, aujourd’hui encore, influence la vie des Binchois, au quotidien ?   Titre du spectacle : Bincium 1124 Concept : Spectacle total mêlant artistes et vidéo-mapping Techniques utilisées : Mapping Dates : 06, 07, 08, 13, 14, 15 septembre 2024 Lieu : Collégiale Saint-Ursmer, Binche Horaire : chaque soir à 21h30 sauf le 07 septembre à 22h Nombre de représentation : 1 Durée du spectacle : 35 min Prix : Gratuit Langue : FR Public : Tout public Capacité publique : Jusqu’à 4.000 spectateurs par représentation  
INTIME FESTIVAL 2024 PROGRAMME [https://intime-festival.be/programme/30-aout/]: Littérature. Photographie. Musique. Illustration. Cinéma. L’Intime, c’est avant tout partir à la découverte d’auteur.ices confirmé.es ou plus récents ! Parmi elles/eux : Marcel Cohen, Abigail Assor, Gabriella Zalapi, Vincent Platini,.. avec une belle place réservée aux écrivain.es belges : Caroline de Mulder, Chis de Stoop, Quentin Jardon et Philippe Marczewski. A noter que le plaisir de certaines grandes lectures sera prolongé avec des rencontres littéraires animées pour Nagui Zinet, Laurent Gaudé, et Marie-Hélène Lafon. L’Intime, c’est aussi du cinéma, du théâtre, de la radio, des arts graphiques, de la photographie, une programmation jeunesse (L’Intime festival des enfants) et en 2024, l’arrivée de la danse avec Sofiane Chalal !
Retrouvez dans cette représentation tout le processus créatif de Théâtre & Réconciliation, issu de l'atelier participatif "Le coup d'un soir" qui, pendant les 3 heures précédant la performance, rassemble des personnes de tous horizons, novices en théâtre, qui improvisent et créent un spectacle unique. Comme de grands enfants, ils inventent un nouveau monde le temps d'une soirée. La représentation de l'atelier "Le coup d'un soir" sera suivie du portrait "Déshabillez-moi : That's life" par Christine Mobers, également membre de la compagnie Théâtre & Réconciliation. Infos pratiques : "Le coup d'un soir" - 20h30 - 21h "Déshabillez-moi : that's life" - 21h-21h30 Le 19/09/2024 à La Tricoterie - Rue Théodore Verhaegen, 158 à 1060 Bruxelles. Réservations : via notre billetterie en ligne Utick ou via contact@theatre-action.be
Rebaptisée Des Estivantes par le metteur en scène Georges Lini, la pièce s’inscrit toujours en 2024 dans la critique d’un ancien monde. De jeunes gens-pour la plupart – et de moins jeunes se retrouvent le temps d’une soirée autour d’un banquet. C’est les vacances, et ce soir, auberge espagnole. Ils/elles sont ami(e)s. Du moins c’est le terme qu’ils/elles utilisent pour qualifier les relations qu’ils/elles entretiennent entre eux. En réalité, beaucoup de choses les opposent. Alors la soirée se passe. On mange, on boit, on danse et chante, on rit, on dit certaines choses et on en entend d’autres, on fait bonne figure, mais à force, les tensions naissent et le vernis craque. Le fossé se creuse. Les vérités sortent. Et la soirée vire au règlement de comptes. Dans ce brouhaha, une voix, celle de Varvara, s’élève au-dessus de la mêlée. Après le succès d’Ivanov de Tchekhov en 2023, Georges Lini poursuit son exploration des classiques russes. Quatorze acteurs se réunissent autour d’une « déconstruction » festive et réparatrice en temps réel.
La vie, ce sont des cycles. Tu nais l’enfant de tes parents. Tu deviens la mère de tes enfants. Après, la mère de tes parents. Puis, l’enfant de tes enfants. Et tu meurs. Marie, célibataire de 64 ans, nez pour un grand parfumeur, coincée entre les problèmes de sa mère et ceux de sa fille, peine à trouver sa place de femme. Elle aspire à l’amour et à la passion, mais n’arrive plus à se trouver désirable. Jusqu’au jour… Après La Solitude du mammouth et Quand tu es revenu, Geneviève Damas explore le rapport au désir d’une femme après 60 ans. Il s’agit d’aborder le temps qui passe comme n’étant pas seulement une fatalité douloureuse qui s’inscrit sur la peau et fatigue le corps, mais comme une période de la vie qui ouvre un champ des possibles. Depuis la création de ce spectacle en 2022-2023, Hélène Theunissen, élue meilleure interprète aux Prix Maeterlinck 2023, a été applaudie sur treize scènes belges. Le succès est tel que la comédienne revient nous offrir ces quelques représentations en apéritif, avant de repartir en tournée. Le spectacle sera en tournée en 2024-2025 : au Festival Chaînon manquant -Laval- (17.09), à Theux (26.09), à Rouvroy (28.09), à Uccle (2 et 3.10), à Sambreville (4.10), à Woluwe-Saint-Pierre (5.10), à Viroinval (8.10), à Sprimont (10.10), à Waremme (11.10), à Visé (18.10), à Beauvechain (8.03), à Stavelot (13.03), à Tubize (14.03), à Chênée (15.03), à Fleurus (25 > 28.03) et à Waterloo (29.03).
Drôle de Cube, c’est le rendez-vous incontournable du stand up à Gembloux ! Le Cube 55 et Drôle de Mouv t’invitent à découvrir cinq humoristes confirmé·es ou débutant·es.Sortie au chapeau. Étant donné qu’il s’agit de la seule rémunération des artistes présent·es, un minimum de 5€ par spectateur·ice est conseillé. Merci de prévoir du cash.
Au-dedans la forêt, nouveau texte de Daniela Ginevro met en scène trois enfants : un grand garçon fragile et ses deux petites soeurs, isolés au coeur d’une forêt. Sans parents, livrés à eux mêmes mais déterminés et soudés. Avec pour seule compagnie, la nature. Réconfortante, rassurante si l’on s’y enfonce au point de s’y fondre. Hostile et dangereuse quand on en oublie les lois. Car de l’autre côté, à la lisière, les règles sont différentes. Au sein de la "civilisation" prévalent les préjugés sur ces enfants qui ne correspondent pas à la "norme". Sur ces êtres étranges qui ont fait le choix de sortir du cadre. Dans ce monde dit adulte, certains tentent pourtant de maintenir des liens, d’établir des ponts, de concilier enfance et liberté, enfance et société. Un récit poétique et métaphorique sur la différence, "l’a-normalité" qui pose la question de la sauvagerie. Qui de la forêt ou de la société est la plus sauvage ? Conception artistique Camille Sansterre Collaboration artistique Pierre Jacquin Accompagnement artistique Daniela Ginevro et Gaëtane Reginster Comédien.ne.s Louise Jacob, Julie Leyder, Laurie Perissutti, Matthias Billard Créateur musical Matthias Billard Créateur sonore Ludovic Van Pachterbeke Créateur lumière et régie Vincent Stevens Ingénieur du son Brice Tellier en alternance avec Raphaël Lapoulle Texte Daniela Ginevro Avec les voix des enfants de la Cité de l’Enfance Photo Olivier Calicis Graphisme Pierre Papier Studio Une production du Théâtre de la Guimbarde Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et du CED-WB Durée totale 55 min. Âge : dès 10 ans
René Georges nous entraîne dans un voyage hypnotique dans le temps. Tout part d’une histoire vraie qui parle d’un ancêtre originaire des Grandes Plaines, à l’est des montagnes Rocheuses. Se fusionnent au récit des chants sacrés sauvés des engrenages de la machine de l’homme Blanc, qui inexorablement avançait dans le jardin des Amérindiens, le modifiant, le déracinant, l’extirpant de la matrice originelle : la Terre-Mère. The Man On The Picture est un beat unique dont le rythme du dire serait proche du spoken word où se mixent trois langages artistiques. L’écriture, la musique, le chant. Le tout ponctué de phrasés typiquement rap qui donnent à l’ensemble beaucoup d’audace et de liberté et accouchent d’une partition musicale qui explose les formats standards. On passe du slam au rap, du rap au spoken word et du spoken word au chant sacré indien, voire la chanson française traditionnelle, sans oublier de pimenter le tout avec quelques épices façon Gainsbourg. The Man On The Picture, nous rappelle ces liens subtiles et spirituels qui existent entre le visible et l’invisible que notre société moderne a désintégré du langage. Ils nous invitent à reprendre contact avec le monde invisible où séjournent les esprits, les âmes des êtres vivants et inanimés. L'art comme point d’intersection liant les hommes à la nature et au divin, voire le cosmos… Trouver des entités magiques, et extraire de ce magma une pépite artistique contemporaine qui répondrait aux espoirs encore possibles dans notre XXIe siècle, l'interrogerait, et nous inviterait à occuper la place la plus juste sur notre Terre. Quant au poète, qui reprend un ancien chant, ou transmet un message reçu d’une puissance surnaturelle, il reste sans nom. Une performance libre et sauvage, minérale et torrentielle qui fait du bien au corps et à l’esprit. Ne jamais choisir, comme le fait Patti Smith, entre poésie, chant et musique. Voilà la ligne de démarcation.
Comment Toone en est-il arrivé à Gounod ? Au temps où La Monnaie, maintenant Opéra National, disposait de privilèges écrasants par rapport aux autres théâtres de Bruxelles, Tôône-Dufeys (une autre dynastie de marionnettistes) se rendait régulièrement à l’Opéra pour y copier le plus fidèlement possible ces grands spectacles inaccessibles pour le peuple des Marolles et les présenter ensuite dans son théâtre. Les marionnettes traditionnelles étaient alors le seul moyen d’éducation populaire d’un public toujours prêt à s’enthousiasmer pour les plus grandes oeuvres. Toone VII à son tour se pencha sur l’opéra de Gounod pour en faire une adaptation parodique. « ... Tandis que le docteur Faust boit une dernière gueuze dans l’espoir d’une mort subite, un inquiétant personnage, le “Deuvel”, vient lui proposer des paquets de billets de mille et une belle “mokske” au doux nom de Marguerite, en échange de son âme. On fait un tour à la foire du midi, on passe (en coulisses) une nuit enchanteresse et... c’est le coup de foudre. Avec une conséquence pour Marguerite : “Des robes qui vont devenir trop courtes par devant”... Quiconque s’aventure dans le vaste univers que représente ce sujet comprendra, à travers l’humour, le sentiment de paix intérieure qui l’anime. On devine aisément ce que peuvent donner des mélodies telles que Salut, demeure chaste et pure ou Anges purs, anges radieux accommodées à la sauce bruxelloise... » (La Lanterne) Fidèle à la tradition, Toone fait toutes les voix et n’hésite pas à pousser le grand air des bijoux à l’égal de notre célèbre Castafiore. Les décors et costumes de Raymond Renard donnent à Marguerite toutes les raisons de se voir si belle en ce miroir.